Quand un fantasme un peu dingue devient réalité. Là encore, c'est la première partie d'une histoire assez longue. N'hésitez pas à me faire part de vos commentaires, ça motive l'écriture. ;)
Proposée le 4/12/2024 par GuiNancy
Nous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Femme soumise
Personnages: FH
Lieu: Autres lieux publics
Type: Histoire vraie
Chapitre 24 – Une pute, juste une pute
Notre histoire à 3 se passait bien. Je m'occupais de Sophie pour notre plus grand plaisir mutuel. Et il disposait de tous les détails, y compris les plus scabreux. Et lui jouait avec elle à l'occasion. Sophie me racontait là aussi tous les détails. Et comment son cul avait du mal à encaisser sa bite. Mais comme je l'ai dit, Sophie serait un spin off plus qu'autre chose. Elle apparaîtra à l'occasion.
Là, on va parler d'autre chose. Une de mes envies les plus sombres. Les plus inavouables. Mais que je lui avais forcément avouée. Car je ne lui cache rien. On avait abordé le sujet un jour quand je lui ai parlé d'une copine de fac. Clara. Clara était boursière, une bonne bosseuse mais un peu trop fêtarde. Surtout quand on a pas trop d'argent.
Le genre de fille passe partout. Mignonne plus que jolie. Une paire de seins pas dégueux, un cul pas trop mal. Assez grande. Un peu sportive mais pas trop. Et le genre de fille pas trop sélective avec les mecs. Elle aimait s'envoyer les mecs mais comme toutes les filles un peu coincée question fric, elle avait du mal à se mettre en valeur question tenue et style.
Jusqu'au jour où tout a changé. Un jour, on a remarqué qu'elle portait au pied une paire de chaussure de luxe. Vous savez, celle avec la semelle d'une couleur particulière. On a été surprise mais un cadeau, c'est toujours possible. Sauf que peu après, elle s'est mise à porter des vêtements de marque voir de marque de luxe. Là, il y avait un problème.
Bon, comme on est pas des idiotes, on a vite compris que la possibilité la plus importante pour une jeune étudiante pas moche et aimant le sexe, c'était de se vendre. Faire la pute. Jouer l'escorte. Appelez ça comme vous voulez mais c'est ça. On était choquée. Mais sincérement, au fond de moi, ça a réveillé des envies.
En fait, c'est pas tant l'idée de faire la pute qui m'excitait. Je n'avais vraiment pas besoin d'argent et question sexe, j'étais plus que satisfaite. En qualité comme en quantité. C'était l'idée de savoir combien des mecs seraient prêt à payer pour mon corps. A quel montant serais je évaluée ? Y aurait il des volontaires ? Et combien ? Franchement c'était ça qui m'excitait. Et aussi l'idée qu'une fois qu'ils auraient payés, je serais à eux et que je servirais à assouvir leurs envies. Mais ça, c'est quelque chose que je connaissais déjà.
Donc voilà, un soir autour d'un verre, on a discuté fantasmes. Un bon préliminaire ça honnêtement. Et je lui ai parlé de celui là. Il l'a compris. Il a compris l'idée derrière tout ça. Surtout qu'il savait parfaitement quel rapport j'avais à mon corps (et ma poitrine notamment). Même si depuis que je le connaissais, depuis que j'étais Sienne, je me sentais mieux de ce côté là. Son regard sur moi y était pour beaucoup. Mais je n'étais pas bien avec moi même pour si peu.
Il m'a simplement répondu que si un jour, j'avais une idée réaliste pour aller au bout de mon envie, je devais lui en parler. Il serait ouvert sur le sujet. Car rien ne se ferait sans son accord. Bon, je me faisais déjà passer dessus (oui, c'est cru mais c'était vraiment ça et rien d'autre) par d'autres hommes en club.
Mais là, ça serait différent. Car il ne serait pas là. Et surtout, il ne voulait rien avoir à faire avec ça le jour J. Pour ne pas qu'on puisse l'accuser de quoi que ce soit. Ce qui peut se comprendre même si je n'y avais jamais pensé.
