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Inès, la nouvelle assistante de Bruno – 20

Quel est ce document que Bruno a ouvert depuis le matin ? Inès semble partante pour devenir l'esclave sexuelle de son maître de sexe, mais sur quelles bases ?

Proposée le 29/10/2025 par Vincent20100

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Thème: Femme soumise
Personnages: FH
Lieu: Bureau, travail
Type: Roman


De retour dans le bureau de Bruno, Inès a troqué sa douceur contre son efficacité professionnelle. Un dossier est ouvert sur l’écran de son patron. Des annotations sont prêtes. Elle s’approche sans empressement, comme si tout était normal… mais quelque chose dans ses gestes trahit une attente silencieuse.

Elle passe derrière lui, juste assez près pour que le tissu de sa jupe frôle l’accoudoir. Puis elle s’arrête là, de côté, souhaitant discrètement une présence plus intime. Ses mains effleurent le dossier du fauteuil, mais son attention est ailleurs : sur la chaleur de Bruno, sur un contact possible.

Elle se penche, faisant semblant de lire, son souffle effleure sa nuque, mais elle ne dit rien. Son corps trouve une proximité naturelle tout près de lui, presque collée à son épaule.

Inès cherche à s’imposer physiquement sans en avoir l’air. Mais elle y pense. Intensément.

L’assistante ne parle pas. Elle n’a pas besoin. Debout près de lui, elle se penche un peu plus, juste assez pour que son épaule vienne frôler la sienne, puis s’y coller doucement, en finesse. Son corps reste neutre, mais cette proximité contient une demande murmurée.

C’est une façon de s’exprimer que Bruno connaît sans l’avoir apprise : la communication féminine par le geste, la pression d’une présence qui attend, qui ose, sans heurter. Il ne la regarde pas tout de suite, mais il comprend. Elle insiste sans s’imposer, s’installe dans cette tension fine entre retenue et appel.

Bruno, concentré sur l’écran, garde son regard fixé sur le dossier comme s’il n’avait rien remarqué. Mais il sent tout : le souffle tiède d’Inès, la pression légère de sa présence derrière lui. Il comprend bien le manège mais ne dit rien. Il laisse faire, laisse monter la tension. Il s’amuse à prolonger l’attente, à voir jusqu’où elle ira sans le provoquer ouvertement.

Inès, elle, tente de garder une attitude professionnelle. A ce stade, elle ne sait pas trop si Bruno est trop concentré pour réagir ou s’il le fait exprès. Mais elle trahit sa propre envie : elle se penche un peu plus, ajuste son regard vers l’écran sans vraiment lire, espère une réaction, une main qui se poserait sur elle. Intentionnellement, elle provoque un frôlement à peine perceptible d’un sein qu’elle presse contre son épaule. C’est une sensation de densité délicate, suivie d’une résistance souple, une élasticité contenue.

Bruno, silencieux depuis quelques secondes, sent cette chaleur, cette densité discrète d’un contact assumé. Il n’a pas besoin qu’elle parle : le langage est corporel et irrésistible.

Sans prévenir, il glisse une main derrière le dos d’Inès, attrape doucement son avant-bras, puis la fait pivoter avec tendresse et fermeté. Elle tombe sur ses genoux dans un mouvement souple, mi-surprise, mi-ravie. Ses yeux s’ouvrent grands, son souffle se suspend une seconde.

Elle ne dit rien. La surprise l’a figée. Mais la chaleur du contact, la pression, et le regard que Bruno lui adresse, mi-complice, mi-dominateur, la font fondre sans protester. Elle hésite entre rire et rougir. Mais elle explose.

— Tu es méchant ! Pourquoi tu as pris ton temps ? Tu as fait exprès ! Tu avais bien compris que j’attendais depuis tout à l’heure-là ! Dit-elle sur un ton de reproche teinté de l’émotion de sa surprise et de son impatience.
— J’aime te taquiner. Répond Bruno, le regard plongeant.

Sur les genoux de Bruno, Inès sent que tout s’est accéléré en elle, son cœur bat vite. Elle ne bouge pas. L’émotion la fait vibrer jusque dans sa nuque et ses doigts posés sur ses genoux. Elle serre les mâchoires pour ne pas dire un mot de trop.

Bruno le sent. Il lit dans son regard cette hésitation fiévreuse qu’elle ne se contrôle plus. Alors il ne se précipite pas. Il la canalise avec une douceur experte, comme on apaise un animal.

