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Inès, la nouvelle assistante de Bruno - 17

Inès, jusque-là faussement rebelle et mutine, voit en Bruno une présence stable, autoritaire, qui la rassure autant qu’il la trouble. Et Bruno lit en elle ce feu contenu, cette impatience muette qui n’attendait qu’à s’embraser. Affineront-ils leur relation, une relation maître/soumise ?

Proposée le 3/09/2025 par Vincent20100

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Thème: Femme soumise
Personnages: FH
Lieu: Bureau, travail
Type: Fantasme


En début d’après-midi de ce mercredi, la cuisine sent le curry thaï. Inès jette les boîtes en carton, essuie ses doigts avec une serviette en papier. Elle détache ses cheveux, puis s’étire doucement en se levant.
— Tu aimes les plats piquants ? Demande-t-elle avec un sourire en coin.
— C’est stimulant, comme toi. Répond Bruno
Elle hausse les sourcils, mi-amusée, mi-provocatrice, avant d’aller ouvrir la fenêtre. L’air s’engouffre, léger, et soulève légèrement la robe rouge à motifs de fleurs blanches, qui ondule autour de ses jambes.

— Même si je te préfère à poil, cette robe te va bien… Tu aurais pu attendre un peu pour la remettre.
— J’allais quand même pas faire les courses en lingerie ??
— ça ne m’aurait pas dérangé pourtant. Dit-il avant de ricaner.
— Pervers… Répond Inès en fermant momentanément les yeux et en projetant un très large sourire.

L’assistante soulève le couvercle de la cafetière avec précaution. Ses bracelets tintent une ou deux fois et Bruno se place derrière elle, pose ses mains sur ses hanches pour commencer à lui caresser la peau à travers le tissu de sa robe. Celui-ci, léger, ne fait qu’effleurer la peau. Une chaleur paisible se propage sous les fleurs imprimées, comme un murmure silencieux. Bruno s’en doute et pose les paumes de ses mains sur les fesses douces et galbés d’Inès qui ne bouge pas, mais tout son corps réagit la ramenant au souvenir d’autres contact... Une chaleur lente traverse les fibres, un frisson doux qui grimpe sans détour.

— Oui, tu aimes ça hein ? Demande doucement Bruno.
Inès se mord les lèvres pour ne pas répondre avant de lancer finalement une répartie qu’elle voulait s’empêcher de dire.
— Tu parles des caresses ou que tu es un pervers ?
D’une main, le patron pétri fermement une fesse, de l’autre, il empoigne un sein à qui il fait subir le même traitement. Il colle sa tête contre celle de son assistante et lui murmure à l’oreille :
— Les deux…
— Mmm… Oui patron… J’aime les deux…
— Salope…

Inès sourit largement tout en se laissant caresser avec détermination par son professeur de sexe. Elle garde les yeux fermés. Cette absence d’hésitation de son patron la trouble, mais elle aime cette façon qu’il a d’agir avec elle comme si c’était une évidence.
Le tissu glisse à peine entre la main et la peau, trop fin pour faire écran, trop dense pour céder totalement. Inès sent chaque millimètre du contact, comme si la caresse traversait les fibres pour s’imprimer directement sur elle.

Elle sent les mains de Bruno, fermes et alternant entre malaxage et caresses. Il ne demande jamais la permission, parce qu’il sait qu’il l’a déjà. Et elle, dans cette certitude, se sent curieusement apaisée. Chaque fois qu’il pose la main sur elle, Inès se sent désirée. Des images, des émotions et des sensations de leurs ébats des derniers jours submergent son cerveau.

Et puis son corps réagit avant elle. Un frisson la traverse, net, involontaire. Comme si sa peau avait compris avant son esprit. Il va la prendre avec ardeur dans la cuisine. Il l’a déjà prise en fin de matinée dans le bureau juste après le départ du facteur. Rien que d’y repenser, l’apprentie de sexe frissonne, son corps se réchauffe un peu plus, ses joues brûlent et rougissent, un picotement se répand dans son ventre, entre ses cuisses et sa vulve… Elle est prête à l’accueillir encore une fois. Cette situation de ce matin avec le facteur à côté l’a terriblement troublée.

