La femme va continuer à s'amuser assise sur le zob de l'Ogre jusqu'avant l'arrivée des enfants à 12h. Et après leur départ à l'école après 13h, la femme et son amant l'Ogre vont reprendre à baiser sur le lit conjugal une partie de l'après midi. Ensuite elle lui demanda de la dépuceler du cul.
Proposée le 4/12/2024 par DALIDA
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Thème: extra-conjugal
Personnages: FH
Lieu: A la maison, intime
Type: Fantasme
Et pour bien positionner le gros zob dans ses entrailles, la femme assise sur le bas ventre de l'homme se pencha encore un peu sur sa poitrine. Et elle commença à osciller du bassin et à danser sur le zob de l'Ogre avec sa croupe.
Sa chatte dansait avec le zob en elle et se fouillait avec ce dur mais doux pieu de chair, tous les coins et recoins de ses entrailles. Et elle plongea complètement dans le paradis de la jouissance et du plaisir sexuel. C’était si agréable et si affolant qu’elle hurlait de plaisir et accentuait sa danse.
Puis elle se soulevait faisant bouger le zob en elle, et puis elle s’abaissait brusquement, enfonçant brutalement le zob dans sa chatte et cela la faisait encore plus hurler de jouissances. Elle avait compris et recommençait ce jeu du zob dans sa chatte par les mouvements de sa croupe et son bassin.
Elle se baissait parfois sur l’homme et l’embrassait. Et lui aussi, il avait les seins de la femme à portée de ses larges mains gourmandes et il ne s’en privait pas. Et c’est ainsi qu’ils continuèrent ce merveilleux jeu du plaisir commun, ensemble et durant de longs moments.
Et ainsi la femme réussi à jouir plusieurs fois et obtenir plusieurs orgasmes hurlants et abondamment mouillés de cette manière. L’homme amplifiait parfois leur plaisir en soulevant parfois et de temps en temps son bassin pour mieux se coller ou donner des coups de reins et de zob à la femme.
Et longtemps après, quant le plaisir de ses couilles a atteint son top, l’Ogre prit les choses en mains. Il redressa son bassin, prit la femme par ses hanches et envoya une série de coups de reins et de zob dans sa chatte et les éjaculation, encore une fois, arrivèrent en puissance.
Et il pulsa en force, au moins quatre jets même dans cette position d’allongé, et dans la chatte de la femme étourdie de plaisir et qui était couchée sur sa poitrine et qui hurlait de jouissances. Enfin, quant il s’arrêta, le couple sombra presque dans le coma. Rien ne bougeait plus.
Presque cinq minutes plus tard, l’homme se réveilla et secoua la femme. Elle se redressa et se sépara du corps de l‘homme et s’allongea à son coté. Il se tourna vers elle, lui donna quelques baisers à la bouche et au cou et lui chuchota si elle était contente et heureuse et elle lui rendit plus fort ses baisers. Elle était entièrement satisfaite. Elle ne regrettait absolument pas d’avoir trompé son mari vu la comparaison sexuelle avec l’Ogre.
Elle jeta un coup d’œil au réveil. Il était 11h15 alors elle se leva en vitesse et secoua son amant. Puis elle courut à la salle de bain, juste après le couloir, en face de la chambre. Elle ouvrit la douche et l’homme la rejoignit. Et ils se douchèrent ensemble pendant une dizaine de minutes.
Enfin ils se rincèrent et avec deux grandes serviettes autour des reins, ils retournèrent à la chambre. La femme regarda encore le réveil et il était presque 11h30 et ses enfants allaient revenir entre 11h45 et midi.
Alors elle remit de l’ordre dans et sur le lit et changea les draps souillés par le sperme du gros zob, la cyprine de la chatte et la sueur de leurs corps et elle expliqua à l’homme qu’il devait vite partir. Alors, ils s’habillèrent en vitesse, se donnèrent rendez vous vers 13h30 ou 14h et l’Ogre s’éclipsa par la courette à coté de la cuisine pour rejoindre plus loin sa camionnette.
La femme rejoignit sa cuisine pour préparer le déjeuner à ses trois enfants. Elle ajouta deux casse croutes qu’elle mit de coté, pour elle et pour son amant pour tout à l’heure. Et à 12h, les enfants arrivèrent et animèrent la maison jusqu’à 13h puis retournèrent à l’école dont ils ne reviendront que vers 17h00.
Et l'Ogre, comme prévu, revint à la maison, en cachette, à 13h15, juste après que les enfants partirent à l’école. Il était pressé de baiser encore la femme, à poils tous les deux, sur le lit de son mari et ensuite de la dépuceler du cul.
