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Inès 10

Inès essaie d'en savoir plus sur son patron. Mais ce n'est pas sans contre partie. Va-t-elle devenir plus entreprenante ? Va-t-elle mieux se connaitre elle même ? S'assumera-t-elle toujours en salope exclusive ?

Proposée le 1/11/2024 par Vincent20100

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Thème: Couple, passion
Personnages: FH
Lieu: A la maison, intime
Type: Fantasme


Tandis que Bruno prépare le dîner, Inès fait un premier compte rendu de la mise en application de son apprentissage. Cindy la félicite par SMS interposés : « Bravo ma chérie. Une bonne salope se doit de bien sucer. S’il est content, c’est que tu suces bien mais il faut diversifier tes techniques ».

Inès ne sait pas encore quels conseils va lui donner sa besta. Mais elle lit attentivement les messages de sa complice. Cindy a toujours plein d’histoires à raconter. Elle parle souvent des histoires sexuelles qu’elle a avec ses amants, rendant Inès curieuse.
En commençant à baiser avec Bruno ce vendredi, Inès était submergée d’émotions. Elle ressentait bien plus de plaisir qu’avec son copain. Et Cindy lui avait dit « tu vois je te l’avais bien dit ».

Inès avoue s’étonner d’accepter de dire à Bruno qu’elle est sa salope et sa pute. Le premier jour elle avait pris déjà du plaisir. Contrairement à son mec, Bruno bande dur. Chaque coup de rein est un mélange de fermeté, chaleur de cette délicieuse union. Elle n’aurait jamais cru se laisser aller avec Bruno, du moins pas avant avoir rompu, mais Inès était dominée par ses pulsions animées par Bruno et entretenues par Cindy.
Elle a accepté de mettre les tenues parce que l’envie instinctive de plaire à Bruno était déjà plus forte que la voix de sa conscience forgée par son éducation morale. Elle aime que son patron la regarde comme une friandise avec laquelle on s’imagine se régaler.

D’un côté, la petite apprentie se sent très en confiance avec son patron. Il lui donne envie d’apprendre et de prendre du plaisir sans complexe. D’un autre côté, elle a honte de son manque d’expérience et a peur de se montrer gourde avec lui.

La veille de leur week end, donc le soir de leur première baise au bureau, elle avait regardé pour la première fois un porno toute seule. Jusqu’ici elle ne regardait qu’avec Cindy, et encore parce que sa besta insistait pour lui montrer de nouvelles choses et la convaincre que son copain n’était pas imaginatif ni assez attentionné avec elle. Et que cerise sur le gâteau il était irrespectueux et égoïste.
Elles regardaient des pornos pour femmes. Jusque-là, Inès était gênée. Curieuse quand même, mais gênée. Inès pensait que les pornos étaient pour les obsédés et les salopes de service. Mais ce soir-là elle avait regardé pour se donner des idées avant le week end et ne pas se retrouver sans savoir quoi faire. C’est en voyant une vidéo qu’elle avait voulu faire ventouse avec la bouche sur la bite de Bruno. Et cela plait vraiment à son professeur de sexe. Le prochain objectif d’Inès c’est de lui masser les couilles pendant une pipe, comme elle a vu dans les films. C’est un conseil que Cindy lui avait donné. Mais Inès ne l’avait pas encore suivie. Elle ne se sentait pas encore assez sure d’elle. Mais les félicitations de Bruno et le film de la veille l’ont convaincue que c’est une expérience à tenter. En pensant à ce qu’elle s’apprête à faire, l’apprentie salope ressent un picotement dans le bas du ventre.

Bruno la sort de sa rêverie et de ses échanges avec Cindy en l’appelant à table.
Au cours du repas, elle s’ouvre à son amant. Mentalement cette fois ci. Jusqu’ici elle lui a ouvert ses cuisses, là elle lui ouvre son esprit.
Inès s’est tout de suite rendue compte que la sexualité avec son mec n’était pas satisfaisante, que Cindy avait en partie raison. Mais elle ne voulait pas encore se l’avouer. La journée du samedi l’a fait basculer complètement. Elle prend son plaisir. Bruno peut être ferme ou un peu brutal, il n’est pas violent. Il reste respectueux, même quand il la traite de salope ou de pute. Ce qui excite Inès.
Bruno l’écoute avec attention et sourit car il apprécie qu’Inès prenne son pied autant que lui.

