Inès, la nouvelle assistante de Bruno - 18

Le weekend en trio se prépare. Les deux copines Inès et Cindy se retrouvent chez Cindy pour s'accorder sur le déroulement avec un peu de nervosité mais la volonté déterminée à passer un bon moment avec Bruno.

Proposée le 15/09/2025 par Vincent20100

Thème: Exhibition, voyeurisme
Personnages: FF
Lieu: A la maison, intime
Type: Fantasme

En fin d’après-midi, Inès, rassasiée (temporairement) de sexe, reçoit un message de Cindy. Le week end approche et sa besta lui propose de la retrouver chez elle pour trouver sur Internet des tenues pour jouer les étudiantes coquines. Ou plutôt, salopes.

L’assistante, à poil, l’entre-cuisse encore humide et collante, les poignets avec encore les marques de la ceinture qui lui a lié les mains, retrouve son patron dans son bureau pour lui demander l’autorisation de partir plus tôt. Dès qu’il apprend que c’est pour préparer le weekend de débauche, il accepte sans sourciller. Inès s’empresse de faire un brin de toilette, se rhabiller, déposer un baiser affectueux sur une joue de son maître de sexe et lui dire « à demain, patron », avec un grand sourire, et un regard étincelant.

Bruno se l’avoue lui-même. Au-delà de leur relation maître/soumise, il aime bien sa petite Inès. Et réciproquement. Il se dit que cela doit surement booster leur ardeur mutuelle.

Quelques minutes après le départ de son assistante, le téléphone portable sonne. C’est Cindy.
— Bruuuuuuunooo ? Bonjour !
Sa voix est vive, enjouée, un peu trop peut-être. Il se redresse légèrement, surpris, intrigué.
— J’ai besoin de te parler petit pervers. Rien de grave hein ! Juste... Inès et moi on prépare le weekend ensemble ce soir. Genre se synchroniser, s’accorder, s’acheter les tenues qu’il faut, se mettre d’accord, tout ça quoi.

Bruno reste silencieux. Elle continue.
— On va aussi choisir le gloss pour te taper dans l’œil, nos maquillages, vérifier nos parfums... tu vois le tableau.

Bruno esquisse un sourire discret, le portable calé contre son oreille.
— Oui, j’imagine que toutes les deux vous vous faite un petit briefing entre filles.
Cindy explose de rire à l’autre bout du fil, un rire franc, un peu moqueur.
— Crois-moi, c’est pas juste un briefing. C’est la préparation de l’année. Tenue, mascara, vernis assorties, opération séduction, version haute précision… Tu les veux tes petites étudiantes coquines ?
— Oh que oui. Et bien salopes comme il faut.
— Ah ben c’est clair que des étudiantes comme celles de ce weekend ne sont pas là pour faire du tricot.

Cindy n’est pas juste une copine bavarde. Elle prépare psychologiquement le mâle qui la satisfait. Elle prend une voix aigüe de petite lolita :
— Du coup, patron, je sais pas si on aura le temps de se voir ce soir. Désolée. Mais promis je me rattraperais !

Bruno est un peu déçu. Mais d’un autre côté, il est un peu claqué. Il a bien profité de son assistante et, maintenant, il n’a pas vraiment d’énergie tout de suite.
— Et tu sais comment ? Demande-t-il.
— Ben… J’y ai pas encore réfléchi pour être franche. Mais comme c’est moi qui te fais faux bond et que l’autre soir au parking tu m’as traitée comme une pute à ta disposition, disons que demain soir je serais comme une escort girl : tu décides, j’exécute… Tu pourras me ramoner comme tu veux.
— Tu triches, petite salope… Je t’aurais ramonée et baisée comme une pute de toutes façons.
— Ha ! Ha ! Oui sûrement… sinon quoi ?
— Ben ça me parait évident. Tu vas préparer le weekend avec Inès. Donc fais-moi un petit reportage photo. Ou vidéo. Je veux voir comment vous vous préparez.

Cindy ne comprend pas. Elle prend un timbre haut perché, presque naïf, comme si elle voulait adoucir l’annonce par sa surprise elle-même.
— Mais on n’aura pas encore les costumes, patron !
— C’est pas grave, montrez-moi les coulisses. Vous allez pas juste faire des essais maquillages et parfums ? Vous allez commander vos tenues ? Et après ? Entrainez-vous un peu à vous cajoler, vous câliner comme deux étudiantes timides. Embrassez-vous et léchez-vous les nibards pour pas hésiter comme des pucelles et rire connement comme des cruches samedi.

Cindy rit derrière le téléphone, un rire nerveux, peut-être un peu trop aigu.
— Tu veux les répétitions ? Mais… Putain c’est chaud ! Tu nous demandes de jouer les lesbiennes en direct ? Pervers !

