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Le journal d'une Vierge soumise -3

LA rencontre, la première. Celle qui change une vie. Celle qui vous révèle à vous même. En deux parties bien sur.... car pourquoi tout révéler tout de suite? ;)

Proposée le 2/09/2024 par GuiNancy

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Thème: Femme soumise
Personnages: FH
Lieu: A la maison, intime
Type: Histoire vraie


Chapitre 2 – LA rencontre

Me voici arrivée au grand jour. Au jour J. Cette rencontre. Celle qui changea le cours de ma vie. Il me l'avait dit. Il m'avait dit « je changerais ta vie. Je bouleverserai ta vie trop calme. J'y mettrais le feu, je la retournerai dans tous les sens. Au point que dans quelques années, tu te demanderas si cette jeune vierge a existé ou pas. Mais tu seras heureuse de tout ça. »

Et il avait raison. Cette rencontre a bouleversée ma vie. Et je suis parfaitement heureuse de ça. Et de ce qu'il a fait de moi.

Pour commencer, il avait fixé ma tenue pour cette rencontre. Rien de trop exavagant mais ses choix étaient stricts et je devais les respecter. Une jupe noire ou bleu au dessus du genou, un chemisier blanc. Des chaussures à talons (mais pas trop vu ma taille). En dessous ? Un string en dentelle et le soutien gorge assorti. Pour le reste, il me voulait les cheveux détachés (je vous ai dit qu'ils descendaient jusqu'au creux des reins?) et pas trop maquillée (ce qui me convenait parfaitement). Ah... j'ai failli oublier : le sexe totalement rasé et lisse. Bon, je matais suffisamment de porno pour savoir que les hommes aiment ça.

Évidemment, j'avais tout ce qu'il fallait dans ma garde robe. Et pour mon intimité, je fis le nécessaire le matin avant le rendez vous. C'était tout doux sous mes doigts. Au point que je du me retenir de me masturber avant d'aller le voir. Juste pour sentir cette nouvelle sensation.

A l'époque, bien qu'ayant le permis, je n'avais pas de voiture. Je n'en avais pas besoin. Les transports en commun faisait amplement l'affaire pour mes déplacements. Je suis donc sortie de chez mes parents pour prendre le bus. Les bus, car j'avais un changement en ville. Une grosse vingtaine de minutes de transport. Bien assez pour faire monter la pression et le stress.

Combien de fois j'ai faillit faire demi tour ? Une centaine au moins ! Mais jamais cette envie n'a atteint mes jambes. Mes jambes voulaient plutôt avancer. Et je les en remercie. En fait, j'ai presque avancé comme un robot. Sans réfléchir. Un pas devant l'autre. Jusqu'à arriver devant sa porte d'immeuble.

J'ai pris une grande inspiration. Et j'ai appuyé sur l'interphone. Quelques secondes d'attentes et le bip de la serrure électrique qui s'ouvre. Sans chercher à réfléchir, j'ai monté les marches de l'escalier jusqu'à son étage. Et là encore, une grande inspiration et je toquais à la porte.

Quand elle s'est ouverte, je l'ai vu pour la première fois. Première chose, il n'avait pas triché sur ses photos (moi non plus d'ailleurs). Deuxième chose, ses yeux me disaient « Je suis fière de toi ». S'il avait pu lire dans ma tête à ce moment là, il aurait lu « je suis à Toi ». Mon Dieu.... je me serai liquéfiée à ses pieds s'il ne m'avait pas invité à rentrer et à m’asseoir sur le canapé rapidement.

A cet instant, je savais que j'étais Sienne. Je le voulais. Je voulais lui appartenir. Et j'aurai tout fait pour qu'il le sache et qu'il fasse vivre cette réalité. Si j'avais pu lire dans son esprit, j'aurais été rassurée. Il m'a avoué plus tard être tombé sous mon charme au premier coup d’œil. De l'amour ? Je n'en sais rien. Je n'ai jamais su dire si c'est l'amour qui nous a gardé ensemble aussi longtemps. Mais en tout cas, cette première rencontre a été aussi intense pour Lui que pour moi. Et si ce n'est pas de l'amour, je suis sur que nos sentiments étaient forts et présents dés le premier contact visuel.

Mais contrairement à moi, c'était un homme d'expérience. Qui ne perdait jamais de vue l'objectif final. Et aussi troublé qu'il puisse être, il fut exactement ce que j'espérais qu'il soit immédiatement : mon Maitre.