- Et toi Brune Brune ?
- Brune Brune ?
- Oui ! ça te va bien ! Glousse Inès.
- OK… c’est toujours mieux que le « monsieur Bruno » que me sert ta copine curieuse et vicieuse.
- Tu ne me dis rien ? ça te plait notre relation d’apprentissage ?
- Tu rigoles ? Je me régale ! J’ai rencontré une fille sage qui s’est avérée être une petite garce timide et qui au fil du temps devient une sacrée salope comme on en croise rarement.
- C’est de ta faute, c’est toi qui fait tout pour ! Se défend Inès en gloussant et en le regardant de ses yeux pétillants.

Bruno est à la fois délicat et coquin comme il peut être ferme et bestial, mais il comprend qu’elle veut en savoir un peu plus sur lui. Ce n’est pas ce qu’il avait prévu. Il s’imaginait baiser à plus soif. Mais écouter son apprentie s’ouvrir à lui l’incite à en faire de même. D’ailleurs Inès insiste pour le faire parler, elle lui demande si il a formé d’autres apprenties comme elle.

- Non ma petite choute, tu es ma première élève.
- Sérieux ? J’avais l’impression que tu en avais d’autres avant.
- Les femmes que j’ai rencontrées avant toi avaient soit de l’expérience soit je leur appris ce que j’aimais. Mais tu es la seule avec qui j’ai eu un contrat d’apprentissage du sexe et pour qui je donne des leçons de façon un peu formelle et petit à petit.

Inès poursuit l’interrogatoire, elle veut paraitre sereine lors de la prochaine pipe de Bruno mais elle est inquiète de la réaction de son patron. Celui-ci l’encourage depuis le début, contrairement à son copain, ce qui la met immédiatement en confiance. Mais elle ne sait pas si lui caresser les testicules est une bonne initiative. S’il n’aime pas que fera-t-il ? Il criera ? Il se fachera ? Non pense-t-elle, surement qu’il lui mettra une claque sur une joue, un revers sur l’autre, puis, il lui empoignera les cheveux pour ramener la bouche sur la queue et se servira de sa tête comme jouet sexuel. Du coup elle ne réessaiera pas. Et s’il aime ? Alors surement qu’il lui caressera les joues ou les cheveux, qu’il l’encouragera en la félicitant. Inès sourit à cette idée.

L’apprentie regarde Bruno. D’un regard qui ne le laisse pas indifférent. C’est qu’Inès a le don d’avoir un regard qui lui donne à la fois un air sage et salope. C’est ce regard pétillant et lubrique qui l’a attiré. Son corps aussi bien sûr. Mais son regard et son esprit jouent un rôle important également.

Bruno accepte donc de se dévoiler un peu à Inès. Il veut lui faire comprendre comment il en est venu à être à l’aise à traiter ses maitresses de petite salope ou petite pute.
Il y a quelques années, il avait eu une copine avec qui il baisait à chaque rendez-vous et souvent plusieurs fois dans la même journée. Même s’ils changeaient de position et de rythme, sa copine ne prenait pas à chaque fois son pied. Il ne comprenait pas pourquoi. Quand il posait la question, elle restait évasive. Bruno sentait qu’il manquait quelque chose pour qu’elle se lâche complètement et prenne du plaisir. Elle lui disait tout de même qu’elle était contente. Il faut dire qu’au début Bruno avait fait des efforts pour se perfectionner sur les cunnis, ce qui plaisait beaucoup à sa copine, Tania. C’est d’ailleurs surement cela qui a fait durer leur relation.

Pour lui, c’était une relation de rêve. Il pouvait la baiser quand il voulait. Chaque fois qu’il venait la voir, il suffisait qu’il lui caresse les fesses ou les seins pour que quelques minutes plus tard, elle écarte les cuisses. Et alors il lui caressait la chatte ou la lui bouffait. Puis, elle lui suçait la queue et soit il la prenait par les bras pour lui faire prendre une position avant de la baiser de bon cœur, soit elle commençait à avoir mal aux muscles de la mâchoire et arrêtait de sucer pour se mettre à califourchon sur sa queue et le chevaucher comme une dingue.

A cette époque il se disait que sa copine Tania était une nympho et qu’il avait tiré le gros lot. Après 6 mois de relations où ils avaient pratiqué différentes positions et lieux, un jour elle lui a demandé si elle était sa pute. Bruno avait alors pensé qu’il la traitait mal ou qu’il avait fait une connerie. Et il lui répondit qu’elle était sa petite coquine à lui. Tania n’avait rien répondu, elle l’avait juste embrassé sur le front. Ensuite ils n’avaient pas baisé. Il y avait un malaise qui s’était installé.

