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Le journal d'une Vierge soumise - 6

Comment aurait elle pu savoir qu'un orgasme pouvait être si bon, si intense? Comment la vierge qu'elle était aurait pu connaitre les plaisirs qui l'attendaient?

Proposée le 2/09/2024 par GuiNancy

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Thème: Femme soumise
Personnages: FH
Lieu: A la maison, intime
Type: Histoire vraie


Chapitre 5 – Découverte de l'intensité

Après que je l'ai sucé et brillamment vidé, je suis resté à genou, devant Lui. Sa main toujours dans mes cheveux était caressante. Son regard pénétrant.

« Tu as changé d'avis concernant ton dépucelage ? »
« Non... enfin... non. J'ai toujours cette envie de bestialité. J'aimerais juste que ça ne vienne pas trop vite.... »
« Je m'en doutais. C'est ça qui t'a fait paniquer la semaine dernière ? »
« Oui »
« Je prendrai ton ventre quand je te sentirai prête. Pas avant. Ça peut venir aujourd'hui comme dans un mois. Je ne fixe pas de délai. Juste quand je te sentirai prête pour ça. Tu comprends la différence ? »
« Oui. Merci »
« Mais c'est la seule limite que je fixerai. Celle du dépucelage de ton vagin. En dehors de ça, aucune retenue. Cela te convient toujours ? »
« Oui » Je ne savais pas vraiment à quoi je m'engageais mais ça me semblait parfaitement honnête.
« Trés bien. Lève toi et mets toi nue alors. Totalement nue cette fois »
Mon sang se glaça. J'allais devoir lui montrer mes seins. Enfin mon absence de seins. Ce qui me pétrifiait depuis l'adolescence. J'ai faillis refuser, je l'avoue. Mais en quelques secondes je me repris. J'avais déjà échoué la semaine dernière alors pas deux fois de suite. Et de toutes façons, il faudra bien que ça arrive.

Je me suis alors mise face à Lui. Debout. J'ai fait tomber ma robe et j'ai descendu mon string. C'est dingue d'ailleurs que le fait de lui montrer ma chatte me dérange moins que de lui montrer mes seins. C'est dire à quel point j'étais complexée.

Puis j'ai fait sauter mon soutif. Et je l'ai laissé tombé par terre. Et je me suis retrouvée devant Lui, les bras ballants, la poitrine à l'air. J'ai faillit poser mes mains devant mes seins comme on voit dans les films. Mais non, maintenant que c'était fait, autant aller au bout.

Il me regardait en souriant, n'hésitant pas à me faire remarquer qu'il matait mes seins.
« Approche et vient te mettre à califourchon sur mes cuisses »
Je me suis tout de suite exécutée, à cheval, les jambes ouvertes de part et d'autre de ses cuisses. Ma poitrine à portée de ses mains. Immédiatement, je sentis ces fameuses mains sur mes seins, sur les deux tétons me servant de seins. Ces deux tétons ultra réactifs et tout de suite durs sous ses doigts. Et sous sa langue. Car rapidement, il ajouta sa bouche à ses mains.

Ce qui m'arracha un soupir d'aise et de plaisir. J'avais tellement stressé en imaginant ce moment que le moindre contact était une source de plaisir. Je sentais sa bouche avide téter mes seins, ses doigts titiller et tordre en douceur mes tétons. Ils étaient durs comme l'acier sous ce contact masculin. Ses petites torsions me provoquaient un plaisir douloureux. Le genre qui arrache des gémissements de plaisirs.

Cela dura plusieurs minutes. Et sans surprise, j'ai senti son sexe reprendre son érection. Ça me flattait, je dois bien le dire. Il était à quelques centimètres à peine de ma vulve vierge. Je n'aurais qu'à faire un petit mouvement de bassin et à me laisser aller pour que mon ventre soit dépucelé.J'ai faillit le faire avant de me dire que je voulait que ce soit Lui qui mêla baise et non l'inverse. Et qu'il serait fâché si cela se passait comme ça, hors de son contrôle.

Il finit par relâcher son attention de ma poitrine et il planta son regard dans le mien.
« Tu as compris ? »
« Oui Maitre... »
« Donc il n'est plus questions que tu me caches quoi que ce soit, on est d'accord ? »
« Oui Maitre » mais mon sourire aurait pu me dispenser de répondre.
« Lève toi, on va dans la chambre »

Sans attendre, j'ai obéis. Une fois sur place, il m'a indiqué le lit.
« Allonge toi sur le dos »
Une fois en place, je l'ai vu prendre une paire de menottes en cuir. Rose, comme mon collier. Et les attacher à mes poignets. Je me laissais faire docilement, attendant de connaître la suite. La suite ? Mes deux mains furent attachées à la tête du lit. Je me retrouvais nue, allongée, les mains au dessus de la tête. A sa merci. Et cela m'excitait comme une folle.

