Histoire Erotique

Littérature adulte en ligne, histoires érotiques et récits coquins gratuits...

Inès, la nouvelle assistante de Bruno – 19

Le weekend se rapproche. En attendant, Inès prouve sa docilité et son désir de faire plaisir à son patron tout en prenant des initiatives inattendues.

Proposée le 14/10/2025 par Vincent20100

Votre note pour cette histoire érotique
Nous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.

Thème: Couple, passion
Personnages: FH
Lieu: Bureau, travail
Type: Fantasme


Le lendemain jeudi matin, au bureau, Bruno s’installe à son poste, ouvre un dossier, mais son esprit semble ailleurs.

Inès, la nouvelle assistante de Bruno – 19 Inès arrive un peu plus tard que d’habitude. Un tout petit retard. Bruno observe la façon qu’elle a de lisser doucement sa jupe en entrant. Une jupe rouge qui épouse les courbes sans les contraindre, qui souligne la silhouette arrondie de son fessier avec élégance et discrétion.

Elle porte un chemisier blanc moulant, tendu par ses melons turgescents. Il fait déjà chaud dehors dès le matin : les deux derniers boutons sont ouverts, découvrant pudiquement sa gorge, dévoilant tout juste la naissance de sa poitrine, une échancrure subtile qui laisse deviner le creux délicat entre les seins, un détail discret, maîtrisé, étudié.

Ses cheveux bruns, lisses et détachés, tombent librement jusqu’à ses épaules avec naturel, encadrant son visage légèrement hâlé. Une mèche rebelle s’est échappée, glissant avec élégance jusqu’au coin extérieur de son œil gauche. Elle ne la remet pas en place. Elle la laisse là. C’est une négligence féminine savamment dosée. Un détail à la fois ingénu et conscient.

Son maquillage est lumineux, appliqué. Il lui donne une allure professionnelle : mascara discret, teint unifié avec une légère couleur rosée quand même sur les pommettes et un soupçon de gloss pour rendre ses lèvres brillantes et désirables. L’ensemble compose une allure estivale, assistant de direction certes, mais libre d'ajouter à son rôle l’aura aguichante que Bruno souhaite.

Dans un geste naturel, fluide, elle referme doucement la porte d’entrée à clé. Bruno l’observe, ne dit rien, mais en lui, quelque chose se serre. Elle est là, dans sa tenue d’assistante, parfaitement professionnelle : radieuse, désarmante de naturel. Cette manière dont elle bouge, cette mèche glissée sur le coin de l’œil, cette façon presque innocente de lisser sa jupe, ce sourire complice et ce regard coquin derrière un voile de fausse naïveté.

Il y a chez elle une spontanéité féminine insolente, mais maîtrisée, et Bruno la contemple un tableau qui trouble et attire tout à la fois. Un mélange de charme et de fraîcheur. Inès n’a rien dit. Il attend de voir ce qui va suivre.

— Bonjour patron ! Glisse-t-elle dans un souffle en entrant dans son bureau.
Une lumière dorée glisse à travers les vitres du bureau, accentue le hâle de la peau d’Inès, fait ressortir le rouge de sa jupe et ajoute un éclat au blanc de son chemisier.

Sans formalités, sans demander d’autorisation et avec toute sa spontanéité féminine et juvénile, elle plaque ses lèvres contre une joue de Bruno et y écrase sa bouche pour un bisou affectueux prolongé : une pirouette passionnée pour se faire pardonner d’être en retard.

Bruno lève les yeux, s’arrête un instant sur elle et ne bouge pas. La chaleur du baiser sur sa joue est douce, elle l’a pris par surprise. Il ne s’attendait pas à cette réaction… Il aurait pu s’en douter, mais elle a été rapide. De toute façon, même en anticipant le geste, il ne l’aurait pas freinée. Le geste est affectueux, mais il porte une sincérité troublante, une audace amoureuse.

Et lui… il se laisse faire. Il n’a pas cherché à reprendre le cadre. Il a juste laissé entrer cette lumière, ce parfum, cette présence. Ainsi, l’espace d’un instant, Inès mène la danse. Et lui vacille un peu. Mais il va vite reprendre sa bienveillante autorité.

