Le journal d'une Vierge soumise - 21

Un petit jeu. En public. Mais sans que personne ne le sache. C'est toujours plaisant non? Ai je gagné? Oui, j'ai gagné. Mais on peut dire qu'on a gagné tous les deux à la fin...

Proposée le 12/11/2024 par GuiNancy

Thème: Femme soumise
Personnages: FH
Lieu: Autres lieux publics
Type: Histoire vraie

Chapitre 20 – Un œuf (pas au plat) au restaurant

Cette histoire là se déroule quelques semaines après le club je crois. En tout cas, c'est après. Bon avant de la raconter, il faut quand même revenir un peu sur tout ça. Et sur la période qui a suivie.

Notre relation après ça était différente. Pas en mal. Juste différente. Plus intense. Plus de connexion entre nous, plus d'intimité. Je n'avais déjà quasiment aucun secret pour Lui. Mais après ça, je n'en avais plus du tout. S'il était capable d'accepter ça, de comprendre mon besoin d'autre, il pouvait tout comprendre.

D'ailleurs, techniquement parlant, il n'avait rien eu à comprendre. Il l'avait anticipé. Il avait lu dans mon esprit pour comprendre ce dilemme que j'avais en moi. Et je lui étais reconnaissante pour ça. Car je ne sais pas si j'aurai osé lui en parler. Et il n'est pas impossible qu'un jour j'aurai fini par craquer et le tromper. Et tout perdre. Le perdre.

Donc voilà. Évidemment, dans nos jeux et nos pratiques sexuelles, rien n'avait changé. Enfin si, un peu quand même. Nous envisagions tout haut des jeux, des pratiques, des défis qu'on aurait possiblement pas abordé avant ça. Par crainte de la réaction de l'autre ou d'aller trop loin.

Mais hormis ça, j'étais une bonne grosse chienne et il me défonçait comme telle. Et en plus, je l'allumais souvent pour le provoquer. Que c'est bon comme jeu. Mais ça sera d'autres histoires.

Ce soir là, il avait décidé de m'emmener au resto. Je portais une petite robe d'été. Le style agréable à porter, pas trop sexy mais agréable à regarder malgré tout. Le tout avec un petit string en dentelle rouge et le soutif assorti.

Je portais mon collier public. Mais avant d'arriver au restaurant, il a arrêté la voiture sur le bord de la route. Et il a sorti l’œuf vibrant. On l'utilisait souvent dans nos jeux. Surtout quand j'étais attachée au lit, incapable de résister. Mais là, il voulait jouer autrement. Ça se voyait dans ses yeux. Et son sourire.

« Tu sais quoi en faire »
« Oui. Avec plaisir » et j'avoue que l'idée de ce qui m'attendait ensuite me faisait plaisir.
J'ai pris l’œuf et de la manière la plus allumeuse possible, j'ai retroussé ma robe, écarté mon string et j'ai enfilé ce jouet dans mon intimité. J'étais doucement humide donc il glissa facilement. Puis il reprit la route.

Je connaissais ce restaurant. Un endroit sympa, un peu isolé en sortie de ville. Un bon restaurant, pas un truc étoilé et guindé. Mais un bon restaurant quand même avec des serveurs en chemise blanche, des plats raffinés et goûteux et une ambiance calme et cosy.

Une fois sur le parking, il vint galamment ouvrir ma porte. Et déclencher pour quelques secondes mon jouet. Ce qui me fit tressaillir de manière imperceptible. Sauf si on sait ce qu'il se passe. Rapidement, nous fumes à notre table.

Un jeune serveur s'occupait de nous. Mon âge à peu prés. Et mignon. Le genre qui aurait parfaitement pu me plaire. Si je n'étais pas satisfaite et heureuse d'être à Lui. Ce qu'il remarqua. Il déclencha encore l’œuf pour quelques secondes seulement. Pour jouer. Et chercher à me troubler.

Le serveur nous apportait nos apéritifs quand il le déclencha une troisième fois. C'était plaisant. Très plaisant. Il le maintenait à une puissance minimale. De quoi réchauffer mes entrailles agréablement.

Une fois nos commandes passées et seuls, il me fit part de son idée du jour.
« Il te plaît ce petit serveur ? »
« Il est pas mal. Mais je préfère les hommes aux gamins comme tu le sais » J'étais sérieuse en disant ça même si je l'ai dit sur un ton léger. Il aurait pu me plaire. Et le conditionnel est très important dans cette phrase.
« Tu aurais peut être aimé qu'il soit au club la dernière fois ? ». Lui aussi disait ça d'un ton léger. On jouait. C'était évident et amusant.
« Peut être. Mais lui aurait aimé, c'est sur »
« Oui, c'est probable. Je te propose un défi pour ce soir »
« Je t'écoute ». On y venait. Je savais que ça allait finir par un défi. Et j'avais hâte d'en connaître la teneur.