Mais ce moment suspendu se brise brutalement. Le filtre de la cafetière, mal équilibré, bascule. Le marc encore chaud s’éparpille sur le sol dans un bruit vulgaire. Inès sursaute, se recule d’un pas, les joues en feu.

— Je… je suis désolée, murmure-t-elle, déjà accroupie pour nettoyer.
Bruno reste immobile une seconde, comme s’il n’avait pas bien compris ce qu’il venait de se passer. Puis il s’accroupit à son tour, attrape un essuie-tout, et dit simplement :
— C’est rien. Le lino survivra.

Inès tente de vider le filtre dans la poubelle… mais le marc encore chaud la surprend, elle sursaute. Le marc est projeté, rebondit sur le rebord et s’éparpille sur le sol en une pluie sombre et fumante pire qu’avant d’avoir été ramassé la première fois.
— Crotte… soupire-t-elle, figée.

Bruno observe le carnage.

— Comment tu fais ? Chaque gaffe est toujours plus improbable que la précédente.
— C’est un don. Il y a que moi qui peut faire ça. Répond-elle en attrapant un balai, l’air faussement concentré.
Elle nettoie en silence, les joues un peu rouges, mais le sourire aux lèvres. Bruno, lui, reste un instant à la regarder, amusé. Il y a dans cette maladresse quelque chose d’attendrissant.
— Tu auras un gage de plus. Et en attendant, tu vas reprendre où tu en étais ce matin. Ok pour te rhabiller pour sortir, mais tu es dans les locaux maintenant et le gage de ce matin dure jusqu’à la fin de la journée. Dit-il avec autorité.

Inès ne négocie pas et ne dit rien. Elle est déjà troublée et la voix de son patron a été si ferme et résolue qu’elle obéit instantanément. Elle retire rapidement sa robe qu’elle pose sur une chaise de la cuisine. Ne sachant plus trop où elle en était ce matin, elle retire son soutien-gorge également.

Bruno approuve d’un mouvement de tête avant de s’approcher, lui mettre une claque aux fesses.
— Très bien petite salope… Mais je vais mobiliser un gage pour que tu retires ta culotte maintenant.

Inès ne dit rien et obéit immédiatement. Son geste dans lequel elle retire son sous-vêtement est accompagné de la petite résonance de bracelet métallique. Une fois à poil, l’assistante finit de réparer ses bêtises.

Pendant ce temps, Bruno retourne à son ordinateur. Il voit qu’il est bientôt l’heure de son rendez-vous. Il a très envie de son apprentie, mais un peu de frustration devrait leur faire du bien à tous les deux. Plus de désir : tout à l’heure, leur emboitement n’en sera que meilleur.

— Visio dans cinq minutes ! Prévient-il.
— Tout est prêt, il y a juste à cliquer dans l’agenda. Répond-elle en retournant à son propre bureau nue comme un vers avec ses sandalettes aux pieds.

Elle pose rapidement un dossier à côté de lui, puis s’éloigne pour ne pas risquer d’apparaître à l’écran sans rien sur elle. Leurs yeux se croisent. Il n’y a ni geste, ni mot, mais un silence partagé. Ils ont tous les deux très envie de reprendre où il en était. Bruno veut sentir la gaine chaude de la chatte d’Inès qui, elle, veut se sentir pénétrée par sa rigidité.

Bruno ajuste sa chemise d’un geste rapide, puis clique sur le lien de connexion.
— Bonjour ! Lance M. Deval, installant d’emblée une cordialité feutrée. Merci pour votre disponibilité.

Inès sourit, légèrement crispée. Ses joues ont gardé une teinte rosée.

— Merci à vous. C’est votre domaine qui nous intéresse particulièrement, design sonore, identité sensorielle… c’est la colonne invisible d’une marque.
— Vous parlez bien, observe Deval, intrigué. Mais c’est la plaquette qui m’a accroché. C’est votre secrétaire, qui l’a préparée ?

Bruno s’autorise un regard vers Inès. Elle inspire, se redresse un peu sur son fauteuil de bureau. Quelque chose dans son silence trahit une jubilation qui ne demande qu’à s’exprimer.