— Bonjour Inès. Dit-il enfin d’un ton est neutre.
— Pardon patron, pardon ! Mais j’ai mis du temps à choisir ma jupe pour vous et j’ai raté le premier bus… Je reprends mon souffle et après je m’occupe bien de vous comme promis. Est-ce que ça vous dérange si je me change ?
— Ok, pas de soucis… Va te servir un café au passage, j’en ai préparé. Après… Au boulot !

Inès va en cuisine, boit son café. Une fois sa respiration revenue à la normale, elle sort de son sac un tablier que lui a donné Cindy hier soir. C’est un tablier de cuisinière en coton épais, tissage simple mais solide. Il a une allure de modèle classique.

L’assistante retire son chemisier, sa jupe, et passe sa tête dans une lanière du tablier qui repose sur sa nuque. Les autres lanières sont longues, prévues pour s’enrouler à la taille et faire un nœud bien serré derrière le dos.

Inès les noue sur le côté dans un geste rapide. Devant, sa lingerie est dissimulée, mais exposée derrière. Si ses cuisses et son ventre sont masqués, ses jambes, ses bras, ses hanches et la moitié haute de son buste sont visibles. L’idée a été bien pensée par les filles hier soir. C’est suffisamment sexy pour stimuler Bruno, et cela protège les dessous des projections du jus de pine. Pour terminer la tenue, Inès porte des lunettes à verre neutres et monture fine pour se donner un air chic d’une apprentie cuisinière libidineuse.

Elle se regarde dans le miroir au-dessus de l’évier. Dans son reflet, elle voit le résultat et conclue que l’apparence fonctionnera. Elle ajuste les lunettes sur son nez. C’est le genre d’accessoire qui n’altère rien, transforme tout, et chuchote des intentions subtilement. Tout est trop précis pour être naïf : ces lunettes viennent transformer la tenue en scénario.

Inès, verse du café dans la tasse de son patron, sans renverser et sans faire de gaffe. Tasse en main, pas mesurés, silhouette cadrée par sa tenue soigneusement choisie, elle entre dans le bureau de Bruno sans fracas, comme si sa présence était évidente. Chaque geste est calculé : le pas lent, le regard baissé juste un instant avant de se relever pour le fixer droit dans les yeux.

— Voilà, patron. Café maison, servi avec soin… Dit-elle, un sourire aux lèvres.

Bruno la regarde. Une petite mèche formée par quelques cheveux rebelles glisse lentement devant le verre gauche. Il chavire légèrement, pris dans la mise en scène.
Inès perçoit avec certitude que la magie opère. Elle ne ressemble plus à une secrétaire professionnelle. Elle ressemble à une élève venue séduire son formateur sans rien dire, le tout avec un chic faussement sage.

— Tu t’es mise en cuisinière ? Les lunettes te vont vraiment bien, le tablier qui cache l’important tout en le suggérant… Tu m’excites…
— Je suis une cuisinière appliquée… Pour casser la routine tailleur.
Le patron approuve d’un mouvement de tête. Elle pose la tasse devant lui, s’attarde une demi-seconde de trop, et redresse les lunettes sur son nez, sans provocation mais avec une intensité dosée, juste assez pour troubler sans désarçonner.
— C’est ton spectacle de samedi ?
Inès esquisse un sourire, lève légèrement les épaules comme une élève prise en faute mais ravie de l’être.
— Je fais des essais, patron. Pour samedi. Faut tester, non ?
Bruno rit, mais son regard s’assombrit d’une nuance qu’il n’avait pas il y a cinq minutes. Il la dévisage.
— C’est ça l’étudiante coquine ?
— Non, patron. C’est une apprentie cuisinière coquine. Je voulais juste tester les lunettes.
— Eh ben c’est réussi Inès !

L’assistante sourit, son visage est lumineux. Elle inspire, ajuste ses lunettes en les poussant du bout du doigt sur l’arête de son nez. Ce simple geste, anodin pour les autres, devient un signal clair : c’est le moment de passer à l’action !