Il glisse lentement une main sur le haut de son dos, la tient fermement. L’autre main lui caresse les cuisses. Un effleurement suivi d’une saisie, juste assez pour lui faire comprendre qu’il tient le tempo. Inès redresse légèrement son dos, maintenu par la main virile, et tourne ses épaules face à Bruno, le regard piqué d’une fausse contrariété.

Elle mord ses lèvres pour contenir un sourire trop large qu’elle a du mal à contenir.
— Sérieusement, brune brune… Tu fais exprès de me faire attendre comme ça. Tu savais, hein?? Et… Et genre toi… tu continues ton dossier comme si j’étais invisible.

Sa voix oscille entre le reproche doux et la fébrilité gourmande, un mélange de frustration sincère et d’allégresse mal contenue. Elle détourne les yeux une seconde, ses joues sont rougies d’émotion.

Il incline la tête, sans la lâcher, puis l’embrasse à pleine bouche. Une fois libérée de l’étreinte, elle sourit, les yeux brillants.

— Tu as envie, hein ? Demande le maître. C’est pas un peu tôt pour ta récompense ?
— Mais ce n’est pas juste ! Dit-elle avant de joindre ses mains pour le supplier comme il aime. J’ai bien mérité ! Et hier soir les photos et la visio avec Cindy… tout ça m’a donné envie ! Toi tu as bien eu ce que tu voulais ce matin, je t’ai soulagé…
Puis, d’un air faussement boudeur, elle ajoute : « Les petites esclaves sexuelles ont le droit d’avoir du plaisir aussi… »
— C’est vrai… Mais normalement, c’est moi qui décide du rythme… Bon, pour commencer, enlève ta jupe et déboutonne ton chemisier. Si tu veux ta récompense avant la fin de matinée, fais bien ce que je te demande.

Inès écarquille des yeux, réagit comme une enfant à qui l’on promet un dessert. Elle se lève, se dépêche de retirer sa jupe et déboutonne méticuleusement son chemisier.
Bruno sourit devant son enthousiasme. Le cœur d’Inès bat fort. Elle ne cache plus son sourire : ses cunnis qu’il prodigue valent toutes les demandes de son maître.

Inès, sans un mot, retourne s’installer sur ses genoux. Elle le fait comme une évidence, avec douceur. Bruno l’observe du coin de l’œil, sa main se referme instinctivement autour de sa taille. Inès s’installe, légèrement en travers, de dos, de façon à ce que son patron puisse parcourir son corps à son aise. Son souffle est apaisé mais vibrant.

Tournant la tête, son regard guette du coin de l’œil une réaction de son maître. Celui-ci reprend les caresses, une main sur les cuisses, l’autre sur ses seins en passant dans l’ouverture du chemisier et titillant le soutien-gorge.

— Maintenant, dis-moi ce que tu aimes, je veux que tu me dises ce que tu ressens. Ce que ça t’a fait, d’attendre. D’être maintenant là… comme ça.
— Tu sais déjà… murmure-t-elle.
— Discutes-pas.
— Ben… Ce que j’aime… c’est ça… Être là, comme ça… Pas comme une secrétaire ou comme une élève. Mais… comme une femme que tu regardes… qui est tienne, que tu possèdes virilement… Tu comprends ? J’aime quand tu ne doutes pas, quand tu me prends sans demander, sans hésiter, comme si j’étais à ma place contre toi.

Elle marque une pause, ses doigts se referment doucement sur les mains de Bruno.
— J’aime vraiment quand tu es ferme, fort. Quand tu me tiens comme ça… je n’ai plus besoin de penser. J’ai juste à te suivre. Et je sais que je suis en sécurité.

Elle tourne la tête, le regarde. Elle est fragile dans sa franchise. C’est une soumission enveloppée de confiance. C’est un abandon libre, celui qu’on offre à quelqu’un qui inspire l’assurance.

— Tu agis. Tu me guides. Et avec tout ça… je me sens femme. Mais il faudrait juste que même si je suis ton esclave je sois… un peu choyée quand même...
Un sourire discret traverse ses lèvres.
— Et en vrai, tu sais ce que j’aime. Et tu continues à jouer comme si tu ne savais pas.

