Suite de la rencontre. Premier orgasme, nouvelles révélations. Révélations de ce qu'Il était, de ce qu'elle était et de ce qu'ils seraient. Un Maitre, sa soumise et bien plus que ça aussi....
Proposée le 2/09/2024 par GuiNancy
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Thème: Femme soumise
Personnages: FH
Lieu: A la maison, intime
Type: Histoire vraie
Chapitre 3 – LA rencontre fin
J'étais toujours à genoux, devant Lui. Attendant ses ordres. Cela dura quelques secondes. Je me sentais godiche à ce moment là. Je devrais savoir quoi faire ! A mon âge quand même, on sait quoi faire dans cette situation ! Mais non. Je restais là, bêtement. Attendant son ordre. Mais au final, c'est ça que je cherchais. Obéir. Un mâle qui me soumette et me fasse obéir à ses envies. Donc quoi de plus normal que d'attendre.
Toujours avec son sourire protecteur, il prit l'initiative. Il ne dit rien. Il se contenta d'attraper mon collier du bout des doigts pour me faire me relever. Sans force ni rien. Je n'avais qu'à suivre le mouvement à peine imprimé par ses doigts. Et je me trouvais debout, face à Lui, presque aussi grande Lui (à peine 8cm de différence entre nous deux. Oui, je suis grande je l'ai dit). Mes yeux dans les siens, le goût de son sperme dans ma bouche. Le bas ventre en feu.
Il attacha la laisse au collier avant de me dire « suis moi ». Docilement je l'ai suivis. Jusqu'à sa chambre. Il me désigna le grand lit trônant au milieu. « Allonge toi et ouvre les cuisses ».
Sans réfléchir, j'ai obéis. Enfin, sans réfléchir pas vraiment. Car évidemment, je savais ce qui m'attendais. Il allait me prendre, me baiser, me défoncer, me saillir comme une chienne (combien de fois lui ai je dit que je rêvais de ça... et d'autre chose... mais j'y viens).
Une fois allongée, jambes ouvertes, mon intimité luisante d'envie était complètement offerte à ses yeux. Et à tout ce qu'il voudrait y faire. D'instinct j'ai regardé son sexe. Pas totalement débandé on dirait. Pas raide mais entre deux. Avec une vigueur qui semblait prête à revenir. Mon Dieu, j’allais me faire défoncer par cet engin. Je ne sais pas si j'étais prête pour ça. Je le voulais. Tout mon corps criait qu'il le voulait. Mais étais je prête pour ça, aujourd'hui ? Je commençais à en douter.
Je le vis alors venir se mettre entre mes jambes. Mais loin. Je ne comprenais pas pourquoi aussi loin. Jusqu'à ce qu'il s'allonge à plat ventre entre mes cuisses et que sa bouche se retrouva à hauteur de ma vulve. Là j'ai compris. Il allait me manger. J'allais découvrir ce cunnilingus dont on m'a tant parlé. Mes copines adorent ça (oui, on parle beaucoup sexe entre filles) et sur les vidéos, ça semble particulièrement bon.
Je ne put m'empêcher de sourire. Mais il fit quelque chose de totalement surprenant avant de passer à l'action. Il remonta le long de mon corps offert et me dit : « faisons les choses dans l'ordre ». Et là, il m'embrassa. Un vrai baiser, passionné, brulant de désir. Celui qu'on voit dans les films à l'eau de rose. Celui que je n'avais encore jamais connu. Oui, ça fait nunuche de dire ça. Et oui, vous vous dites : mais punaise, elle n'avait jamais eu de petit ami celle là ?
Si, j'en avais eu. Un très bref et superficiel à 14ans et un à 17ans. Mais, si on m'avait embrassé, j'avais toujours repoussé les ardeurs de ce baiser passionné. Me contentant des lèvres et d'à peine l'entrevue d'une langue. J'avais toujours stoppé les choses avant ce stade là.
Alors ce baiser passionné me bouleversa. Je m'y plongeais avec délice. Et certainement maladresse. Ma langue, la sienne, nos lèvres. Là encore, j'ai l'impression qu'il a duré des heures mais quelques secondes, 30 au maximum, me semble plus réaliste.
Puis ce baiser pris fin et il retourna placer sa bouche entre mes jambes.
« A mon tour de te faire du bien. Je suis ton Maitre, mais le plaisir doit être mutuel. La seule différence c'est que ton plaisir dépend de mon bon vouloir alors que le mien ne dépend que de mes envies »
Je réfléchissais à cette phrase quasi philosophique quand sa langue vint caresser ma fente. Ce qui interrompit toute réflexion et provoqua un gémissement non programmé. Puis ses doigts vinrent jouer et découvrir mon clitoris. Mon Dieu, le simple contact de ces doigts sur mon bouton de plaisir aurait pu me faire jouir en une seconde tellement j'étais excitée !