Elle attache ses cheveux en queue de cheval, s’agenouille, défait la ceinture de son patron et son pantalon. Le pieu se dresse, chargé de l’excitation de ce jeu de rôle de sa petite soumise. Inès empoigne le dard et lève la tête vers Bruno.

— Je suis contente que ça vous fasse plaisir, maître… Ce matin je serais votre cuisinière coquine à lunettes… C’est une cuisinière un peu salope, maître.

Tout en disant cela, Inès ouvre la bouche, sort sa langue et lèche le gland puis la hampe tout du long. Elle penche la tête d’un côté, descend latéralement en léchant, et remonte en penchant de l’autre côté et en remontant tout du long.

— Dis-moi, petite cuisinière salope… Tu es salope à quel point ?
Inès sourit, ouvre la bouche en grand et gobe la bite d’un geste avant de sucer, aspirer et s’activer dessus. Elle ne s’interrompt quelques secondes que pour reprendre son souffle et dire des cochonneries.
— Cette cuisinière… glorp glorp… c’est une salope comme vous les aimez, maître… Glop, glop… Elle aime vous sucer… glop… C’est un plaisir pour elle de vous pomper le dard…
— Très bien… elle me plaît cette salope-là… Tu sais quoi ? Puisqu’elle aime ça, elle va me vider les couilles et se laisser souiller sa petite gueule par mon jus de pine.
— Oui, maître… glop…

Inès s’active toujours, remuant la tête le long de cette colonne de chair, l’enserrant entre ses lèvres, sa langue et son palais. Elle suce avec détermination, le pompant avec conviction, comme si elle voulait lui vider complètement les couilles. Elle commence à caresser celles-ci pour accompagner sa besogne de plaisir.

Dans ce rôle de cuisinière libidineuse, Inès n’a plus besoin d’être une fille bien élevée, celle qui contrôle tout, qui mesure chaque geste. Elle s'autorise une version d’elle-même qu’elle ne montre jamais : spontanée, tactile et audacieuse. Le tablier, les lunettes, même le café, tout est un jeu. Et cela la libère.

Jouer quelqu’un d’autre lui permet enfin d’être sincère sans crainte. Sous ce masque, elle ne triche pas. Bruno le sait : ce rôle qu’elle endosse si naturellement, est la vraie Inès.

Elle entend la respiration de plus en plus hachée de son maître et comprend qu’il va bientôt exploser, dans une éruption crémeuse. La suceuse cesse son activité, redresse la tête, lève les yeux vers lui et l’observe attentivement à travers les lunettes, comme une petite esclave docile,

Ses lunettes aux verres neutres encadrent son regard. À travers elles, Bruno est observé par des yeux dociles, par jeu. Cette manière dont elle lève les yeux, dont elle laisse volontairement sa mèche « rebelle » qui effleure le coin de sa joue, Bruno perçoit qu’elle est dans un rôle... et qu’elle aime le jouer, autant que se mettre en scène.

Inès essaye de se convaincre que ce n’est pas vraiment elle, mais que c’est quelqu’un d’autre qui agit. Dans ce costume, avec ce tablier, cette coiffure et ces lunettes, elle est dans un entre-deux : salope en jeu, mais sincère en vrai.

Pour pouvoir satisfaire le désir de son maître de barbouiller le visage de son esclave, Inès pose ses deux mains sur le manche, puis branle de haut en bas lentement d’abord, dans un rythme régulier et de plus en plus rapide, en fonction de la respiration de son amant.

— Mmm, Maître, on dirait que je suis en train de faire du beurre en baratte avec mes mains… Ha ! Ha ! Ha !

Elle ajuste son geste. Les épaules basses, les bras souples, les reins légèrement arqués. Le va-et-vient du pistonnage manuel est régulier. Le maître se sexe respire bruyamment et jette un coup d’œil. Le regard de son esclave est levé vers lui, hypnotique, sensuel. Elle le fixe et ne cligne pas des yeux.

Et puis, soudain, quelques spasmes denses se font sentir sous les mains d’Inès. La colonne de chair réplique. Sans prévenir, la crème liquide, blanche, surgit et explose. Elle jailli en éclaboussant la frimousse friponne de la cuisinière lubrique. Inès, concentrée, sent l’odeur prépondérante du sperme, et une texture chaude qui couvre des zones de son visage et s’épaissit. Malgré les lunettes, par instinct, elle a fermé les yeux.