La visio se déroule. Deval a besoin d’affiner son positionnement et sa communication, pas en modifiant le produit, mais en révélant ce qu’il inspire. Les sociétés de publicités sont hors de prix mais la plaquette d’Inès a suscité l’intérêt. Et même s’il n’en dit rien, sûrement que Deval a entendu la jeune voix suave de l’assistante au téléphone un jour, ce qui a dû piquer sa curiosité. Espère-t-il la rencontrer et faire avec elle ce qu’elle fait déjà avec Bruno ?

Bruno expose les premières pistes. Inès lui a préparé un support pour appuyer le discours : elle y détaille les points faibles du discours actuel de la Maison Deval : manque d'accroche émotionnelle, promesse floue pour les clients, absence de différenciation face aux concurrents. Puis Bruno suggère des axes de repositionnement, storytelling sensoriel, mise en valeur des cas clients, optimisation du message en fonction des cibles.

Deval écoute, hoche la tête souvent. Bruno appuie ses propos, reformule, apporte des nuances.

— Vous êtes exactement ce qu’il me fallait, conclut Deval. Je veux que vous m’aidiez à retravailler tout ça, et à renforcer nos arguments pour nos partenaires et fournisseurs.
Bruno acquiesce. Inès esquisse un sourire. Dans ses yeux, pas de triomphe. Juste la satisfaction sereine d’avoir vu juste. La fenêtre de la visio se referme.

Bruno reste immobile une seconde, le regard fixé sur l’écran noir, puis se tourne lentement vers Inès.
— C’était parfait Inès. Tu as fait exactement ce qu’il fallait.
Elle lui répond par un sourire, mais ses yeux brillent plus fort. L’émotion la traverse entière. Un feu doux, intime.
— Merci. Je… je voulais vraiment que ça marche. Le support, le texte et les couleurs, tout ça… J’ai tout pesé, tout ajusté.
— Eh bien tu as visé juste.

Inès baisse un instant les yeux, comme pour se protéger du trop-plein. Puis elle redresse les épaules, replace ses cheveux derrière ses oreilles. Elle sent son corps frémir, léger. Une chaleur se diffuse et se répand dans chaque recoin, comme si la réussite s’était glissée sous sa peau.

Bruno s’approche, pose une main sur son bras, simple contact. Mais elle, elle sent autre chose, comme un appel muet. Elle pourrait l’embrasser là, sans réfléchir, sans plan. Et ensuite, lui caresser le torse, lui arracher ses vêtements, lui branler la queue en faisant exagérément carillonner ses bracelets tout en lui aspirant goulument la langue pendant leur baiser. Et une fois qu’il serait hyper excité et presque à sa merci, prêt à tout pour jouir, elle le pousserait sur le bureau, monterait sur lui, s’empalerait comme une sauvageonne et le chevaucherait comme une furie, une cowgirl en manque de sexe. C’est que pendant la visio, son excitation n’est pas retombée, au contraire. La frustration de ne pas être pénétrée alors qu’elle en avait monstrueusement envie, mélangée à la satisfaction montante de la fierté d’avoir réussi à obtenir un contrat la remue.

Elle ne fait rien. Elle tourne juste la tête vers Bruno, son regard brille, pétille, comme un appel au sexe « baise-moi ! Baise-moi comme une chienne en chaleur tout de suite ».
Ses yeux parlent mais aucun mot n’est sorti de sa bouche. Elle se caresse un bras d’une main alors que l’autre s’engouffre naturellement entre ses cuisses comme le font de nombreuses femmes. Elle est à poil, elle pourrait se caresser devant son professeur de sexe. Mais elle reste là, la tête haute, l’air impatient, les joues allumées d’un rose franc.

Bruno ne dit rien. Tout est là dans les yeux de son apprentie : une compréhension silencieuse. Tout y est déchiffré au niveau intime. Il comprend en un instant : il sait, il lit en elle. C’est comme la première fois où il l’a prise il y a plusieurs jours déjà. Quand elle avait attaché ses cheveux, dégageant son visage en rassemblant ses cheveux à l’arrière en haut du crâne, et les avaient attachées en queue de cheval.

