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A poil au bureau

Comment j'ai réussi à amener petit-à-petit ma collègue à accepter que je travaille toute nue dans notre bureau, puis à se mettre à poil elle aussi. et ce qui s'en est suivi chez nous avec mon mari…

Proposée le 9/06/2023 par Hannapurna

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Thème: Jeu érotique
Personnages: FFH
Lieu: Bureau, travail
Type: Histoire vraie


Depuis qu’on est revenus vers Marseille en 1996, j’ai trouvé une place dans une boîte de conseil d’entreprises. Chaque agence est composée de personnel fixe et d’intervenants indépendants. La notre a pour personnel fixe : Sylvain, le directeur, qui est aussi sur le terrain pour les audits et les formations avec les divers intervenants, donc rarement à son bureau ; Martine, qui s’occupe de tout l’administratif et des contacts téléphoniques et se trouve dans le grand bureau d’accueil à l’entrée ; et moi qui seconde Sylvain. Je m’occupe plus spécialement des relations clients et fais les devis et les facturations dans mon bureau à côté du sien.

A poil au bureau
Lundi 28 juin 1999

Martine s’est faite une entorse à la cheville samedi dernier et se retrouve en arrêt pour trois semaines. Si tout va bien, elle revient le lundi 19.


Mercredi 30 juin 1999

Pour que je ne sois pas seule à tout gérer, le siège parisien nous envoie une remplaçante qui sera plus habituée au fonctionnement de la boite qu’une intérimaire. Sylvain qui devait partir en vacances du vendredi 2 au lundi 26 juillet, décide de ne partir que deux semaines pour m’aider à la mettre au courant de nos affaires en cours.


Lundi 5 juillet 1999

Arrivée de Sophie, la jeune parisienne envoyée par l’agence centrale pour la remplacer. Rousse à peau blanche, mignonne mais sans plus, 21 ans et assez naturelle.


Lundi 12 juillet 1999

Il n’y a plus que nous deux pour cette semaine. Toute la semaine dernière nous a permis de sympathiser et nous avons pris l’habitude de manger ensemble le midi et de faire des pauses en milieu de matinée et d’après-midi pour boire un café et papoter. Comme il fait chaud cet après-midi et que nous n’avons pas de climatisation dans nos vieux locaux, je décide de profiter de l’occasion pour m’amuser un peu avec elle. Je vais lui fais croire qu’avec Martine on se permet des libertés vestimentaires quand on est seules :
- Dis donc, on est juste toutes les deux. Ça te fait rien si j’en profite pour me mettre plus à l’aise, comme on a l’habitude avec Martine quand Sylvain n’est pas là ?
- C’est-à-dire ?
- Eh bien, quand il fait aussi chaud, il nous arrive d’enlever le haut, par exemple.
- Ah bon? Et vous restez juste en soutif ?
- Ben oui.
- Mais s’il passe un client ou un formateur ?
- Eh bien, on se rhabille vite. On a largement le temps, ils sont obligés de sonner pour qu’on leur ouvre et ensuite ils ont les deux étages à monter.
- Bon, écoute, fais comme tu veux. Je vais pas bousculer tes habitudes.

Je déboutonne donc mon chemisier et l’enlève, me retrouvant en soutif sans bonnets. En bas, je n’ai que ma jupe assez courte et rien dessous. Vu la disposition des bureaux, le mien est dans son dos et elle a entre elle et moi l’écran de mon ordinateur. Elle s’était retournée pendant notre conversation mais tout ce qu’elle peut voir, c’est ma tête, et encore, juste parce que je me suis un peu relevée.

Un moment plus tard, elle se retourne et me demande si je peux venir l’aider sur un dossier sur lequel je travaille aussi car elle a besoin d’infos de ma part.

Je ne me gêne pour me lever dans cette configuration et venir me placer derrière son fauteuil. Elle reste fixée sur son écran, donc elle ne se retourne pas et ne voit pas ma tenue. Elle a presque mes seins sur sa nuque. Nous réglons les détails dont elle a besoin, puis je regagne mon bureau sans qu’elle se soit retournée.