La semaine suivante pourtant, tout avait repris son cours. Il était venu chez elle et pendant qu’ils regardaient une série à la télé, Bruno dit à Tania qu’il voulait faire autre chose. Tania demanda « quoi » ? Bruno répondit, « la même chose que toi ». Alors Tania sourit, rayonnante, les yeux pétillants, se leva face à lui, pointa du doigt le lit et lui annonça « alors emmène moi sur le lit et fais-moi l’amour ». Inutile de dire que Bruno l’avait baisée à satiété ce jour-là.

Pourtant, le soir le malaise se réinstalla. La soirée avait commencé avec des caresses et la tête de Bruno dans les cuisses de la petite nympho. Puis, Tania taillait une pipe d’enfer à Bruno pour le récompenser du cunni qu’elle venait de recevoir. Alors qu’elle le léchait de tout son long, elle s’arrêta pour lui demander en le regardant droit dans les yeux si elle était sa petite pute à lui. Bruno n’avait pas su quoi répondre. Au bout de quelques secondes, elle haussa les épaules, arrêta de le sucer, se mit à califourchon sur sa queue et commença à remuer mécaniquement du bassin sur lui. Tania semblait éteinte.

Bruno avait compris qu’il n’avait pas répondu ce qu’attendait Tania et que le problème venait de là.
Inès écoute avec attention. A la fois parce qu’elle veut en savoir plus sur son amant avec qui elle a appris à boire du jus de pine, mais également parce qu’elle imagine chaque baise avec Tania que lui décrit Bruno. L’apprentie s’imagine à la place de la nympho. Le souvenir du plaisir qu’a pris Inès lors des cunnis et les émotions qu’elle a vécu avec Bruno refont surface. La petite apprentie sent de nouveau des picotements dans le bas ventre. Elle mouille et veut se sentir remplie. Que son patron introduise en elle son dard pour éprouver l’apaisement qu’elle ressent quand il est en elle.

Le patron s’est interrompu dans son récit. Il ne veut pas s’ouvrir plus pour le moment. Il veut juste exciter Inès et jouir de son corps. Le professeur craint qu’en continuant son histoire son apprentie perde un peu de sa libido. Alors que c’est l’inverse, cela ouvre son imagination.

Après une nouvelle douche, Inès en nuisette sexy choisie par Cindy rejoint Bruno déjà au lit torse nu et en short. C’est une nuisette noire épousant ses formes féminines, s’arrête à peine en dessous des fesses et monte tout juste au-dessus des tétons. Inès n’ose pas trop bouger brusquement de peur que la nuisette ne remonte au-dessus de sa croupe ou qu’un mamelon ou un sein ne s’expose. Ce comportement nonchalant mais déterminé donne une allure féline à la petite brune, ce qui anime Bruno qui ne souhaite qu’une chose : que la nuisette ne remonte au-dessus de la croupe d’Inès ou qu’un mamelon ou un sein ne s’expose !

La jeune et pétillante apprentie se mets à genoux à côté de son professeur, assise sur ses talons, sa poitrine saillante maintenant tant que mal la nuisette capricieuse en position. Inès sourit en se disant qu’elle n’aurait pas dû écouter Cindy. Mais le regard de son patron lui fait changer d’avis.
Inès demande à Bruno s’il peut poursuivre son histoire. Il lui répond que ce sera demain. Déçue, son élève fait la moue en forçant le trait. Bruno ricane. L’apprentie insiste en posant ses mains sur le torse de Bruno. Celui-ci fait non de la tête en fronçant les sourcils, pour lui signifier que sa réponse n’a pas changé et que c’est toujours lui est le dominant de la relation.
Comprenant qu’elle n’aura pas la suite de cette manière, Inès change de stratégie. Elle est déterminée à connaitre la suite de l’histoire de Tania. Elle va utiliser une technique digne de Cindy. Elle se tient toujours assise sur ses talons mais se penche légèrement en avant, juste un peu pour que la nuisette remonte de quelques millimètres sur ses fesses. Parallèlement, faisant mine de retenir ses seins dans la nuisette, la petite garce brune presse ses deux globes du bout des doigts.

- S’il te plait ! J’ai très envie de connaitre la suite…
- J’ai dit non Inès…

L’apprentie refuse de s’avouer vaincue. Que ferait Cindy ? Mais c’est bien sûr pense-t-elle.
Inès pose l’index d’une de ses mains sur sa bouche, puis, pince la lèvre inférieure entre l’index et le pouce. De l’autre main, elle se caresse un sein.

