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« l’Ogre sexuel » avec les femmes de ses collegues (2)

Ayant réussi à éloigner le mari et faisant gouter à sa femme son zob par une baise rapide mais profonde jusqu'aux couilles, "l'Ogre" profita du destin qui lui donna tout l'après midi libre pour profiter à fond de la femme excitée.

Proposée le 4/12/2024 par DALIDA

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Thème: extra-conjugal
Personnages: FH
Lieu: A la maison, intime
Type: Fantasme


Il prit en main son zob et le positionna à l’entrée de la chatte qui mouillait déjà fort son désir. Il poussa doucement la tête qui glissa un peu à l’intérieur de la chatte grâce à la mouille qui lubrifiait les lèvres et l’entrée de la chatte.

Puis il ressortit son zob et le lubrifia encore avec les lèvres de la chatte. Ensuite il le repositionna et poussa légèrement et la tête du zob arriva à pénétrer doucement et entièrement dans la chatte. La femme gémit un peu mais ne hurla pas.

Et Il poussa encore doucement son zob qui glissa de plus en plus et pénétra entièrement dans la chatte jusqu’aux couilles. La femme gémissait et haletait en même temps. L’Ogre lui dit que son gros zob était déjà en place et qu’il allait la niquer rapidement.

Alors il fit deux ou trois vas et viens avec son zob à l’intérieur de la chatte et constata que la femme haletait de désir et non de douleur et il savait qu’il avait gagné partie. Il fallait faire vite avant le retour du mari.

Alors il accéléra quelques vas et viens pour habituer la chatte au volume de son gros zob qui devait faire au moins le double du zob du mari.

La femme gémissait et riait de plaisir. Ensuite il la baisa rapidement, par de puissants vas et viens accélérés pendant cinq minutes. Ces coups allaient élargir et habituer sa chatte tout en lui donnant déjà du plaisir et des jouissances.

Et déjà elle hurlait de plaisir et de jouissances et l’arrivée urgente et affolée de son premier orgasme. Mais lui continuait sa cadence et deux minutes plus tard il arriva à lui procurer un second orgasme encore plus mouillé et de jouissances et qui la faisait hurler plus fort.

Et deux minutes plus tard, il se bloqua enfin car ses couilles allaient exploser leur jus et il éjacula en puissance en déversant quatre énormes bordées de sperme chauds, presque brulant dans la chatte de la femme qui perdit pratiquement connaissance.

Ayant obtenu l’initiation primaire de son gros zob qu’il voulait donner à la femme et à sa chatte, il se retira alors que son sperme suintait encore de son zob.

Puis tenant son zob à la main et soutenant la femme il la fit se retourner vers lui, lui fit descendre la robe pour couvrir sa croupe et sa chatte et ses cuisses, il lui donna quelque tapes gentilles sur les joues pour lui faire reprendre ses esprits et son souffle.

Elle ouvrit les yeux et s’appuyant sur l’évier, elle le regarda encore ébahi de ce qui lui est arrivé. Alors, toujours tenant son gros zob à la main, et le secouant de façon érotique devant les yeux éblouis de la femme il le lui présenta, brillant de sperme et de cyprine et il la força à baisser la tête et lui demanda de lui lécher et de sucer immédiatement son zob pour gouter sa force et son jus.

Et il poussa son zob dans la bouche de la femme. Il entra difficilement et elle faillit s’étrangler mais elle réussit à avaler au moins une moitié de la bite. Et elle le suça puis le lécha en le tenant de ses deux mains et avala les restes de sperme qui suintait encore de la tête du zob mâle. Elle le faisait avec insistance car déjà elle y trouvait du plaisir et du désir.

Ensuite, c’est lui qui récupéra son zob et le lava à l’eau du lavabo de l’évier. Ensuite, rapidement, il remit son short, pantalon, tricot et veste et retourna dans la cour en fermant la porte de la cuisine derrière lui.

