Bon, vous l'avez deviné. Je me retrouve à faire la pute sur un trottoir. Je voulais vivre des expériences, je vais être servie. En bien comme en mal... mais en plaisir aussi.
Proposée le 27/12/2024 par GuiNancy
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Thème: Femme soumise
Personnages: FH
Lieu: Parking
Type: Histoire vraie
Chapitre 25 – Une pute, juste une pute (fin)
J'en menais vraiment pas large sur mes escarpins, en train de remonter le bitume dans une rue sombre. Surtout qu'il était déjà dans le parking. J'étais seule. Dans cette minijupe affolante. Les filles se trouvaient au bout de la rue, une centaine de mètres devant moi. J'avançai lentement. Je m'apercevais que je n'avais pas anticipé beaucoup de choses.
Comment les filles accepteraient elles une « concurrente » ? Quel prix demander ? Et pour quelles prestations ? Mon cul était un non formel mais le reste ? Je devais accepter et refuser quoi ? J'étais à deux doigts de paniquer, de descendre dans le parking, de remonter dans sa voiture et de le supplier de partir. J'étais vraiment au bord de le faire quand la première voiture a ralenti à ma hauteur, vitre passager baissée.
J'ai pris une grande inspiration, sorti le plus beau sourire dont j'étais capable à ce moment là et je me suis penchée vers la vitre ouverte. Pour découvrir un mec dans la cinquantaine, alliance au doigt. Le genre bon père de famille.
« Salut, c'est combien ? »
« Tout dépend. Je vaux combien à ton avis ? » Ça c'était vraiment purement la question que je voulais poser et la raison de ma présence sur ce trottoir.
« Je sais pas.... 50 ? »
50 ? Il se foutait de moi ou quoi ? Je ne valais vraiment pas plus ?
« Tu ne peux pas faire mieux ? »
« Les autres ça leur va... »
« Les autres te font quoi pour ça ? »
Le moment de poser cette question. J'en saurai plus grâce à lui.
« A ce prix, je me fais sucer et je les baise »
Je ne sais pas ce qui m'a pris de poser la question suivante. Mais elle est sortie naturellement.
« Tu gicles au fond de la capote à ce prix là je parie ? »
« Euh... oui... pourquoi ? »
« Et si c'est dans ma bouche que tu giclais, je mériterais combien ? »
« Vraiment ? » il semblait surpris « là je dirai 100 »
« C'est mieux. Et si j'avale en prime ? »
« Tu es sérieuse ? »
« Oui. Alors ? »
« Qu'on soit bien d'accord, tu me suces sans capote, je te baise.... »
« Avec capote ça »
« Oui oui bien sur... et à la fin je te gicle tout dans la bouche et tu avales. C'est bien ça ? »
« Oui »
Là je l'ai vu me regarder comme un bout de viande. Et il semblait aimer ce qu'il voyait.
« 150. Ça te va ? »
150 pour 10 minutes au pire. 900 de l'heure. Ça me semblait plus raisonnable. J'avais une vraie valeur sexuelle apparemment. Surtout pour une pute sur un trottoir.
« Ok »
« Tu montes ? »
« Non, descend dans le parking. Niveau -2 je te retrouve en bas ». On avait convenu que je ne monterai pas dans les voitures et que le « travail » se ferait en dehors des habitacles, dans un recoin isolé et sombre. C'est Lui qui avait pensé à ça. C'était trop risqué de me retrouver enfermée dans une voiture. Et on avait « visité » le parking dans l'après midi.
« Ok, je t'attends en bas »
Il fit descendre sa voiture dans le parking et j'ai pris la direction du niveau -2. Rapidement, j'ai repéré la voiture de mon Maitre. Puis celle de l'autre, du client. Je l'ai rejoint, mes talons claquaient au sol. Il est sorti de la voiture quand je lui ai fait signe et je l'ai amené dans le coin prévu.
Rapidement, sans que je demande, il m'a donné l'argent. Que j'ai mis dans mon sac. Bon, là plus moyen de faire demi tour. Un coup d’œil autour de moi pour m'assurer que personne ne nous surprendrait et je m'agenouillais. Il déboutonnait son pantalon pour sortir sa bite. Pas encore excité on dirait.
Il fallait que je m'active, d'abord avec main puis avec ma bouche, pour le faire bander. Mais ce ne fut pas trop long. Il était correctement monté. Mais sans plus.
« Tu as quel âge ? »
« 25ans »
« Comme ma fille.... »
J'avais envie de jouer. Et si ça le faisait gicler plus vite, tant mieux.
« Vraiment ? Étudiante comme moi ? » et je levais la tête vers lui en disant ça, la langue sortie, tendue au contact de son gland.
« T'es étudiante ? »
« Oui. Et ta fille ? » je le reprenais en bouche entre chaque réponse.
« Aussi... en droit »
« Hmmm ok »
« Et toi ? »
« Je garde ça pour moi... mais qui sait, je connais peut être ta fille... » et je le reprenais en bouche pour vérifier si j'avais vu juste. Ce qui était le cas. Car je le sentais plus dur dans ma bouche. Visiblement, ça l'excitait bien. Il gardait le silence alors j'ai décidé de continuer.
« Ne me dis pas que tu n'as jamais maté le cul d'une copine de ta fille ? »
« Si si.... »
« Rassure toi, on sait toutes que les pères de nos copines nous matent » ce qui n'était pas faux.