Elle lui expliqua qu’il pourra rester jusqu’17h donc ils avaient plus de trois heures pour baiser et assouvir, lui son gros zob et elle, sa chatte.
Et ils se déshabillèrent complètement pour plonger tout nus sur le lit.
L’Ogre voulait la baiser encore une fois par derrière, comme dans la cuisine, car il avait toujours aimé avoir sa belle et large croupe devant lui et à la merci de ses mains, mais cette fois ils étaient nus et sur un grand lit douillet.
Et la femme se mit à genoux sur le lit, tournant le dos à l’Ogre, le visage enfoui sur les draps. Elle aussi, aimait offrir la vue de sa croupe et de sa Terma bien tendues mais aussi, la fente de sa chatte par dessous.
L’homme avait donc le spectacle entier des arrières formidables de la femme et son zob, excité, gonfla encore plus et il pointa d’un cran vers l’avant, vers les trésors féminins. L’Ogre respirait fort de désir et haletait déjà de plaisir.
Et rapidement, il glissa son gros zob vers le bas, entre les cuisses bien ouvertes et plongea avec souplesse et rapidité dans la chatte de la femme. Puis, poussé par son désir amplifié, il donna à son zob un coup puissant de reins, et la grosse bite s’enfonça au fins fonds de la femme, jusqu’aux couilles, qui claquèrent sur la chair des cuisses de la femme.
Et par cet enfoncement brutal, ils poussèrent à l’unisson deux grands hurlements à pleines gorges. L’Ogre ressentit son corps vibrer de jouissances et la femme explosa tout de suite d’un orgasme du fond de sa chatte. C’était puissant, presque animal et ils désiraient cela tous les deux.
Puis l’Ogre démarra une série de vas et viens puissante, bruyante et haletante de son zob, dans les entrailles de la femme. Il la tenait fermement des mains par les hanches charnues et haletait de plus en plus.
Et elle gémissait bruyamment et haletait en cadence avec lui et souvent elle lançait un cri strident quant les ondes de jouissances inondaient tout son corps. Ils ne maitrisaient plus leurs jouissances continues et ne se souciaient plus si on pouvait entendre leurs cris de plaisir sexuel du dehors.
La femme hurlait son premier orgasme et déversait le jus de sa chatte à travers le zob de l’Ogre et sur leurs cuisses mais l’homme continuait sa cadence de vas et viens sans faiblesse et son zob était devenu énorme, épais et dur, presque brulant dans les entrailles de la femme.
Ils étaient en plein milieu de leur plaisir commun et leurs sexes étaient en phase, au rythme commun, l’un amplifiant l’autre, ils étaient devenus un seul sexe donnant le maximum de plaisir et de jouissances et ils hurlaient leur bonheur.
Soudain, le portable de la femme, à coté sur l’oreiller, sonna. Surpris, leur mouvement effréné de jouissances ralentit. Et l’Ogre freina ses vas et viens et la femme a été bloquée dans son plaisir.
Toujours à genoux, le gros zob plongé dans sa chatte, mais dans un mouvement ralenti, elle prit son portable. C’était son mari qui appelait de la ville, du siège de la Société et demandait des nouvelles de sa famille.
Malgré qu’elle était encore haletante et le zob de l’Ogre encore enfoncé dans sa chatte, elle réussit à garder son sang froid et répondre à son mari que tout était normal. Il lui confirma qu’il était presque sûr qu’il ne pourra pas venir le lendemain et demanda des nouvelles des enfants.
Et pendant qu’elle discutait avec son mari, l'Ogre continuait à la baiser doucement par ses vas et viens, quoique légèrement ralentis et moins bruyants. Mais ensuite, comme le mari continuait à discuter avec sa femme, l’Ogre trouva un plaisir supplémentaire de continuer à baiser la femme, presque en présence de son mari.
Alors, il recommença à forcer et à accélérer les vas et viens de son gros zob, avec ses bruits de coups de reins et ses sussions bruyantes dans la chatte de la femme. Et il était sur que le mari entendait maintenant ces bruits.
Mais le mari ne savait pas que c'était les bruits du zob de l'Ogre qui niquait la chatte de sa femme pendant qu'elle lui parlait. Mais cela l'inquiétait et il demanda à sa femme ce que c’était.
Et l’infidèle, malgré le zob qui lui forait les entrailles et lui donnait des jouissances, trouva une réponse pour apaiser son mari au téléphone.
Elle lui dit qu’elle battait les œufs dans la cuisine avec le batteur et cela faisait ces bruits bizarres et qu’il faudrait le réparer à son retour de mission. Et le malheureux cocu a cru son épouse et la saluant encore, il raccrocha.
