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Le journal d'une Vierge soumise - Chapitre 14

Il y a des sentiments entre nous. Mais je suis sa soumise et il est mon Maitre. Pleinement mon Maitre. Et cela implique une part de bestialité que je ne peux qu'assumer. Non sans plaisir...

Proposée le 9/10/2024 par GuiNancy

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Thème: Femme soumise
Personnages: FH
Lieu: A la maison, intime
Type: Histoire vraie


Chapitre 13 – Bestialité

Les sentiments entre nous sont indéniables. Je ne sais toujours pas si c'était vraiment de l'amour, si c'était de la passion (qui a durée très longtemps) ou autre chose mais ils étaient vraiment là. Ça n'empêchait pas que j'étais sa soumise et qu'il était mon Maitre. Et qu'il Lui arrivait de se comporter comme ça purement et simplement.

A ces moments là, je n'étais qu'un bout de viande. Un défouloir sexuel. Je le savais, je le sentais. Ça ne me faisait pas plaisir mais je l'acceptais. C'était mon Maitre. C'est ce que j'ai toujours voulu, toujours cherché. Et une partie de moi prenait un plaisir malsain à être rabaissée à ce niveaux là.

J'ai deux exemples très cru et cash de la bestialité dont il était capable. Un jour, je rentrais de cours. Nous ne devions nous voir que deux jours plus tard. J'ai reçu un sms, très court. Voici l'échange.
« Tu es libre ? »
« Oui »
« Bien. Je t'attends chez moi »
« Je passe me changer et j'arrive. »
« Inutile. Viens telle que tu es. Je t'attends ».
« Bien. D'ici 10 minutes je suis là »

Le ton de cet échange m'avait surpris. Je le sentais tendu. Presque énervé. Je ne savais pas pourquoi et ça m'inquiétait. Qu'est ce que j'avais fait de mal ? Aussi, je l'ai relancé en marchant jusqu'à chez Lui.

« J'ai fait quelque chose de mal ? »
« Non. Ne t'inquiète pas pour ça »
« Tu me sembles énervé »
« C'est le cas. Mais tu n'y es pour rien. Tu seras l'exutoire de cette colère. Je t'attends »

Son « je t'attends » signifiait qu'il n'en dirait pas plus. Bon, ce n'était pas moi. Je n'avais rien fait de mal. Un soulagement en soi. Mais le fait de servir « d'exutoire à cette colère » m'inquiétait quelque peu. Je le connaissait. Déjà en temps normal il était bestial. En moment câlin, il était animal. Alors énervé et décidé à faire sortir sa colère, à quoi je dois m'attendre. J'étais un peu inquiète.

Mais une partie de moi avait aussi envie de savoir de quoi il était capable, de connaître le pire du pire de sa part. J'allais le savoir. Et une partie de moi était excitée à cette idée. Une petite partie. Mais elle était là et je ne pouvais pas le nier.

Rapidement, j'étais devant chez Lui. C'était un début d'automne un peu frais. J'avais un jean, des baskets, un petit pull et une veste longue. Avec string et soutif bien sur en dessous.

J'ai sonné et rapidement, la porte du bas s'est ouverte. Je suis montée et c'est avec un peu d'appréhension que j'ai toqué à la porte. Elle s'est ouverte tout de suite sur Lui. Je sentais sa colère. Il émanait de Lui une puissance violente vraiment impressionnante. Le genre qui fait peur au petite fille et qui fait mouiller les grandes.

« Enlève ta veste et agenouille toi »
Sans un mot gentil, même pas un bonjour. Je me suis exécutée immédiatement. Il a attaché mon collier sur mon cou. Et m'a relevé en le tirant. En quelques secondes, je me trouvais collée face au mur à côté de la porte, dans l'entrée. Ses mains descendirent attaquer les boutons de mon jean.

Il allait abaisser mon pantalon et me baiser là dans l'entrée. Directement, sans aucun préliminaire. Je gardais le silence, attentive à ses gestes. Je savais que j'allais déguster. Je n'imaginais pas à quel point.

Rapidement, mon jean fut à mi cuisses et mon string avec lui. J'ai orienté mon bassin pour faciliter l'entrée en moi. A tort. Ce n'était pas ça qu'il voulait. Car quand il a sorti sa queue, je l'ai senti déjà bien raide. Contre mes fesses. Entre mes fesses plutôt. Et sa main vint écarter mes petites fesses. Il allait m'enculer.

Là, debout, contre le mur de l'entrée. A sec. Comme un animal. Comme un bout de viande. D'un seul coup, j'ai eu une montée de stress. Ce qui ne gêna en rien l'arrivée de son gland gonflé contre mon anus. Et sa première poussée.

J'émis un cri de douleur. Il fut immédiatement étouffé par sa main. Il allait m'enculer, là, debout, à sec, contre le mur d'entrée, avec une main sur la bouche. Un pur bout de viande et rien d'autre. Un exutoire à sa colère.