La femme ayant reprit en partie ses esprits était étonnée de ce qui est arrivé. Comment avait elle accepté si rapidement et sans dire un mot ce que l’homme lui avait fait. Son corps et ses sens étaient certainement consentants et savaient mieux que sa raison qu’elle avait enlevé son slip auparavant, qu’elle s’était dénudée pour cela et pour offrir sa chatte à l’homme, et « l’Ogre » le savait.

Et justement, à la fin, elle trouvait cela agréable et ne regrettait rien, au contraire. Elle avait envie terriblement envie de ce gros zob et de la manière dont l’Ogre l’avait baisée. Elle en redemandait mais plus longtemps et dans son lit conjugal si possible. Mais elle savait que
«l’ogre» était pressé et il lui avait promis un futur de plaisir et de jouissances avec son gros zob.

Elle savait qu’elle venait seulement de gouter rapidement les plaisirs de la puissance du gros zob du « Ghoul ». Elle venait de comprendre déjà la réputation qu’il avait parmi les femmes et savait qu’elle ne l’oubliera jamais et qu’elle allait en redemander bientôt et implorer qu’il la baise encore et encore.

C’est à elle de trouver le moyen et la manière de faire pour faire arriver ce zob à elle tout en le cachant à son mari. Elle savait que son mari allait revenir dans quelques minutes, alors elle courut aux toilettes et se vida la chatte du sperme de « l’ogre » et se lava la croupe, les fesses et les cuisses puis alla chercher un autre slip dans sa chambre pour le mettre. C’est alors qu’elle entendit la voiture de son mari arriver.

Elle se dit que cet « ogre » était vraiment spécial. En quelque minutes il l’avait comprise, avait éloigné son mari, puis il lui avait sauté dessus et la baisé rapidement en lui donnant deux orgasmes et en éjaculant dans sa chatte et enfin, en lui faisant gouter et sucer son gros zob.

Et maintenant elle avait encore faim de lui et réfléchissait déjà comment le retrouver. Sa chatte recommençait à la chatouiller sous son slip. Elle pensait que c’était de la magie, de la sorcellerie et elle était maintenant sous le charme et le besoin et la totale dépendance du zob de l’« ogre » sorcier.

Le mari remit les pièces à l’agent qui reprit sa position sur l’échelle comme si de rien n’était. Et le mari alla retrouver sa femme mais elle n’était pas dans la cuisine car elle revenait des toilettes et elle lui dit que tout allait bien.

Alors le mari reprit aussi sa position dans la cour et ses coups de portable à ses services. Et vers environ midi, ils s’arrêtèrent car l’agent devait aller déjeuner à la cantine de l’entreprise, et il reviendra vers 13 ou 14h pour continuer son travail.

Par contre le mari et sa femme allaient déjeuner dans leur cuisine avec leurs enfants qui venaient d’arriver de l’école. Et ensuite après le goûter, ils sont repartis à l’école et le mari, lui aussi, a du partir à son service. La femme, restée seule, commença à laver sa vaisselle à la cuisine. Et vers 14h, l’ouvrier « l’ogre » revint dans la petite cour mais pas le mari.

Sa femme, occupée à la cuisine lui téléphona et il lui expliqua qu’une réunion le retenait jusqu’à 16h ou 17h et il appela « l’ogre » pour lui expliquer et l’ouvrier rassura le mari qu’il essayera de finir le travail avant 16h. Et c'est ainsi que le destin fut avec « l’Ogre », avec son zob et avec les plaisirs de la femme de l’Ingénieur.

Ayant obtenu ainsi la liberté du mari, « l’Ogre » réagit. Il ouvrit la porte de la cuisine pour découvrir la femme informée et aussi heureuse de la situation. Le destin lui offrit plusieurs heures de liberté pour jouir de ce gros zob. Elle enlevait déjà son slip et le jeta sur la table de cuisine.

Alors, « l’Ogre » entra et enlaça la femme et se plaqua à elle en mettant ses larges mains sur ses seins à travers ses vêtements et commença à les palper et à les masser rudement avec plaisir et cela la fit hurler de jouissances.