« Je vais jouer avec toi via l’œuf toute la soirée. J’appellerais le serveur comme bon me semble. Si à un moment il te demande si tout va bien, tu devras te l'envoyer. Dans ce restaurant. Dans les toilettes je pense. Mais à contrario, je te déposerai chez toi sans te toucher ce soir »
« Hmmm et dans le cas contraire ? »
« Dans le cas contraire, tu décideras où et comment je te baiserai sur le chemin du retour »
« Intéressant. Je présume que tu préfères que je résiste »
« Oui... Mais tu me connais, je vais tout faire pour te faire céder. Et lire ta défaite sur ton visage. Par défi »
« Ma soirée va être plaisante alors » et mon sourire taquin fut interrompu par un nouveau déclenchement.

Le repas se déroulait de manière très agréable. Il était bon, mon compagnon était très agréable (je vous ai dit qu'il était cultivé et très curieux, donc éclectique dans ses choix de conversation?) et mon bas ventre montait lentement en température. Le serveur passait régulièrement à notre table et jusqu'à maintenant j'avais réussi à me tenir. Malgré le fait que l’œuf ne soit plus du tout sur la puissance minimale quand il le déclenchait.

On venait de nous apporter les desserts quand j'ai commencé à avoir plus de mal à me tenir. Et il l'a vu. Il a fait signe au serveur qui s'approchait alors de moi par derrière.

« Vous pourriez nous apporter deux cafés ? »
« Oui monsieur. Noir ? »
« Oui, noir pour moi. Et pour toi ma chérie ? »
Il faisait varier l'intensité dans mon bas ventre de manière importante et rapide. Il s'amusait à faire durer la conversation.
« Euh... oui noir pour moi... aussi »
J'avais faillit échapper un micro gémissement. Le serveur me regarda alors bizarrement. J'attendais, enfin plutôt nous attendions de savoir ce qu'il allait dire.

Après une petite hésitation et une seconde, il finit par dire :
« Bien. Deux cafés noirs alors »
Et il nous laissa. Je venais d'échapper à la défaite. Et à me faire baiser dans les toilettes de ce restaurant. Ce qui fit sourire mon Maitre.
« Bien. Le défi est terminé et tu as gagné. Je stoppe tout »
Il s’apprêtait à arrêter l’œuf quand je lui dit :
« Laisse le tourner à puissance minimale. Ma soirée n'est pas finie »
« Avec plaisir »

L’œuf vibrait doucement dans mon ventre et après qu'il ait réglé l'addition, nous reprenions la route.
« Alors, tu as une idée de « où » pour commencer ? »
« Oui. Ça te dérange de rouler un peu ? »
« Non du tout. J'ai le plein en plus »
« Tu te souviens de la clairière du pique nique ? »
« Ah oui... je vois bien. Et bien, direction l'aire de pique nique »
Et il prit la route en question.

Il y avait une bonne vingtaine de minutes de route. Que je mis à profit. En retroussant ma robe et en jouant ouvertement avec mon clitoris, me caressant sans aucune pudeur et ne faisant rien pour retenir mes gémissements de plaisirs. Tout en le provoquant verbalement avant d'enlever l'oeuf juste avant qu'il ne se gare.

Une fois sur place, il ne restait que la pleine lune comme témoin. Je suis sortie de la voiture, j'ai fait glisser ma robe le long de mon corps et quand il m'a rejoint, je l'ai pris par la main. Nous avons avancé un peu et je me suis allongée dans l'herbe.

Je l'ai invité à me rejoindre. Il s'est allongé sur moi et je lui ai fait comprendre ce que je désirais. En collant ma bouche à la sienne.

Notre étreinte fut passionnée, tendre. Et puissante. Il est évident que j'ai pris les coups de reins bestiaux que j'aimais tant et qui lui donnait tant de plaisir. J'ai joui. Mais pour la première fois, j'avais l'impression que nous faisions plus l'amour que baiser. Même si sincèrement, les coups de reins que j'ai encaissé pourrait faire croire le contraire.

Mais jouir avec la tête dans le creux du cou de mon Maitre, mon homme et l'embrasser au moment où lui se délivrait dans mon ventre, quel délice....

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Commentaires de l'histoire :

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