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- « l’Ogre sexuel » avec les femmes de ses collegues (1)

Homme de grande carrure nommé"l'Ogre" et simple agent sécurité et entretien il a une réputation méritée de dragueur et baiseur de veuves et femmes mariées (maris absents). Et la femme excitée d'un collègue Ingénieur absent et chez qui il faisait quelques travaux va tomber dans ses filets.

Proposée le 12/11/2024 par DALIDA

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Thème: extra-conjugal
Personnages: FH
Lieu: A la maison, intime
Type: Fantasme


Parmi mes anciens collègues au travail dans mon ancienne Société, j’avais un ami d’âge moyen qui était de très grande taille et très poilu de corps et que nommions le « Ghoul » ou « l’Ogre ». En réalité il était un simple agent de sécurité et d'entretien. Et souvent, quant certains travaux d’entretien avaient besoin de sécurité et aussi de sa grande force, on lui faisait appel.

En effet, il était colosse et très brun, et parfois certain le surnommaient le « soudanais » ou « l’africain » mais lui s’en moquait sans s’offenser. Il était serviable et gentil. Mais il avait une autre réputation plus intime et discrète.

Il plaisait beaucoup aux femmes, mais il préférait surtout les veuves et les femmes mariées, délaissées ou mal surveillées par leurs maris. Et il a réussit à avoir une grande réputation dans la région et parmi le personnel de notre Société. Et il y avait de quoi car il avait un gros sexe brun, une grosse bite longue et épaisse et, parait-il, était champion pour s’en servir.

Plusieurs collègues, dans les douches ou les bains maures communs avaient remarqués son gros sexe et ainsi sa réputation s’est amplifiée dans les milieux de notre Société. D’ailleurs, il parait que son zob ne ratait rien, ni les chattes ni les culs féminins ou masculins.

Et on disait qu’il avait d’ailleurs cocufié un grand nombre de nos collègues de travail, surtout qui s’absentaient souvent de chez eux pour cause d’un travail local trop long ou par leur absence hors site et hors région et donc loin de leur famille et surtout de leur femme. Et c’est arrivé à un ami Ingénieur.

Ce collègue était ingénieur et cadre chef de service et avait un logement de fonction avec sa famille dans la cité que la Société mettait à la disposition de ses cadres sur site. Il était marié à une très belle femme, âgée d’environ quarante ans et bien charpentée.

En effet, elle avait un corps blanc, bien rempli par devant grâce à ses grands seins gonflés et par derrière grâce à sa large croupe bien charnue et aux fesses bien remplies et tentantes. C'est exactement ce que "l'Ogre" préférait.

Ses trois enfants étaient à l’école la journée et ne revenaient qu’entre midi et 13h pour déjeuner ou le soir après 17h30 à la fin de leurs cours. Son mari, mon ami l’ingénieur, normalement allait au travail en journée continue, de 8h à 19h et parfois on le retenait encore un peu au travail à cause de ses responsabilités.

Ce jour la, il y avait quelques travaux de maçonnerie et d’électricité à faire dans sa villa, dans la petite cour située juste à coté de la cuisine et on avait fait appel à « l’Ogre » parce qu’il savait les faire et aussi à cause des problèmes possibles de sécurité.

Et il a commencé à travailler sous la surveillance du maitre du logement, notre ami l’ingénieur dont la femme était juste à coté, dans la cuisine. La porte qui séparait la cour et la cuisine était fermée et la femme de notre collègue était cachée à l’intérieur, comme de tradition.

Le mari avait pris la matinée comme congé pour suivre les travaux dans sa cour. Mais, suite à ses responsabilités dans la Société, on l’appelait souvent par portable et il parlait longuement avec ses agents ou ses collègues. L’agent de sécurité « l’Ogre » avait une tenue spécifique de travail et se tenait sur une échelle contre le mur de la courette.

Tout était correct et chacun s’occupait bien de ses affaires sans déranger l’autre. La femme de l’ingénieur avait déjà, comme prévu de tradition, préparé du café pour les hommes dans la cuisine et attendait que son mari vienne le prendre. La cuisine donnait directement sur la courette par une porte fermée de l’intérieur.

Elle entendait son mari qui parlait souvent et longuement avec son portable à ses services, et parfois disait quelques mots à l’agent sécurité. Mais, poussée par la curiosité féminine, elle voulait voir, en cachette, cet agent sécurité qu’on appelait « l’Ogre » et qui avait, dit-on, une certaine réputation sexuelle.

Elle alla donc de l’autre coté à l’intérieur de la maison, du coté de la salle de bain et toilettes qui, elle aussi, donnait sur la courette par une porte fermée et avait une petite fenêtre grillagée et ayant un rideau.

Elle écarta très légèrement le rideau de la fenêtre et observa dans la courette, son mari et surtout cet agent qui travaillait debout sur une échelle.