Puis il sortit encore une fois son gros zob et jeta son short sur la table à coté du slip féminin. Il poussa la femme à se tourner encore une fois et à s’appuyer sur l’évier et se courber. Tous les deux avaient une envie urgence de leurs corps et étaient pressés de baiser ici même dans la cuisine comme tout à l’heure.

Et avec son gros et lourd zob libre, il donna quelques caresses et même quelques coups de patte sur les fesses et les cuisses de la femme, l’excitant encore plus. Puis il lui écarta largement les cuisses et posa son zob sur la chatte aux lèvres rouges et qui palpitaient de désir.

La femme poussa un cri strident et une longue plainte, presque un hurlement. Alors son gros zob écarta doucement et lentement les lèvres de la chatte et s’enfonça presque au ralenti dans la chatte de la femme qui s’ouvrait sans retenue.

Il savait que son zob était gros au moins deux fois plus épais, plus large et plus long que celui du mari mais il savait que la chatte excitée et qui l’avait goutée tout à l’heure dans la douleur, mouillait maintenant pour lui et allait s’écarter et s’ouvrir pour l’accepter facilement.

Il faut lui donner juste un peu de temps et quelques frottements, des vas et viens jouissifs qui commencèrent à faire gémir la femme de plaisir et de jouissances. Avaler ce gros zob était aussi un enchantement pour la chatte et il le savait.

Alors il enfonça son zob de plus en plus profondément dans les entrailles de la chatte qui commençait à jouir et à lâcher sa cyprine en abondance. Quelques instants suffirent au zob pour toucher le fond et tous les coins et recoins de la chatte.

Il s’était enfoncé totalement et complètement, jusqu’aux couilles dans la femme, nouvelle proie qui hurlait de plaisir et de jouissances en continu. Ce fut la première fois que sa chatte recevait un zob de ce gabarit et elle hurlait de bonheur.

Puis l’homme commença doucement, presque au ralenti, ses vas et viens, sans coups de reins violents. Cela pour affoler la chatte bien remplie de zob. Ensuite, dès qu’il constata que les gémissements de la femme devinrent de longue plaintes de jouissances, alors il lança ses coups de reins puissants et accéléra.

Et ses vas et viens firent amplifier les gémissements, les cris et les hurlements même de jouissances de la femme. Elle n’avait cure qu’on l’entende.

Et agrippant les hanches de sa proie, « l’Ogre » se lança dans une longue et puissante série accélérée de vas et viens de son zob au fond de la chatte brulante de désir. La femme hurlait sans se retenir et l’homme commençait lui aussi à haleter bruyamment de plaisir et la cuisine se remplit de leurs gémissements.

On entendait aussi les bruits, de sortes de sussions érotiques, que faisait le gros zob en se mouvant par ses vas et viens dans la chatte mouillée et cela amplifiait leurs désirs et plaisirs. Maintenant, tous les deux ne maitrisaient plus leurs halètements affolées et leurs cris de jouissances, sans tenir compte que l’on pouvait les entendre de l’extérieur de la maison.

Et ainsi pensant dix minutes au moins, «l’Ogre » baisa puissamment, profondément jusqu’aux couilles, la belle femme de l’ingénieur imprudent absent et offrit à sa chatte, généreusement et totalement jusqu’aux couilles, le cadeau de son gros zob bien réputé.

Et pendant ces moments d’enchantements elle a eu au moins deux orgasmes bruyants et abondamment mouillé. Et quant les couilles de
«l’Ogre» arrivèrent à leur top, il sortit son zob pour le branler un peu un moment.

La femme, privée de ce monstre qui lui donnait tant de plaisir, se retourna et le vit branler son gros zob. Elle a déjà eu, tout à l'heure à lécher et à sucer le gros zob et même à aspirer et avaler un peu de son sperme. Et elle y avait trouvé du plaisir.

Alors, elle prit le gros zob à deux mains et l'introduit dans sa bouche et commença à le lécher et sucer avec plaisir. L'homme était debout, arqué, le zob debout, mtanane en avant vers elle et savourait déjà sa victoire.

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