Le patron se rappelle de ce moment, où elle finissait de se recoiffer, leurs regards s’étaient croisés. L’instinct du maître de sexe avait rapidement interprété cette coupe et ce regard comme un message « je suis disponible pour le sexe. »
— Tu te rappelles notre première baise ? Lui demande-t-il en lui caressant la joue.
Inès sourit naïvement. Et secoue lentement la tête pour bien appuyer ce souvenir mémorable. Elle réunit alors de nouveau en une queue-de-cheval haute ses cheveux qui suivent le mouvement avec souplesse, dessinant un arc gracieux derrière elle. Une fine mèche retombe de chaque coté de son visage, l’encadrant de façon à renforcer son charme.

Puis, elle pose une main sur l’avant du pantalon de son professeur, sur la bosse dont elle a très envie :
— Et tu… Vous voulez qu’on recommence ? Hein patron ?
Dit-elle d’une voix douce, arrondie par une légèreté juvénile. Le vouvoiement est devenu pour elle, presque un réflexe conditionné au moment du sexe. Elle parle avec cette intonation volontairement innocente, comme une adolescente provocatrice qui tente de charmer sans trop le montrer. Chaque mot semble paré d’une fausse naïveté savamment dosée.

Mais Bruno ne se laisse pas prendre à ce ton, car il voit son regard où, en fait, rien n’est dissimulé. Dans ses yeux, la candeur se fend d’une lueur : elle attend. Elle espère. Elle appelle au sexe.

Son sourire ne masque rien. Il accentue. Elle incline légèrement la tête, comme pour se montrer docile, mais le battement de ses cils, le léger mordillement de sa lèvre… tout, absolument tout, crie la vérité silencieuse : elle veut, sans lui dire avec des mots, qu’il la baise comme la dernière des trainées.

Bruno l’observe, et dans son immobilité, il cherche à la frustrer un peu plus, à la perturber. Il veut maintenir une domination sur elle, d’autant qu’il sait qu’elle aime se faire dominer. Mais sa réaction de ce matin où elle lui a sucé la queue avant qu’il ne jouisse montre qu’elle n’est pas encore totalement docile. La tension monte, pas besoin de mots.

Inès se lèche ostensiblement les lèvres. Bruno pose une main sur la joue de son assistante et enfonce son pouce dans la bouche de son apprentie. Immédiatement, elle tète le pouce de son patron, le colle contre son palais et l’aspire au maximum pour donner un avant-goût de ce qui va suivre et inciter son professeur à la libérer de sa frustration.

— T’as envie hein, petite garce ?

Inès secoue la tête avec exagération. Ce balancement souple fait danser sa queue-de-cheval comme une approbation silencieuse. Son regard déborde. Brillant, fixe, s’ouvrant de plus en plus comme sa chatte, d’où un ténu filet de mouille commence à couler.
Ses sourcils se haussent légèrement, sa bouche se retrousse dans une esquisse de moue contrariée, l’air de dire « Je t’attends, qu’est-ce que tu fais ? » sans le moindre son.
Elle joue. Elle provoque. Elle est gagnée d’une impatience féminine assumée, vibrante, tendre et nerveuse à la fois. Elle est là, offerte, dans le feu que son corps contient. Et ce feu, Bruno le sent clairement. Il sourit.

Ce sourire du patron, c’est un feu vert. L’assistante salope détache la ceinture de son patron, lui retire rapidement pantalon et caleçon. Elle ne sait pas vraiment comme cela va se poursuivre. Est-ce qu’il va la prendre sur le bureau ? Est-ce qu’il veut se faire sucer d’abord ? Est-ce qu’il va la lécher ? Inès se dit qu’il faut peut-être lui pomper le dard tout de suite. Le suçage de pouce a semblé avoir fait effet et elle sait qu’il ne résiste pas aux pipes qu’elle lui fait.

