Le journal d'une Vierge soumise - 5

La peur fait partie du sexe. Surtout quand il est intense et bestial. Surtout quand on est vierge. Cela est donc compréhensible. Tout comme les conséquences de cette peur. Même si on la comprend.

Proposée le 2/09/2024 par GuiNancy

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Thème: Femme soumise
Personnages: FH
Lieu: A la maison, intime
Type: Histoire vraie

Chapitre 4 – Peur et conséquence

Bon, il va falloir que je vous raconte un épisode dont je ne suis pas très fière. Pas heureuse de le faire mais pas le choix. C'est ça l'honnêteté.

Après ce premier rendez vous, il était convenu que nous nous revoyons la semaines suivantes (oui, entre son emploi du temps et le mien, c'était la meilleure solution). La semaine d'après, j'enfilai la tenue demandée. Très simple. Petite robe d'été, un string, un soutif et rien d'autre. Après quoi, je sortais de chez mes parents et direction le bus. Comme la dernière fois quoi. Mais pas vraiment.

Car dans ma tête, c'était différent. Différent car j'avais goûté aux plaisirs. Différent car je savais ce qu'était un sexe d'homme pour l'avoir eu en main et en bouche. Différent car ce dépucelage brutal que je souhaitais, j'avais maintenant une idée de ce que pourrait être en vrai. Et s'il me faisait toujours autant envie, il m'effrayait aussi. Ce qui n'avait jamais été le cas auparavant.

Je m'étais masturbée pendant la semaine. Sans parvenir à me donner autant de plaisir que celui procuré par ses doigts. Mais quand même. Et j'avais encore une fois imaginé la bestialité de cet acte. Pour être sincère, je l'avais imaginé encore plus bestial que d'habitude. La bestialité absolue même. Cette idée, ce fantasme, me traînait dans la tête depuis très longtemps. Et je lui en avais parlé. Mais nous y viendrons plus tard.

Et c'est justement cela qui m'effrayait. J'avais une idée de ce que cela pourrait être en vrai. Et le fait que mes envies soient encore montées d'un cran malgré tout.

J'étais donc dans le bus, tout cela en tête. Sans m'en rendre compte, je descendais pour mon changement. Et tandis que j'attendais le second bus, j'ai paniqué. Oui, j'ai paniqué. Car je savais qu'il était probable que j'y passe aujourd'hui. Qu'il me baise, qu'il me défonce et me traite comme Sa chienne. Et il aurait raison. Je lui ai demandé, c'est ce que je voulais. Mais....

Mais quoi ? Mais étais je prête là tout de suite ? Oui, je le voulais. Je n'avais pas changé d'avis sur ce point. Je doutais juste sur le moment. Après tout, j'avais pris une première leçon très agréable. Ne pourrait il pas y en avoir d'autre avant ça ?

J'étais là, assise seule sous un abribus. Seule avec mes peurs. Le bus passa devant moi sans que j'y fasse attention. Je ne savais pas quoi faire. Je n'avais qu'une seule certitude en fait : je ne voulais pas ça aujourd'hui. Et mon état d'esprit avait tellement changé que je n'étais pas prête pour une séance de sexe que mon bas ventre désirait pourtant si fort une heure auparavant.

C'est à ce moment là que je reçu un message de sa part. Il a toujours eu le don du bon moment et de l'à propos. Je ne sais pas comment il fait, mais il a toujours su agir au moment juste. J'avoue que c'était rageant certaine fois.

Ce message me faisait remarquer mon retard. Je regardais mon téléphone sans savoir quoi répondre. Comment lui avouer mes doutes ? Comment lui expliquer ça sans qu'il ne me prenne pour une gamine ? Sans risquer de le perdre ? Car j'étais sure d'une chose, je ne voulais pas le perdre. Je ne pouvais juste pas aujourd'hui. Mon ventre s'était bloqué, mes jambes s'étaient tétanisées.

Son message était arrivé depuis plusieurs minutes (et un second bus était passé) quand j'en reçu un second.
« Une attaque sournoise de stress ?;) »
C'était exactement ça. Il l'avait compris. Il l'avait même anticipé comme il me le révéla plus tard. J'ai juste pu répondre « désolée... ».
Sa réponse pleine de compréhension me fit chavirer.
« Ne t’inquiète pas c'est normal. Le contraire m'aurait presque inquiété. Rentre chez toi tranquillement. On se voit la semaine prochaine, même jour, même heure, même tenue ?;) »

Je n'avais rien eu besoin de lui expliquer qu'il avait compris. Et franchement, qu'aurais je pu attendre de plus, de mieux, de cet homme ? Une semaine avant je ne l'avais jamais vu, un mois et demi plus tôt nous n'avions même jamais parlé. Et là, il me comprenait presque mieux que je ne me comprenais moi même. Qu'aurai je pu espérer de plus de cet homme dont je n'attendais en finalité que la bestialité du sexe ? Rien, en vérité rien.