- Mais j’ai très envie…
- Je vois ça…

Inès sourit. Puisque Bruno ne proteste pas, il faut qu’elle aille plus loin. Elle continue de jouer avec sa bouche en commençant à sucer son index comme elle le ferait avec le pieu de son amant. Inès a remarqué que Bruno bande dans son short. Alors, elle retire la main de son sein et la pose sur le mat à travers le short. Elle glousse de sa témérité.

- Eh bien. Je vois qu’on prend des initiatives petite garce.
- Ça te plait ?
- Continue, je te dirais.

Quel conseil donnerait Cindy ? Inès fixe Bruno dans les yeux et continue de sucer son index de façon obscène. De la main sur le short, elle empoigne la queue de Bruno à travers le short pour commencer à le branler.

- Pas mal petite garce.

Inès se demande pourquoi son professeur ne dit plus « petite salope ». Est-ce qu’elle fait quelque chose de mal ? En tout cas cela sonne comme un effort insuffisant de sa part pour être apprécié.

- Tu aimes hein patron ? Du coup tu me raconte la suite ?

Bruno consent à poursuivre un peu son récit pour l’appâter un peu et l’encourager. Il reprend son histoire.

Les semaines suivantes, ils avaient eu encore quelques rapports. Les seules fois où Tania avait retrouvé du plaisir et de la joie, c’est lors des cunnis et aussi lorsque Bruno lui mettait des claques sur le cul pendant la levrette. Mais là encore, cela ne suffisait plus à Tania. Il eut de moins en moins de nouvelles d’elle.

Bruno interrompt son histoire. Inès s’apprête à demander pourquoi. Elle se rend compte qu’elle a arrêté de branler son maitre de sexe. Celui-ci la regarde fixement, l’air de lui demander ce qu’elle attend. Pour le coup, la petite apprentie se sent gourde. Elle a commencé un truc coquin et elle s’est arrêtée. Voulant à la fois : ne pas décevoir son professeur, avoir la suite de l’histoire et quitter cette ambiance confuse, Inès s’agite fébrilement, ne sachant plus où mettre ses mains, ni quoi faire. Le déclic arrive après quelques secondes. L’apprentie salope attrape le caleçon de Bruno à deux mains et le lui retire. Puis, elle commence à le branler d’une main tout en recommençant à sucer son index de façon polissonne. Quand à son maitre de sexe, il dégage un sein de la nuisette et saisit un téton entre les doigts et le tenaille entre le pouce et l’index exerçant quelques pressions avant de caresser le sein en entier et revenir titiller le téton. Inès lui facilite la tâche, surprise d’être aussi à l’aise à s’offrir ainsi.

Bruno, sentant sa colonne de chair enserrée dans un cocon de doigts féminins chauds et maladroits, poursuit son récit.
Un peu plus tard, donc après la séparation avec Tania, en écoutant des conversations de filles au restaurant, Bruno eut un déclic. Certaines filles aimaient qu’on les traite de petite garce, petite salope voir petite pute. Cela les excitait, comme d’autre mots crus. Il comprit donc un peu tard ce que Tania voulait : qu’il la traite de salope et de pute pendant le sexe. Depuis ce jour, quand Bruno sent qu’une femme veut ce traitement, il l’administre sans hésitation. Sauf avec Inès. Au début, il a hésité parce qu’elle est bien éduquée et se cachait derrière un masque moral fort. Mais une fois le masque tombé, il a compris qu’il ne lui faut pas reproduire avec Inès l’erreur qu’il a commise avec Tania.

Inès s’arrête de branler Bruno. Avec cette histoire elle comprend que Bruno veut faire ce qu’il faut avec elle pour lui faire plaisir. Pour lui donner ce qu’il n’a pu donner à cette Tania. Inès se sent unique. Elle seule bénéficie d’une vraie communion d’esprit et de corps avec Bruno. Elle veut lui montrer que contrairement à Tania, il se débrouille très bien avec elle.

