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Du plaisir avec les ouvriers à poil sous ma gandourah (1)

Je bossais il y a longtemps, avec un groupe d’hommes au Sahara. Nous vivions dans un camp saharien assez isolé. Le soir je vais aider certains ouvriers écrire leurs requêtes sous leur dortoir la grande tente commune. Il fait chaud comme la majorité j'ai juste la gandourah sur mon corps nu excitant.

Proposée le 6/03/2025 par DALIDA

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Thème: Homme dominé
Personnages: FH
Lieu: Inclassable
Type: Fantasme


« Un corps nu sous la gandourah et un zob qui gonfle et forme chapiteau sur le vêtement sont de véritables provocations pour tout amateur de sexe. J’ai souvent remarqué cette magie qu’une simple gandourah, couvrant seule un corps nu masculin, pouvait exercer sur les sexes. Il suffit de peu pour que le zob excité par dessous, bande et gonfle pour former un grand chapiteau sur le vêtement au niveau du bas ventre de l’homme.

La seule vue de ce chapiteau qui gonfle sous la gandourah est un signe provocateur et excitant. C’est ce que j’ai expérimenté un soir sous la tente commune des ouvriers dans un camp saharien où je travaillais en été. Et où ma Terma nue sous ma gandourah excita deux ouvriers et se fait ensuite niquer par eux en cachette.

Donc je travaillais , avec un groupe d’hommes, dans une entreprise au Sahara et nous vivions dans un camp saharien assez isolé, et seulement entre hommes, sûrement affamés du zob, n’ayant à leur disposition que des Terma masculines.

La majorité des ouvriers qui travaillaient sur chantiers la journée de 5h du matin à 17h de l’après midi, étaient logés dans une zone dite « des provisoires » et sous de grandes tentes communes et sur des lits de camp individuels, et pour subsister, ils devaient faire, eux même, leurs repas sur des réchauds individuels ou par groupes.

Moi, au contraire, comme j’étais pointeur de travaux, on m’avait donné une petite chambre dans des chalets construits en bois dans une autre zone aménagée et dite des « permanents » ou sont logés seuls les cadres de l’entreprise, la plupart venant de France pour des séjours de quatre à six semaines au Sahara. Ils avaient aussi, leur foyer, leur cantine, leur bar et leur cour pour jeux de boules.

Leurs chambres, huit de chaque coté du couloir, avaient toutes les commodités nécessaires comme dans un hôtel et moi j’en profitais dans la mienne. De plus, je profitais aussi des autres structures ( lavabos, douches individuelles, WC) situées au fond de chaque couloir, dans chaque chalet. Et en plus, j'avais droit au petit déjeuner et aux repas dans la petite cantine, avec les cadres du camp.

Chaque soir, les ouvriers, a leur retour des chantiers, se lavaient et se douchaient sommairement en shorts, et certains le faisaient à poil, sans gène entre hommes, hors des tentes, grâce a des tonneaux pleins d’eau et avec des seaux. Puis ils faisaient leur lessives et leurs diners.

Ensuite, se couvrant le corps nu, d’une short ou d’une simple gandourah ample, car il faisait très chaud même la nuit, ils passaient une bonne partie de la soirée à des jeux de cartes ou de dominos.

Mais il y avait, dans un coin de cette zone des « provisoires », une aire où plusieurs véhicules et engins de chantiers étaient parqués pour la nuit. Elle était donc généralement déserte et semi obscure et où les amateurs ou affamés de zob et de Terma allaient chercher, la nuit, leurs partenaires pour niker. Ce qui se passait dans cette zone avec les zob et les Terma était voulu et connu par tous et tout le monde respectait cette organisation du plaisir.

On aurait pensé que les amateurs offrants leurs Terma, donc leurs culs seraient minoritaires, deux ou trois seulement dans ce genre de campement. C’était faux, car les séjours de travail étant assez longs, la réalité c’est que plusieurs ouvriers offraient, en même temps, aussi bien leur zob que leur cul entre amis. Il fallait se soulager des deux cotés du corps et ils le faisaient avec plaisirs réciproques, sans se gêner.

Ensuite , ils retournaient à la tente, jouer ensemble et tout le monde acceptait cela sans commentaire. Bien entendu, il y avait certes deux ou trois ouvriers amateurs de zob et qui préféraient seulement offrir leur Terma, comme moi, mais la majorité étaient mixtes.

Comme la majorité des ouvriers était analphabètes en français, ils avaient besoin de moi pour les aider à lire ou écrire une lettre à leur famille ou remplir un document administratif. Alors je devais, chaque soir, aller les voir et les aider sous leurs tentes dans leur zone.

Comme il faisait assez chaud dans notre camp en plein Sahara, certains ouvriers étaient en shorts super courts. Mais pour la plupart, la coutume et pratique générale était de se mettre le soir et la nuit, en gandourah légère, et totalement à poil par-dessous.

Et moi-même, avant d'aller chez les ouvriers, je mettais seulement ma gandourah sur mon corps nu. Et elle collait parfois à ma croupe et souvent elle s’incrustait entre mes fesses, mais cela ne me gênait pas du tout, au contraire, j’en ressentais même beaucoup de plaisir et je tortillais parfois un peu de la croupe en marchant.