Un peu plus tard, c’est elle qui se lève et vient vers moi avec un document à la main. En étant debout, elle peut maintenant apercevoir les bretelles de mon soutif mais elle peut encore penser que c’est un modèle standard. Je continue comme si de rien n’était et ça m’excite un peu, me dressant les tétons. Ce n’est que quand elle commence à contourner mon bureau qu’elle découvre enfin mon soutif qui encadre mes seins nus et offerts et mes tétons qui pointent fièrement. Surprise, elle pousse une petite exclamation :
- Oh ! Caroline…
- Quoi ?
- Ben… ton soutif, je m’attendais pas à ça.
- C’est vrai, il est un peu décolleté. Je t’ai demandé et tu m’as dit que ça te dérangeait pas.
- Un peu décolleté ? Mais c’est juste l’armature avec à peine un peu de dentelle en bas.
- T’as rien dit tout à l’heure quand je suis venue dans ton bureau.
- Non, mais j’avais pas vu, tu étais derrière moi.
- Bon, écoute, si tu préfères, je l’enlève carrément, comme on le fait avec Martine.

Et sans attendre sa réponse, je dégrafe l’objet de cette joute verbale. Elle n’ose rien dire, se concentrant sur le travail, puis elle finit par me lancer avant de retourner à sa place :
- T’as raison, je préfère comme ça, c’est moins perturbant. Mais tout de même, seins nus au bureau, c’est pas commun.
- Ici oui, en tout cas pour Martine et moi. Mais j’avais pas osé te dire tout d’entrée, de peur de t’affoler. Tiens, tu devrais peut-être essayer toi aussi.

Elle ne répond rien à ça et va se rassoir dans son fauteuil.

Un peu plus tard je retourne dans son espace pour lui porter un dossier à enregistrer et là je me penche pour le poser sur son bureau, lui mettant mes seins directement sous le nez. Elle réagit un peu :
- Dis, c’est tout de même un peu perturbant pour moi de voir quelqu’un topless au bureau.
- Ça va venir. Tu sais, le mieux pour t’y habituer, ce serait que tu fasses pareil.
- Non, j’oserais jamais.
- Tiens, mets-toi au moins en soutif pour voir. Qu’est-ce que tu risques ?

J’insiste un peu et elle finit par enlever son chemisier elle aussi, mais elle garde son soutif, un modèle sans armature et en tissu simple masquant sobrement son modeste 80B.

Pendant le reste de l’après-midi, elle a plusieurs fois l’occasion de me voir face à elle et elle finit par ne plus y porter cas, non plus qu’à sa propre tenue.


Mardi 13 juillet 1999

Dès le matin, je manœuvre pour rester sur les acquis de la veille, avec pour but de pousser plus loin dans la journée. Je décide donc Sophie à se remettre directement comme hier. Comme il fait déjà une chaleur étouffante, même avec les fenêtre ouvertes, elle ne résiste pas et se met à nouveau en soutif pendant que j’enlève le chemisier sous lequel je n’avais même pas pris la peine de mettre quoi que ce soit. Nous continuons a papoter un peu en buvant un café avant de nous mettre au travail. Je fais en sorte d’être la première à m’assoir derrière mon bureau pour pouvoir passer à la phase suivante :
- Dis, tu dois avoir vraiment trop chaud avec ton jean’s, non ?
- Oui un peu, c’est vrai. J’ai tellement l’habitude de Paris que j’ai même pas de jupe.
- Eh bien c’est pas grave, t’as qu’a l’enlever et rester en culotte.
- Oh tout de même…
- Quoi, c’est comme si tu étais en maillot de bain. Tiens, regarde, j’enlève ma jupe !

Et je vire effectivement mon dernier vêtement, restant bien assise en le faisant pour qu’elle ne voit pas que je n’ai rien du tout en dessous. Je fais tournoyer ma jupe en l’air :
- Allez, à toi !
- Euh, je suis un peu gênée, c’est un string que je porte…
- Et alors, moi aussi je porte des strings, surtout à la plage !
- Bon, OK, tu as gagné.

Et elle vire son pantalon, me dévoilant un string-bandeau tout simple comme son soutif. Elle retourne enfin vers son fauteuil, me montrant de ce fait ses fesses bien fermes sobrement séparées par la fine bande de coton. Un moment plus tard, elle vient me voir pour un souci sur un dossier et semble plus à l’aise. Elle reste face à moi, ne contournant pas mon bureau, donc elle ne se doute toujours pas que je suis complètement à poil.

