Bon, j'ai eu un joli bonus sur mon trottoir. Un puceau. Quel kif! Savoir qu'il va se souvenir de moi toute sa vie et qu'il va commencer en s'occupant d'une vraie chienne. Savoir que les autres profiteront de l'expérience que moi je lui donne.... hmmmm
Proposée le 27/12/2024 par GuiNancy
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Thème: Femme soumise
Personnages: FH
Lieu: Parking
Type: Histoire vraie
Chapitre 26 – Une pute, juste une pute (Mon bonus)
Oui, on peut avoir des bonus, même quand on fait la pute. Un petit cadeau que la vie vous offre. Un imprévu agréable. Un petit chocolat qu'on ne pensait pas avoir.
J'étais donc de retour sur mon morceaux de trottoir. Il commençait à être tard. Je me disait que soit j'avais quelqu'un dans les 10minutes, soit je retournais à la voiture. J’espérais juste ne pas recroiser le même genre de type que le dernier. Et j'ai eu de la chance. Beaucoup de chance.
Je voyais arriver un mec à pied. Une forme plutôt dans le noir, à peine éclairée par les lampadaires de l'autre côté de la rue. Une démarche hésitante. J'ai même cru que c'était un mec bourré tellement ça hésitait. Mais non. Une fois proche, j'ai vu que c'était un petit jeune, frêle. Et l'hésitation venait de la timidité.
Il était touchant de timidité même. Il n'osait pas me regarder dans les yeux. Brun, de taille moyenne. Mignon plus que beau. Mais très touchant.
« Bonsoir madame »
Madame ? Pour une pute ? Il était vraiment mignon le gamin.
« Bonsoir »
« C'est combien ? »
« Tout dépend, tu veux quoi ? »
« euh... je sais pas... »
Celui là, j'avais envie de me le faire. Donc j'allais être gentille. Très gentille.
« Tu as 50 ? »
« Oui »
« C'est bon alors. Suis moi »
Et hop, direction mon lieu de travail. Je faisais exprès de tourner du cul pour l'exciter ce petit. J'espère qu'il regardait. Une fois sur place, je me suis retournée. J'avais un peu plus de lumière alors je l'ai mieux regardé. Et j'ai eu un petit doute.
« Tu as quel âge ? »
« 18ans » Il a répondu trop vite, ça m'a mis la puce à l'oreille.
« Vraiment ? »
Un petit silence avant de répondre « c'est grave si.... »
Il me faisait sourire. Bon aucun doute, il avait au moins 16 ans. Peut être pas 18 mais au moins 16.
« Non, c'est pas grave »
« Merci »
« Mais... tu l'as déjà fait ? »
Long silence et les yeux qui viennent loucher sur le béton du sol. Un puceau. Mon premier puceau. Je vais lui donner le souvenir de sa vie à ce petit. Il va avoir droit au service grand luxe avec bonus.
« Bon, on va s'occuper de ça » et là je l'ai pris doucement par le menton pour qu'il lève la tête vers moi.
« Je te plais ? »
« Oui madame »
« Toi aussi t'es joli »
Et là, je me suis agenouillée devant lui pour attaquer sa braguette. Il était déjà bien raide dans son jean. Et j'ai sortie une bite de belle taille, du même niveau que celle de mon Maitre. Une nouvelle belle surprise.
J'ai levé les yeux vers lui, il me regardait. J'ai sorti ma langue et je suis venu caresser son gland. Il goûtait le savon. Bien élevé en plus le gamin. Et là j'ai commencé une pipe d'enfer. Je l'ai bien dévoré, j'ai joué sur le rythme, je l'ai mis en entier dans ma bouche. Et ma langue glissait sur son gland. En moins de deux minutes, j'ai senti qu'il allait gicler. Alors j'ai décidé de comment j'allais m'occuper de lui.
« Vas y, vide toi dans ma bouche, t'inquiète pas pour la suite »
Je l'avais à peine repris entre mes lèvres qu'il giclait. Et quelle giclée ! Une bonne grosse quantité de sperme. J'ai presque faillit m'étrangler. Mais comme la bonne pute que j'étais ce soir et la bonne soumise éduquée par mon Maitre, j'ai ouvert la bouche pour tout lui montrer et j'ai avalé.