Et quant j'allais voir mes clients ouvriers, sous leur tente, je me mettais en partie, assis sur leur lit pour écrire leur missive ou leur requête. Comme je l’ai dis, la plupart des hommes étaient comme moi, en gandourah et nus par-dessous. Et il m’arrivait de remarquer souvent, le profil de leur zob quant la gandourah est assez serrée entre les cuisses.

Et certains, déjà excités, avaient le zob gonflé et un peu mtanane et pointait ainsi la gandourah. C’était excitant pour moi et ma Terma affamée. Mais on me respectait car ils avaient besoin de moi. J’étais leur écrivain et parfois leur comptable. Le travail d’abord, le plaisir ensuite.

La dernière fois dont je me souviens, je suis arrivé sous la grande tente, qu’on appelait « la guitoune », et qui était pratiquement, pleine d’ouvriers, presque tous en gandouras légères sous leurs corps nus à cause de la chaleur d’ambiance. Ils étaient en train de discuter ou de jouer aux cartes ou aux dominos et la plupart d’entre eux étaient soit assis ou allongés sur leurs lits, soit assis par terre entre leurs lits. Ce soir là, moi aussi en gandourah sur mon corps nu, j'étais assis en partie, sur le lit d’un ouvrier assis à coté de moi et auquel j’écrivais une requête en français pour l’entreprise.

Les autres ouvriers ne s’intéressaient pas à nous, mais son copain, un autre ouvrier, habillé aussi en simple gandourah, était assis à mon autre coté. Tourné légèrement vers nous, il avait une main posée sur ses genoux et son autre main, il l’avait passée derrière moi, discrètement ou par mégarde , sur mon dos. Ensuite, alors que je continuais à écrire, il a doucement descendu sa main plus bas sur ma croupe, juste au niveau de mes fesses.

Puis il a commencé à me caresser entre mes fesses et vers mon anus. Et cela commençait à me plaire car ma gandourah était très fine et bien serrée sur mon corps et j’avais l’impression que cette main me caressait à nu, directement le derrière. Alors, je me suis penché encore plus bas sur la lettre que j’écrivais et cela a dégagé assez mes fesses, hors du lit, par derrière.

Et le gars a poussé sa main sous ma croupe, pour bien me tenir les fesses et les caresser et même glisser un de ses doigts entre elles pour aller frotter mon anus. Cela commençait à bruler de désir dans ma Terma.

J’ai aussi remarqué que son entre cuisses s’agitait à coté de moi et j’ai deviné que c’était son zob qui commençait à bander, à se gonfler. Et rapidement, sa gandourah forma un grand chapiteau entre ses cuisses, car son zob était maintenant mtanane. Alors il essaya de dissimuler de la main, son zob et le chapiteau formé sur sa gandourah.

Le gars avait envie de moi, de ma Terma et moi aussi javais grande envie de son grand zob mtanane, mais il fallait être discret sous cette tente remplie d’ouvriers certainement tous affamés de sexe. Mais pour moi, il fallait agir vite car ma Terma brulait littéralement de désir et mon anus palpitait sous la gandoura. Le gars l’a certainement remarqué sous son doigt qui me titillait l’anus par derrière, malgré la couverture du vêtement.

J’avais pratiquement terminé la lettre que j’ai donné à l’autre ouvrier. Alors j’ai glissé ma main libérée vers la main du gars qui tenait son zob à coté de moi. Et j’ai saisi son zob dans la gandourah à sa place et le gars m’a laissé faire car cela lui donnait plus d’excitation et de plaisir.

Le zob était merveilleusement dur, mtanane à l’envie et moi-même j’ai presque gémis un « Ahhhh » très discret de désir. Au point que même l’autre ouvrier qui tenait sa lettre à la main a tout entendu et tout vu.

Alors, le gars au zob bandé s'est levé en essayant de couvrir, avec sa gandourah, le chapiteau formé entre ses cuisses. Puis, discrètement, il s'est déplacé de l’autre coté du lit et s’est assis sur le lit. Il s’est mis à genoux, juste derrière moi, sur le même lit, les cuisses écartées de part et d’autre de ma croupe mais couverts avec sa gandourah.

Puis, il s’est rapproché doucement pour se coller au maximum contre mon dos. Ainsi, sous les deux gandoura, son zob pointé et mtanane commençait à me piquer le dos et à me toucher la croupe. Il s’est encore penché en avant et a collé sa tête juste à coté de mon oreille comme pour me parler.

Et ainsi, son zob était maintenant allongé, le long de ma croupe, et je ressentais sa longueur, son épaisseur et sa force. A coté de mon oreille, il commençait à respirer plus fort et même à haleter un peu, de désir. Et moi, de l’autre coté, j’étais autant excité. J’avais hâte que son zob me pénètre la Terma.