Un peu plus tard, je vais à mon tour la voir, mais je reste bien cachée derrière son fauteuil, et c’est très amusant de voir qu’elle ne remarque toujours rien. Surtout qu’elle évite de me regarder directement, ne voulant certainement pas se retrouver le nez entre mes seins.

La fois suivante, je pousse un peu plus le bouchon. J’avance un peu plus à côté d’elle mais je me sers d’un dossier dans ma main pour masquer ma nudité totale. Elle ne se rend toujours compte de rien, car elle continue à ne pas regarder dans ma direction.

La troisième fois, je ne me cache même plus derrière quoi que ce soit, et à un moment de la conversation je vais appuyer mes fesses contre son bureau, lui dévoilant ma nudité totale. Cette fois elle voit tout immédiatement :
- Oh non, Caroline! Tu es toute nue !
- Ben oui, en fait c’est ça dont on a pris l’habitude avec Martine depuis longtemps.
- Mais je t’ai pas vue enlever ton string avec ta jupe.
- C’est parce que j’en avais pas, tout simplement.
- Tu te balades dans la rue sans rien sous ta jupe ?
- Eh oui, ça me fait de l’air !
- Ben toi alors, j’en découvre tous les jours.
- Et moi je me découvre tous les jours !

Ce dernier mot d’humour la fait un peu rire et ça décontracte l’ambiance. Je n’insiste pas et comme on a fini sur ce dossier, je la laisse un peu souffler. C’est à midi quand nous nous levons pour aller manger au snack à côté qu’elle me revoit évoluer entièrement à poil dans l’espace. Elle remarque enfin vraiment mon épilation totale. je le sais parce qu’elle fixe mon centre de gravité un moment un peu soutenu, mais elle n’ose pas m’en parler. Elle remet ses affaires et moi aussi, sauf que je n’ai rien du tout dessous.

Au retour du déjeuner, nous buvons un petit café avant de ré-attaquer le boulot. Pendant ce temps, je vire mes fringues sans plus rien lui demander, et je vois qu’elle me suit en enlevant spontanément son haut puis son jean’s. Je lui propose alors de m’imiter, mais elle décline la proposition. Je n’insiste pas, on verra demain. Le reste de la journée, je la laisse tranquille, me contentant de ne pas me gêner pour lui montrer toutes mes facettes.


Jeudi 15 juillet 1999

Pas trop de progrès hier, si ce n’est qu’elle est maintenant bien habituée à me voir évoluer à poil en permanence et qu’elle a bien voulu l’après-midi enlever son soutif, exposant enfin ses seins modestes surmontés pas de tout petits tétons. Mais ce matin, comme elle a mis un string-ficelle beaucoup plus réduit que les autres jours, je décide qu’il est temps de la pousser un peu. Il ne me faut pas insister trop pour réussir enfin à la décider à m’imiter totalement. Elle enlève donc aussi son string, mais garde encore pudiquement une main devant son triangle. Je la laisse s’installer dans cette nouvelle configuration de travail et attends un moment avant d’aller la voir, le temps qu’elle s’habitue un peu.

Quand je vais enfin vers elle pour une question sur un client, je me remets les fesses contre son bureau et j’ai enfin une vue partielle sur son pubis. Juste assez pour constater qu’elle est bien rousse et qu’elle se taille la touffe dont je vois le haut. Je l’attaque sur ça :
- Dis donc, il a l’air mignon ton petit buisson ardent. Tu le tailles comment, en triangle ou en ticket de métro ?
- Euh… oui, en ticket de métro.
- Allez, fais voir, on est entre filles !
- Bon, tu as gagné, voilà !
- Ouah, j’avais bien deviné. Je vois que tu l’as taillé assez étroit, mais pas trop ras.
- Euh oui, pas comme toi, je dois dire…
- Oui, c’est vrai, moi j’aime ne plus rien avoir du tout.

Ce point étant acquis, je la laisse tranquille pour le moment. Le midi, je la pousse à ne rien remettre sous son pantalon ni sous son chemisier pour aller manger.