Dans un grand sourire, je lui ai demandé s'il avait aimé.
« Oui madame »
Il fallait qu'il arrête avec les madames. J'allais lui apprendre comment on s'occupe d'une femme. Mais j'ai du le retenir. Il pensait que c'était fini et il se rhabillait.
« Tu ne veux pas me baiser ? »
« Euh... si »
« Alors laisse moi faire »
L'avantage des mecs à cet âge là, c'est qu'ils remontent les couleurs très vite. Juste le temps pour moi de lui apprendre deux ou trois trucs. J'ai remonté ma mini jupe et j'ai pris sa main. Pour la poser sur ma croupe.
« Il te plait mon cul ? »
« Oui madame »
« Tu trouves que je suis une dame ? Je ne serai pas plutôt une pute ? » et en disant ça je me suis tournée pour me cambrer et lui offrir la meilleure vue possible sur mon arrière train. Sa main se baladait enfin d'elle même sur ma croupe.
« Euh... je ne sais pas »
J'ai tourné la tête alors pour lui dire en le regardant dans les yeux :
« Je suis une vraie chienne crois moi. Et quand tu sortiras de ce parking, je t'aurais dépucelée et tu sauras comment on doit traiter une femelle quand on est un homme »
Je l'ai laissé caresser mon cul avant de lui faire face de nouveau et de venir placer sa main entre mes cuisses. Sur ma chatte. Qui était trempée. Il m'excitait ce petit puceau. Je l'ai guidé sur mon clitoris sans retenir mon petit cri de soulagement quand il est arrivé dessus. Puis j'ai guidé son index jusqu'à ma fente. Et je l'ai invité à entrer.
« Tu sens comment je suis trempée ? »
« Oui ma... oui »
« C'est parce que tu m'excite. Et tu vas bien me baiser hein ? Je mérite qu'on me baise tu ne trouves pas »
« Si »
Son doigts commencer à fouiller mon intimité pour la découvrir et je gémissais en le regardant dans les yeux.
Ma main droite est venue sortir sa bite une nouvelle fois. Bien raide. Putain, j'avais envie qu'il me fourre. Il était puceau. Tant pis pour la capote. Je voulais qu'il se souvienne de moi et un dépucelage avec capote, c'est désolant je trouve. Alors j'ai tiré sa bite vers l'entrée de ma fente et j'ai levé ma jambe droite en l'appuyant sur un rebord en béton.
Je le regardais droit dans les yeux, je m'étais baissée dans une position un peu acrobatique. Son gland était à l'entrée de ma chatte qui hurlait son envie de l'accueillir. Il avait retiré sa main. Il lui fallait juste un coup de rein. Et un peu d'incitation.
« Allez embroche moi »
Et là, il m'a mis un bon coup de rein. Tellement bon qu'il a glissé en moi dans sa totalité. J'étais détrempée donc rien de compliqué. Mais quand même. Un sacré bon coup de rein. Qui m'a arraché un vrai cri de plaisir et de soulagement.
« Vas y continue... baise moi »
Et de manière maladroite d'abord, il a commencé à me pilonner gentiment entre les cuisses. Je le regardais dans les yeux en gémissant. Pas besoin de simuler ce coup ci. Tout était vrai. J'adorais sa bite et sa maladresse. J'adorais savoir qu'il ne m'oublierait jamais.
Je l'ai laissé faire un petit moment mais rapidement, ça devenait trop acrobatique. J'adorais le regarder et voir son regard. Mais c'était compliqué de baiser ainsi. Surtout que j'étais un peu plus grande que lui. Alors j'ai bougé mes hanches pour qu'il sorte et je suis venu me mettre dans ma position préférentielle. Lui tournant le dos, penchée en avant, en appui sur le mur et bien cambrée.
J'ai attrapé sa bite et je l'ai guidée jusqu'à ma fente. Et il n'a pas eu besoin que je lui dise quoi faire cette fois. Ses deux mains sur mes hanches et d'une petite poussée, il retournait en moi. Et je reprenais mes gémissements de plaisir. Je sentais mon plaisir monter. Pas mal pour un puceau.
