Une vraie folle... Voici ce que je suis. Au point de demander l'impensable pour la vierge que je suis. Le genre de truc qui ne se trouve que dans du porno hard. Et encore. Mais SA folle. Et ça ça fait la différence.
Proposée le 2/09/2024 par GuiNancy
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Thème: Femme soumise
Personnages: FH
Lieu: Forêt, campagne, nature
Type: Histoire vraie
Chapitre 6 – Une vraie folle
Cela faisait maintenant 1 mois qu'on se voyait. Je me suis arrangé un peu avec mon emploi du temps pour qu'on puisse se voir régulièrement. 6 fois en un mois, c'est pas mal pour une vierge, non ? Car vierge je l'étais toujours. Hormis ma bouche bien sur. Qui avalait des flots de foutre à chaque rencontre.
Comment décrire ces rencontres ? Intenses, sexuellement et émotionnellement intenses. Il savait jouer et varier les plaisirs. J'ai regoûté un peu à l’œuf, un peu à la cire, un peu à la fessée. Et quelques autres menus plaisirs mais rien d'exceptionnel.
Je repensais à chaque fois à ce qu'il attendait de moi avant de prendre ma chatte, avant de déchirer mon pucelage. J'étais toujours à deux doigts de lui dire. Mais non, je voulais vraiment le dire dans un moment d'exceptionnelle bestialité. On en était proche mais je voulais que ce soit vraiment hard au moment où je le dirai.
Pour la première fois, je me rendais chez lui le soir. Il ferait nuit à mon arrivée chez Lui mais il était convenu que je rentrerai vers 23h avec le dernier bus. La nuit m'aidait bien par rapport à ma tenue. Une robe toujours. Noire. Mais vraiment courte et moulante. Au point que je sentais le regard des hommes sur moi dans le bus. Des regards de prédateurs. Des regards d'envie.
Comme celui qu'Il posait sur moi souvent. Mais le Sien me flattait. Alors que les leurs me dégoûtaient. Pour la première fois je réalisais vraiment que j'étais Sienne. Sa chienne, Sa salope et pas juste une chienne, une salope. Ah oui, petit aparté. Je suis devenu une vraie chienne et une vraie salope. Et je l'assume pleinement. Ça m'amuse presque de voir ce qu'il a fait de moi. J'en suis fière et heureuse. Même si je crains que mes parents ou mes amis ne l'apprennent. Fin de l'aparté.
J'arrivais donc chez lui dans cette petite robe sexy. Il ouvrit la porte et me regarda de la tête au pied, visiblement satisfait de ce qu'il voyait. Et j'avoue que j'étais fière. Je ne m'étais jamais senti sexy avant de le connaître. Pour ça je le remerciait. Vraiment. Il m'a donné une assurance en moi que je n'avais jamais connu avant Lui. Et que je n'aurai peut être jamais connu sans Lui. Notre relation était une vraie symbiose en fait. Nous étions tous les deux gagnants.
Comme à chaque fois, à peine entrée je m'agenouillais et je relevais mes cheveux. Pour qu'il pose Son collier sur mon cou. Cet étrangeté, cette bizarrerie, était vraiment quelque chose que j'attendais. Porter un collier n'a rien de naturel pour une femme (sauf si c'est un collier de perles ou de diamants bien sur. Mais un collier de chienne en cuir.... c'est moins naturel) mais moi, j'aimais sentir ce collier sur mon cou.
Il me manquait quand je ne le portais pas. Dés qu'il l'enlevait pour me rendre à ma vie de jeune femme sage, bien sous tout rapport, il me manquait. Honnêtement, je ne sais pas si c'était le collier qui me manquait ou Lui. Car évidemment, je ne le portais qu'en sa présence. Je pense que c'est un peu des deux. Lui me manquait et ce que le collier faisait de moi me manquait.
Une fois le collier autour du cou, j'ai eu le droit à une bonne fessée. Pas de punition. Une fessée de plaisir. Après quoi il me dévora la chatte comme une folle et ma bouche prit son tour sur sa queue bien raide. Avec une finition en plein visage.