Dans l’après-midi, je me permets une nouvelle fantaisie. Je suis debout à côté de son fauteuil mais je reste un peu en retrait pour qu’elle ne voit pas que je me caresse la fente tout en parlant avec elle. Je mouille un maximum et mon doigt coulisse de mieux en mieux sur mon clito. Du coup, quand je la quitte, je continue à me masturber en retournant à mon bureau, où je m’installe confortablement pour continuer ma branlette.

A notre pause-café de milieu d’après-midi, elle semble maintenant bien décontractée et ne fait rien pour masquer quelque partie de son corps. Et le soir, c’est sans se presser qu’elle se rhabille pour retourner à son hôtel.


Vendredi 16 juillet 1999

Ce matin, pour son dernier jour de travail avec moi, elle se déshabille directement comme si c’était une vieille habitude et se met au travail après notre premier café. Je me paye une nouvelle branlette debout dans son dos, mais cette fois je m’enfile un gode quand je me retrouve cachée derrière mon bureau. Je ne mets pas les vibrations en route, elle pourrait les entendre.

D’ailleurs, quand elle vient à son tour me voir, je garde le gode bien au fond avec les cuisses un peu serrées pour qu’elle ne le voie pas. Et comme elle a besoin qu’on examine ce cas sur son ordinateur, je me lève quand elle se retourne et je la suis en maintenant le gode en place. Je reste debout en retrait de son fauteuil et me permets de faire doucement aller et venir l’engin dans ma chatte pendant qu’on règle son dossier en cours.

Pendant la pause-déjeuner, elle m’apprend qu’elle n’a son train que le lendemain en fin d’après-midi pour avoir le temps de visiter un peu Marseille. Je propose donc à ma collègue de venir manger ce soir à la maison :
- Ce sera l’occasion de se voir dans un cadre autre que le travail et de connaitre mon mari.
- Ce serait volontiers, mais après, comment je ferais pour retourner à mon hôtel ? J’ai cru comprendre que tu habitais un peu loin du bureau et qu’ensuite il n’y a plus de bus.
- C’est pas un problème, on peut te raccompagner. Mieux même, tu vas dormir à la maison, on a plein de chambre. Et demain on te pose à la gare !
- Bon, OK. Merci, c’est sympa !

Pendant l’après-midi, j’appelle ma tante pour lui demander de garder Lola jusqu’à samedi soir. Comme elle adore notre fille, elle me donne son accord comme je m’y attendais. Et elle passera tôt car ça l’arrange, donc c’est Ber qui lui donnera Lola avant mon arrivée.

Après avoir fermé le bureau et récupéré ma voiture au sous-sol, nous partons vers la maison en passant par l’hôtel pour récupérer la note et sa valise avec ses affaires. Quand nous arrivons, je mets la voiture au garage, nous traversons le séjour, et dès que nous sortons sur la terrasse, Sophie est directement plongée dans l’ambiance. Ber est à poil dans un transat près de la piscine. il se lève et vient vers elle :
- Bonjour Sophie! J’espère que ma tenue légère ne te dérange pas. Caro m’a parlé de toi et du fait que tu travaillais comme elle toute nue au bureau.
- Euh, oui, c’est vrai. Mais c’est tout nouveau pour moi.
- Eh bien, il n’y a qu’à continuer. Ici, tu n’as pas à te gêner. Et si tu veux profiter de la piscine, c’est encore mieux, pas besoin de maillot !

Comme je me suis déshabillée pendant cet échange et que j’ai directement piqué une tête dans l’eau, elle se laisse aller et enlève ses fringues à son tour pour vite me rejoindre. Elle a forcément remarqué l’épilation de Ber avec son petit filet de poils sur le pubis, et surtout les dimensions généreuses de son service trois pièces, pourtant calmement au repos.

Puis nous sortons et nous faisons sécher au soleil sur les transats. Sophie ne fais plus rien pour cacher sa fente surmontée de sa carte orange. Je me lève pour aller chercher les apéros pendant que Ber allume le barbecue. Après deux tournées il lance les grillades sur les braises et nous passons à la table de jardin. Le repas est déjà bien arrosé d’un petit rosé du Ventoux, puis comme la nuit est tombée, nous rentrons pour nous installer dans le canapé pendant que Ber propose en digestif sa liqueur de thym maison.

