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« l’Ogre sexuel » avec les femmes de ses collegues (8)

Pendant que l’Ingénieur était en réunions au siège de la Direction, sa femme, dans sa maison à la cité, a rassasié sa chatte et son cul des zobs de l’Ogre et de son servant le noir, même ensemble l'après midi dans sa chambre. Mais l’Ogre s’est réservé la Terma de la femme qu’il avait dépucelé avant

Proposée le 27/12/2024 par DALIDA

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Thème: extra-conjugal
Personnages: FH
Lieu: A la maison, intime
Type: Fantasme


Le servant noir de l’Ogre a baisé toute la matinée la chatte de la femme. Mais l’après midi, l’Ogre n’a pas résisté et il est venu rejoindre son servant pour baiser ensemble avec lui, la chatte insatiable de la femme dans sa chambre. Son mari est toujours en réunions au siège de la Société, loin de sa maison et de sa femme laissée à la merci sexuelle de l’Ogre et de son copain.

Par ailleurs, l’Ogre s’est réservé aussi de sodomiser à fond et tout seul, la Terma de la femme, qu’il avait eu le privilège de dépuceler auparavant. La fin de l’après midi arrive et les deux compères doivent quitter la femme et la maison. C’est alors que le noir rappela à l’Ogre qu’il était déjà 16h30 et les enfants allaient arriver à la maison de l’école.

Alors la femme se leva et leur cria de se rhabiller et de partir. L’Ogre grommela un peu mais rapidement, les deux hommes furent obligés d’obéir et de quitter la maison. Et la femme put aller se laver et même se doucher et ensuite se rhabiller correctement. Puis elle retourna à la cuisine pour préparer le diner de la famille.

Et une demi heure plus tard, environ, les enfants étaient à la maison. Ensuite, comme à leurs habitudes, ils s’occupèrent de leurs livres et devoirs scolaires pour le lendemain et vers 20h, le repas étant prêt, la famille prit son diner dans en cuisine.
Ensuite les enfants firent leurs toilettes et vers 20h30, sur ordre de leur mère, comme d’habitude, ils sont au lit dans leur chambre.
Et la femme put laver sa vaisselle, ensuite faire quelques brins de toilette et rejoindre sa chambre.

Comme elle était seule, elle s’habilla légèrement de sa robette courte et transparente et ensuite, elle se coucha sur son lit, à plat ventre, la Terma en l’air. Elle commence à aimer maintenant cette position d’abandon sexuel de son corps, se sentir toute nue et disponible pour être facilement baisée. Elle regrette l’absence des zobs de l’Ogre et de son copain le noir, maintenant qu’elle était disponible seule dans sa chambre.

Elle sommeilla un peu, mais vers 21h, elle reçut un appel au portable de son mari qui l’appelle du siège de la capitale. Il demanda d’abord des infos sur elle et sur les enfants et elle le rassura que tout allait bien.
Bien entendu elle ne dit rien de ses écarts de conduite avec l’Ogre et de son ami le noir. Au contraire, pour exprimer sa liberté et son aise sexuels nouvelle, elle continuer à remuer et à dandiner de la croupe tout en discutant au phone avec son mari.

Elle s’amusa même, hypocritement, à reprocher à son mari son absence loin d’elle et de son lit. Le malheureux cocu, qui a été imprudent de laisser sa femme seule, à la merci de la réputation sexuelle de l’Ogre, s’excusa. Il lui répondit que le travail était prioritaire pour l’avenir de la famille et des enfants. Elle rigolait, en douce, en silence, en l’entendant dire cela, et elle continuait à osciller, encore plus, de sa Terma nue, cela lui donnait du plaisir.

Mais, son mari avait autre chose d’important à lui dire. Il l’informa que les réunions prévues au siège ont été avancées par la Direction. Elles sont d’ailleurs toujours en cours, actuellement, et vont continuer même en soirée et sûrement la nuit, car la Direction veut des résultats urgents pour demain matin. Donc, lui aussi, dès qu’il terminera son travail, il prendra la route pour le retour, avant l’aube. Et il compte arriver à la maison demain aux environs de 10h au maximum, si tout va bien. Et ils raccrochèrent.

Elle était furieuse, elle tempesta et injuria à voix basse son mari et frappa des poings sur le lit. Elle était frustrée et dépitée de ce malheureux contretemps qui détruit ses séances de plaisir prévues pour la journée du lendemain. Et elle décida de phoner à l’Ogre demain matin, de bonheur, pour reporter leurs baises à une date ultérieure, à lui proposer après le retour du mari.