Après un petit ricanement gêné, Cindy reste silencieuse une seconde. Elle comprend que derrière cet humour en décalé, Bruno installe son tempo.
— Tu as promis que tu te rattraperais ? Non ? Alors montre-moi comme Inès, que tu tiens tes promesses.

Cindy se mord la lèvre, un peu prise au piège. Elle le sent : Bruno ne plaisante pas tout à fait. Il attend une confirmation, comme un chef d’orchestre qui ne hausse jamais la voix mais dont personne ne discute la mesure. Elle inspire doucement, et laisse tomber, presque dans un murmure :
— Ok, ok… t’es fort, hein. Je vois comment tu fais craquer Inès. C’est chaud… Mais ok, t’as pas tort non plus, on va pas faire les godiches samedi… Bon, je vais essayer de convaincre Inès, c’est pas sûr qu’elle accepte.
Bruno rit et avoue que l’autre jour, elle a fait une visio téléphone pendant qu’elle était sous la douche, donc ce ne sera pas totalement une première pour Inès. Cindy étouffe un petit rire, surprise, amusée.
— Non ? Sans déconner Bruno ? Elle m’a rien dit… Elle a fait ça la petite sainte nitouche ? Oh la petite salope ! Mais jamais elle aurait fait ça avant… Bon ok, Bruno. Prépare-toi pour le spectacle de ce soir : Deux copines deviennent lesbiennes en coulisses !

Puis elle raccroche, avec ce petit rire en bout de ligne, un ricanement grivois. Bruno n’en doute pas. Il est tombé sur deux nymphos, deux salopes qui ne demandaient qu’à être révélées, dirigées, guidées dans leur quête de plaisir. C’est sûr, il a tiré le gros lot avec ces deux-là.

Pendant que Bruno rentre chez lui, l’esprit encore imprégné de l’échange avec Cindy, les filles se sont retrouvées à l’appartement de Cindy. Il y a un trac partagé entre les filles, discret mais réel, qui serre les ventres. Le jeu demandé par Bruno n’est pas banal.
Cindy a détendu l’atmosphère avec deux verres à pied, légèrement trop grands pour ce qu’elles vont y verser.

Les verres tintent doucement. Le vin rosé glisse lentement sur leurs lèvres. L’atmosphère se relâche. Un peu. Juste assez pour que le stress redevienne de l’excitation

Elles reparlent des quelques pelotages de seins à travers la robe au lycée et l’université pendant le BTS. Les deux copines s’observent leurs poitrines qui tendent leurs robes et les rendent fières. C’est sûr que leurs melons fermes plaisent à Bruno. Il est temps de faire ce qu’il faut pour faire plaisir au maître de sexe et mériter en retour une récompense orgasmique.

Cindy effleure un bras d’Inès, remonte doucement le long de l’épaule. Ensuite, elle caresse sa joue et tente de l’apaiser avec des mots.
— Tu te rappelles quand on s’était embrassées parce qu’on avait trop bu ?
— Ouais… murmure Inès, un sourire timide aux lèvres.

Elles rient de façon complice, un rire chargé de tendresse un peu floue qui revient quand les souvenirs et le vin réchauffent l’esprit et le corps.

Cindy pose ses doigts sur la nuque d’Inès pour la rapprocher. Leurs bouches sont à quelques centimètres. Leurs lèvres douces sont de plus en plus près avant de se coller l’une à l’autre délicatement. C’est un geste doux, mais Inès rit nerveusement et cherche à se contenir.

Les filles frissonnent et Cindy commence à caresser les seins de sa besta en tournant les pouces au niveau des tétons et palpant de la paume et les doigts la chair mammaire à travers les vêtements. Inès s’abandonne, le baiser s’approfondit et elle pose ses mains sur les cuisses de Cindy à travers le tissu de la robe. Inès sent que la langue de sa copine pousse ses lèvres et cherche à s’introduire. Alors elle ouvre tout doucement la bouche et leurs lèvres se touchent, se caressent.

Bruno reçoit une photo, mal cadrée, sur laquelle ses deux « élèves » sont collées joue contre joue en mimant un ptit bisou…

Bruno répond par un émoticône de pouce vers le haut et un petit message : « très bien les coquines du mercredi soir. Continuez avec la langue. Soyez sensuelles ». Les copines rigolent et s’exécutent. La photo suivante, toujours mal cadrée, où les deux filles s’embrassent à pleine bouche, est rapidement envoyée.

Nouvelle réponse du maître. « Parfait. Embrassez-vous dans le cou ». Et pareillement les filles obéissent, s’amusent en envoyant la photo suivante. La nouveauté, les encouragements du maître et le fait d’être guidées, les grisent.