Alors sans hésitation, Inès branle en deux allers-retours la colonne de chair de son patron pour s’assurer de sa rigidité. Et elle l’avale comme une banane. Elle suce, aspire, masse cette queue avec sa langue, son palais, ses joues : elle veut le rendre fou. Il se laisse faire et ne prend pas d’initiative. L’apprentie de sexe ne veut pas faire jouir son patron. Elle veut qu’il la baise rapidement, maintenant. Elle a conscience qu’il faut qu’elle le pousse à vouloir la prendre.

Sans réfléchir plus, elle recule la tête et se contente de lécher le gland avant de pencher la tête et faire coulisser sa langue latéralement le long de ce mât comme elle le ferait d’une glace tout en longueur. Une fois ce spectacle terminé, elle s’interrompt et regarde son patron d’un air de chien battu.

— Tu veux quoi, petite salope ?

Elle le fixe les paupières légèrement tombées, la bouche entrouverte, les pupilles dilatées comme si elle quémandait, silencieusement :
— Mais tu sais ! Dit-elle désespérément.

Son maître ricane.
— Ha ! Ha ! Qu’est-ce que je sais ?
Les yeux de la petite brune le fixent. Ses lèvres remuent à peine. Il devine qu’elle dit à demi-mot : « baise-moi ». Le maître de sexe fait lever son apprentie maintenant docile. Il s’assoit à la place de son assistante au bureau qu’elle occupe, au bord du fauteuil et attend.

— Bon… Tu es frustrée hein ? Tu vas m’obéir maintenant ? Tu vas faire ce que je te dis ? Ce matin, je t’ai dit que je voulais juter sur ta petite gueule. Et toi qu’est-ce que tu as fait ? Hein ?
— Pardon, pardon… Je recommencerais plus…

Répond-elle simplement en s’agenouillant et en commençant à le branler pour se faire pardonner. Et presque immédiatement, elle lui dit enfin ce qu’il veut entendre.
Elle le dit avec une pointe de fierté, avec enthousiasme. Inès se dit qu’en se soumettant totalement elle va bien se faire lécher la chatte et ensuite se faire ramoner dans les règles :
— Pardon patron… Je voulais juste vous faire plaisir. C’est parce que je sais que vous aimez trop que je vous suce la queue… Elle inspire et poursuit en se surprenant elle-même de ce qu’elle dit. Son cœur bat la chamade. Vous aimez que je vous pompe le dard, patron… Mais oui je ne vais plus vous frustrer. Vous êtes mon maître de sexe et je veux que vous… Que… Ben que vous me baisiez… Comme une pute, comme une bonne chienne... Même si vous me prenez comme une trainée j’ai trop envie…
— Ok, je te pardonne. Mais puisque tu n’as pas obéi ce matin, tu vas te mettre face au bureau, mains à plat devant toi, et tu te débrouilles pour me chevaucher pendant que je suis assis derrière toi.

Inès sent une forme de déception en elle. La petite brune à poil avec la mouille qui coule le long de ses cuisses voulait se faire baiser sauvagement. Mais voilà que sa mini mutinerie de ce matin lui coûte cher. Elle expire, se résigne. Si elle fait ce que lui dit son maître de sexe, elle obtiendra surement satisfaction plus tard.

Elle obéit, se met face au bureau, dos à lui, les cuisses écartées. Elle commence à s’assoir sur son professeur exigeant et passe une main derrière elle pour s’emparer de ce pieu érigé, guider la pénétration et la contrôler. Bruno profite d'une jolie vue de sa soumise et lui caresse la croupe. Alors que la petite brune s’empale, un début de satisfaction l’envahit. Elle libère un soupir de soulagement et commence un va-et-vient. Elle s'appuie sur les genoux de son patron pour plus d'amplitude.

Elle n’est pas entièrement satisfaite. Elle veut de la bestialité. Sa frustration s’est atténuée, mais est toujours là. Il lui en faut plus. Inès commence à gémir, pas de plaisir, mais d’insatisfaction, pour faire comprendre de façon animale que, oui elle veut faire plaisir à son homme, prouver sa docilité, mais qu’elle veut plus.

