Un petit tour en nature. Un pique nique, une après midi bucolique en perspective. Il fait chaud. Très chaud. Et pas que dans l'air ambiant. Une vraie cani-cule
Proposée le 27/09/2024 par GuiNancy
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Thème: Femme soumise
Personnages: FH
Lieu: Forêt, campagne, nature
Type: Histoire vraie
Chapitre 11 – Pique (un peu) Nique (beaucoup)
Bon, puisqu'on est dans nos ébats en extérieur, autant parler tout de suite de cet épisode. Je ne sais plus si c'est peu avant ou peu après cette sortie en forêt. Mais c'est le même été, au pire à quelques semaines d'intervalles.
Il faisait vraiment très chaud cet été là. Une bonne canicule des familles. Sans rien révéler, je peux vous dire qu'on habite pas près de la mer. Donc se rafraichir peut être compliqué. Il avait décidé de me faire une petite surprise. Un pique nique suivi d'une balade en rivière. Il connaissait un coin parfait pour ça. Une sorte de petite plage dans la partie encore sauvage d'une rivière très connue.
J'avais donc enfilé une petite robe légère et en dessous j'avais mis mon bikini. Un deux pièces rouge. Pas aussi string qu'il l'aurait voulu. Mais bon, je comptais bien mettre ce maillot à la plage quand je partirais avec mes parents quelques semaines plus tard. Il fallait donc que ça reste assez sage.
Une fois chez Lui, c'est mon collier public qu'il m'a passé autour du cou. Et direction la voiture. On traversait une zone de campagne très agréable. Il avait repéré un coin pour le pique nique. Comme toujours. Il fait rarement les choses sans les avoir un peu préparé. On était vraiment dans un coin paumé, sur une petite route obligeant à se serrer si un véhicule arrivait en face.
Il a fini par prendre une autre petite route, traversant un petit bois, là encore complètement paumé. La route était défoncée. Comme moi j'allais l'être plus tard soit dit en passant. Et au milieu de ce bois, une clairière. Mais la vraie clairière. Le truc super beau ! De l'herbe pas trop haute, pas de buisson ni rien. Idéal pour un pique nique. Surtout qu'on avait croisé personne depuis 20 minutes.
On s'est donc arrêté. Il a sorti la nappe, j'ai pris le panier et allons y. Grand soleil, pleine nature, seule avec mon homme et mon Maitre (oui, il a toujours été les deux en fait). On a profité pleinement de ce moment idyllique. On savait tous les deux comment ça allait finir. En plus, il avait pensé à préparer une bouteille contenant du mojito fait maison, le tout dans une glacière bien fraiche. Franchement, l'ambiance n'était pas à la sagesse.
On venait de finir de manger quand je lui ai demandé, très provocatrice :
« Tu as prévu quoi comme dessert ? »
« Toi voyons »
« Vraiment Maitre ? Il faut donc que je me prépare »
Je me suis assise face à Lui. J'ai ouvert les cuisses en grand, j'ai retroussé totalement ma robe et, après avoir écarté mon bas de maillot, j'ai commencé à me masturber devant Lui. En lui expliquant que je m'étais doigtée la veille au soir, en l'imaginant en train de me baiser dans ma chambre, dans mon lit de jeune fille alors que mes parents seraient absents.
J'avoue que l'idée qu'il me baise chez mes parents mettaient ma chatte en feu. Et pas seulement dans ma chambre..... mais je m'égare.
Le spectacle avait l'air de lui plaire car rapidement, il sortit sa queue et elle était déjà en bonne forme. Ce qui ne fit qu'amplifier mon désir évidemment. Il profita du spectacle (et de moi lui donnant les détails les plus hard de mon envie) avant de me dire :
« C'est bon, tu es à température on dirait. Montre à ton Maitre comment tu suces »
« Bien Maitre »
De la manière la plus langoureuse possible, je me suis approchée de Lui à 4 pattes. Et en le regardant dans le blanc des yeux, je l'ai pris en bouche. J'avais une envie folle de sa bite. J'ai pris le temps de jouer avec son gland en gémissant comme la chienne qu'il avait fait de moi avant de le sucer avidement.
Il me laissa faire quelques minutes avant de s'allonger au soleil. Ce que je prit pour une invitation évidemment ! Une invitation à venir m'empaler sur sa queue. Toujours de manière lente et langoureuse, j'ai relevé ma robe, je suis venu me positionner au dessus de Lui et je suis lentement descendu pour m'embrocher sur sa bite.
Je voulais faire ça très lentement mais à peine il était entré en moi que mes entrailles en réclamèrent plus. J'ai fini par tout enfiler dans mon ventre d'un seul coup dans un grand cri de plaisir. Et ensuite, j'ai fait du cheval (j'en ai fait en vrai en plus) sur mon Maitre, coulissant sur sa délicieuse bite en gémissant comme une salope. Ses mains sur mes hanches et sur le creux de mes reins me rendaient folle. J'adorai ça.
Il me laissa en profiter un long moment. Mais je savais qu'il avait besoin d'enfiler des coups de reins pour prendre son plaisir à Lui. Après avoir joui bruyamment en étant sur Lui, je suis descendu de mon manège préféré. Pour me mettre à 4 pattes. J'avais envie qu'il me baise maintenant.
Il s'est redressé. Et il m'a mis en position, tête tournée vers la route. Je réalisais alors que n'importe qui pourrait survenir et nous voir. Me voir. Avant que j'ai le temps de trop y penser, ma robe était au dessus de mes hanches et sa bite était dans mon ventre. Il agrippa violemment ma longue tignasse (il adorait ça... et moi aussi) pour me tirer la tête en arrière.
Et j’encaissai alors une grosse levrette, puissante, bestiale, violente. Le genre qui vous fait crier de plaisir et de supplice à chaque coups de reins. J'étais ainsi, baisée comme un bout de viande, tirée par les cheveux, en plein air, à la merci des yeux du premier passant. Mon Dieu, si mes parents me voyaient ainsi.... et cette idée me fit jouir. Un orgasme impossible à retenir. L'orgasme d'une princesse qu'on traite comme une pute.
J'ai hurlé mon plaisir comme jamais je ne l'avais fait. On était en plein air ? Je m'en foutais. Je jouissait et le reste n'avait aucun intérêt. Et dans la foulée, il se répandait en moi. Il a encore mis une bonne dose de sperme dans mon ventre. Et ça a fortement prolongé mon plaisir.
Quand il a eu fini de me défoncer, il a lâché mes cheveux. Je me suis écroulée, tête sur la nappe, épaules au sol. Mes hanches tenaient en l'air et je suis sur que ça a du lui donner une belle vue quand il a quitté mon ventre. Ma petite chatte coulant de son sperme.
Je n'ai pas pu m'empêcher de le nettoyer avec ma bouche une fois mon souffle reprit et mes esprits revenus. Après quoi, je me suis lovée contre Lui, allongée sur cette nappe en plein soleil. Pour un vrai câlin. Le câlin d'un Maitre à sa soumise....
Fin de cette partie (il faut savoir tenir son public en haleine)
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