Inès ferme les yeux une seconde. Ses mains s’ancrent sur les cuisses de son maître, son cœur bat fort, mais son rythme est stable. Elle se mord la lèvre. Elle inspire, et sa voix s’élève, fragile :
— J’avais eu des relations de merde avec des mecs qui s’occupaient pas de moi. Des parents trop stricts… Et maintenant… je suis là... Et c’est bien mieux que ce que j’aurais pu imaginer.

Une transformation dans l’intonation de sa voix marque un aveu plus profond, même si elle le cache derrière son rôle :
— Je suis bien contente de vous faire jouir, maître. Je sais que vous aimez bien m’asperger le visage avec votre jus de pine… Ça vous excite de me dominer parce que j’étais une petite pétasse arrogante quand on s’est rencontrés... Mais maintenant vous m’avez bien remis à ma place. Il n’y a pas de problèmes, j’aime quand vous me guidez… Et... Et quand vous me baisez comme un animal, fort et puissant, ça me fait trop d’effet. J’adore vous avoir au-dessus de moi. J’aurais jamais imaginé avoir une relation où je me soumettrais aux fantasmes d’un maître de sexe, mais en fait j’adore ça, je pourrais plus me passer de ça…

Bruno ne répond rien tout de suite. Il affirme silencieusement sa présence, sa force de détermination. Il glisse lentement une main derrière sa nuque, maintenant leurs visages face à face, l’autre main toujours fermement posée sur une cuisse et glisse lentement vers la culotte. Au contact du coton, il sent qu’elle est déjà trempée.

— Quand tu me regardes comme ça petite salope, je sais ce que tu veux, et que tu me donneras ce que je te demande. T’inquiètes pas, je te guide, je te garde. Tu es à moi comme je suis à toi. Et tant que ça te fait du bien… alors on continuera…

Les caresses du maître se poursuivent. Sans dire un mot, il commence à la choyer, l’embrasser, jusqu’au moment où d’un claquement de doigt, il la fait réagir. Il indique le bureau d’un signe du menton. Immédiatement, Inès se lève, retire sa culotte et s’allonge en écartant les cuisses.

— Prête pour la récompense, petite garce ?
— Oui, oui, maître ! Et je l’ai bien méritée ! Ha ! Ha !
Le maître de sexe prend son temps, caresse l’intérieur des cuisses, la vulve, introduit un doigt, puis deux…
— Alors ? Ma petite salope, on aime ?
— Oui, maître… J’attends plus que votre langue que j’adore…

Le maître ne répond pas. Comme à son habitude, il agit. Il lèche tout autour de la fente, titille, avant d’y engouffrer sa langue. Inès respire plus fort. C’est bon signe, tant qu’elle prend son pied et qu’elle se sent en sécurité, ils jouiront mutuellement l’un de l’autre.

Après un traitement intense et prolongé, Inès joui profondément.

Une fois qu’elle a fait un brin de toilette et s’est rhabillée, avec l’autorisation de son maître, Inès fait un aveu supplémentaire qui vient du cœur.

— C’était bon… Merci maître… Putain, cette langue et cette bite bien raide… C’est à cause de ça que je deviens nympho…
— Tu as encore envie ??
— Ben… Pas tout de suite… Pardon, maître, mais peut-être ce soir.
— Non, ma petite salope. Si ce n’est pas maintenant, ce sera soit demain matin, soit pas du tout. On va réduire la voilure. A partir de vendredi, une fois le plaisir de début de matinée passé, je ne m’occupe plus de toi ni de ta copine avant samedi. Je vous veux toutes les deux bien excitées. Par contre, si j’en ai envie, tu me suces la pine.
Inès fixe son maître de sexe un instant. Elle ne s’attendait pas vraiment à ce retournement.
— Mais brune brune…
— On s’est bien compris ? Esclave ? Ravale-moi ton petit caractère pour le moment. Je veux que tu patientes jusqu’à samedi maintenant. Sauf si entre-temps j’ai une grosse envie qui vient.
— Oui maître, pardon…
— Bon. Lit bien le dossier à l’écran. Après on ira déjeuner, tu réfléchiras et ce soir avant de partir, tu me diras si ça te convient.

Inès est un peu surprise. Ce dossier à l’écran, c’est celui qu’il a ouvert depuis le début de la journée ? Elle s’approche, lit ce document qui ressemble à un contrat. Son nom et celui de Bruno apparaissent. Le début pose clairement les bases.