Installée dans le fauteuil en face de nous, Sophie qui est déjà bien allumée ne peut cependant pas refuser et goûte un petit godet. Elle trouve ça bon et donc il lui en sert un autre. L’ambiance chauffe petit à petit. Je décide qui est temps d’attaquer Sophie pour la suite :
- Tu sais, Ber adore les rousses, c’est son péché mignon. Pas de chance avec moi !
- Oui, c’est vrai que tu es brune, mais ça se voit pas trop avec ton épilation.
- Par contre, toi, on doit voir ta flamme même en pleine nuit !
- Hi, hi, c’est marrant, ça !
- Allez, montre-nous un peu mieux !

Pendant ce temps, j’ai laissé mes genoux s’écarter et mes fesses glisser sur le canapé, de sorte que mon abricot est clairement exposé à son regard. Les vapeurs d’alcool l’ont bien désinhibée car elle ouvre les jambes sans attendre et nous montre non seulement son petit rectangle de poils, mais aussi sa fente. Je la complimente:
- Hmm, joli ! Et tu vois, quand je te disais que mon mari adore les rousses…

Et là elle se rend compte que Ber est en train de développer une érection qui rampe d’abord à l’horizontale sur le coussin du canapé avant de se dresser par à-coups et finalement se reposer sur son ventre. Elle ne sait quoi dire, car d’une part elle est forcément un peu surprise de le voir bander sans gêne pour elle devant moi et d’autre part elle est hypnotisée par la taille de l’engin qu’il lui exhibe sans honte. Je reprends les choses en main, c’est le cas de le dire. Je décalotte doucement le gland :
- Tu vois combien tu l’inspires ? C’est flatteur, non ?

Elle ne répond pas et je commence à le branler lentement tout en me caressant le clito du majeur de l’autre main. Elle me regarde faire sans bouger. Je la relance :
- Tu peux faire comme nous, ça fait du bien. Tu verras, ça détend !

Elle ne répond toujours rien mais finit par envoyer timidement sa main dans sa fourche. Puis le mouvement de son poignet nous indique qu’elle a cédé et qu’elle se masturbe.

Quand elle est bien lancée, je vais la chercher pour l’amener vers le canapé. Docile, elle se laisse guider. Je la fais assoir entre nous et lui mets la main sur la queue de Ber qu’elle commence instinctivement à branler. Pendant ce temps je lui tripote ses petits seins bien fermes et ses tétons minuscules mais qui ont l’air très sensibles vu sa réaction.

Enfin je descends ma main entre ses cuisses et elle ne résiste pas. Bien au contraire, elle les écarte pour me faciliter le passage vers son petit bouton que je trouve bien humide. Elle commence à gémir et à accélérer son mouvement sur la tige de Ber. Celui-ci lui fait lâcher prise et se lève pour lui présenter son gland sous le nez. Elle a compris sans besoin de mots et le gobe, entamant une succion qui a l’air de plaire à Ber car il me fait signe avec un pouce en l’air au-dessus de la tête de Sophie.

Bien pré-chauffé maintenant, Ber a envie de rentrer dans le vif du sujet et la fait mettre à quatre pattes sur le tapis devant moi pour la prendre en levrette. Il la baise avec de bons coups de reins qui la font avancer vers moi, sa tête se retrouvant dans ma fourche. Je la prends par la nuque et lui pose la bouche sur ma fente. Elle ne fait trop rien au début, puis je sens qu’elle se met à téter mon clito et à me lécher la fente. C’est gagné.

Elle a un premier orgasme, Puis Ber s’installe sur le canapé et la fait s’empaler dos à lui. Elle le chevauche un moment au grand galop, puis hennit sa nouvelle jouissance. Du coup, changement de position. il se met en long sur le canapé et elle revient s’enfoncer sur son mât de face. Je la guide en la faisant se pencher sur lui afin de pouvoir lui mettre un premier doigt au cul. Elle l’accepte assez facilement. Je vais donc chercher un petit vibro et le lubrifie bien pour qu’il entre sans forcer dans son anus. Elle a l’air d’apprécier.