Puis, fatiguée de ce fâcheux contretemps, elle continua à réfléchir sur un plan futur avec ses amants. Heureusement, elle trouva rapidement le sommeil et s’endormit.

Mais après quelques heures de sommeil, elle fut réveillée par de faibles bruits toqués à la fenêtre fermée de sa chambre et qui donne sur l’extérieur de la maison. Il était environ minuit au réveil. Inquiété, elle écouta encore et les légers bruits se répètent nettement.

C’étaient des sortes de grattements sur le bois des volets extérieurs de la fenêtre. Ce n’était jamais arrivé depuis plusieurs années qu’ils logeaient dans cette villa qui donnait à l’extérieur sur la rue, sur le petit parking de voitures bien entouré de hauts buissons qui cachaient totalement les fenêtres et l’intérieur de sa chambre et celle des enfants, à coté.

Alors, prudemment, elle se leva en silence et alla ouvrir doucement les vitres internes de sa fenêtre. Elle regarda à travers les fentes des stores des volets extérieurs. Et à sa grande surprise et stupeur, elle vit le noir de la journée qui lui faisait signe, son visage et sa main collés au store.
Rassurée mais super étonnée, elle débloqua doucement le volet extérieur de sa fenêtre pour parler avec le noir.

Mais il préféra la repousser doucement à l’intérieur, et avant de s’expliquer, il enjamba la fenêtre et sauta à l’intérieur de la chambre. Ensuite il referma les volets et les vitres de la fenêtre et se tourna vers la femme qui était pratiquement nue car sa robette courte et transparente ne cachait pas grand-chose d’autant plus qu’elle était entièrement nue par dessous.

Il se mit brusquement à genoux devant elle et il lui baisa les pieds et les chevilles et remonta par ses baisers sur les jambes et plus hauts encore vers les cuisses et la chatte nues . La femme l’arrêta doucement et lui demanda encore une fois de s’expliquer.

Alors il se releva et ses mains passèrent derrière la croupe de la femme en soulevant la robette et pour empoigner ses hanches et ses fesses. Il riait et semblait très content de lui. Mais la femme était tellement surprise qu’elle ne put rien ajouter d’abord et le laissa faire car cela lui donnait déjà du plaisir. Mais ensuite, elle continua à lui demanda de s’expliquer.

Alors il lui murmura à l’oreille, alors que son souffle haletait déjà de désir et tout en bécotant son cou, qu’il était venu spécialement pour son cul, pour sa blanche et opulente Terma. Il ajouta qu’il en avait rêvé toute la soirée avec son zob en permanence gonflé, mtanane pour elle, à lui faire mal. Alors, il a décidé de venir coute que coute pour niquer ce cul dont il a été volé, dépossédé toute l’après midi.

En effet, l’Ogre s’en était emparé toute l’après midi et lui a laissé simplement la chatte sans lui demander son avis et son désir. Alors que son zob noir adorait niquer les Terma, l’Ogre l’en avait privé. Donc il avait tout risqué pour venir la niquer et la rassasier toute la nuit si elle veut bien de son zob. Il continuait à l’enlacer et caresser sa Terma, et son zob piquait déjà bien le bas ventre et les cuisses de la femme, déjà conquise.

Elle le repoussa un peu pour se détacher de lui et aller fermer la porte de sa chambre à clé, prudence à cause des enfants endormis à coté. Ensuite, elle fit un semblant de protestation et un peu se fâcher de lui, mais à voix basse. Mais sa tenue pratiquement nue et le halètement de désir du noir et ses yeux fixés, hypnotisés par le corps de la femme étaient suffisants pour qu’elle accepte tout de cette intrusion nocturne.

Elle se dit que son mari va arriver demain et la priver de ses plaisirs sexuels, alors autant en profiter cette nuit avec ce fou qui a tout risqué pour venir niquer sa Terma. Alors elle enleva sa robe et le noir se déshabilla aussi complètement. Son gros zob était déjà debout vertical, mtanane, gonflé à fond.

Elle se mit à genoux sur le lit pour lui offrir sa Terma et le noir s’installa derrière elle, tenant son gros zob mtanane. Mais il commença par lui lécher les cuisses, les fesses et leur long sillon et surtout la noix de l’anus. Et avec un doigt, il ouvrit le cul de la femme pour y passer sa langue gourmande qui pénétra le cul et chatouiller l’intérieur. Elle gémissait déjà de désir et de plaisir.