Inès cligne des yeux, aperçoit les taches floues, sur les verres de ses lunettes, qui troublent légèrement sa vision. Des trainées et des gouttes blanches, figées preuves de son effort. L’esclave est consciente que chaque coin de son visage où elle ressent une sensation étrange porte également la trace de l’explosion. Elle retire ses lunettes, les examine à la lumière.

Inès rit, surprise du résultat. Quelques gouttes ont éclaboussé son visage comme une caresse grasse venue marquer l’intensité de son effort. Elle glisse ses doigts sur sa joue, découvre la texture onctueuse, puis porte la pulpe à ses lèvres, en toute légèreté.

Elle utilise ses doigts, comme une enfant dans une cuisine, avec l’insouciance qu’offre le rôle qu’elle joue. L’esclave reprend en main la queue de son amant d’où sortent les dernière gouttes, lèche le gland pour le nettoyer, avant de s’en servir pour se débarbouiller grossièrement le visage et essuyer finalement la manche en le suçotant avec douceur.

Une fois terminé, elle plisse les yeux dans une mimique complice, et plante son regard dans celui de Bruno : fière, taquine, rayonnante d’avoir accompli son œuvre, et sourit à son maître qui la félicite.

— Bravo Inès !... Décidément, tu fais une bonne salope… Tu auras ta récompense tout à l’heure.
La petite esclave consentante rayonne. Elle a triomphé des épreuves et va obtenir du plaisir en retour. Elle s’empare de ses lunettes et les essuie du coin de son tablier, rieuse.
— Merci, maître. Dit-elle tout bas, avec une moue amusée. Je peux me nettoyer et me rhabiller ?
— Oui, tu peux.

En cuisine, Inès décroche les lanières de son tablier. Elle fait une toilette rapide avec l’eau et le savon de l’évier mais ne se remaquille pas. Les lunettes propres sèchent sur le côté de l’évier.

Elle remet son chemisier blanc, sa jupe droite, impeccable. Ses cheveux sont rehaussés en un chignon rapide. Mais derrière cette tenue professionnelle de secrétaire, Inès porte encore les traces invisibles de son ouvrage : la chaleur dans les joues, et ce petit éclat de joie qui ne s’est pas évaporé.

Elle se regarde une dernière fois dans le miroir. Elle n’est plus cuisinière appliquée. Elle est redevenue assistante modèle. Mais elle sait qu’à tout moment, elle peut redevenir libre, gourmande, imprévisible.

© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.


Laisser une note/commentaire (ou bien faire un signalement)

Histoire-Erotique.org lutte contre le plagiat pour protéger les oeuvres littéraires de nos auteurs.

Cette page est destinée à être consultée en ligne et ne peut pas être imprimée ou copiée.

© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle. Un nombre important d'auteurs nous ont donné l'exclusivité totale de leurs textes.

Fermer définitivement L'activation des cookies et de javascript est nécessaire à son bon fonctionnement. Suite à des abus avec les notes, nous avons apporté quelques modifications à celui-ci pour plus de partialité envers les auteurs qui sont très sensibles à ce que vous pensez de leurs histoires érotiques.
La nouvelle version a pour but d'éviter au maximum les abus inhérents à la notation des récits coquins, et donc des auteurs (les votes multiples par exemple).
Il sera maintenant impossible de noter plus d'une fois la même histoire érotique.
Les notes attribuées à la volée pour un même auteur (qu'elles soient bonnes ou mauvaises) seront modérées.

Commentaires de l'histoire :

Aucun commentaire pour le moment.


Voir les autres récits érotiques de cet auteur ou bien pour le contacter par email


Histoires érotiques choisies :
Inès la nouvelle assistante de Bruno - 11
Inès la nouvelle assistante de Bruno 4
Inès la nouvelle assistante de Bruno 3
Inès la nouvelle assistante de Bruno 5
Inès la nouvelle assistante de Bruno 6