Après une petite discussion pour me destresser, il me demanda si je voulais toujours aller plus loin. Sans attendre, je répondis « oui » d'une petite voix fluette. Je devais lui faire l'effet d'une petite fille. Ce qui le fit sourire. Vint alors son premier ordre : « A genoux »

Sans tarder, je me suis levée et je me suis agenouillée face à Lui. Il a alors sorti le collier et la laisse. Je savais que c'était le point de départ. Et que si je l'acceptais, j'acceptais de fait la suite. Il m'avait expliqué qu'il changeait de collier à chaque soumise. Par principe. Et qu'il le choisissait de manière personnalisée à chaque fois.

Pour moi, il avait pris un collier en simili cuir, rose. La couleur me fit sourire. Mais de plaisir. Car un collier en cuir noir, brut, ne m'aurait pas vraiment correspondu je pense. Alors que ce collier doublé de mousse sur l'intérieur, avec cette couleur particulière semblait me convenir à la perfection. Je devenais une soumise mais ce collier respectait ma personnalité et mon individualité. Je ne serai pas une parmi 1000. Je serai celle au collier rose, doublé de mousse. Et surtout, je serai la Sienne.

Il se pencha et me demanda de soulever mes cheveux. Et là, je senti le collier se poser sur mon cou. Et se fermer. J'avais fermé les yeux pour profiter de ce moment. Et, à ma grande surprise, quand je les ai rouvert j'ai constaté qu'ils étaient un peu humide. L'émotion je pense. Il me regardait en souriant. Puis il dit :
« Maintenant tu es Mienne »
« Oui Monsieur »
S'il avait su à quel point je pensais ces mots, je pense qu'il aurait abusé de la situation bien plus qu'il ne le fit cette fois là.
« Lève toi »

Là encore, sans réfléchir, j'obéis. De toute façon, réfléchir n'avait plus lieu d'être maintenant que je portais son collier.
« Enlève ta jupe et ton string »
Quelques secondes plus tard, ces deux morceaux de tissus et de dentelle, piètre gardien de ma pudeur, étaient au sol. Sa main vient directement se poser sur mon sexe doux et lisse. Sa paume sur mon pubis et ses doigts sur mes lèvres. Les écartant doucement pour trouver rapidement ma fente et mon clitoris. Ses gestes étaient doux, plus une caresse qu'une invasion. Je le laissais faire, laissant cet homme me toucher sans retenue comme jamais on ne m'avait touché avant (mon médecin et mon gynécologue sont des femmes).

Combien de temps cela dura ? Des heures j'aurai dit. Mais en réalité quelques secondes. Le temps pour lui de voir mon trouble.
« A genoux »
J'obéis, le remerciant intérieurement de ne pas m'avoir demandé d'oter mon chemisier et mon soutien gorge. Il en avait envie j'en suis sure. Et je suis sure qu'il n'aurait rien dit devant la morne plaine me servant de poitrine. Mais le faire aurait pu me bloquer. Il l'a senti et il a respecté ça. Et je l'en remercie.

Une fois à genoux, je le regardais du dessous. Ayant une idée de la suite. Une idée qui se confirma quand je le vis déboutonner son pantalon et sortir son sexe. Je n'avais aucune idée (les images sur un écran, ça peut tromper) de la taille d'un sexe d'homme normal. Mais celui là me sembla plutôt de bonne taille. La curiosité m'appris plus tard que 18cm et 6cm de large sont plus que respectables.

Il était déjà en érection. Ce qui me flatta et m'excita encore plus, si cela était possible.
« Tu veux le toucher ? »
J'en mourrais d'envie !!!! Alors plutôt que répondre, je le fis. D'une main hésitante et tremblante, j'attrapais sa queue bien raide. Malgré mes doigts fins et longs, je remarquais avoir du mal à en faire le tour complet. Mais quelle sensation ! Ce sexe chaud, dur, palpitant dans ma main. Il gardait le silence, me regardant en souriant.

Ne sachant pas trop quoi faire, j'ai commencé à le masturber doucement. Des mouvements de vas et vient qui amplifièrent son érection. Je sentais qu'il aimait ça et j'adorais lui faire plaisir. J'adorais surtout savoir comment lui faire plaisir. La suite ? Un coup de folie.