J'étais vraiment bloqué entre son corps et le mur. Impossible de bouger. Quand bien même je l'aurai pu, je ne l'aurai pas fait. Je voulais savoir ce que ça allait donner. Je voulais vraiment savoir. Je savais que j'allais avoir mal et peu de plaisir mais tant pis. Je voulais connaître cette sensation de n'être qu'un garage à bite, un sac à foutre. Un exutoire sexuel. Et je voulais que mon Maitre me montre qu'il était un mâle et que je n'étais qu'une femelle.

Son entrée dans mon cul n'eut rien de plaisante. A sec et ainsi, il forçait purement et simplement. Ça c'était un viol. Enfin, si je n'avais pas été consentante, ça en aurait été un. Car consentante, je l'étais. Son entrée fut difficile mais sa progression fut plus facile. Mon cul avait déjà pris cher sous sa queue.

C'est ainsi que je me retrouvais debout contre un mur, le pantalon à peine baissé, une main sur la bouche pour retenir mes cris et gémissements, en train de me faire enculer par mon Maitre. Soyons honnête, j'encaissais littéralement. Il tapait fort dans mon petit cul. Au point que mes talons se décollaient presque à chaque fois. J'avais un animal en moi.

Et ça me donnait un vrai plaisir. Entre les deux oreilles. Un vrai plaisir psychologique. Comme je l'ai déjà dit, je prenais du plaisir à être rabaissée au niveau d'un morceaux de viande. Comme une pute de cité qu'on paye et qui passe en cave. Cette image était très excitante.

Combien de temps il m'a défoncé comme ça ? Une bonne dizaine de minutes je dirai. Au moins ça. Et j'avais beau trouver du plaisir là dedans, je criais dans sa main à chaque coups de reins. Je pleurais même. Pas à chaude larme. De petits pleurs. Les pleurs d'une princesse qui sent sa dignité s'envoler, qui sait qu'après ça elle ne pourra jamais plus prétendre sérieusement être sage et pure.

Mais finalement, j'en retiens plutôt un bon souvenir. Car quand il a giclé dans mon cul en me disant au creux de l'oreille que j'étais sa pute, j'ai aimé ça. Et oui, il avait raison. J'étais sa pute.

Il s'est fini par quelques grands coups de reins avant de sortir de mes fesses. J'ai immédiatement senti son foutre couler de mon entrée forcée. Ce jour là, il a poussé le scénario du morceau de viande jusqu'au bout. Il s'est reculé, il s'est rhabillé et il m'a dit :
« On se voit dans deux jours. Ne t'inquiète pas, je serai calmé »
Il me signifiait que c'était fini et qu'il avait eu ce qu'il cherchait. Il m'expliquait aussi que la prochaine fois ne ressemblerai pas à ça.

Je me suis donc rhabillée, agenouillée pour qu'il ôte mon collier et je suis parti après à peine un petit bisous. Je suis rentrée chez mes parents, tiraillée par des sentiments ambigus. Comment pouvait il me traiter ainsi ? Pourquoi je le laisse faire ? Mais aussi, pourquoi j'y ai pris du plaisir ? Et pourquoi je le referai sans hésiter ?

Sur ces pensées, j'arrivais chez mes parents. Après une bonne douche, je m'isolais dans ma chambre. Et c'est là que ça me prit. J'avais envie. Envie de jouir. J'allais me masturber. Je le savais. J'en avais trop envie. J'étais en train de me toucher quand j'ai eu une idée perverse. Je voulais lui en faire profiter. Le faire rager plutôt. Lui montrer que sa chienne en chaleur en avait envie et qu'elle était partie de chez Lui frustrée. Car c'était le cas.

Alors, j'ai pris mon téléphone et je l'ai posé dans le bon angle pour me filmer. Allongée nue sur mon lit, cuisses ouvertes, le téléphone dans l'axe de ma fente. Et je me suis filmée en train de me branler, en train de me doigter, de caresser mon corps, de toucher ma fente luisante d'envie. Jusqu'à jouir le plus silencieusement possible. Qu'il voit mon corps se tordre sous le plaisir.

A la fin, je me suis filmée pour dire devant la caméra « voici ce qui arrive quand je pense à mon Maitre. Et voici le plaisir qu'il me provoque quand Il n'est pas là. Juste en pensant à Lui. Quand bien même il m'a traité comme une pute juste avant. Ca veut dire que je suis SA pute, non ? ». Et j'ai fini par un petit clin d'oeil et un bisous.

Je lui ai envoyé cette vidéo par Whatsapp pour qu'elle soit de bonne qualité. Et 15 minutes après j'avais sa réponse.
« Oui, tu es MA pute. Mais tu es aussi plus que ça. MA soumise, MA chienne, MA femelle. Tu es mienne. Et j'en suis fier et heureux »

Ce message me fait encore frémir des années plus tard......

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Commentaires de l'histoire :

GuiNancy
@valeriane: merci de ce commentaire. N'hésitez pas à me joindre si vous le souhaitez. ;)
Posté le 9/10/2024

valeriane
j'adore
Posté le 9/10/2024


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