Histoire Erotique

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Du plaisir avec les ouvriers à poil sous ma gandourah (2):

Puis le second voisin invité me nika aussi sans attirer l’attention dans la "guitoune". Ensuite, en retournant vers chez moi, j’ai été suivi par un troisième ouvrier qui en voulait aussi à ma Terma et il me nika en route.

Proposée le 6/03/2025 par DALIDA

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Thème: Homme dominé
Personnages: FH
Lieu: Inclassable
Type: Fantasme


Donc, le gars me nikait la Terma, son gros zob dans mon cul, assis et collé derrière mon dos, presque en public, sous cette tente, au milieu d’ouvriers qui ne soupçonnaient rien de ce que nous faisions, et c’était cela qui était passionnant et délicieusement jouissif..

L’autre ouvrier qui s’était écarté un peu sur le coté du lit savait parfaitement ce qu'on faisait. Il y participait car son zob était maintenant mtanane sous sa gandourah et il continuait à se branler doucement. Il me regardait, complice et il devait lui aussi désirer me niquer s’il pouvait et je vais lui donner l’occasion , après avoir assouvi le zob de son copain. Ma Terma affamée était capable d’assouvir plusieurs zobs à la fois.

L’autre ouvrier, derrière moi, son zob déjà profondément enfoncé dans mon cul préparait ses vas et viens dans ma Terma. Il s’était donc un peu redressé, suffisamment pour que son zob puisse bouger à son aise sous nos deux gandourah. Il avait suffisamment soulevé la mienne pour se coller à mon cul et avait recouvert l’ensemble de son action avec sa propre gandourah.

Et il a commencé à bouger, à agir, en faisant des vas et viens discrets et son zob se mouvait dans mon cul avec facilité et d’agréables sensations de plaisir et de jouissances. Nos souffles haletaient en cadence de ses mouvements de zob. Moi aussi, j’essayais de soulever un peu plus ma croupe en me penchant, pour profiter des mouvements de son zob dans mes entrailles. Il avait discrètement glissé ses mains derrière moi et, sous nos gandourah, il m’avait accroché les hanches pour mieux faciliter les vas et viens de ses reins, pour mieux me niquer.

Et ma chaude Terma affamée et son gros zob mtanane nous ont donné d’agréables sensations de plaisir et de jouissances. Je ressentais mon cul qui brulait de plaisir et qui suintait son jus interne de désir et cela facilitait les glissements des vas et viens, du gros zob. Je le ressentais, dans mon sphincter, que le plaisir faisait gonfler son zob, de plus en plus et augmenter de volume et me chatouiller ainsi agréablement la chair interne du cul. Et ainsi, il m’a niqué pendant plus d’une dizaine de minutes, peut-être plus.
Il m’a murmuré « halawat zebi 3ajabtak ? » (la douceur de mon zob te plait?).

Je n’ai même pas osé lui répondre car les sensations étaient formidables surtout que c’était presque en public. Et enfin, après ce long moment de plaisir, il se bloqua. J’avais compris que ses couilles remplies allaient projeter leur jus.

Ses mouvements accélérés du zob devinrent presque des chocs, heureusement discrets. Ses coups de reins affolés. Et brusquement son zob éjacula par plus de trois fois presque continus de sperme brulant et chacune accompagnée d’un violent coup de rein et il me remplit agréablement les entrailles.

Il poussa un long râle de plaisir « Ahhh », heureusement assez étouffé dans mon oreille. Moi aussi, malgré que j’étais prêt à attendre ses éjaculations, le sperme merveilleusement brulant dans ma Terma m’a aussi obligé à pousser un long mais discret gémissement de plaisir et de jouissances.

Ensuite, nous sommes restés presque immobiles un long moment, jouissant de nos émotions et sensations. Puis doucement, il sortit son zob de mon cul et recula lentement sur le lit. Puis il resta un moment de l’autre coté, certainement pour s’essuyer le zob discrètement.

Ensuite, il fit le tour et revint s’assoir à sa place, à coté de moi. J’avais le cul rempli de sperme. Alors je me suis accroupi , sous couvert de ma gandourah, discrètement par terre pour me vider le cul.