J'avoue que la faciale ne me tentait pas du tout. Elle me dégoûtait même presque. La simple idée de retrouver mon visage (un visage d'ange hein... pour ceux que la précision excite) souillé de foutre ne m'attirait absolument pas. Mais Lui oui. Justement parce que j'ai un visage d'ange insoupçonnable d'ailleurs.
Vu le niveau de jouissance et de perversion auquel il m'emmenait, je ne pouvais pas lui refuser ce plaisir. Il avait de bonnes éjaculations. Souvent, j'en avait du front au menton. Et finalement, ce n'était pas si terrible. D'ailleurs, quand je m'observais dans le miroir avec le visage plein de foutre, ça me donnait plus envie de rire qu'autre chose. Si mes parents voyaient ça !!
La suite de la soirée fut plus conventionnelle. Au moment de partir, il me dit qu'il allait me ramener chez moi. J'étais surprise. Agréablement surprise. Je ne savais pas vraiment si je pouvais accepter (je ne lui avais pas dit avec précision où j'habitais). Mais prendre le dernier bus ne me tentait pas beaucoup. Alors j'ai accepté.
Je suis monté dans sa jolie voiture allemande et nous sommes partis.
« Tu as une heure pour rentrer ? »
« Non, je vis peut être encore chez papa maman mais je suis libre de sortir et de rentrer quand je veux ». Je rigolais en disant, fière de ma liberté et de lui prouver que je n'étais pas une petite fille.
« Ok »
Il continua de rouler et rapidement, je l'ai vu changer de chemin. On sortait de la ville. Je l'ai regardé, interrogative et suspicieuse.
« On va faire un petit détour » me dit il avec un petit sourire.
On s'est retrouvé en foret... et je l'ai vu s'engager sur un petit chemin forestier qui disparaissait rapidement, loin de la vue de la route. Il arrêta le moteur. C'était très romantique (bon j'avoue que si ça avait été quelqu'un d'autre, ça aurait plus ressemblé à un épisode d'Esprit Criminel). Il se pencha sur moi et m'embrassa. Puis il déboutonna son pantalon et sans attendre son ordre, je me suis penchée sur Lui pour reprendre sa virilité à pleine bouche.
Il était bien raide et moi bien excitée. Mais franchement, baiser dans une voiture n'a rien de pratique. Comment ils font dans les films. C'est excitant oui. Mais pas pratique. Alors au bout de quelques minutes, j'ai décidé de prendre une initiative. Je suis sortie de la voiture sans rien dire et je suis allé me mettre devant le capot.
Je l'ai regardé à travers le pare brise et je me suis mise à genoux pour lui faire comprendre que j'attendais de le servir. Il a fini par descendre et en souriant, il est venu insérer sa bite dans ma bouche. Et je l'ai sucé. Sucé avidement. Sucé avec envie et plaisir. Pour la première fois, je le suçais non parce qu'il le demandait mais parce que j'en avais envie. J'étais comme ça, sous un clair de lune, à genoux en pleine forêt en train de sucer mon Homme, mon Maitre. Et j'adorais ça. Oui, je me répète, mais j'adore ce qu'il a fait de moi.
J'aimais tellement heureuse et excitée à ce moment là que j'ai perdu la tête.
J'ai levé la tête vers Lui et je lui ai dit
« Tu veux mon cul ? »
Il a rigolé avant de répondre
« Tu es vraiment folle... si je t'encule ici ça sera bestial crois moi. Ton cul vierge va ramasser et pas à moitié. »
« C'est comme ça qu'on encule les vierges soumise non ? »
Et sans attendre qu'il en dise plus, je me suis relevée, je suis allé me pencher sur le capot de la voiture et j'ai retroussé ma robe au dessus de mes fesses. Et ma crise de folie n'étant pas terminée, j'ai trouvé intelligent de le provoquer encore plus.