Je suis donc rentrée chez moi, penaude et honteuse presque. Honteuse de ne pas avoir pu assumer mes envies et mes demandes. C'est en voulant laver cette honte que le lendemain, je lui envoyai une vidéo. Une vidéo de moi, nue, dans mon lit, me masturbant en l'appelant. La caméra placée dans l'axe de mes cuisses ouvertes. Jamais je n'aurai imaginé faire ça un jour. Mais j'avais envie de me masturber, de lui faire plaisir et de lui enlever toute idée de se séparer de moi (oui, j'avais encore cette crainte en tête).

Il me remercia de ce « joli cadeau » tout en précisant qu'il avait hâte de me faire crier en personne et non plus par l'interposition de mes doigts.

Ainsi, la semaine suivante aucune hésitation. Je pris le bus, puis le suivant et j'arrivais chez lui toute souriante et fière de moi. A peine entrée, il me fit m'agenouiller. Sans attendre son ordre, je relevais mes cheveux et il mit mon collier autour de mon cou. Je n'aurai pu être plus heureuse après l'épisode de la semaine précédente.

Il me fit me relever, déposa un doux baiser sur mes lèvres puis m'attira vers le canapé. Il s'assit sur le canapé tout en me laissant debout face à Lui.
« Je comprends parfaitement ta réaction de la semaine dernière. Je ne t'en veux absolument pas. Mais tu comprends je pense que cela nécessite une action de ma part. Non pas une punition mais je ne peux pas laisser ça sans réagir »
Je ne comprenais pas où il voulait en venir mais je dis « oui ».
« Viens t'allonger. En travers de mes jambes. Sur le ventre »

Je ne comprenais pas exactement ce qu'il voulait mais j'ai essayé de lui obéir du mieux. Il corrigea ma position et ma posture. De manière à ce que mes fesses se trouvent au bord de ses cuisses. Et donc parfaitement mise en valeur par leur cambrure. Je réalisait ce qui m'attendait quand il retroussa ma robe jusqu'au creux de mes reins.

Je frémissais à l'idée de ce qui s'annonçait. Une fessée. Ma première fessée d'adulte. Ma première fessée sexuelle. Il ne perdit pas de temps. Sa main droite s'abattit sur ma fesse droite. Pas trop forte mais assez pour m'arracher un petit cri. Je ne pouvais le voir mais je devinais son sourire suite à ce cri.

Puis, le geste recommença. Encore et encore. En rythme. Un bon moment sur ma fesse droite. Suffisamment pour la faire rougir. Suffisamment pour que je sente la chaleur. Suffisamment pour m'exciter et rendre mon sexe humide. Suffisamment pour que mes cris soient mêlés de plaisirs.

Il changea de fesses alors. Mais avant de faire rougir ma fesse gauche, il glissa sa main entre mes cuisses. Et découvrit le tissus de mon string trempé. Ce qu'il ne se priva pas de me faire remarquer en riant. J'aurais du avoir honte mais non. J'aimais trop ça. Et en plus, si c'était la conséquence de mes errements de la semaine passée, c'était tant mieux.

Son travail recommença sur la fesse gauche. Elle ne mit pas longtemps pour me faire sentir sa chaleur elle non plus. Mon joli petit cul devait être bien rouge. En tout, la fessée dû durer une dizaine de minutes. Une dizaine de minutes plaisante de douleur et atroce de plaisir.

Une fois son travail terminé, il se contenta de me dire : « Allez à genoux. Et montre moi que tu n'as pas oublié comment on suce son Maitre »

Je ne me fis pas prier même si je devais prendre quelques précautions tellement mes fesses étaient sensibles après l'action de sa main. Mais en moins d'une minute, j'avais sa virilité bien raide entre mes lèvres et sa main derrière ma nuque. Plus ferme que la dernière fois mais pas au point de me contraindre.

Il se délecta de ma bouche en me traitant de chienne, de salope, de pute. Puis, encore sans prévenir, il se vida entre mes lèvres. J'avais un peu mieux anticipé cette fois. Je pris tout en bouche sans difficulté et encore une fois, j'ouvris la bouche pour lui montrer le contenu avant de tout avaler et de lui sourire.

Fière d'avoir su le garder malgré la semaine passée, fière d'avoir pu subir sa fessée sans craquer, fière de lui avoir encore une fois donné du plaisir avec ma bouche. Fière de moi et fière de l'avoir Lui pour Maitre.

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