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Le journal d'une Vierge soumise - 17

Là, j'avoue que je mérite le titre de Salope. Reine des salopes même. Le feu dans le bas ventre, une nécessité de l'éteindre au moyen d'une bite et de foutre chaud. De SA bite et de SON foutre....

Proposée le 26/10/2024 par GuiNancy

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Thème: Femme soumise
Personnages: FH
Lieu: A la maison, intime
Type: Histoire vraie


Chapitre 16 – La Saaaaaloooopeee !

Oui. Vous avez bien lu. Et là, vous devez vous dire : quoi ? Pire que tout ça ? Honnêtement, je ne sais pas si c'est pire. Mon dépucelage anal était vraiment bien hard donc dur de faire mieux. Mais je suis sure d'une chose : cette fois là je méritais bien ce qualificatif. Car quand mon petit cul y est passé, j'étais douce, naïve et innocente. Je ne savais pas totalement ce que je faisais.

Là, c'est une excuse que je n'ai plus. J'ai été tellement baisée, défoncée, tirée, souillée, salie, humiliée, utilisée, usée et abusée que mon innocence est loin. J'ai tellement joui, hurlé de plaisir comme une salope, aimé ce foutre qui souille mon corps, supplié qu'Il me traite comme une chienne que non, je ne peux plus évoquer la naïveté pour défendre mon honneur.

Et d'ailleurs, pourquoi devrais je le faire ? Auprès de qui ? De cette société qui ne m'a pas appris à aimer mon corps tel qu'il est ? De cette foule qui rejette mon désir de bestialité et de soumission tout en matant du porno sur internet à longueur de journée ? Non, je n'ai à me défendre de mon comportement auprès de personne.

Mais revenons à notre sujet. C'était l'hiver cette fois. Je ne sais plus trop quand. Plus vers le milieu de notre longue relation je dirai. Mais à partir de maintenant, la chronologie n'a plus trop d'importance je pense. Vous n'êtes pas là pour ça n'est ce pas ? Alors ne m'en tenait pas rigueur si c'est chronologiquement décousu. Les souvenirs le sont toujours.

Donc, c'était l'hiver. J'habitais encore chez mes parents. J'avais eu chaud dans le bas ventre toute la journée. J'étais en stage professionnel et je n'avais pas arrêté de penser à me faire défoncer. Sincèrement, le premier mec qui serait passé et m'aurait proposé d'aller prendre un verre aurait eu le droit à tous mes trous immédiatement si je n'avais pas été avec Lui. Bon, j'étais dans un état tel que même en étant avec Lui, l'envie de m'envoyer le premier mec qui passe me faisait bouillir. Mais non. J'aurais trop risqué de tout perdre. De le perdre Lui. Et ça, c'était hors de question.

Mon emploi du temps était très chargé et le sien aussi. On devait se voir le lendemain. Mais impossible d'attendre. A peine rentré chez mes parents, j'ai cédé à mon envie. Je lui ai envoyé un message.
« Mon Maitre est il chez lui ? »
« Oui. Tu as l'air de bonne humeur »
« L'humeur d'une chienne en manque de soumission »
« Qu'attends tu alors ? »
« J'arrive Maitre »

Il me fallut 5 minutes pour me préparer. Il faut dire que ce n'était pas compliqué. J'ai enlevé tous mes vêtements, enfilé un string ficelle, des bas et un porte-jarretelles et des talons. Et rien d'autre hormis mon long trench coat. Et hop, direction la voiture. Mes parents n'étaient pas encore rentré donc ce fut facile.

Une fois dans la voiture, j'ai croisé mon frère qui rentrait du lycée. Il m'a fait signe. J'ai baissé la vitre pour lui dire de prévenir nos parents que je rentrerais tard et de ne pas m'attendre. Il m'a dit ok. Et je me suis dit « t'es vraiment une salope.... »

En 10 minutes à peine j'étais chez lui. Garée, au pied de son immeuble. J'ai sonné et j'ai monté rapidement les marches. J'avais froid sous mon manteau. Mais tellement chaud dans mon bas ventre que je m'en foutais. Il m'ouvrit la porte en souriant. Mon collier à la main. Tant mieux. Pas de préambule. C'est ce que je voulais.

Une fois à l'intérieur, la porte fermée derrière moi, j'ai enlevé mon trench coat. Lui révélant ce qui était caché en dessous. Et vu son sourire, ça lui faisait plaisir.
« Eh bien... » dit il
« C'est ainsi qu'une chienne en manque se présente à son Maitre, non ? »
« Si. Effectivement. Et cette chienne à quel point est elle en manque ? »
« Sincèrement ? »
« Oui bien sur »
« Si je n'étais pas Tienne, je serai actuellement dans un bar avec juste une robe sur le dos en train d'attendre qu'un volontaire m'amène dans les chiottes. Ou plusieurs volontaires.... »
« Salope... »
« C'est ainsi que vous m'avez éduqué Monsieur... »
Et j'ai accompagné cette phrase de mon plus beau sourire d'allumeuse avant de m'agenouiller sans attendre son ordre.

Mon collier autour du cou, je ne perdis pas une seconde et j'attaquais sa braguette. Pour découvrir son membre viril déjà bien raide. Je l'enfournais dans ma bouche sans attendre et le simple contact de cette bite dure contre ma langue m'arracha un gémissement à peine étouffé par sa queue.

Je le suçais comme une damnée sans perdre de temps. Putain, j'étais vraiment en manque. Je l'enfonçai aussi loin que possible dans ma bouche, je bavais comme une chienne. Tout coulait sur mon menton, mes seins.