Alors, il prit son zob et le pointa sur l’anus et avec lenteur, il l’enfonça doucement dans le cul de la femme avec un long râle de plaisir « Ahhhh ». Puis brutalement, il poussa son zob au fond du cul avec un « han » violent, déterminé. Le zob s’enfonça complètement, jusqu’aux couilles. Et la femme hurla presque de cette brusque saillie. Et elle fut obligée de mettre sa main à la bouche pour étouffer son cri à cause des enfants.

Et la danse du sexe commença par des vas et viens puissants du zob dans les entrailles de la femme. Le noir donnait des coups de reins violents et à cadence accélérée de plus en plus. Leurs gémissements et halètements rauques, bruyants ne tiennent plus compte de la présence des enfants dans la chambre à coté.

Le noir se soulevait parfois en partie en reculant son zob puis d’un coup violent il l’enfonçait au fond du cul en poussant son « han » de désir qui n’est plus maitrisé. Et la femme le suivait dans ses gémissements haletés et ses « Ahhhh » de gorge et prolongés. On dirait que ses gémissements et plaintes suivaient le rythme des coups de zob du noir dans la Terma.

Ils niquaient en cadence et en phase et ils étaient seuls dans l’univers. Oubliés les enfants, oublié le mari, oublié tout, seuls comptaient ce gros zob et cette Terma qui brulaient ensemble de plaisir et de jouissances.

Le noir reculait un peu, chaque fois, son zob, pour plus de sa moitié, et soudain il l’enfonçait brutalement à fond jusqu’aux couilles avec encore un han très peu étouffé. Et la femme hurlait brusquement en phase, tout en maintenant sa main dans sa bouche pour étouffer son cri.

Et le noir , infatigable, continuait sa série acharnée de vas et viens de son zob dans la Terma de la femme. Il se rappelait qu’il avait été frustré l’après midi de cette Terma par l’Ogre et maintenant, avec rage, il se vengeait.
Les coups puissants du zob de l’homme secouaient le corps de la femme et font trembler le sommier.

Et ainsi, par désir et par vengeance, le noir niqua le cul, la Terma de la femme pendant plus d’un quart d’heure, sans tenir compte ni du lieu ni du moment. Et durant ce long laps de temps, ses coups de zob ont réussi à donner à la femme, au moins trois orgasmes mouillés, abondants et presque continus. Mais l’homme n’a jamais faibli et ne s’est jamais arrêté. Il restait, les mains crispés sur les hanches de la femme et poussant ses hans de possession à chaque coup de rein, de son zob.

Enfin, il arriva à son top et se bloqua contre la croupe de la femme. Il tendit son corps et son zob pulsa ses quatre éjaculations puissantes de sperme visqueux et brulant, dans les entrailles de la femme qui hurla encore une fois, tout en retenant sa main dans sa bouche et en mordant ses doigts.

Puis le noir resta un instant, collé à l’opulante croupe de la femme, pour savourer entièrement sa satisfaction. Ensuite il retira lentement son long zob, monstrueux et brillant de traces blanchâtres de sperme et de cyprine féminine. C’est alors que la femme, épuisée, se laissa choir à plat ventre sur le lit, étourdie de plaisir. Elle semblait rassasiée par cette longue sodomie brutale.

Mais pas le noir. Il ne semble pas encore satisfait par la Terma qu’il adorait et convoitait tant. Alors, et avec un peu de rudesse, il retourna la femme pour la mettre sur le dos et rapidement, il lui écarta largement les cuisses.

Il était toujours à genoux au dessus d’elle. Son gros zob était aussi toujours debout, mtanane et gonflé de désir. Il négligea, provisoirement l’anus d’où suintait son sperme sur les fesses de la femme et sur les draps. Mais il frotta son gros zob sur le ventre de la femme, puis sur les lèvres de sa chatte et ensuite il l'y enfonça à fond et avec un long râle de vainqueur.
Le gros zob s’enfonça dans la chatte complètement, jusqu’aux couilles, tellement avec violence que les deux bas ventres claquèrent à ce puisant contact.

Et il recommença une autre série accélérée et violente de vas et viens de son zob, maintenant dans la chatte de la femme, tout en restant à genoux au dessus d’elle. La femme avait, encore une fois, eu un hurlement, heureusement étouffé, quant le zob l’a pénétrée brutalement et ensuite elle continuait à gémir et à haleter de plaisirs et de jouissances en fermant les yeux.

Et le noir, sans ralentir ni s’arrêter, baisa la femme de son désir, pendant encore au moins un autre quart d’heure et lui donna encore au moins deux orgasmes hurlés et abondants sans même freiner ses mouvements d’aller retour dans la chatte. Et, miracle de ce genre d’homme, il arriva à obtenir encore du plaisir. Et, bloquant son bas ventre contre celui de la femme, il éjacula au moins par trois fois, son sperme prolifique.

