Bon, la bestialité, ça a du bon. Des fois j'encaisse son envie, des fois je provoque cette envie. Là, j'en suis la cause. Je l'assume. Et j'assume avoir aimé ça... à un point inimaginable
Proposée le 26/10/2024 par GuiNancy
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Thème: Femme soumise
Personnages: FH
Lieu: A la maison, intime
Type: Histoire vraie
Chapitre 14 – Bestialité bis
J'avais dit que deux souvenirs de ce genre m'était revenu. Voici le second. Différent dans son origine. Car là, c'était ma faute. Enfin, je n'y pouvais rien, mais c'était ma faute.
Ça devait être un an plus tard je pense. A l'été encore. On avait prévu de passer une partie des vacances ensemble. Ça me faisait plaisir mais il fallait que je trouve une excuse vis à vis de mes parents. Une excuse crédible bien sur. Mais mes parents ne m'en ont pas laissé le temps.
Avant que je puisse trouver quoi dire, ils m'annonçaient qu'on partait tous ensemble au mois d’août dans la maison de famille à l'étranger. Comment y échapper ? Impossible. J'ai réfléchi à l'idée de dire qu'une copine me proposait un truc pour justifier de ne pas y aller. Mais rien ne me vint. Enfin, rien qui n'éveille pas de soupçon.
On devait se voir 2 jours plus tard. Je réfléchissais à comment lui annoncer ça et à comment me faire pardonner quand une seconde tuile arriva. Sous la forme d'un débarquement des anglais avec quelques jours d'avance. La grosse tuile quand on imagine se faire pardonner en étant la meilleure des chiennes possible.
Autant dire que quand je suis allé chez Lui 2 jours plus tard, je ne partais pas en mode gagnante et heureuse. En plus, qui dit zone rouge dit jean pour moi. Ce qu'il savait parfaitement car on se voyait, mauvaise période ou pas. On trouvait juste d'autre manière de jouer et ma bouche servait beaucoup à cette occasion.
J'arrivais donc chez Lui avec mon jean et mon petit haut. Il m'ouvrit avec le sourire puis remarqua mon jean.
« Ah, mauvaise période on dirait »
« Oui, c'est arrivé plus tôt que prévu »
« Bon, ce n'est pas une science exacte » et il sourit.
Une fois mon collier autour du cou, il nous prépara deux mojitos. On les dégustait sur le canapé quand je lui ai dit que j'avais quelque chose à Lui dire. Ce qui le mit sur la défensive. Ben oui, n'importe qui qui entend ça s'attend à une mauvaise nouvelle. J'ai préféré ne pas trop réfléchir et je lui ai dit directement ce qui posait problème.
Il garda le silence plusieurs secondes et je sentais sa colère monter.
« Tu sais ça depuis quand ? »
« Depuis deux jours »
« Et tu n'as pas pensé à m'en parler avant ? »
« Je.... n'ai pas osé »
« Tu ne devais pas trouver une excuse pour tes parents ? »
« Je n'en ai pas trouvé. Enfin rien qui tienne la route »
« Et donc, je passe les vacances tout seul ? »
« ….. je suis désolé... »
« Et tu pars combien de temps ? »
« Un mois »
« UN MOIS ! »
« Je suis désolé..... »
« Arrête d'être désolée. Ça ne change rien »
Il y a eu un interminable silence. Je ne savais pas quoi dire ni quoi faire. Je sentais son énervement et je le comprenais. Je n'y étais pour rien mais je le comprenais. Enfin, j'avais promis de trouver une excuse pour mes parents et je n'étais plus une gamine. Donc si, j'avais ma part de responsabilité. Un manque de courage face à mes parents.
Quand il a reprit la parole, j'ai compris que j'allais encaisser pour calmer mon Maitre et me faire pardonner. Ca ne me dérangeait pas. C'est ce que j'avais prévu et j'aimais ça. Mais j'avais espéré ne pas avoir que ma bouche pour le faire.
« A genou »
Je me suis tout de suite agenouillée entre ses cuisses ouvertes. Et il a sorti sa queue. Pas vraiment raide pour une fois. Mais j'ai compris ce qu'il attendait de moi. J'ai immédiatement mis ma bouche en action et en quelques secondes, il était en pleine forme entre mes lèvres. Je me délectais de sa bite et je ne fais rien pour cacher mon plaisir afin de le satisfaire.
Il profitait de ma fellation avec une main derrière ma tête. Une main plus ferme que d'habitude, qui tenait mes cheveux. Je le dégustait avidement quand il reprit la parole.
« Baisse ton jean »
« Maitre... je suis..... »
« Je sais. Mais ton cul est disponible lui. Alors baisse le sous le niveau de tes fesses et reste en position. »
Je ne savais pas comment réagir mais il s'en moquait. Il se levait acrobatiquement pour esquiver mon visage entre ses cuisses, persuadé que j'allais obéir. Ce que je fis. Je déboutonnais mon jean et je le baissais (avec ma culotte) juste assez pour lui laisser l'accès à mon cul. Je restais comme indiqué à genoux, le buste penché en avant et donc le cul bien tendu en arrière.