Bruno lui met quelques claques sur sa croupe. La docile brunette accélère le mouvement. Après quelques allers-retours, il la repousse sur le bureau. D’une main, il appuie sur sa nuque pour qu’elle reste penchée dessus, de l’autre, il met de petites claques en alternant d’une fesse à l’autre. Il s’arrête pour lui parler.
— Frustrée ? Hein ?... Tu veux que je te baise comme une trainée ?
— Oui ! S’il te plait ! s’il te plait ! Répond-elle avec empressement, sans réfléchir.
— J’aime quand tu me supplies comme ça… Tu te souviens quand tu es venue ici le premier jour et que tu m’as dit en me regardant avec tes grands airs de pétasse que tu n’étais pas une pute ?... Maintenant tu l’es… MA pute ! Retournes-toi !

La petite brunette s’exécute. Elle se retourne et s’assoit sur le bureau. De peur que son maître change d’avis et ne la baise pas, elle empoigne son engin et le branle lentement en accompagnant son geste d’une supplication.

— Pardon, pardon, patron… Je voulais pas vous frustrer, je suis désolée ! Mais je voulais juste vous donner beaucoup de plaisir comme vous m’en donnez.
— C’est bon… C’est oublié… Et dis-moi, ma petite pute. Tu aimes quand je te tiens fermement comme ce matin avec les mains presque liées ?
— Oui ! J’aime ça ! J’aime quand tu me tiens comme ça. Je te sens fort et ferme… J’adore !

Bruno repousse alors la main qui le branle. Inès n’a pas le temps d’être surprise ni de réagir que son patron soulève ses cuisses, elle bascule lentement en arrière et se trouve allongée sur son bureau, jambes en l’air. Le professeur de sexe, plie en deux sa soumise et lui colle les cuisses contre le ventre. Il lui demande de passer les bras sous les cuisses. Puis, il joint les deux mains de son apprentie et les attachent avec la ceinture de son pantalon.

Voilà Inès domptée, les mains liées, les bras coincés dans le plis derrière les genoux, entre ses cuisses, et ses jambes repliées dessus. Elle est prisonnière et totalement offerte, soumise : son vagin est relevé, son fourreau à dard largement ouvert et prêt à accueillir son partenaire dominateur.

Bruno n’attend pas plus longtemps. Il s’insère rapidement, d’un coup. La pénétration est profonde. Un souffle s’échappe des poumons de l’apprentie alors qu’il tape au fond : un soupir long, lourd, comme s’il évacuait toute la tension et la frustration retenue. Son ventre se détend, ses épaules s’affaissent, sa mâchoire cesse de se crisper. Elle ne s’en rend pas compte tout de suite, mais elle est disponible pour le plaisir.
Les coups de piston se succèdent, réguliers, déchainés, brusques et puissants. Les bracelets carillonnent au rythme où ils s’emboitent complètement. Les cuisses du patron claquent le fessier de l’assistante.

Les mains liées, les cuisses enfermées, bougent. Inès ressent le frottement léger de ses seins et surtout de ses tétons avec ses propres cuisses. Ce qui lui donne encore plus chaud et l’excite bien d’avantage. Inconsciemment, la petite salope contracte son périnée, ce qui enserre davantage la verge de son amant et toute la longueur du pénis est en contact avec le conduit et le fond du vagin.

Pourtant, Bruno a un éclair de lucidité. Il pourrait profiter de cet instant pour plus de domination sur elle. Il s’arrête, se retire et immédiatement, la belle brune en queue de cheval le regard de ses yeux suppliant, ses mains attachées bougent frénétiquement.
Elle n’est plus la petite garce du premier jour. C’est une femelle possédée par une faim que son amant seul peut calmer. Elle ressent cette inavouable sensation dans le ventre, une chaleur ardente aux joues, une brûlure entre les cuisses, une pulsation dans les tempes. Le corps réclame, exige, supplie. Et quand enfin la substance, l’objet est là, le soulagement est brutal. Maintenant, elle a besoin qu’il soit orgasmique.