Alors il se baissa pour me murmurer discrètement :
« achtar faraq qarak mine zanati ! »
( vite ! vides ton cul de mon sperme )
« warja3 lablastak ! » ( et retournes à ta place !)
« sahbi rah yassana bah inikak houwa thani ! » ( mon ami attend pour te niker lui aussi)

Puis il m’a offert un grand mouchoir pour me nettoyer, ce qué j’ai fais aussitôt et discrètement après un moment. Puis j’ai repris ma place assis entre les deux hommes. Mais je voulais confirmer ses dires auprès de son ami assis à coté :
« tahab tnikni anta thani ?» (tu veux me niquer toi aussi ? ).

Et il a hoché de la tête et avec un large sourire, tout en continuant à branler son zob sous sa gandourah.

Alors il s’est levé et s’est déplacé derrière moi comme l’avait fait son copain. Puis, rapidement il s’est positionné comme avait fait l’autre, à genoux, les jambes de part et d’autre de ma croupe.

Et il s’est rapproché assez pour que son zob déjà mtanane depuis tout à l’heure, puisse toucher ma croupe sous sa gandourah.

Puis, je me suis redressé un peu, pour lui permettre de soulever ma gandourah et glisser par-dessous, son zob directement en contact avec la chair de ma Terma. Et bien penché sur moi comme l’avait fait son copain tout à l’heure, il trouva mon anus quant je me suis penché au maximum et soulevé la croupe.

Et il me pénétra facilement, aidé en plus par les restes de sperme dans mon cul. Son zob s’enfonça en moi jusqu’aux couilles et il commença lentement et discrètement ses vas et viens que j’ai aidé avec les légers mouvements de ma croupe. Je dansais un peu de la croupe avec son zob, mais sans trop bouger trop vite pour ne pas nous faire remarquer. Et cela a parfaitement marché et accéléré le plaisir de son zob car il arriva plus rapidement que son copain aux éjaculations.

Et ainsi il éjacula lui aussi par trois fois dans mes entrailles. Puis, il est sorti de mon cul et s’est relevé de l’autre coté pour se nettoyer le zob. Moi, comme auparavant, je me suis accroupi au sol, sous ma gandoura et je me suis encore vidé un peu le cul. Puis je me suis nettoyé avec le mouchoir du copain et j’ai repris ma place.

Mais je ressentais encore assez les chatouillis du sperme dans ma Terma et cela me donnait certes, encore du plaisir et même des jouissances agréables. A tel point que ma Terma s’est affamée de nouveau et exigeait de moi de lui trouver rapidement des zob pour niker. Mais je ne me sentais pas à l’aise et j’avais envie de me nettoyer le cul, la Terma, les fesses et les cuisses polluées. Je désirais d’abord prendre une douche.

Ensuite, peut-être, si ma Terma continuerait à me démanger, je reviendrais dans la zone des plaisir, chercher des zob pour la satisfaire.

Mais je ne voulais, en aucun cas, refaire l’expérience de niker sous la tente, presque en public. Ce n ‘était pas commode et c’était trop dangereux. On aurait du aller à la zone des véhicules pour niker à l’aise et sans danger.

Alors j’ai quitté la tente et j’ai continué vers chez moi. Mais, arrivé pratiquement dans la région des chalets, donc pas très loin de ma chambre, j’ai constaté que, depuis un moment, quelqu’un me suivait en cachette. Et je voulais quel est cet ouvrier, qui a osé s’avancer jusqu’à cette zone des « permanents » qui, normalement leur est interdite.

Contrairement à la zone des « provisoires » qui est une région assez désertique et en grande partie couverte de dunes de sable, la zone des « permanents » et donc des cadres où sont construits les chalets et les locaux de services et de l’administration, est bien arrangée. Elle est plantées de plusieurs arbres partout et d’espaces verts et de buissons pour créer un climat plus clément et bloquer les vents de sable.

C’est à ce niveau que j’ai décidé de savoir qui me suivait. Alors je me suis mis dans un coin d’obscurité grâce aux arbres et j’ai attendu pour voir. Et effectivement, un gars est passé devant moi et je voyais qu’il m’avait perdu dans son suivi. Alors je me suis découvert à lui. C’était effectivement un autre ouvrier que j’ai rapidement reconnu, car c’était le voisin arrière du lit où je me suis fait niker sous la tente.