Elle jouit un troisième fois et semble un peu fatiguée. Alors Ber se désengage et vient lui présenter à nouveau son gland. Elle le reprend en bouche et le branle tout en le suçant. Tout à coup, il sent que ça vient et lui tient la tête pour qu’elle ne se retire pas quand il éjaculé. Elle reçoit les giclées de sperme au fond de sa gorge et s’étouffe un peu. Il la relâche et elle ressort la queue badigeonnée de foutre de ses lèvres d’où s’échappent aussi des filets sur son menton. je viens à leur aide en nettoyant d’abord la bite de Ber de ma langue pour ensuite venir partager ma récolte avec elle de Sophie.

Nous faisons une pause réparatrice tous les trois sur le canapé. Elle nous avoue alors qu’elle n’avait pas fait grand chose jusqu’à présent sur le plan du sexe. juste deux ex-amis avec qui elle a baisé simplement et qu’elle a un peu branlés, mais rien d’autre, même à leur demande. Et là, elle s’étonne encore d’avoir sucé quelqu’un qu’elle ne connaissait pas quelques heures avant, de plus le mari d’un collègue de travail et en sa présence. Mieux, elle a léché le sexe de ladite collègue. Et enfin, elle s’est laissée investir le cul, de plus avec un vibro, engin qu’elle n’avait même jamais vu en vrai. Le bonus, c’est qu’elle a aussi avalé le sperme et qu’elle a aimé tout ça. J’en profite pour proposer :
- Eh bien si tu as aimé ça, pourquoi s’en priver. regarde, Ber est rechargé !

Et en effet, pendant les confidences, Ber qui est entre nous deux s’est fait remettre en forme d’abord par moi, puis par Sophie qui s’est laissée prendre la main et la mettre sur sa tige. Elle faisait machinalement des va-et-vient pendant qu’elle nous avouait être novice dans ce domaine. Du coup, pendant que Ber commence à s’occuper d’elle, je vais chercher mon strapon cette fois. Et c’est avec Ber dessous comme tout-à-l’heure que je les retrouve et donc je me place derrière pour la sodomiser. Voilà, comme ça elle connaitra aussi le sandwich !

Quand elle a joui deux nouvelles fois, Ber décide de se faire un peu plaisir en l’enculant à son tour. Le calibre est supérieur à celui du strapon, mais comme je l’ai bien rodée et qu’elle est suffisamment lubrifié, ça passe sans douleur. Il la pistonne un moment, la refaisant décoller, et quand elle atterrit il lui lâche toutes ses réserves dans le boyau.

Enfin rassasiés, il est temps de la guider vers la chambre qu’on n’avait pas encore eu l’occasion de lui montrer. Nous la laissons dormir seule pour bien récupérer.


Samedi 17 juillet 1999

Comme Sophie n’a son train qu’en fin de journée, ce matin nous avons du temps devant nous. Mais comme elle tarde à se lever, nous prenons l’initiative d’aller la réveiller avec un plateau chargé de café fumant, de tartines grillées et de plein de bonnes choses à étaler dessus. Nous prenons le petit-déjeuner à trois dans son lit, puis nous écartons le plateau maintenant bien vidé pour attaquer dans le vif du sujet.

Après de bons préliminaires, nous révisons un peu toutes les figures du programme, y ajoutant un soixante-neuf pendant lequel Ber lui prend la rondelle avec un peu de beurre qui restait dans la coupelle. Et elle a le droit de tester le strapon en s’en équipant pour m’enculer pendant que je chevauche Ber au petit trot. Elle a enfin droit à une dernière rasade de sperme, que je partage avec elle après l’avoir récupérée avec la langue sur sa poitrine où Ber avait choisi de se finir à la main.

Il est grand temps ensuite de prendre une bonne douche et de s’habiller pour la ramener au train à Marseille. Je pense ne pas me tromper en disant qu’elle se portera volontaire si nous avons une nouvelle fois besoin de faire envoyer quelqu’un à Marseille par notre siège parisien pour un remplacement. D’autant plus qu’avec tout ça, elle n’a pas pu visiter la ville…

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Commentaires de l'histoire :

Anonyme
vraiment vos histoires sont excitante vivement plus merci bisou
Posté le 11/06/2023


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