Elle se redresse, enjambe son amant pour se mettre à califourchon sur son sexe tendu. Bruno savoure ce conduit chaud et humide qui enserre son gourdin délicieusement. Son apprentie salope sourit. Elle a gagné. Il est à elle. Et cette fois c’est elle qui domine le sexe et qui a l’initiative. C’est une victoire qu’elle savoure. Elle commence à le chevaucher, monte et descend, ses fesses claquent contre les cuisses de son amant, elle halète de plus en plus fort. Petit à petit, elle ne s’occupe que de son plaisir. Inès sourit. Elle prend son pied à son rythme et a poussé Bruno à raconter son histoire.
Tandis que la coquine brune joue toujours les cavalières émérites, son professeur se redresse pour se mettre assit en tailleur. Inès ralenti le rythme, surprise que son amant ne se laisse pas plus aller.

- C’est bon ce que tu me fais petite salope.
- C’est vrai ?

Inès est souriante et radieuse. « Petite garce » sonnait comme une déception à son oreille. Alors que « petite salope » sonne comme un remerciement sincère. Elle sent avec cette appellation que son amant prend du plaisir.

- Oui c’est vrai. Tu me chevaucheras souvent je pense.
- Ah oui ? Dit-elle le sourire en banane, heureuse d’être à l’origine de ce bonheur sexuelle.
- Oui ma petite salope, mais pas ce soir.
- Comment ça ?

Avant même de répondre, Bruno attrape Inès sous les fesses et la lever pour qu’elle s’éloigne. L’apprentie brune est confuse. A-t-elle fait quelque chose de mal ? Manifestement non car Bruno sourit en la regardant comme une gourmandise.

- Et maintenant ?
- Enlève ta nuisette tout doucement.

Inès glousse, elle passe sa main sous sa nuisette et la soulève lentement pour la retirer. Une fois le tissu au-dessus de la tête, Bruno attrape le vêtement et le fait voler à l’autre bout de la pièce. Son élève est à nouveau confuse, excitée et frustrée, ne sachant pas quoi faire, mais souhaitant que son patron la « finisse » soit en lui dévorant l’abricot, soit en la pistonnant comme une chienne.

- T’es ma petite salope ?
- Oui patron, votre petite salope à vous et rien qu’à vous.
- Alors à quatre patte petite salope. Les salopes se font baiser en levrette.

Inès est soulagée, elle glousse. Obéissante, impatiente, elle se met en position devant son professeur. Celui-ci met une claque sur une fesse avant de la pétrir d’une main et une autre claque sur l’autre fesse avant de la pétrir à son tour.

- J’adore ton fessier ma petite salope.
- J’avais remarqué patron.
- Tu as un cul qui me fait bander comme un fou.

Il remet une claque sur chaque fesse. Il pose une main et appui sur le dos d’Inès pour la maintenir cambrée, fesses en l’air et tête contre le matelas. De l’autre main il maintient le bassin de son élève. Il s’amuse à frotter son gland contre la vulve d’Inès. Celle-ci ondule du bassin pour l’inciter à pénétrer. Mais il ricane et la laisse poursuivre. Après deux ou trois tentatives, Inès comprend qu’il le fait exprès. Elle cherche à caler laborieusement son gland à l’entrée de sa chatte et lorsqu’elle sent qu’il est en face, elle recule son bassin pour s’empaler dessus.

- Bonne petite salope… Tu ne pouvais plus attendre hein ?

Le maitre de sexe met une claque sur l’arrière d’une fesse d’Inès pour l’inciter à se retirer. Lorsque le gland est près de sortir, il met une claque dessus pour l’inciter à revenir. Il continue ce manège deux ou trois fois. Un manège qu’Inès suit sans broncher.

- C’est qui le patron ?
- C’est vous patron !
- Et ma petite salope ?
- C’est moi patron.
- Je vais te baiser comme une pute.
- Oui patron, s’il vous plait.

Bruno inspire fortement, appuie d’une main sur le dos de sa salope soumise pour qu’elle reste cambrée, et de l’autre tient son bassin. Il commence à la pistonner rudement. Elle halète à nouveau. Au bout d’un certain nombre de vas et viens, elle semble vouloir relever la tête. Alors, Bruno s’arrête, la laisse se redresser quelques secondes.

- Je vais venir petite salope.
- Ok patron

Bruno attrape les mains d’Inès et les réunit dans le dos pour les maintenir comme s’il la menottait. Puis il reprend ses coups de boutoirs réguliers et profonds. Inès tremble, elle aime tellement cette sensation d’être soumise aux appétits sexuels de son patron. Elle se l’avoue intérieurement : elle aime être guidée et dominée pendant le sexe…

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Commentaires de l'histoire :

Anonyme
J'adore cette petite Inès
Posté le 1/11/2024


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