J'y ai ensuite réfléchi mais sans vraiment y réfléchir. Le genre d'idée qui traîne en tête sans trop y penser. Jusqu'au jour où on s'est fait un long week-end en amoureux dans une ville à plus de 2 heures de chez nous.
En rentrant du restaurant direction sa voiture, on est passé sans le savoir dans une rue à putes comme on dit. J'ai vu les filles sur le trottoir, les mecs qui s'arrêtent. J'ai même vu dans quel parking les filles descendaient avec le client pour travailler. J'ai tout noté mentalement. Et il a remarqué mon silence.
« Tu as l'air bien pensive... »
« Tu sais à quoi je pense »
« Oui. D'ailleurs, je sais que tu as des tenues qui vont parfaitement avec ce genre de prestation dans ton armoire »
« Oui. C'est toi qui m'a acheté tout ça en plus »
« Je sais »
On est rentré à l’hôtel (un hôtel assez luxueux, un ancien château) et après une nuit de baise bien hard et intense, on s'est endormi l'un contre l'autre. Et le lendemain au petit déjeuner, j'abordais le sujet.
« Tu sais à quoi je pense donc ? »
« Oui bien sur. Tu as une idée à me proposer ? »
« Oui. Des petits achats aujourd'hui. Et ce soir, je pourrais être sur ce trottoir. Et toi en voiture dans le parking »
« Dans le parking ? »
« Je sais que tu ne veux rien à voir avec ça par précaution. Mais ça me rassurerait beaucoup si tu étais dans ta voiture dans le parking. Tu n'interviendrai qu'en cas de problème. Tu m'entendrais crier et tu serais un bon samaritain »
« Tu as pensé à tout on dirait »
« Oui, j'espère en tout cas »
« Tu es vraiment décidée »
« Oui. C'est l'occasion ou jamais. Et franchement, j'y pense trop »
« Bien. Et on achete quoi aujourd'hui ? »
« J'ai une de mes mini jupes avec moi et des bas. Il me manque des escarpins et un haut très court je dirai. Ça plus un peu de maquillage car contrairement à toi, je pense que ces hommes vont apprécier un rouge à lèvre bien pute »
« Et des capotes aussi ? »
« Oui bien sur. Je n'y avais pas pensé mais oui évidemment »
Il prit le temps de réfléchir avant de me répondre.
« Mon dieu qu'est ce que j'ai fait de toi » dit il en souriant
« Que veux tu dire ? »
« Tu étais vierge, une fille de bonne famille, étudiante, sage, innocente. Et ce soir, tu veux faire le trottoir »
Ces mots m'ont un peu bouleversés, j'avoue. J'ai pris le temps pour lui répondre de la manière la plus honnête possible.
« Tu n'as rien fait de moi qui ne serait pas survenu sans toi je pense. Ça se serait même déroulé bien plus mal que ça si ça avait été un autre je pense. Avec toi, j'ai toute la partie plaisir sans les risques. Et tu sais même m'arrêter quand c'est nécessaire. Non franchement, j'étais destinée à être celle que je suis. Et un autre aurait sûrement beaucoup plus abusé de ma naïveté. Et j'aurais peut être fait des choses que je n'aurais pas vraiment voulu. Alors qu'avec toi, ce n'est que des choses que je veux. Non, je n'ai aucune raison de te blâmer. Je dois plutôt te remercier. Merci, de tout mon coeur »
Je savais qu'avec ces mots je venais de le toucher au cœur. Et de le décider. Mais ces mots étaient 100% sincères. Il le ferait pour moi, parce que je le voulais et qu'il voulait que je m'épanouisse. Son baiser fut la meilleure des réponses.
Voici comment je me retrouvais en mini jupe, avec des escarpins, un haut découvrant mon nombril, du rouge à lèvre visible dans le noir ou presque tellement il était provoquant en train de remonter un trottoir à la nuit tombée.....
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