J'ai bien cru que j'allais le faire gicler en quelques minutes tellement j'étais excitée et tellement je le faisais bander. Il m'attrapa par les cheveux pour me relever de force. Ce que je fis en lâchant un tout petit cri de douleur simulé. De quoi l'exciter encore plus. Puis, une fois debout, je m'adossais à la porte pour lui permettre d'apprécier encore le spectacle.

Et quel spectacle. Moi avec le pire regard de chienne possible, lascive, de la salive coulant de mon menton et sur mes seins. Je poussais le vice jusqu'à glisser une main dans mon string et à commencer à me caresser ainsi, debout, devant Lui. Ce qui eu là encore l'effet escompté.

Il m'attrapa encore par les cheveux et me tira jusqu'à la chambre. Pour me jeter sur le lit. Je tombais sur le dos, cuisses ouvertes évidemment. En quelques secondes, il était entre mes cuisses, mon string était écarté et sa bite était au fond de ma chatte trempée d'envie. J'ai lâché le plus gros gémissements de salope possible quand il est entré en moi. C'était un vrai cri de soulagement. De l'eau après des jours dans le désert ne m'aurait pas autant soulagé.

Il m'a tout de suite défoncée. Une main posée sur mon cou. Il m'a dit par la suite que mon regard, planté dans le sien, le mettait au défi d'y aller encore plus fort. Et vu que je le pensais sérieusement, je pense qu'il avait raison.
« Alors comme ça, tu serais aller te faire tirer dans un bar ? »
« Oui... comme une chienne... »
« Et tu aurais choisi quoi comme mec pour te baiser ? »
« J'aurai rien choisi, j'aurai dit oui à tout ce qui venait »
« sale pute.... »
« Sans capote, comme une chienne, sans rien demander. Juste prendre de la bite et vider des couilles sans retenue... »
« Heureusement que tu es à moi alors »
« Heureusement... sinon, j'aurai mal fini »

Il m'a baisé tellement fort que mon corps encaissait les coups en tremblant. Il me donnait de petites gifles, me crachait au visage en me traitant de salope. Et là, j'étais juste ça. J'ai eu envie de savoir ce que lui avait en tête... le pire.
« Et tu aimerais ça, que je me fasse tirer à la chaîne par des inconnus ? »
« Oui... te voir à poil, offerte sous mes yeux à un tas d'inconnus.... te voir te faire tirer sans respect et vider des mecs en manque... »
« Putain, je suis vraiment une chienne à tes yeux »
« Oui... MA chienne »
« Ta chienne... ta chienne accepterait ça... »
« Et les voir se vider sur ton joli visage, le recouvrir de sperme totalement »
« Hmmm oui, je suis un sac à foutre.... »

Il a continué à me démonter comme ça un bon moment. J'ai joui deux fois. Deux gros orgasmes hurlés comme une chienne. Et il a fini par se vider dans ma petite chatte de pute. Lui aussi dans un grand cri. Avant de sortir sa queue et de la mettre dans ma bouche pour que j'aille chercher les dernières gouttes de sperme et que je la nettoie.

Mais je n'étais pas rassasiée... pas encore. A peine s'était il reculé pour reprendre son souffle et ses esprits que je glissais une main langoureusement entre mes cuisses. Et que je plongeais mes doigts dans mon ventre. Mon autre main vint se poser sur mon clito. Et pendant que je me branlais, mes doigts sortaient son foutre de ma chatte. Et venait l'apporter à mes lèvres pour que je m'en régale.

Il restait là, interloqué par ce spectacle. Et excité.
« Putain, tu es vraiment en chaleur »
« Oui Maitre. Mais c'est l'effet que vous me faites »

J'ai continué ce petit jeu, branlant mon clito à m'en arracher des cris de plaisir d'une main tandis que l'autre sortait son sperme de ma fente pour ensuite l'amener à la bouche. Avant de lui dire :
« Et mon cul, tu les laisserais m'enculer jusqu'à m'en faire pleurer et supplier ? »
« Oh oui. Et je te tiendrais si nécessaire pour qu'ils puissent s'en donner à cœur joie »
« Je ne serais qu'un bout de viande alors... »
« Tu penses que tu es autre chose ? »
« Non. Mais là encore, c'est ce que tu as fait de moi, non ? Tu as eu une vierge et tu en as fait la dernière des putes »
« Vraiment ? La dernière des putes ? »
« Oui... d'ailleurs, j'ai envie que tu m'encules à m'en faire pleurer et supplier. Fait moi regretter ce que je suis devenue »

Et il ne s'est pas fait prier. Le temps pour Lui de remonter les couleurs et j'étais à 4 pattes, ouvrant mon petit cul à pleine mains, sentant sa bonne queue forcer mon orifice. Quoi que... forcer n'est plus exactement vrai. Depuis le temps qu'il y passe, c'est devenu plus facile. Bon, à sec ça reste douloureux. Mais ça rentre mieux.

Donc, cette fois ce fut à sec. Mais tant mieux. Je lui ai demandé de me faire regretter ce que j'étais devenue et j'en ai eu pour mon compte. J'ai fini à plat ventre, tirée par les cheveux, enculée comme une moins que rien, en pleurs tout en le suppliant de m'en donner encore plus. Ce qu'il fit en remplissant mon anus cette fois.

Je suis rentrée ainsi chez mes parents, à la nuit tombée, souillée par tous les trous, me sentant plus chienne que jamais. Et plus vivante que je ne l'ai jamais été....

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