Il resta un moment arqué sur le corps de la femme, puis lentement il sortit son zob et s’allongea à coté. Et encore miracle, son zob restait, en bonne partie, encore debout, assez mtanane et gonflé. La femme, couché sur le dos, resta un moment, étourdie de ce deuxième rush contre sa chatte après celui aussi violent de son cul.
Ensuite elle ouvrit les yeux et voyant le gros zob, aussi engageant à son coté, admira encore une fois, la force de ce noir vigoureux, insatiable de plaisirs sexuels.

Alors, poussée par son instinct sexuel toujours insatisfait, elle se redressa un peu sur les coudes et allongea les bras et la tête pour saisir le zob et le mette dans sa bouche. Elle commença par le lécher entièrement, le sucer partout, le nettoyer totalement et même aspirer ce qui restait de sperme, tout en le branlant doucement.

Tout ce traitement a eu pour résultat que le zob s’était regonflé, mtanane dur et pointant vertical, demandant encore à baiser ou à sodomiser.

Et le noir avait encore du jus et envie du corps de cette femme insatiable. Alors, il l’installa bien sur le dos et souleva ses jambes et cuisses jusqu’à ses épaules à lui. Et ainsi, il réussit à mettre ses deux mains sous les hanches de la femme pour lui soulever la croupe et le bassin.

Il voulait la sodomiser encore une fois, lui niquer le cul par-dessous la chatte comme il l’aurait fait pour niquer la Terma d’un gay. Il ne faisait qu’obéir à ses fantasmes pour s’assouvir de la Terma.

Et ainsi, ayant le cul de la femme soulevé, haut et face à son zob, il se frotta d’abord sur l’anus qui s’est vidé pratiquement du sperme. Alors il enfonça profondément son gros zob dans le cul de la femme et jusqu’aux couilles.

Puis, par des vas et viens puissants de ses reins et de ses mains sous les hanches de la femme, il donna à son zob, un nouveau plaisir, en se mouvant totalement dans les entrailles de la Terma de la femme.

Il la secouait sur son zob et le couple criait des plaisirs obtenus par cette méthode. Et le noir jouait du zob dans la Terma à sa convenance,. Il se rappela la partie de l’Ogre quant ce dernier niquait la femme et il voulait faire mieux que lui, il s’estimait plus puissant et son gros zob plus performant. Et ainsi, il niqua le cul pour lequel il était revenu spécialement cette nuit et sans la présence et les contraintes de son maître l’Ogre.

Il soutenait de ses puissantes mains le corps de la femme qui avait mit ses bras autour du cou de l’homme et ses jambes et cuisses autour de ses reins. Elle poussait de ses pieds le dos du noir pour enfoncer encore son zob dans son cul car elle jouissait de façon spéciale dans cette position et criait son plaisir qu'elle essayait d'étouffer.

Elle embrassait le cou du noir et sa poitrine pendant que lui la possédait entièrement par cette position de corps à corps. Et cela dura encore presque une bonne dizaine de minutes.

Et quant le plaisir du noir arriva et que ses couilles infatigables l’avertirent, il éjecta son jus, par trois puissantes fois et chacune avec un grand coup de reins contre la Terma dont les fesses claquaient de jouissances.

Et même la femme, maintenue ainsi en l’air, reçut les projections de sperme dans son fond avec un plaisir inédit, spécial qui décupla ses jouissances et la fit hurler malgré sa prudence. Ensuite, doucement, avec prudence, le noir posa la femme sur le lit.
Mais, étourdie de plaisir, sa croupe s’écroula sur le lit.

Ensuite, après un moment pour gouter ses jouissances de cul et de chatte, le femme se leva, mit sa robe de nuit, et ouvrit sa porte pour aller jeter un coup d’œil vers la chambre des enfants. Heureusement, tout était normal, ils n’avaient rien entendu et dormaient à fond.

Alors elle retourna dans sa chambre et demanda au noir, satisfait de ses trois baises, de s’habiller et de sortir par où il était entré, donc par la fenêtre. Ce qu’il fit rapidement. Et elle referma les volets externes et la fenêtre. Il était environ trois heures du matin, mais elle était satisfaite de sa Terma et de sa chatte.

Alors, elle alla se laver et même se doucher en faisant un minimum de bruit, à cause des enfants endormis. Puis elle enleva les draps pollués avec le sperme et la cyprine et les changea rapidement. Puis, elle retourna se recoucher. Elle était assez fatiguée mais très satisfaite et heureuse et heureusement elle trouva rapidement le sommeil.

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