« Allez encule moi, encule mon cul vierge, fait moi gueuler, fait moi regretter mon audace »
Avant que je ne puisse me reprendre, ses deux mains agrippaient mes hanches, écartaient mes fesses et son gland chaud et dur était au bord de mon anus serré. En guise de lubrifiant, j'ai eu le droit à un peu de salive. Et ensuite, sans attendre, il a poussé. Mon cul vierge a résisté à sa bite. Mais il a fini par céder. Ce qui m'a fait hurler. Mais ne l'a pas arrêté. Après tout, que pouvais je dire ? C'est ce que je lui ai demandé. Autant assumer.
J'ai senti mon cul serré s'ouvrir sur sa bite bien large. Ça faisait un mal de chien. Je n'ai retenu ni mes cris, ni mes larmes. J'étais là, en train de me faire dépuceler l'anus sur le capot d'une voiture. De me faire enculer à sec en guise de première fois, le tout en pleine nuit, en pleine forêt avec la pleine lune comme seul témoin.
Comme une vulgaire pute qu'on ramasse et qu'on utilise. Moi la fille de bonne famille, qui n'avait jamais vu une bite pour de vrai à peine un mois plus tôt. Et cette idée m'excitait à mort (elle m'excite toujours d'ailleurs).
Il me défonçait le cul sans aucune retenue. Il avait rapidement forcé l'entrée jusqu'au fond et sans aucune retenue ni compassion, il m'enculait violemment, bestialement. Il tenait mes hanches fermement et les coups de reins me faisaient presque décoller les pieds du sol tellement il y allait fort. J'avais un animal en rût dans le creux des reins et ça aussi ça m'excitait. Mais l'excitation était à peine à la hauteur de la douleur et de l'humiliation. Quoi que... l'humiliation m'excitait elle aussi.
« Alors sale pute, c'est ça que tu voulais ? »
« Ouiiii » j'ai lâché ça entre deux sanglots. Le fait qu'il soit aussi violent, aussi bestial alors que j'hurlais et que je pleurais de douleur me donnait des sentiments contrastés. D'un côté je le trouvais inhumain. Mais de l'autre.... hmmmm c'était exactement le genre de mâle qui me faisait fantasmer depuis des années, le genre de pervers Dominant qui ne montrera aucune faiblesse quand moi je serai faible. Le genre de salaud qui fera de moi la salope que j'ai toujours voulu être. Le mâle dont je rêvais depuis mes 16ans.
Il m'a labouré le cul pendant de longues minutes. Avant de se vider à l'intérieur dans un grand cri de « Salope ! ». Sentir ce flot de sperme se répandre au fond de moi m'offrit un petit plaisir nouveau. Un vrai plaisir, cette sensation de liquide chaud qui coule dans mon corps. Hmmmmm.... toutes les femmes lisant ceci savent de quoi je parle.
Il est ensuite sorti de mon anus et je suis tombé à genoux devant la voiture, la tête posée sur le capot, le torse contre la calandre. J'étais une vraie poupée de chiffon, débordée par l'aspect animal de cette baise, par l'intensité des sensations qui m'envahissaient. Des sensations contradictoires.
Celle de n'être finalement qu'une pute, rien de plus. Celle d'avoir été souillée dans tous les sens du terme. Celle d'être enfin celle que j'étais destinée à être. Celle d'être une folle, une vraie folle assoiffée de sexe. Celle d'être une chienne, Sa chienne. Celle d'être fière d'avoir su offrir ça à mon Maitre (car je n'avais aucun doute sur le plaisir qu'il avait pris).
Je pleurais encore un peu, cherchant à comprendre ce qui m'avait traversé l'esprit pour lui demander de me faire ça, de me dépuceler le cul à sec, à la sauvage, quand j'ai senti sa main doucement sous mon menton.
En toute délicatesse, il me faisait relever la tête. Je le regardais à travers mes yeux embués de larmes. Il me souriait. Un sourire plein de tendresse. Il se pencha sur moi et me déposa le baiser le plus tendre de ma vie sur les lèvres. Puis, toujours en douceur, il m'aida à me relever et à me rajuster. Après un autre baiser, il serra mon corps frêle contre le sien. Je me suis lovée contre lui, comme si je pouvais me glisser dans ses vêtements.
A ce moment, je ne sais pas ce qui m'a empêché de lui dire « je t'aime ».....
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