Un peu d'exhib. Pas volontaire, pas recherchée, mais de l'exhib quand même. Juste de quoi m'exciter encore plus. Et m'ouvrir l'esprit à de nouveaux horizons...
Proposée le 26/10/2024 par GuiNancy
Nous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Femme soumise
Personnages: FH
Lieu: Vacances, voyages
Type: Histoire vraie
Chapitre 15 – Un peu d'exhib
Bon, de l'exhib pas vraiment. Mais quand même... Enfin, de l'exhib, c'est quand c'est volontaire, non ? Là, c'était pas recherché. Mais pas non plus repoussé. C'est compliqué. Ça l'est souvent vous me direz.
On fait un bon dans le futur de plusieurs années. Là situation ? Un peu la même. Non, carrément la même. C'est mon Maitre, presque mon mec mais non. J'habite encore chez mes parents et ils ne savent rien. Ils ne m'ont jamais vu ramener un mec et je pense qu'ils doivent se demander si je ne suis pas lesbienne. Vous voyez le tableau.
Malgré tout, on a un peu évolué. On se fait des week-end à droite à gauche. Et cette fois là, on est même parti 2 semaines en vacances ensemble. Le truc de fou. Alors, pour mes parents je partais avec une copine. Comme à chaque fois. Ça le faisait rire. Il me demandait comment il s'appelait cette fois là ? Sophie ? Julie ?
Donc les vacances étaient sur une superbe île méditerranéenne. Et ni lui ni moi ne sommes du style « club de vacances ». Donc on s'était trouvé deux petits hôtels. Un premier très sympa avec une belle vue sur la mer depuis les hauteurs. Et le second... comment dire... c'était pas vraiment un hotel. C'était 4 petits studios posés le long du front de mer. Mais pas le front de mer à la façon espagnole avec ces grands immeubles.
On était dans un petit village. Les 4 studios c'étaient des petits cubes d'un seul niveau, côte à côte mais décalé en profondeur de manière à ce que chacun ait son intimité. Un peu dur à décrire, mais c'était vraiment très joli. Et le top là dedans, c'était le positionnement. Le studio était doté d'une grande baie vitrée permettant une vue directe depuis le lit (pour le reste, ça vous intéressera pas. Vous n'êtes pas là pour acheter).
Et devant cette grande baie vitrée ? Environ 7 à 8 mètres de gazon, deux transat et ensuite le sable et la plage. A 10 mètres du lit, on avait l'eau turquoise de la méditerranée. Le truc de fou. Bon le gazon était public évidemment. Tous les studios passaient là et pouvaient l'occuper. Et la descente pour la plage (oui, on était un gros mètre au dessus du sable) se trouvaient devant notre baie vitrée.
Donc, cette grande baie vitrée, un grand lit juste derrière et juste un fin rideau blanc entre les deux. Autant dire qu'il ne fallait pas grand chose pour que ça dérape. Ce qui fut le cas.
On était arrivé en même temps qu'un autre jeune couple. Des allemands je pense, dans la vingtaine. Une jolie brune avec une coupe au carré (et une paire de seins qui me rendait jalouse... le style 90C) et un mec un peu insipide. Qui profitaient comme nous de l'emplacement, du soleil, de le plage.
On avait décidé d'embarquer mon collier dans les bagages. Ainsi que ma laisse. Il en avait eu l'envie et j'avoue que l'idée me plaisait. Même si évidemment, il ne me passait mon collier et ma ma laisse que quand il avait envie d'user de mon corps. Deux fois par jour en moyenne.
Ce jour là, on se réveillait d'une petite sieste post repas. Il devait être 14h environ. Il ne m'a pas fallut longtemps pour comprendre qu'il avait envie de jouer avec moi. Et sincèrement, j'avais envie qu'il me baise. En quelques secondes, mon collier était autour de mon cou et la laisse était attachée. J'étais à poil, sur le lit, en train de le sucer. A 4 pattes, le visage penchée sur sa virilité. Le cul tendu vers cette fameuse baie vitrée.
Le rideau était tiré. Et après cette bonne pipe (et ses doigts jouant dans ma fente) je me suis retrouvée à 4 pattes, bien baisée en levrette. La tête tournée vers la baie vitrée. Tirée par les cheveux comme la chienne que j'étais. J'ai alors remarqué que le rideau était bien mis mais pas tiré tout à fait jusqu'au bout.