— Non ! continue ! Baise-moi ! Baise-moi ! Je suis ta pute !
Bruno sourit et se réintroduit, mais il reprend à un rythme plus lent. Les doigts d’Inès s’agitent de nouveau, se plient et se déploient, ses mains remuent de façons chaotiques.
— Mmm… Plus vite ! Plus vite ! Baise-moi fort, j’aime ça.
Bruno jubile. Il accélère et reprend ses coups de reins. Il est temps d’associer dans l’esprit d’Inès le plaisir qu’elle prend maintenant avec ses fantasmes à lui de ce weekend. Tout en la besognant comme elle l’exige, avec brusquerie, il lui parle :
— On va bien se régaler ce week-end.
Pour toute réponse, Inès secoue la tête, les yeux fermés et sourire en banane. Elle est lumineuse. Il continue tout en ralentissant le rythme auquel il fait coulisser son dard dans ce fourreau chaud et lubrifié. Il capte toute l’attention de sa soumise.

— Tu seras hyper excitante en tenue d’étudiante salope… Tu vas lécher les seins de ta salope de copine et lui sucer les tétons. Vous vous roulerez des patins et ptet bien que vous vous brouterez le minou… Si tu fais ça bien, je te boufferais la foune comme tu aimes. Et bien évidemment je vous baiserais l’une après l’autre. En attendant, tu me videras bien les couilles tous les jours. Je veux pouvoir tenir longtemps ce week end… Et n’oublies pas tes bracelets de fausse bourgeoise, pétasse !

Chaque phrase est prononcée par Bruno avec une détermination brute, qui s’impose sans troubler son interlocutrice. Le patron ne cherche pas à convaincre, il affirme, décide.

Inès le regarde, absorbée, fascinée. Ce qu’il dit, elle l’entend, mais ce n’est pas le contenu qui l’atteint, c’est la manière. Elle sent son cœur battre fort, sa respiration se caler sur le rythme qu’il impose. Elle ne répond pas. Elle se laisse porter.

Ce qu’elle ressent, ce n’est pas seulement de l’attirance, mais une forme de soulagement viscéral. Être face à un homme qui sait, qui agit, qui tranche sans trembler… c’est ce qu’elle espérait sans jamais le dire. Elle le voit comme un roc, comme un chêne enraciné, cette force qui manque à sa vie trop souvent pleine de doutes. Elle n’a plus à décider, à deviner : Bruno est là, et c’est lui qui tient la corde. Elle pourrait se lover dans cette assurance, s’y perdre même, parce qu’au fond, ce qu’elle attendait depuis le début, c’était précisément ça : quelqu’un capable de lire dans son silence et d’agir sans demander la permission.

Peu importe comment il s’adresse à elle. Elle sait que derrière les « salope », « pute », « pétasse », il y a en réalité un respect caché pour elle et son plaisir. C’est pour ça qu’il lui annonce qu’il va lui bouffer la chatte. Ces mots ne sont là que pour installer et entretenir son autorité, et elle l’accepte de plus en plus. Si elle veut du plaisir, il faut qu’elle suive cet homme sans faire mine de se mutiner comme une enfant. La petite brune secoue la tête avec empressement, faisant danser sa queue de cheval.

Le professeur de sexe ralenti à nouveau et retarde encore un peu le final.

— Tu sais, j’aimerais que tu sois plus qu’une petite apprentie de sexe… Depuis que je t’ai rencontrée je t’imagine m’obéir au doigt et à l’œil pour tous mes fantasmes…
Il se retire, pose son mât tendu sur la vulve d’Inès pour capter son attention malgré son excitation qui a fait d’elle un animal en rut.
— Je voudrais que tu sois ma petite esclave sexuelle… Tu comprends ? Pas juste une petite apprentie à qui je montre des trucs qu’elle connait pas hein. Je veux que tu sois bien docile… Tu pourras toujours dire STOP s’il faut, mais sinon, tu assouviras mes besoins quand je te le demandes… ça veut dire : fini tes gamineries ! Le matin en arrivant au boulot tu suces comme tu l’as fait ce matin. Quand je dis que je jute sur ta frimousse, tu ne cherches pas à deviner ce que j’aime. Tu prends la position comme je l’ordonne et tu t’habilles comme je l’ai exigé. Et si je te dis de te gouiner avec ta pute de copine, tu le feras… Ça te convient ?