Puis il sortit un bandeau. Et me le mit sur les yeux. Je ne pouvais plus vraiment bouger, je ne voyais rien, j'étais vraiment à sa merci et je ne pouvais même pas anticiper ce qui allait m'arriver. Une grosse poussée de stress en perspective. Sauf que ses lèvres se sont posées sur les miennes et qu'il m'a dit en douceur « ne t'inquiète pas, je reviens »

J'ai attendu calmement. Qu'aurais je pu faire d'autre de toutes façons ? Je l'ai entendu sortir de la chambre puis revenir. J'ai ensuite senti qu'il venait se placer à mes côtés sur le lit.
« Au fait, tu te souviens de ce fantasme inavouable que tu m'as raconté ? »
« Oui » dis je timidement. Comment oublier ça ? J'en avais honte rien que d'y penser.
« Tu te souviens que je t'ai dit qu'il y avait deux mots en rapport avec ce fantasme que j'aimerais entendre sortir de la bouche d'une femme ? »
« Oui Maitre » Où voulait il en venir ?
« Bien, je ne te baiserai qu'après que tu m’ait dit ces deux mots. Si tu attends trop longtemps, tu seras frustrée. Si tu les dis trop vite, tu seras déçue. Et j'ai dit que je te baiserai après. Pas forcément juste après. Ça pourra être le lendemain, 10 secondes après ou deux heures. Je déciderai quand. Mais après. Ainsi tu as une part de contrôle sur ton dépucelage. Tu as compris ? »
« Oui Maitre » Il voulait vraiment que je lui demande ça comme signe que je voulais être dépucelée, baisée, souillée ? Ça me paraissait à la fois totalement fou et totalement normal quand on y pense. Et comme à chaque fois, ça faisait monter la température dans mon ventre. Ouai, je suis totalement dingue... une vraie folle en matière de sexe.

J'étais encore en train d'y réfléchir quand une brûlure intense mais ultra brève toucha mon ventre. M'arrachant un cri. Mais plus de surprise que de douleur. La brûlure avait instantanément disparue. Mais une seconde puis une troisième vinrent vite la remplacer autour de mon nombril. Suivi d'autres, sur mes cuisses, sur ma poitrine. Je criai quasiment à chaque fois mais ce n'était vraiment pas de la douleur. Et franchement, je trouvais ça super bon. Oui, je suis folle. Faut encore que je le répète ?

« Tu as l'air d'aimer la cire »
C'était donc ça ? De la cire de bougie ? Oui, j'aimais plutôt ça je ne pouvais pas le nier.
« Oui Maitre »

Mon attention tentait de se concentrer sur la prochaine goutte de cire, son point de chute que je ne pouvais anticiper à cause du bandeau. Aussi, quand j'ai senti sa main venir se poser au dessus de mon sexe ouvert et trempé, j'ai à peine réagit. A peine remarqué que ce n'était pas juste sa main.

La vibration qui envahit alors mon bas ventre et la zone sensible de mon clitoris me prit autant par surprise que la première goutte de cire. Et les cris devinrent alors de véritables gémissements de plaisir. Des feulements de chatte en chaleur. Je ne sais pas ce qui provoquait ses vibrations mais c'était tout bonnement divin. Les gouttes de cire ne faisaient que provoquer des cris plus aigus et plus fort au milieu de mes rugissements.

« Visiblement, l’œuf vibrant te plaît aussi » et je l'entendis rire.
« Ooouuuiiiiiii.... » fut ma seule réponse intelligible.

Il me torturait avec la cire, avec cet objet magique, avec sa perversité. Et j'adorais ça. J'adorais ça. Mon orgasme arrivait à vitesse grand V et il promettait d'être exceptionnel ! En moins de 5 min, j'ai senti mon corps se contracter et l'orgasme me déborder. J'ai du hurler comme une folle, je me suis arc bouté sur son lit. S'il avait mis une caméra, je suis sur qu'on se serait cru dans l'exorciste ! Surtout que quand j'ai joui, il a fait couler la cire en flot presque continu sur mes tétons. Le truc de dingue ! Je pense que ses voisins ont du aimer !

J'ai mis plus de 5min à redescendre et pourtant, il a retiré l’œuf d'entre mes cuisses dés que mon dos s'est effondré sur le matelas. J'ai vraiment cru que j'allais défaillir tellement c'était bon. Et vous voulez un secret ? Ce n'est même pas meilleur orgasme qu'il m'ait donné en 10ans. Sur le podium... mais pas le meilleur....

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