Mais l’Ogre continuait son plaisir par ses coups accélérés et puissants de vas et viens dans la chatte sans ralentir. Et la femme, à peine le portable posé, hurla encore une fois l’affolement de ses jouissances, un moment bloquées par son mari. Et sa chatte explosa encore une fois par un autre orgasme plus jouissif que le précédent.
Et c’est alors que l’Ogre décida de changer de position de la femme sur le lit. En effet, il poussa la femme sur le coté mais son zob restait plongé à l’intérieur de la chatte. Et il s’allongea un peu mieux sur elle et commença à baiser sur le coté.
Ses reins battaient toujours la cadence et son zob se mouvait dans les entrailles de la femme qui continuait à gémir de plaisir en permanence. Et parfois elle lançait un cri hystérique quant le coup du zob touchait ses coins sensibles de l'intérieur de sa chatte et lui envoyaient une onde brusque et brutale de jouissances.
Puis les sensations d’un prochain orgasme arrivant, la femme recommençait à vibrer du corps entier. Et rapidement elle hurla sa délivrance lorsque l’orgasme atteignit son apogée. et ça continue.
Et le zob de l’Ogre réussit à lui donner au moins deux autres orgasmes dont le dernier, continu la fit presque sombrer dans l’inconscience. Et Ainsi, l’Ogre rassasia la femme et sa chatte de plaisirs sexuels pendant plus d’une heure dans cette position.
Il lui demanda si son mari la baisait comme lui et elle lui avoua que c’était différent, tout était différent, la puissance et la manière.
Elle lui dit que son zob était deux fois plus grand en épaisseur, en longueur et en puissance que celui de son mari.
Elle ajouta qu’elle était heureuse que lui la baisait plus de deux ou trois fois de suite et sans pratiquement se fatiguer, alors que son mari arrivait à une seule fois par semaine et rarement deux fois.
Elle lui dit aussi en souriant malicieusement que son gros zob restait toujours debout après la baise, gonflé, dur et mtanane et ce dernier mot la fit éclater de rire et de plaisir, et sa main courut tenir fermement le zob de l’Ogre pour confirmer ses aveux.
Enfin elle ajouta que le corps de l’Ogre la faisait vibrer d’excitation par sa puissance, ses poils partout sur ses cuisses, sur son dos, sur son nombril autour de son zob. Elle lui dit que cette virilité de mâle n’existe pas chez son mari qui avait un corps glabre, simple, presque sans poils, presque féminin.
Alors l’Ogre, excité par les paroles de la femme, et touché dans sa virilité de mâle vit son zob se gonfler et durcir encore plus entre les mains de la femme. Alors, il la poussa presque brutalement le dos sur le matelas, et il lui écarta fermement les jambes et cuisses pour avoir sa chatte à sa portée directe.
Puis il reprit son gros zob et l’enfonça en puissance dans la chatte encore ruisselante de ses orgasmes. Il l’enfonça jusqu’aux couilles et, les mains appuyés sur chaque coté du lit, le corps légèrement soulevé en maître de la situation, il démarra un longue et puissante série affolée de vas et viens de son zob dans les entrailles de la femme qui commença à gémir, à haleter et à hurler de plaisirs et de jouissances continues.
Et encore une fois, pendant de longs moments de baise, sa chatte affamée allait se réjouir des coups de zob qui allaient encore lui procura d'autres orgasmes mouillée et hurlés.
Et quant l’Ogre, dans sa saillie de puissants coups de reins saccadés , affolés et enflammés, arriva à son top, il éjacula avec abondance un véritable autre Niagara de sperme, par plus quatre fois dans les entrailles de sa proie consentante, pratiquement étourdie de jouissances continues.
Ensuite, le souffle haletant fortement, il resta collé au bas ventre de la femme, son zob enfoncé jusqu’aux couilles dans la chatte et il resta ainsi pendant plusieurs minutes. Enfin, il se redressa et s’allongea à coté d’elle.
Mais la femme, quoique la chatte rassasiée du gros zob, avait d’autres besoins ailleurs. Elle se recoucha bien sur le ventre en offrant le profil de sa large croupe charnue à l'Ogre, couché à coté d'elle. Et ça marche comme prévu par la femme.
L'homme, aguiché par la belle croupe commença machinalement à caresser les fesses et son doigts alla aussi, discrètement, chercher le trou de l’anus, pour essayer de s’y enfoncer mais ça résistait fort.
Alors la femme lui chuchota qu’il lui avait promis auparavant, de lui ouvrir le cul, la dépuceler, et ensuite, de la faire jouir aussi par là. Il regarda l’heure et avait encore au moins deux heures, que c’était possible de la dépuceler.
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