Cela faisait une ou deux minutes que je le masturbais en silence quand j'ai réalisé que je pourrais le prendre dans ma bouche. Le sucer. Enfin essayer car hormis aller et venir avec ma bouche, je ne savais pas comment faire. Mais maintenant que cette idée m'était venue, je voulais le faire. Alors je l'ai regardé dans les yeux, j'y ai lu une forme de tendresse devant ma naïveté et de fermeté, attendant que je m'exécute. Comme s'il avait lu dans mes pensées.

J'ai donc fermé les yeux, je me suis redressée un peu et sans réfléchir, j'ai posé mes lèvres sur son gland gonflé. Rapidement, ma langue a glissé entre mes lèvres pour venir lécher. Le goût ? Pas mauvais. Un petit goût de savon qui est plutôt encourageant à ce stade. Puis, sans rouvrir les yeux, je l'ai glissé entre mes lèvres et enfin dans ma bouche.

Maladroitement, je faisais jouer ma langue sur son gland tout en essayant des vas et vient et des mouvements de succion. Je ne sais pas si j'étais naturellement douée mais ça avait l'air de lui plaire. J'entendais son souffle s’accélérer. Puis sa main vint se poser derrière ma nuque. Mais sans appuyer. Plutôt la main d'un propriétaire qui caresse ce qui lui appartient. Et sa queue finit sa pleine expansion dans ma bouche.

Je me lâchais alors, oubliant toute retenue. Je le suçais tant bien que mal. Ce qui me manquait d'expérience et de technique, je le compensais par l'envie et la volonté de lui faire plaisir. Et pour la première fois, je l'entendis m'appeler de mon petit nom « Ma chienne ». C'était un « vas y Ma chienne, c'est bon ». Mais la seule chose que je retins, c'est « Ma chienne ». Et presque juste le « Ma ». Je lui appartenais. J'en étais sure. J'étais sure qu'il le voulait autant que moi.

Ma bouche continua de s'activer pendant de longues minutes qui furent ponctuée de sa part par des « salope », « pute », « chienne » complétés d'encouragement divers et variés.

Et c'est alors que la surprise arriva. Sans que je ne puisse l'anticiper, il gicla dans ma bouche de vierge. Une bonne quantité de sperme envahit ma grotte buccale. Je faillit m'étrangler mais je me suis reprise à temps pour tout garder en bouche. Et il y avait de quoi faire. Je l'entendais gémir de plaisir, crier son plaisir tandis que ma bouche recevait sa semence. Je m'appliquais à ne rien perdre, à tout garder en bouche. Comme dans les vidéos qui m'excitaient tant.

Puis, il finit par sortir de ma bouche. Je relevais la tête vers lui, la bouche pleine de son foutre. Il me regardait dans les yeux et je lu son soulagement. Ne sachant pas quoi faire, j'ai fait là encore ce que je voyais faire à l'écran. J'ai ouvert la bouche pour lui montrer le liquide blanc la remplissant. Et j'ai tout avalé avant de le regarder en souriant. Je ne connaissais pas le goût du sperme. Et mes copines étaient assez partagées sur le sujet. Entre celles qui disaient que c'étaient dégueux et celle qui trouvaient que c'était bon voir pas mauvais au pire. Visiblement, je fais partie de la deuxième catégorie.

En me voyant avaler et sourire, il ne put s'empêcher de rire.
« Comme une grande ! » me dit il
« Oui Monsieur. C'est ce que je suis maintenant non ? »
« Tu n'es plus une petite fille, c'est sur »....


Note de l'auteur : Je suis un homme. Tout ceci n'en reste pas moins vrai. Je l'écrit pour celle qui a été ma soumise pendant plus de 10ans. Je connais parfaitement sa vie. Et autant être honnête, je sais parfaitement ce qui lui trottait en tête. Soit parce qu'elle m'en parlait, soit parce que je devinais ses troubles et questionnements. Donc tout ce que vous lirez est 100% réel et honnête. Et pourquoi l'écrire comme si c'était elle ? Car elle m'a toujours dit qu'elle aurait aimé le faire. Si elle avait osé et si elle avait su le faire.
Donc voilà. Vous apprendrez tout sur elle (sauf ce qui permettrait de l'identifier) et au passage, vous en apprendrez aussi sur moi. Au plaisir (et n'hésitez pas à commenter)

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