Il vint s'accroupir derriere moi et j'ai tout de suite senti sa queue bien dure (merci ma bouche) contre le bas de mon dos. Il agrippa mes hanches à pleines mains et sa queue vint trouver l'entrée de mon cul.
« Tu sais ce qui t'attends ? »
« Oui Maitre »
« Alors dis le »
« Je vais me faire enculer »
« Bien. Demande moi de le faire »
Il adorait m'entendre dire ce genre de chose, que je m'humilie verbalement. Et comme je l'ai déjà expliqué, ça ne me laissait pas indifférente.
« Encule moi. S'il te plait, encule ta chienne »
Sans attendre, il se mit en action. Dans cette posture, mon cul était bien ouvert. Son entrée fut donc plus facile. Il força néanmoins et petit à petit mon anus s'ouvrit et sa queue se glissa dans mes reins. Il ne perdit pas de temps, me tenant bien par les hanches, il m'encula bestialement.
Contrairement à ce que j'ai déjà raconté, pas de cris ni de pleurs cette fois. Je serrai les dents et j'encaissais docilement. Je le méritais (oui, je le pensais. Et je le pense toujours). Il tapait dans mon cul en rythme et je laissais échapper suffisamment de gémissement pour lui donner envie d'encore plus.
« Alors, qu'est ce que je fais là ? »
« Tu m'encules »
« Seule les chiennes se font enculer non ? »
« Oui »
« Alors, qu'est ce que ça veut dire »
« Que je suis une chienne. Encule moi... encule moi fort »
Il ne se fit pas prier. Et cette fois, il ne fit rien pour retenir mes cris. Un pur bout de viande. Un bout de viande qui sent pour la première fois un orgasme monter depuis le creux de ses reins. Il l'a senti je pense.
Quelques secondes plus tard, il sortait de mon cul et il m'attrapait par les cheveux. Et c'est ainsi qu'il me tira et me promena, à 4 pattes, jusqu'à la chambre. Il me mit en position, les genoux au sol, le buste collé au matelas, le jean toujours juste sous les fesses. J'agrippai les draps, sachant ce qui m'attendait. Et sans attendre, il retourna dans mon cul.
Mais ce fut totalement différent. Non, il ne se fit pas doux. Au contraire, directement il fit preuve de bestialité et défonça mon fondement sans aucune retenue. Ce qui fut différent, c'est moi et les sensations que je ressentais. Putain, qu'est ce que j'aimais ça ! Un truc de dingue ! Incroyable de pouvoir aimer une sodomie bestiale à ce point.
Il me démontait le cul littéralement en me tirant par les cheveux quand j'ai pris l'initiative.
« Je suis vraiment qu'une pute, vas y salie moi, démonte moi »
« Putain de petite salope »
« Ne te pose plus la question, encule moi quand tu veux, où tu veux... je ne suis bonne qu'à ça et j'aime ça ! »
« Vraiment ? »
Et il a ponctué sa phrase du plus violent coup de rein possible. Si le lit n'avais pas été sous mon bassin, je me serai écroulée par terre. Mais la seule chose que j'ai pu dire c'est :
« Oooouuuuiiiiii.... »
Autant dire que là, on est sorti des normes de la bestialité. On a dépassé toutes les limites. Je me suis fait défoncée comme jamais. Je pense que s'il y avait eu plusieurs mecs, j'aurai pas encaissé pire. Mais ça ne m'a pas calmé. Au contraire.
« Mais ooouuuiii... putain vas y fait moi comprendre ce que je suis.... je suis bonne qu'à me faire enculer, mon cul doit prendre de la bite, TA bite....je mérite uniquement que tu m'encules comme une pute....»
Après quelques minutes à ce rythme, il est sorti de mon cul et m'a retourné violemment en me manipulant par les cheveux. Sa bite se retrouvait devant mon visage et, encore folle du plaisir qui avait envahi mes reins, j'ai ouvert la bouche et tiré la langue en grand. En quelques secondes, son jet de foutre atterrit dans ma bouche ouverte et sur ma langue. Les jets suivants vinrent recouvrir mon visage. Pour mon plus grand plaisir.
J'ai tout avalé et j'ai ramassé avec mes doigts le reste pour le lécher. Le tout en souriant. Le pire, c'est que j'en avais encore envie. Là, si je pouvais je me ferai encore enculer. Pour être clair, si je le pouvais je voudrai une bite dans la chatte et une dans le cul. Là tout de suite après ça. Putain, qu'est ce que j'aurai voulu me faire démonter encore et prendre un max de bite après cette sodomie bestiale......
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