Tout se bouscule dans l’esprit d’Inès. Elle veut atteindre l’orgasme, jouir. Mais elle veut aussi faire plaisir à son amant dominant. Pourquoi pas jouer à être l’esclave servile de son maître ? Accepter pleinement l’autorité d’un maître ce serait lâcher prise. Peut-être même nécessaire à son plaisir sexuel, vu qu’elle aime qu’il prenne les commandes. Ce qui impose à Inès de se donner.

Cette fois c’est de son côté à elle qu’un éclair traverse son esprit. Elle s’inquiète et demande :
— Mais tu vas toujours me lécher même si je me suis pas occupée de toi juste avant ?
— Oui, bien sûr Inès. On est d’accord, tout ce que je te demande n’empêche pas que de temps à autre je m’occuperais de toi sans rien demander en échange.
— Et… Si je veux faire… un truc ?
— Tu me demanderas d’abord l’autorisation. Ce sera moi le maître. Toi l’esclave. Mais comme j’aime ton sale caractère, ta petite frimousse de lolita et ta maladresse, tu pourras me proposer des suggestions.

Un soulagement profond gagne Inès. L’idée que Bruno devienne son maître, et prenne les devants, qu’elle ne va penser à rien, juste se laisser faire, laisser aller, simplement lui obéir, lui apporte tout à coup un réconfort. Au fond d’elle, la belle brune avait besoin de ce lâcher-prise. Mais elle ne pouvait pas le dire tellement cela était ancré au fond de son esprit par son éducation.

Peut-être bien que toutes ses provocations, fausses mutineries et gamineries n’avaient pour but inconscient que de pousser Bruno dans ses retranchements et de l’amener à cet instant.

— D’accord ! Répond-elle avec empressement. Je peux déjà demander un truc ?
Lascivement allongée sur le dos, attachée et toujours à disposition, offerte aux ardeurs de son maître, Inès attend avec impatience sa réponse.
— Vas-y. Répond-il simplement.
— Est-ce que vous pouvez continuer à me baiser maître ! Pitié ! Je suis votre esclave, c’est vrai, mais à cause de vous je suis devenue une nymphomane ! Et maintenant j’ai trop envie… Je serais obéissante maître, je ne serais plus désobéissante. Promis !

Bruno la regarde avec condescendance. Elle n’est plus qu’une biche, douce et docile lui offrant son intimité, abandonnant sa pudeur. C’est un abandon à ses pulsions primaires. Il lui répond d’un signe de tête accompagné de l’introduction de son dard dressé dans cette gaine moite et chaude. La brunette soupire. Elle se laisse pénétrer et vit les à-coups virils de son vainqueur comme une récompense. Si des « clacs » viennent rougir son postérieur ce ne sera pas par hasard.

Maintenue et besognée énergiquement par son partenaire, l’esclave sexuelle consentante ne peut bouger et n'exprime sa volupté que par ses cris qu’elle étouffe en fermant la bouche pour que l’entreprise à côté n’entende pas. Sa jouissance est proche de la limite, tellement elle est stimulée depuis tout à l’heure. La tête d’Inès tête se vide. La contrainte lui plait, elle se sent être une petite chose vulnérable protégée par un homme puissant et sûr de lui. Cette position d’infériorité l’excite et toutes ses sensations sont décuplées.

— Ah putain ! Ah putain ! Laisse-t-elle échapper avant de se forcer à fermer à moitié la bouche. Encore maître… Oh salaud… Je suis une nympho… Une nympho salope… J’aime que vous me baisiez, maître… Foooort ! Viiiite… Aaaaah…

Elle est totalement possédée, comblée, remplie. Les frottements bestiaux, intenses, des deux sexes lubrifiés de cyprine mais enserrés est à ce point excitant, qu'il provoque un orgasme conjoint et une détente violente.

Inès libère un long râle. Et remercie son maître.
— Merci maître… Pardon pour ce matin… Demain je serais obéissante… Promis… Je serais une bonne esclave… une bonne pute et je mériterais mes récompenses.

Bruno sourit. C’est gagné. Elle va enfin être docile. Et il a hâte d’être samedi pour voir ce que donnera la partie à trois. Reste à voir si Cindy sera tout aussi obéissante ou si elle finira par suivre plus tard sa propre voie.

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