Elle constata qu’il était effectivement fameux, d’abord par sa grande taille d’« Ogre », ensuite par son tein sombre d’africain « soudanais » et surtout par sa réputation de grand séducteur et de baiseur de femmes mariée ou veuves.

Il avait, d’après ce qu’on lui avait dit, une grosse bite, un énorme zob dans le pantalon et qu’il savait s’en servir avec les femmes, parait-il. Il était dans sa cour et elle désirait le voir mais attention il y avait aussi son mari présent, elle resta bien cachée.

Mais cette pensée, l’évocation e son gros zob, lui secoua immédiatement les tripes et le bas ventre. Déjà, elle mit sa main entre ses cuisses car elle commençait à ressentir des chatouillements délicieux dans sa chatte et elle pensait déjà au zob de cet homme et son imagination galopait.

Elle resta un long moment à observer « l’Ogre », et à se caresser le sexe, regardant sa tenue et surtout son pantalon, espérant apercevoir le forme de son zob mais c’était impossible à cause de la large tenue de travail.

Après un long moment, elle se sentait mal à l’aise et alla aux toilettes comme pour faire ses besoins. Elle constata tout de suite que son slip était très mouillé et elle l’enleva. Elle se confirma que sa chatte avait été bien excitée et avait largement mouiller.

Elle se nettoya donc un peu et ouvrit ensuite la chasse d’eau. Puis elle resta sans slip qu’elle jeta dans le panier à linges pour le laver plus tard et retourna à la cuisine, mais la chatte nue et mouillée de désir.

Justement son mari toqua la porte cuisine pour demanda le café. Elle ouvrit la porte en la poussant légèrement sur le coté pour rester cachée à « l’Ogre ». Puis elle donna à son mari le plateau avec la cafetière et les verres.

Et elle se mit derrière la porte pour ne pas âtre vue par « l’Ogre » qui, d’ailleurs, était sur l’échelle et occupé à son travail de maçonnerie.
Elle était encore excité surtout que maintenant elle se sentait nue à cause de son manque de slip. Son mari prit le plateau et elle repoussa la porte de la cuisine mais sans la fermer totalement.

Dix minutes plus tard, elle entendit « l’Ogre » dire à son mari qu’il avait besoin de certaines pièces qui se trouvent dans le magasin de sécurité. Alors son mari prit son portable pour appeler le service concerné et suite à leur accord, il leur confirma qu’il allait venir les chercher.

Et il sortit de la maison, laissant « l’Ogre » dans la cour mais seul avec la femme cachée dans la cuisine juste à coté. Et ce fut son erreur avec un champion tel que "l'Ogre".

Deux minutes plus tard, la femme entendit la voiture de son mari qui démarrait, il était donc allé pour chercher les pièces, la laissant seule dans la maison, mais avec « l’Ogre » et son zob qu’elle fantasmait, dans la cour, juste à coté d’elle.

Et « l’Ogre » passa à l’action, il avait presque une demi heure avant le retour du mari. En effet, et comme à ses habitudes, et dès qu’il avait pénétré dans cette maison où il savait qu’il y avait une belle jeune femme, une nouvelle proie pour lui car il était persuadé qu’aucune femme ne pouvait résister à sa vue et à son gros zob.

Et en effet, tout à l'heure, dès que la femme, très discrètement, avait très légèrement ouvert le rideau de la fenêtre des toilettes pour le voir, l’œil de « l’Ogre » toujours vigilent avait repéré cela. Il avait comprit que la femme s’intéressait à lui, et l’observait discrètement, vu sa réputation de baiseur.

Il a remarqué qu’elle l’avait observé plusieurs instants discrètement. Ensuite il a entendu la chasse d’eau qu’elle avait manipulé et avait compris qu’elle nettoyait sa chatte qui avait été excitée et qu'elle avait mouillée beaucoup son slip qu’elle devait avoir enlevée. Il avait l’habitude. Déjà son zob commençait à bander, à se gonfler de désir.

Ensuite quant le mari avait demandé le café, il avait remarqué que la porte de la cuisine n’avait pas été refermé totalement, donc elle continuait à l’observer. Il descendit de l’échelle pour boire son café mais il ressentait presque physiquement la présence de la femme sans la voir mais qui restait derrière la porte de la cuisine.

Il savait qu’elle était sans slip et donc déjà excitée. Il savait qu’elle avait la main sur sa chatte et, d’expérience, il entendait presque la respiration forcée et haletée par le désir de la femme.

Alors, il alla soi disant, continuer son travail sur l’échelle. Puis, il s’inventa le besoin de certaines pièces pour éloigner le mari et sa tentative réussit. Le mari préoccupé par ses coups de portable et par cet incident de pièces à récupérer ne pensait pas loin et tomba dans le piège.