Il restait une bande de quelques centimètres sans la protection du rideau. Qui permettait de nous voir en pleine action. Mais bon, c'était pas une autoroute cette petite bande de gazon. Donc pas de risque qu'on nous surprenne. Et qu'on me voit ainsi, à poil, baisée comme une chienne, tirée par les cheveux, avec mon collier et ma laisse autour du cou.
Je prenais mon pied quand elle arriva. L'allemande avec ses gros seins. Elle se pointait sur la pelouse. Dans un bikini bien échancré et décolleté, une serviette à la main. Elle était dans la partie couverte par le rideau donc pas de problème. Mais rapidement, j'ai remarqué qu'elle semblait attendre. Son mec certainement. Elle était là sur la pelouse, marchant lentement, visiblement impatiente. Et ses pas l'amenèrent jusqu'à l'endroit non couvert par le rideau. Et merde !
Visiblement, il l'avait remarqué Lui aussi. Car ses coups de reins furent de plus en plus bestiaux. Et sa prise sur ma longue tignasse s'affirma. J'espérais que c'était le fait d'être vu plus que les gros seins de cette salope qui l'excitait. D'abord, l'autre ne remarqua rien. Mais qu'est ce qu'on fait quand on patiente ? On regarde autour de soi. Et voilà.
En tournant la tête, elle nous remarqua. Elle sembla surprise d'abord. Il faut dire que j'étais en collier et laisse, à 4 pattes, tirées par les cheveux en train de me faire défoncer comme une pute. Ça a de quoi choquer. Mais ça n'a pas eu l'air de lui déplaire. Car elle ne tourna pas la tête. Et je croyais même distinguer un petit sourire sur son visage.
Je me faisais baiser tellement violemment que j'ai finis par m'effondrer à plat ventre. Toujours tirée par les cheveux. Je regardais cette pute d'allemande et elle en faisait de même. Elle devait avoir un sacré spectacle. Surtout que j'étais bouche ouverte et que je luttais pour ne pas hurler mon plaisir.
Elle ne nous quittait pas des yeux. Et j'avoue que ça me plaisait. Putain, oui j'adorais que cette pute me voit en train de me faire baiser ainsi. Elle n'en perdait pas une miette. Et elle n'a rien du louper de mon orgasme surtout que deux trois cris m'ont échappés. A moins d'être idiote, mon extase était parfaitement visible.
Ce qui a du lui plaire aussi, c'est quand Il est sorti de ma chatte pour venir se branler et me gicler en plein visage. Une bonne dose de foutre chaud, comme à chaque fois. Plein le côté du visage et les cheveux. Quand j'ai rouvert les yeux, cette petite salope nous souriait franchement. Et son mec arrivait en même temps. Par le côté couvert par le rideau.
Lui, il a eu de la chance comme pas possible. Car elle s'est tout de suite dirigée vers lui. Elle l'a pris par la main. Et demi tour, direction la chambre. Inutile de dire que je ne sais pas formellement ce qu'il s'est passé ensuite. Mais s'il ne l'a pas tiré comme une chienne, c'est qu'il est vraiment con ! Car elle devait en mourir d'envie. Je ne sais pas si elle lui a dit la raison de ce changement de programme, barrière de la langue oblige.
Mais quand on l'a recroisé dans les jours suivants, j'avais le droit à un petit sourire de connivence. Peut être qu'elle aurait aimé nous rejoindre. Je ne sais pas. Si son mec la baise pas comme il faut, c'est probable. Mais avec sa grosse paire de seins, hors de question pour moi ! Quoi que, ça lui aurait sûrement fait plaisir à Lui. Et lui faire plaisir, j'adorais ça.... Bon, on ne saura jamais... Désolé, je vais me masturber. Comme à chaque fois que je repense à ce moment...
© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.
Histoire-Erotique.org lutte contre le plagiat pour protéger les oeuvres littéraires de nos auteurs.
Cette page est destinée à être consultée en ligne et ne peut pas être imprimée ou copiée.
© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle. Un nombre important d'auteurs nous ont donné l'exclusivité totale de leurs textes.
Commentaires de l'histoire :
Voir les autres récits érotiques de cet auteur ou bien pour le contacter par email