Histoire Erotique

Littérature adulte en ligne, histoires érotiques et récits coquins gratuits...

Le journal d'une Vierge soumise - 11

Promenons nous dans les bois pendant que le loup n'y est pas..... vous connaissez la chansonnette je présume. Moi aussi. Mais c'est plus drôle quand le loup est là....

Proposée le 27/09/2024 par GuiNancy

Votre note pour cette histoire érotique
Nous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.

Thème: Femme soumise
Personnages: FH
Lieu: Forêt, campagne, nature
Type: Histoire vraie


Chapitre 10 – balade forestière

Que pourrais je vous raconter maintenant ? Il faut du mémorable. On baisait tellement souvent (et tellement fort) qu'une simple séance dans la chambre, défoncée comme une chienne, attachée, souillée et humiliée était devenue « normale ». Franchement, j'en étais à ce point là. Me faire défoncer le cul, en pleurs, les mains attachées dans le dos et le suppliant de continuer (et d'y aller plus fort) était mon quotidien. Ou presque.

Alors, quoi raconter de particulier..... Tiens, j'ai trouvé.... vous connaissez la chanson « promenez vous dans les bois » ? Ben, disons que j'y ai trouvé le loup. Enfin, quand vous allez vous balader dans la forêt avec le loup, c'est normal qu'il vous croque non ?

Donc voilà, c'était une belle journée d'été. Un grand soleil, une température flirtant avec les 30°. Le genre où même deux animaux comme nous ne restent pas enfermés dans la chambre. Surtout quand on a son imagination et ma lubricité. J'avais mis une petite robe d'été. Bleue si je me souviens bien. Au dessus du genou bien sur. C'était une de ses exigences permanente. Avec le string et ma petite chatte toujours parfaitement lisse.

Après le cérémonial de mon collier, il s'était amusé à me faire plaisir. Assise sur ses cuisses, mon dos contre son torse, ma tête en arrière sur son épaule. Et mes cuisses ouvertes bien sur. Sa main avait remonté ma robe au dessus de mes hanches. Ses doigts avaient écartés mon string. Et ils jouaient avec moi.

J'en profitais pleinement, les yeux fermés, le souffle haletant. Il savait jouer avec moi et mon corps à la perfection. Il me titillait le clitoris très habilement. Et il variait les plaisirs en me doigtant merveilleusement. Il avait su trouver mon point G très vite, cette petite zone un peu plus épaisse, un peu plus rugueuse sous les doigts.

Il adorait me torturer ainsi, me maintenir au bord du plaisir, me sentir monter et me priver de jouir à la dernière seconde. C'était une merveilleuse torture. La règle du jeu était simple. Si je voulais jouir, je devais le mériter. Je devais m'humilier, lui dire le pire de mes envies ou lui dire ce que j'étais ou je voulais être. C'était la règle. Mais je ne devais céder trop vite. Si je craquais trop vite, non seulement je ne jouirais pas mais en plus il m'enculerait à sec.

Autant être cash, j'ai perdu à plusieurs reprises. Mon petit cul s'en souvient. Bon, comme la vraie salope que je suis aime ça, ce n'est pas si dramatique.

Mais là, ce jour là, j'ai gagné. Je ne tenais vraiment plus alors j'ai craqué. Gagné signifiait perdre. Perdre toute dignité, toute retenue. Et c'était ce qu'il voulait. Je devais perdre ma dignité pour gagner. Je lui ai raconté ma pire envie du moment. J'en avais honte mais je m'en foutais. Je voulais tellement jouir que pour Lui, ma honte n'existait pas. Je lui ai dit : « J'ai envie de faire la pute, sur un trottoir.... pour pas cher....vider des mecs en manque... comme un bout de viande»

Après cette révélation particulièrement sale et honteuse (parce qu'elle était vraie), il m'a délivré d'un bon et gros orgasme. Le genre qui vous fait trembler les jambes pendant 10 minutes. C'est bien ce temps là qu'il m'a fallut pour m'en remettre. Une fois revenue, je me suis laissée glisser à ses pieds. Bien décidée à le vider dans ma bouche.

Mais il m'a surprise. Il m'a arrêté alors que j'attaquais sa braguette. Il m'a fait me relever et il a enlevé mon collier. Pour le remplacer par le collier public. C'est un petit bijou, rien d'extravagant. Une petite chaîne en or et un médaillon qui représentait un petit ange. Ce collier nous servait quand on sortait. Particulièrement discret, insoupçonnable. Mais moi je savais parfaitement que ce collier avait la même valeur que ce collier en simili cuir ornant mon cou dans la sphère privée.