Les ordres et les photos s’enchainent : « pelotez vous les nibards », « à poil », « sucez vos tétons », « caressez-vous le cul », « caressez vos vulves »… Les filles ont de plus en plus chaud, sont toujours plus actives. A la fin, elles ne lisent même plus les messages, lancent un appel visio et placent un téléphone face au canapé pour que Bruno suive en direct leurs ébats. Elles se lèchent la moule mutuellement l’une après l’autre, mais elles constatent vite qu’elles ne sont pas aussi douées que Bruno.

Sur ordre du patron d’Inès, elles tentent quand même un 69, pas plus concluant. Il ricane.

— Salaud ! Hurle Cindy dans un sourire. Ça te fait rire hein ? Tu es content ? Il n’y a que ta bouche qui fait jouir nos minous !
— Ah oui, c’est ce que je vois. Répond Bruno. Je suis frustré autant que vous deux. J’aimerais être là pour palper vos nibards et me faire lécher par vos deux langues de ptites salopes en chaleur.

Cindy se met à genoux, assise sur ses talons, de profil par rapport au téléphone, soupèse ses seins, se penche légèrement pour paraitre bien cambrée et se dandine en minaudant.

— Alors vient nous rejoindre… On est bien chaudes et bien juteuses… Tu n’auras plus qu’à plonger ta bite à volonté. Hein ? ça va coulisser tout seul !! Affirme Cindy d’une voix suave et provocante.

A côté, Inès tente maladroitement de lécher un de ses propres tétons. Bruno hésite. Il ne bouge pas. L’offre est tentante. Ces deux chaudasses sont bien excitées. Cela dit, il doit garder le contrôle sur les filles. C’est lui qui doit décider. Surtout, c’est l’occasion de bien les frustrer pour qu’elles soient totalement à fond samedi.

— Ne soyez pas pressées. Je sais que vous êtes impatientes. Mais j’ai dit samedi et en tenue d’étudiantes salopes… Mais dis-moi Cindy, tu vas quand même pas me faire croire qu’une petite pute comme toi n’a pas de jouet ? Tu as bien de quoi te faire plaisir ?

Cindy écarquille les yeux, tergiverse un peu.
— Ben oui ou merde ? demande Bruno. Dépêche ! Si vous vous gouinez pas, va chercher un gode.

Pendant que Cindy part dans sa chambre en trottinant. Inès se rapproche du téléphone.
— Alors ça te plait brune brune ?
— Oui, petite salope, j’adore vous voir vous embrasser. Mais il faut passer un peu à la vitesse supérieure là. Ok ?
— Euh… Oui, patron. Enfin euh maître. Vous voulez que je fasse quoi en fait ?
— Ben pour commencer, quand ta chaudasse de copine va revenir, tu vas te laisser faire. Tu t’allonges et elle te godera… Demain en arrivant au boulot, tu ne joueras plus les ptites connes. Tu me suces la pine directement en arrivant. Vous m’excitez trop. Je pense que je serais tellement à fond que je juterais dans ton gosier avant d’avoir le temps de me retirer pour souiller ton ptit minois… Et si tu me donnes satisfaction, comme d’habitude, tu auras droit à ta récompense.
— D’accord maître, pas de soucis.

Inès sourit largement. Elle cligne des yeux, met sa bouche en cul de poule, place sa main devant et mime qu’elle lui envoie un baiser.

Cindy revient. Elle montre le gode rose devant le téléphone.

— Embrasse-le. Ordonne le patron. Inès ! Pareil ! Partagez-vous ce jouet comme si c’était mon pieu.

Les filles ont chaud, elles ne réfléchissent pas, elles obéissent. Elles bisoutent lentement, puis un peu plus vite et plus intensément. Elles le lèchent, tout du long, le prennent en bouche chacune à son tour sous les encouragements de Bruno.
Un scénario que Bruno décrit se déroule. Inès s’allonge, Cindy lui introduit le gode tout doucement et fait des vas et viens de plus en plus rapides.

— Ça te plait, pervers ? Demande Cindy en tournant la tête vers le téléphone.
— Oui. Toi et ta copine êtes de bonnes salopes comme j’en ai toujours rêvé. Maintenant rappelle-lui que demain matin en arrivant elle doit me pomper le dard comme une pute de compétition. Après, roule-lui un patin en lui caressant les nibards avec ta main libre.

Cindy obéit. Inès prend du plaisir. Dans quelques instants, Bruno va leur ordonner d’inverser les rôles. Ensuite elles iront se coucher. Demain, Inès doit être en forme pour sa besogne du matin.

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