« Inès, la soumise :
1. reconnaît que son but est d'obéir, servir, honorer et donner du plaisir à son Maître
2. reconnaît par avance que son Maître est souverain, et elle ne contestera à aucun moment ses paroles, ordres et décisions.
3. sera punie de tout manquement aux ordres par son Maître
4. se doit d'être à tout instant disponible pour recevoir les plaisirs et punitions de son Maître
5. accepte que le Maître dispose de son corps à chaque instant et selon son bon plaisir
6. est autorisé exceptionnellement à demander un arrêt d'une pratique ou d'une punition en cours de réalisation en utilisant le mot de code : « STOP ». Elle devra alors immédiatement suggérer une autre pratique ou punition. Le Maître restera libre d'accepter la suggestion
7. La soumise recherchera de façon générale à porter : des tenues féminines et attirantes, mettant en valeur sa poitrine, ses hanches.

La suite du contrat est laissée vague, peut-être bien volontairement. Inès devine que c’est parce qu’elle un côté trop perfectionniste, un caractère qui admet mal qu’elle puisse se tromper, sans compter les nombreuses gaffes qu’elle commet.

La jolie brunette tourne la tête vers son patron et lui lance une mine boudeuse et un regard déçu, le genre de regard qui sait très bien qu’il fera mouche. Bruno hausse un sourcil, amusé.

— Qu’est-ce qu’il y a encore??
Inès répond sur un ton de reproche tendre et d’espièglerie.
— Ben pourquoi il n'y a pas de paragraphe sur les câlins ??… Tu m’as fait parler tout à l'heure, je t'ai dit que je voulais être câlinée et choyée et toi, voilà, tu n'as rien mis !
— Tu sais… ce genre de clause, ça fait un peu… dérapage affectif, non?? C’est censé être un cadre, pas une carte de fidélité.
Inès lève vivement la tête, la bouche entrouverte, les sourcils levés dans une mimique piquée.
— Mais c’est pas juste?! Genre, c’est un contrat à sens unique ton truc en fait ? Je donne et tu reçois ? Mais c’est écrit nulle part que tu dois me donner ce que je veux le plus…
Inès croise les bras et boude comme une gamine qui pique ça crise :
— Ah non ! Moi je suis pas d’accord ! Je m’en fous ! Je signe pas si j’ai pas mes paragraphes !
Bruno soupire.
— Ok, Inès, te mets pas dans cet état… C’est ok, pour la clause d’affection.
— Ben y a intérêt.

Inès garde les bras croisés, mais un sourire taquin commence déjà à se dessiner au coin de ses lèvres, comme si le combat était gagné avant même que Bruno ait fini de céder.

Elle fronce le nez, toujours théâtrale. Bruno rédige les nouvelles clauses.
Bruno, le maître :
1. s’engage à féliciter sa soumise après un effort
2. accepte que le câlin impromptu soit un devoir du maître envers sa soumise.
3. reconnaît que les demandes affectives de la soumise non formulées à voix haute mais exprimées par posture ou regard sont recevables sans recours du maître.
4. s’engage à prodiguer câlins, caresses et gestes tendres à fréquence suffisante pour assurer le bien-être émotionnel de sa soumise

Inès s’installe sur les genoux de Bruno sans fanfare, comme si l’espace entre eux lui appartenait. Son dos se pose contre son torse, ses épaules calées, sa tête venant chercher la sienne dans un geste naturel, une façon de dire « je suis bien comme ça contre toi ».

Bruno tape sur son clavier, concentré, mais un sourire discret se dessine quand il sent sa brunette se coller contre lui, silencieuse mais brûlante, comme une récompense plus grande que le contrat qu’ils étaient censés finaliser.

Pendant qu’il tape, elle lit. Lorsqu’il a terminé, elle jubile :
— Ha ! Ha ! Genre c’est toi le maître, mais je vais quand même t’obliger à faire des trucs.
— Tu veux un maître de sexe ou un distributeur de tendresse ?
— Ben en vrai… Les deux. Hi ! Hi !
Le rire d’Inès, à la fois triomphant et naïf. Une petite victoire spontanée, à mi-chemin entre la malice et l’innocence. Elle ressent une petite fierté, comme si elle venait de piéger Bruno sans vraiment le vouloir, et s’en amuse. Sa tendresse l’emporte.

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