Et « l’Ogre » attendit un moment avant de continuer son plan et agir. Et dès qu’il entendit démarrer la voiture du mari, il savait qu’il avait un peu plus d’un quart d’heure pour séduire cette femme avant le retour de son mari. Il fallait faire vite, alors il descendit de l’échelle. Puis il enleva sa veste de travail pour découvrir sa large poitrine velue que le faible tricot de peau n’arrivait pas à couvrir.

Et volontairement, presque de force, il poussa la porte de la cuisine qui n’était pas entièrement fermée. La femme qui se tenait juste derrière et avait entendu son mari partir, essaya de s’enfouir vers son évier mais elle a été coincée par l’homme qui avait fermé la porte de cuisine et occupait tout l’espace devant elle vers la table cuisine.

Alors elle s’arrêta et ne pouvait que se couvrir le visage de ses mains. Et "l’Ogre » était déjà maitre de la cuisine et la regardait avec le sourire du chasseur habitué de voir et de bien analyser ses proies.

Il observa le corps charnu de la femme serré dans sa robe d’intérieur et déjà son zob bondit d’un cran car elle lui plaisait. Alors il enleva aussi son petit tricot de peau pour offrir à la femme son torse puissant, sombre et velu. Il savait que cela allait exciter encore plus la femme et il le voyait dans son regard hypnotisé par le corps de l’homme.

Elle était coincée devant l’évier et devant l’homme. Puis il enleva rapidement son pantalon et resta en simple short court et serré contre son gros zob qui était bandé et gonflé depuis un bon moment. Un vrai Ogre et tellement excitant, affolant de sexualité, de virilité mâle possessive.

La forme du gros zob pointait et profilait totalement le devant du short et on voyait qu’il était très gros, même énorme, très long et épais. La femme distinguait nettement sa forme dans le boxer.

Et le gros zob était tellement long et tendu et se gonflait de plus en plus, qu’une bonne partie de sa tête commençait à dépasser du short et sortait par sa partie supérieure. Le short n’arrivait plus à contenir totalement le zob gonflé et la femme le voyait et était paralysée de désir.

Elle avait envie certes de crier mais ce qu’elle voyait empêchait sa raison de le faire. Et quant le gros zob glissa et apparut de plus en plus hors du short, elle resta les yeux fixés sur lui et sa respiration lui manqua et elle haletait déjà fortement de désir.

Alors l’homme enleva son short et son gros zob bondit, mtanane, presque à la verticale. Il était merveilleux dans sa forme et ses couleurs et hypnotisait la femme noyée dans le désir sexuel.

Il avança vers elle et doucement il l’enlaça en plaquant son corps contre celui de la femme. Elle ressentait son torse velu contre sa poitrine et ses seins et plus bas, son puissant zob contre son ventre et son bas ventre et le long de ses cuisses. Il était brulant, affolant et elle hurla son désir sans se maitriser.

L’homme enveloppa de ses grosses et fortes mains la large croupe de la femme et constata qu’elle ne portait pas de slip. Cela le fit rigoler car il avait déjà deviné cela depuis tout à l’heure.

Il enveloppa, caressa et massa largement les fesses de la femme et ses doigts allèrent explorer vers l’anus de son cul et en dessous vers la fente merveilleuse de sa chatte. La femme haletait de plus en pus fort et il la retourna vers l’évier. Puis il la poussa à se pencher au maximum et à écarter ses cuisses largement. Il fallait faire vite.

Puis il lui remonta sa robe sur le dos pour découvrir sa large et blanche croupe nue et ses délicieuses cuisses charnues qui n’abritaient plus leurs trésors. Il lui chuchota encore qu’il savait qu’elle attendait son zob car elle avait enlevé son slip tout à l’heure. Il ajouta que son zob allait l’envoyer au paradis des jouissances sexuelles.

Il lui dit de ne pas avoir peur, que son zob allait lui faire un peu mal en ouvrant sa chatte car il était bien plus gros et plus puissant que le petit zob de son mari. Il faut qu’elle soit patiente et vite son zob l’amènera au septième ciel des plaisirs et des jouissances.

Il donna quelques légers coups avec son zob sur les fesses et la croupe de la femme et le frotta un peu dans le sillon du cul et vers la chatte.
Il lui dit qu’ils avaient très peu de temps pour lui faire gouter son zob. Ensuite elle ne l'oubliera plus jamais et en aura toujours envie.

Sa chatte va ressentir le désir de son volume, de sa douceur, de son gout et de sa saveur et peur être son sperme. Mais il n’avait qu’un quart d’heure pour lui faire gouter et ressentir cela.

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Commentaires de l'histoire :

Lili Ruos
j'aime et ça m'exite
Posté le 21/11/2024

Roro
Ben dit donc????????
Posté le 15/11/2024


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