Je l’ai d’abord rassuré car il avait peur dans cette zone. Puis je lui ai demandé pourquoi il me suivait et ce qu’il voulait. Il m’a dit qu’il avait vu ce que j’avais fais avec les deux ouvriers sous la tente, et qu’il m’avait suivi par curiosité pour savoir où ‘allais. Mais moi, j’avais parfaitement compris qu’il voulais lui aussi me niker comme les autres ouvriers. Il savait que c’était faisable.

Et je ne pouvais pas lui refuser ce plaisir après ce qu’il a osé faire de venir jusqu’ici, le zob mtanane, presque à l’appel de ma Terma. Elle était encore très affamée de zob gonflé d’ouvrier à jeun de sexe comme ce gars au zob certainement mtanane depuis un bon moment.

Donc je vais lui offrir ma Terma dans cette zone, heureusement à la fois assez obscure à cause des plantations et des buissons et deserte à cette heure de la nuit.

Alors, je l’ai poussé du coté des arbres, dans un coin assez sombre et j’ai soulevé assez ma gandoura par derrière pour lui montrer ma croupe. Comme deviné, il a tout de suite soulevé lui aussi sa gandourah pour me montrer son zob.

Effectivement, il était mtanane mais je voulais le gouter et ajouter à son gonflage, à son désir. Alors je me suis penché sur son zob et lui restait debout. Et j’ai saisi son zob, puis j’ai sucé, léché de toute sa longueur, et je l’ai aussi branlé vigoureusement. Il était chaud, merveilleusement dur et doux à la fois.

Et tourné sur le coté, je lui offrais ma croupe et je lui ai demandé de me caresser un peu la Terma. Alors, il l’a touchée, puis caressée, puis malaxée de désir et un de ses doigts m’a même pénétré l’anus. Je l’entendais qui soufflait fort et haletait de désir. Son zob, dans ma main et ma bouche était devenu tellement mtanane qu’il suintait depuis un moment un filet de désir.

Alors, je me suis redressé et penché sur un arbre dans cette semi obscurité je lui ai demandé de me niker là, debout mais en silence. Et il a saisi son zob, fouillé entre mes fesses pour trouver mon anus et rapidement, il m’a pénétré et enfoncé son zob jusqu’aux couilles d’un fort coup de reins violent poussé par le désir.

Et se retenant sur mes hanches, il m’a niké ainsi debout, le corps tendu par le désir et avec une vingtaine ou plus de vas et viens puissants de son zob dans mon cul. Cette nikée m’a semblé meilleure dans mon cul que les deux précédentes. Peut-être parce que le gars était à son aise et moi aussi, j’étais dans une position où je pouvais donner une complète liberté à ma Terma.

Et nous nous pouvions souffler, gémir et haleter presque fort, assouvir notre plaisir. Et malgré que nous avions essayé d’étouffer assez nos bruits, nous avions pu gémir à notre aise et pousser quelques petits cris quant les ondes de jouissances fusaient du zob ou de la Terma. Et ainsi debouts nous avons niké à l’aise de nos mouvements dans le silence et de l’obscurité pendant un bon moment.

Et enfin, quant le gars se crispa sur mes hanches et se colla à ma croupe, il me bombarda de plusieurs puissantes et abondantes éjaculations fortement gémis de part et d’autre. Puis il resta collé à ma croupe pour gouter au maximum nos sensations de plaisir. Puis il sortit son zob et me dit si je pouvais le sucer encore. J’étais d’accord et comme je me suis accroupi au sol pour vider mon cul de son sperme, lui se mit alors à genoux pour me donner son zob.

Alors, je l’ai sucé et branlé dans le silence dérangé seulement par nos souffles encore assez accélérés par les jouissances. Mais j’ai constaté que son zob, malgré les éjaculations, était resté gonflé et mtanane totalement et dur comme il faut, peut être même plus dur et plus puissant que la premier fois. Et il état encore chaud même brulant de désir et tellement désirable.

Ensuite, timidement, il m’a murmuré que ma Terma l’avait affolé et qu’il voudrait bien la niker encore si j’étais d’accord. J’étais plus que d’accord, alors j’ai repris ma position, debout, appuyé à l’arbre et courbé, les jambes bien écartés. Et rapidement, son gros zob m’a pénétré de nouveau profondément jusqu’aux couilles. Et ce fut encore une sensation merveilleuse dans ma Terma. Et me tenant par les hanches, il a repris ses coups de reins et vas et viens de son zob dans mes entrailles.