« Petite salope.... »
« Non, je suis une pute... rappelle toi »
« Oui une pute... »
« Tu vas tirer une copine de ta fille et lui remplir la bouche de sperme. Ça t'excite j'espère »
« Si tu savais.... »
Vu que je le savais, j'ai sorti une capote de mon sac et je l'ai enfilée sur sa bite. Avant de me relever, de lui tourner le dos, de me pencher en avant et de retrousser le peu de jupe qui cachait mon cul. Et là j'ai entendu ce que j'entendais souvent :
« Putain quel cul ! »
« Allez baise moi comme une pute. Fais moi ce que les copines de ta fille t'inspire »
Et en moins de temps qu'il ne faut pour le dire, il enfila sa bite dans ma chatte que j'avais pris le soin de caresser en le suçant. J'étais donc assez humide pour l'encaisser sans trop de difficulté. Ce qui était préférable car je l'avais vraiment bien excité. Il m'attaqua directement à grand coup de rein.
« Tu t'appelles Nina hein petite salope... »
J'ai de suite compris que c'était le prénom d'une copine de sa fille qui devait l'exciter plus que les autres.
« Oui, c'est moi Nina... baise moi bien, je le mérite... »
« Tu fais la pute hein Nina... si Chloé savait ça... »
« Chloé le sait » et j'ai tourné la tête vers lui « c'est moi qui lui ai appris comment faire ça... tu ne m'en veux pas trop ? »
« T'as appris à ma fille à faire la pute ? »
« Oui... et elle aime ça... comme moi... »
Et là, le déchaînement de bestialité fut démentiel. Il m'a baisé tellement fort que j'ai du vraiment m'appuyer totalement contre le mur. Je gémissais sans retenue. Il m'agrippa par les cheveux pour me tirer la tête en arrière.
« Putain oui, baise moi, baise la copine de ta fille... j'aime ça... j'aime être une pute pour toi, le père de Chloé... baise Nina et salie moi »
Moins de deux minutes après, j'étais à genoux, sa capote avait volée et il se vidait dans ma bouche. Je le regardais ensuite dans les yeux pour déglutir son sperme. Il était pressé de partir après ça.
« Tu n'es pas étudiante hein ? »
« Si si je le suis »
« En droit ? » Il semblait moins bien assumer son envie de tout à l'heure.
« Non pas en droit. Mais j'étais sérieuse quand je disais qu'on avait toutes conscience que le père de nos copines nous matent le cul »
« Faut dire, avec un cul tel que le tien.... »
« Merci »
Et sur ces mots, il repartit de son côté et moi je retournais sur le trottoir. Je me tenais assez loin des autres filles pour éviter les problèmes. J'ai vu un mec s'approcher de moi. Un trentenaire, maghrébin. Faisant plutôt sale. Pas vraiment appétissant. J'ai préféré tourner la tête pour ignorer son approche. Mais lui n'a pas ignoré mes longues jambes.
« Salut »
« Salut »
« C'est combien ? » Comment éviter ce mec dégoûtant ? Franchement, je ne suis pas raciste mais ce genre de mec me repousse. Autant demander le max pour le jeter tranquillement.
« 150 »
« 150 ? Pour faire quoi ? »
« Je te suce avec capote et tu me baises. Rien de plus »
Il a gardé le silence, m'observant et me détaillant de la tête au pied comme un boucher regarde un morceau de viande avant de dire :
« Ok »
Et merde.... je pouvais encore le jeter. Mais il me faisait un peu peur. Vraiment pas le genre de mec que j'aime. Je me suis dit que je serais plus en sécurité près de mon Maitre dans le parking. J'ai pris donc la direction du sous sol avec mon « client » aux basques.
Arrivé au bon endroit, j'ai pris l'argent et hop, à genoux. J'enfile une capote sur sa queue et j'attaque. Là je savais vraiment ce que devait vivre les putes. Je voulais vivre une expérience. J'étais servie. Le premier était pas mon genre mais pas dégueulasse. Presque plaisant avec son histoire de fille. Mais ce mec là me dégoûtait vraiment. Juste le pognon et rien d'autre.
Sa queue était pas démentielle non plus, loin de là. Ça passerait parfaitement dans mon ventre ensuite. 2 minutes dans ma bouche et je me relevais. Jupe retroussée, penchée en avant. Et là, pas un mot. Il m'agrippa par les hanches et en avant. C'était purement mécanique. Loin de la bestialité dont j'avais l'habitude et que j'aimais tant. Il coulissait plus en moi qu'autre chose.
Pour la première fois j'ai vraiment totalement du simuler. Ça m'est déjà arrivé en club. Mais jamais avec Lui. Bon, je n'arrivais pas systématiquement à l'orgasme mais c'était toujours bon avec lui. Donc les gémissements et consorts sortaient tout seul. Et en club, ça m'arrivait avec un mec qui avait du mal à se lâcher. Mais là, je voulais juste abréger le truc. Comme une vraie pute en fait. L'expérience était complète.
Je devais être bonne parce qu'en 5 minutes à peine, il se vidait dans la capote. Et 1 minute après, il me laissait sur place, sans même un au revoir ou un merci. Un vrai gentleman en plus d'être dégueux.
Bon, j'avais eu ce que je cherchais. Je savais ce que je valais et pour le coup, j'avais poussé l'expérience jusqu'à la réalité. Je m’apprêtais à retourner le retrouver à la voiture quand je me suis dit que deux, ça faisait court comme expérience. Je suis alors remonté, rejoindre ma portion de trottoir.....
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