Son zob, allongé le long de ma croupe, était une demande pour niquer ma Terma mais comment faire sous cette tente pleine. De plus, le gars avait poussé sa main sous sa gandourah pour saisir son zob mtanane et il a commencé à l’agiter pour le frotter sur ma croupe plusieurs fois, puis plus bas sur mes fesses et sur leur sillon, vers mon anus et ma Terma sur laquelle j'étais, hélas, encore complètement assis. Et il m’a murmuré à l’oreille :
« Zebi metanane 3ala teremtek » (mon zob gonfle sur ta Terma).

Alors, ne pouvant plus attendre, j’ai bougé un peu en essayant de rester discret, pour redresser un peu mon corps et ma Terma du lit. Et quant je me suis assis de nouveau, le gars en avait profité pour glisser son zob sous ma croupe. J’avais maintenant son zob, bien allongé dans toute sa longueur, et directement sous ma Terma, exactement sous mon anus qui palpitait encore plus.

C’était un contact affolant de désir, malgré la gandourah qui couvrait encore ma croupe. J'étais assis sur le zob que mon cul désirait fortement. Alors il m’a encore murmuré à l'oreille : «Teremtek skhouna! dawar 3ala zebi ! » (ta Terma est chaude ! elle désire le zob).

Ainsi, malgré la gandourah encore sur ma chair, son gros zob mtanane a ressenti la chaleur de ma Terma et cela va encore le gonfler de désir. Alors, il a essayé de commencer à retirer ma gandourah par derrière, sous ma Terma pour accéder directement à la chair de mon cul. Moi aussi c’est ce que je voulais, alors j’ai redressé un peu et doucement et discrètement mon corps du lit.

Et cela lui a suffi pour soutirer discrètement une partie de ma gandoura de sous ma croupe. Et ainsi il poussa son gros zob mtanane, directement sous ma Terma. Et ainsi, son zob entra directement en contact avec la chair de mes fesses, de mon anus et de mon cul.
Il m'a murmuré à l'oreille: « jhal hlouwa teremtek skhouna ! zebi zad mtanane » (ta Terma est si chaude et si délicieuse ! elle gonfle mon zob encore plus !)

Par devant, on ne remarquait pas grand-chose surtout que me suis penché encore plus. Et ainsi, mon dos assez courbé permettait à ma Terma d’être bien hors contact avec le lit et au contraire, juste en face du zob qui la désirait tant. J'offrais ainsi, ma Terma et mon cul à son zob mtanane.

Le gars avait maintenant de l'espace pour son zob. Il a farfouillé avec sa main, maintenant sous ma propre gandourah pour mieux pointer son zob sur mon anus que j'ai gonflé au maximum. A coté de mon oreille, le gars haletait de plus en plus et moi aussi discrètement, je soufflais fort. J’attendais avec impatience, l’entrée du zob dans mon cul qui palpitait de plus en plus.

Alors j'ai encore gonflé et poussé ma croupe vers le zob et la grosse tête malgré sa large rondelle, a réussi à me pénétrer l’anus. Et le gars a poussé un râle de plaisir « Ahhhh » prolongé mais discret. Et moi aussi j’ai poussé un long gémissement que j’ai eu peine à dissimuler.

L’autre ouvrier, à coté de moi, et auquel j’avais écrit la requête, me regardait en souriant bêtement, mais sous sa gandourah, je voyais qu’il tenait son zob mtanane et qu’il branlait discrètement. Le gars qui me niquait m'a encore murmuré :
«zebi rah dkhal qarek ! zid ! tawbass ! » (zébi est entré dans ton cul ! vas y! penches toi encore !)

Et je me suis encore, caremment penché en avant, et gonflé ma croupe pour permettre au zob de bien me pénétrer le cul, entièrement à son aise. C’était si agréable et excitant, surtout au milieu de cette tente, de ces dizaines d’ouvriers dont les zobs, j’étais sûr, étaient affamés de Terma, et de la mienne en particulier.

Et mon nikeur a poussé encore son corps totalement contre mon dos et son gros et puissant zob est entré totalement en moi, dans mon cul, jusqu'aux couilles que j’ai ressenties agréablement en contacts avec mes fesses. Et toujours loquace, le gars m’ a soufflé à l’oreille :
« zebi rah dkhal kamel fi qarak ! dhork enikou ! » ( zébi est totalement dans ton cul ! maintenant on va niker)

La Terma remplie par le gros zob, je n’étais plus maitre de la situation, et j'étais complètement pris dans le plaisir. Je commençais à recevoir les jouissances de mon cul, à ressentir complètement le volume et la puissance du gros zob dans mes entrailles et c’était si agréable, même délicieux. Nous sommes resté ainsi, d’abord immobiles un moment, pour gouter ce plaisir des contacts directs chair à chair, de nos sexes affamés.

Il était derrière mon dos, son zob dans mon cul, il était penché sur mon coté comme s’il me parlait, son bras gauche avait avancé à mon coté et me tendait une lettre. Il me demandait, soit disant, au cas où on interclassait à nous, de lui lire cette lettre et de lui expliquer. C’était une lettre de camouflage pour notre délicieux forfait.
On allait niker en silence, presque en public, c’était dangereusement passionnant et affolant de jouissances.

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Commentaires de l'histoire :

Anonyme
C’est degueulasse C’est écrit hf mais c’est hh
Posté le 12/03/2025


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