« Alors, je suis une chienne ou pas ? »
« Oui... »
« Dis le »
« Tu es une chienne... »
« Alors défonce moi »
Mon Dieu, j'ai pris toute sa frustration sexuelle après ça. Il était beaucoup plus puissant que sa carrure ne le laissait penser. Pas autant que mon Maitre mais quand même. Et là, je gémissais sans m'arrêter. J'en étais là quand j'ai senti le mâle en lui s'éveiller. Le mâle dominant.
Il m'a attrapé par ma longue chevelure et il m'a tiré la tête en arrière. Ce qui m'a fait jouir. Et pas le genre d'orgasme qu'on peut cacher. J'en ai vraiment bien profité de ce jeune mâle.
« Je suis vraiment une chienne.... »
« Oui, t'es une bonne chienne... une salope »
« Vas y baise moi »
Il a continué à me défoncer quelques minutes et franchement c'était bon. Et j'ai senti qu'il allait venir. Et je devais me rappeler que j'étais une chienne mais pas la sienne. Pas de capote car puceau ok. Mais gicler dans ma chatte était un privilège qui n'était pas le sien. Alors je me suis retournée et, à genoux, je suis venue chercher son deuxième jet de semence. A pleine bouche encore une fois. Et encore une fois, il y avait une grosse quantité. Un bon gicleur ce petit salaud.
J'ai tout avalé évidemment. Puis je me suis relevée contre lui.
« Ça t'as plu ? »
« Oui... oh oui »
« Tu t'es lâchée sur la fin » lui dis je avec un clin d’œil
« Oui désolée »
« Ne t'excuse pas. C'était très bon. J'ai adoré ça. Et je vais te dire un secret. Toutes les femmes aiment que les mecs les baisent comme ça. On est toutes des chiennes au fond de nous. Et ce qu'on veut, c'est un mâle qui nous défonce. Les bisous, les caresses c'est bon en préliminaire ou après. Mais pendant, c'est un mâle qui nous traite en femelle qu'il nous faut »
« D'accord »
« T'avais jamais rien fait hein ? »
« Non »
« Mais rien du tout ? » Je venais de me passer de capote alors je voulais être sure que mon excitation n'était pas juste un coup de folie.
« Non non rien. J'ai jamais eu de copine »
Ouf ! Pas de risque de maladie sexuellement transmissible si t'es sexuellement pas actif. Le risque n'est pas de zéro (quand t'es étudiante en médecine, tu le sais) mais il est négligeable.
« J'espère que tu t'en souviendras alors »
« Oh oui ! »
« Et que tu t'en souviendras quand tu baiseras ta première copine »
« Oui »
Et là, je l'ai vu me tendre son billet de 50. J'avais presque oublié ça ! J'ai faillit rire.
« Garde le, c'est gratuit. Et puis tu m'as fait jouir alors ça va. »
« Merci madame. Bonne soirée »
« Bonne soirée petit »
Et là, j'ai décidé que j'en avais assez eu pour la soirée. J'ai retrouvé mon Maitre dans sa voiture.
« Eh bien, le dernier a eu l'air de te plaire »
« J'ai crié si fort que ça ? »
« J'ai faillit aller vous rejoindre »
« Il faut dire... un puceau.... C'était à mon tour de dévergonder un innocent »
« Et tu as réussi ? »
« Oh oui ! Mes cheveux s'en souviennent »
Je lui ai aussi révélé que le dernier avait été sans capote. Il n'était pas heureux. Pas heureux du tout. Mais il a convenu avec moi qu'un dépucelage avec capote c'est naze. Et je lui ai dit que j'étais absolument certaine qu'il était puceau et que c'était sans risque. Il s'est calmé. Et on a quitté le parking...
P.S : J'ai fait un test 6 semaines plus tard. Il était négatif comme je m'y attendais. Mais si je dois passer un message, c'est celui que ce que j'ai fait, c'était débile. Le risque était négligeable mais il n'était pas nul. Et il aurait bien pu ne pas être puceau finalement. Donc prudence messieurs dame.
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