Sincèrement, cette fois ses coups de zob me brulaient le cul de jouissances. Et malgré qu’il me tenait les hanches et que son zob glissait dans mon cul, j’ai essayé et réussi à danser avec ma croupe sur son zob pare que cela me donnait encore plus de jouissances très agréables dans le cul. Et cela me chatouillait encore plus d’agréables et délicieuses sensations. Et ainsi je haletais beaucoup plus qu’auparavant et gémissais plus fortement. J’étais affolé par le plaisir que je recevais de mon cul et j’avais envie de me coucher par terre.

Et au bout d’un moment je ne pouvais plus résister, alors je me suis mis a genoux par terre et il a du me suivre et s’est mis lui aussi à genoux derrière moi pour enfoncer de nouveau son zob dans mes entrailles et redémarrer ses coups de reins et de zob puissants et accélérés. Et il m’a niké ainsi par terre dans l’obscurité et à l’extérieur de mon pavillon, pas très loin de ma chambre.

J’arrivais à peine à étouffer mes gémissements et mes halètements tellement les jouissances agréables m’arrivaient avec puissances et en continu. Et il me nika une seconde fois encore mieux que la première. Et son zob me fouillait tous les coins et recoins de mon cul avec des ondes de jouissances sur tout le corps qui me faisaient gémir, haleter et parfois presque crier de joie. Et cela dura aussi un long moment grâce à la puissance de son zob.

Mais tout a une fin et c'est lui qui recevant de ses couilles son top, il se bloqua sur mes hanches, et une seconde bordée de plusieurs éjaculations de son zob me remplit de nouveau le cul et les entrailles. Je hurlais presque tellement ma Terma était contente, heureuse et me chatouillait de son plaisir et me brulait de ses jouissances.

Enfin sa troisième ou quatrième bordée de sperme brulant faiblit et avec elle faiblit aussi la jouissante chatouillis continue de ma Terma et le calme revint dans ma croupe. Nous sommes resté un moment ainsi, son bas ventre collé à ma Terma et son zob profondément enfoncé dans mon cul.

Ensuite son zob glissa doucement hors de mon cul et j’ai bien ressenti le vide qu’il laissait dans ma Terma. J’aurais bien voulu le garder longtemps, toute la nuit dans mon cul qu’il emplissait très bien. Je me suis retourné vers lui et j’ai saisi son immense et puissant zob encore mtanane et brillant de son sperme et du jus de mon cul. Je l’ai englouti dans ma bouche et enfoncé au fond de ma gorge pour le sucer et aspirer tous les restes de son sperme chaud et visqueux.

Je l’ai sucé et léché et nettoyé totalement, de sa tête à grosse couronne, le long de sa hampe et même sur ses grosses couilles qui semblaient encore pleines de désir. Cet homme est nettement plus puissant que les deux autres ouvriers auxquels j’avais offert ma Terma. Je lui ai dit de me suivre dans ma chambre où je pouvais le cacher jusqu’à l’aube mais il a refusé car il avait peur que son absence serait remarquée sous la « guitoune » commune.

On s’est relevés et j’ai refusé de libérer son zob que je retenais à la main, sa gandourah soulevée. Je lui ai demandé s’il pouvait venir dans ma chambre demain vers 18h et repartir vers la tente à 21h. Ainsi nous pouvons niquer, à poils tous les deux, pendant trois heures complètes et plusieurs fois sur mon lit. Je lui ai dit que je savais comment le faire entrer et sortir discrètement de ma chambre et il semblait très peu d’accord et hésitait beaucoup. Cette zone des cadres fait peur aux ouvriers.

Alors s’il arrivait à se décider, je lui ai donné rendez vous pour le lendemain vers 18h dans les environs de leur « guitoune ». Alors seulement j’ai libéré son zob qu’il a couvert sous sa gandourah. Et on s’est quitté et j’ai regagné ma chambre. J’ai repéré la fenêtre de ma chambre de l’extérieur.

Et effectivement il y avait suffisamment de buissons et d’arbres et on pouvait pénétrer ma chambre sans être vu. Je savais aussi que la majorité des cadres passaient une bonne partie de la nuit au foyer et revenaient tard se coucher dans leurs chambres.

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