Il continua ainsi, sa langue jouant avec ma fente tandis que ses doigts jouaient sur mon organe du bonheur. Je sentais que je coulais littéralement sur sa langue ce qui n'avait pas l'air de le déranger. Cette langue qui s'insinuait juste assez en moi pour me donner des sensations puissantes et inédites. Et que dire de ces doigts. Je peux le dire maintenant, il a des doigts purement magique. Les miens ne sont jamais parvenu aussi bien à me faire jouir, même après 10ans de tentative.
Il jouait autour de mon clito comme un pianiste joue d'un instrument parfaitement accordé. Il savait parfaitement qu'il fallait jouer non pas directement sur le clito mais autour. Comme un homme d'expérience. Comme le mâle qu'il était.
Il fit durer mon plaisir, ralentissant à chaque fois que je montais trop vite, me laissant redescendre avant de reprendre son jeu. Il me laissait profiter de ce plaisir intense. Mon premier plaisir. Car j'ai découvert à ce moment que je n'avais jamais joui auparavant. Je pensais mais non. C'est facile pour les mecs de savoir. Ils giclent. Mais les filles ? Est ce vraiment ça un orgasme ? Ou c'est différent ?
Tant que notre bas ventre n'a pas explosé une bonne fois, impossible de savoir. Et quand c'est arrivé, on oublie jamais ça. D'ailleurs, petit aparté, on ne jouit pas à chaque fois messieurs. Aucune femme ne jouit à chaque fois. Ça ne veut pas dire que ce n'est pas bon. Ça ne veut pas dire que vous n'avez pas été à la hauteur. Ça ne veut pas dire qu'on ne vous aime plus. C'est juste que l'orgasme d'une femme est tellement intense que l'atteindre est toujours un défi. Et même les champions olympiques perdent des courses parfois. Mais revenons à nos moutons.
Après un long (et bon) moment, il m'a libéré. Il m'a fait jouir. Un orgasme hurlant à déranger les voisins. Une contraction qui vous prend tout le ventre, les cuisses, qui vous fait cambrer le dos. Un orgasme démentiel (le premier que j'ai eu et fort heureusement loin d'être le dernier de cette puissance). Sans le faire exprès ni le sentir, j'ai serré mes cuisses tellement fort autour de sa tête que j'aurais pu l'étouffer. Heureusement que les orgasmes sont à durée limitée !
Une fois mon plaisir passé et mon souffle repris, il vint s'allonger à mes côtés. J'étais épuisée. Heureuse mais épuisée. Je devais lui sourire de manière béate, comme une idiote. Et il me souriait lui aussi. Plutôt comme quelqu'un fier de lui. Ce qu'il pouvait être ! Après tout, il venait de se faire sucer (et avaler!) par une vierge à qui il venait de donner un orgasme monumental.
Il joua alors du bout des doigts avec mon collier. Histoire de me rappeler discrètement mais clairement ce que j'étais. Une soumise. Sa soumise. J'en étais fière. Et heureuse. Encore plus quand il m'a dit que c'était suffisamment d'émotion pour moi aujourd'hui. Le stress du trajet, le collier, ma première fellation, ma première déglutition de sperme, mon premier vrai baiser (oui, il le savait), mon premier cunni, mon premier orgasme. C'en était assez pour une journée. Un côté de moi était déçue (ben oui, je m'attendais à me faire prendre sauvagement) mais la majorité de mon être le remerciait de sa prévenance.
Il lut ça dans mon regard (mon Dieu, il a passé 10ans à lire dans mon regard et mes silences!). Il m'expliqua qu'il pourrait facilement me dépuceler là tout de suite (ce que je savais) mais qu'il ne souhaitait pas juste me sauter et basta ! Il voulait me faire Sienne. Pas pour une journée. Il me voulait pour du long terme. Et rien de durable ne se construit en un jour.
Il me dit aussi que ma virginité méritait d'être bien traitée. Qu'il prenait ça comme un cadeau et qu'il n'y a que les enfants qui déchirent le papier cadeau pour jouer tout de suite sans attendre. Il me dépucellerai plus tard. Peut être même pas la prochaine fois. Il voulait faire mon éducation avant. Et que ce dépucelage soit le signe que la chenille devient un papillon. Que ce soit l'aboutissement et non le point de départ.
A cet instant j'ai compris que j'avais eu de la chance. De la chance de tomber sur Lui. Car j'aurai pu tomber sur un salaud qui m'aurait déjà jeté après avoir fait saigner mon bas ventre....
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