Nous allions donc sortir. Je souriais, sachant d'avance qu'il avait quelque chose en tête. Je rajustais ma robe et nous voilà dans sa voiture. Je n'ai même pas essayé de lui demander où nous allions. D'abord car je m'en moquais. Et ensuite parce qu'il ne me l'aurait pas dit.

J'ai été étonnée quand je l'ai vu se garer en forêt, près de l'endroit où il m'avait dépucelé le cul. Je ne peux pas en être sure mais je suis certaine d'avoir rougi en y repensant. Ce qui avait l'air de lui convenir en voyant son sourire.

Si ce n'est qu'il y avait forcément un peu plus de monde à cette heure. Deux voitures étaient garées là. Je m'apprêtais à sortir quand il m'a arrêté.
« J'ai un cadeau pour toi » et il sorti de sa poche un petit sac en velours. Dont il retira trois petites boules métalliques reliées entre elles par un fil. J'ai appris par la suite qu'il s'agissait de boules de geisha.

Il les posa dans ma main et, en les soupesant, je découvris une chose. Elles étaient creuses. Et une petite bille se trouvait dans chaque sphère métallique. Et le choc de la bille interne sur la sphère amenait de petites vibrations.

« Je te laisse les glisser en toi ». Son sourire énigmatique et heureux de sa surprise était sans équivoque. Il allait encore jouer avec moi. Je ne fit même pas semblant de ne pas savoir où je devais les mettre (même si je n'en étais pas sure). Doucement, j'ai remonté ma robe, écarté mon string et fait glisser ses 3 petites boules dans mon ventre.

« Bien. Allons nous balader maintenant ». Et il sortit de la voiture ensuite. Je l'ai suivi sans réfléchir. J'avais à peine fait deux pas que je comprenais la raison de son petit sourire. Chacun de mes mouvements faisaient bouger les petites billes dans les sphères métalliques. Entraînant une série de vibration. Et vu mon état d’excitation initial, ces simples vibrations firent immédiatement de l'effet.

Il me regardait, très fier de lui. Marchant sur le chemin, à mes côtés. J'étais trop occupée à maîtriser ma respiration afin de lutter contre la chaleur de mon sexe pour parler. Il obliqua rapidement sur un plus petit sentier qui s'enfonçait plus profondément dans les bois. Le chemin était plus cabossée. Donc plus de vibrations. J'avais la chatte en feu en moins de 5 minutes.

Il rigolait « tu vas bien ? Tu es plus loquace que ça d'habitude »
« Oui.... j'essaye de me concentrer simplement »
« Te concentrer juste pour marcher ? Bizarre »
« Tu sais très bien de quoi je parle ! » J'étais en feu, littéralement en feu.
« Non... dis le moi »

Il s'était arrêté après deux trois détours du chemin. Nous étions totalement hors de vue du chemin principal. C'était ça qu'il voulait... il voulait que je perde encore une fois. Que je laisse encore un morceau de ma dignité sur ce chemin forestier. Et je n'avais qu'une seule envie. Lui offrir le peu de dignité qu'il me restait. De toutes façons, ma dignité était morte depuis longtemps. Si mes parents avaient su ce qu'était devenue leur fille chérie.

« J'ai envie que tu me baises, comme une traînée, comme une pute.... que tu défonces ma chatte comme une vulgaire chienne. Je suis une chienne de toutes façons... une vraie chienne en chaleur. C'est ce que tu as fait de moi. Tu as transformé une vierge en chienne en chaleur... »

Il appréciait ce qu'il entendait. Il déboutonnait lentement son pantalon. Mais il semblait aussi en attendre plus. Alors pourquoi l'en priver ?

« Tu as pris mon cul de pucelle à deux pas d'ici... souille ma chatte cette fois. Baise moi sans retenue. Je suis TA chienne, TA pute. Alors utilises moi... utilises cette jeune salope que tu as formé comme bon te semble. Montre moi que je ne suis qu'un bout de viande, tout juste bonne à te vider les couilles.... »

Là, j'ai eu ce que je voulais. Sa queue, déjà bien raide, sortit de son pantalon. Et sa voix suffit à me faire comprendre que j'obtiendrai ce que voulais.

« Allez penche toi sur cette arbre MA petite pute. Je vais te donner satisfaction »
En moins de 5 secondes, j'étais penchée sur l'arbre en question, m'y appuyant avec mes avant bras. Ma robe fut encore retroussée au dessus de mes hanches. D'un geste sec, il arracha mon string. Il l'avait déjà fait une fois et j'avais adoré ça. Et là encore, j'ai adoré ça. Je savais que j'avais réveillé un animal, un prédateur. MON prédateur. Et c'est ce que je voulais.

Il sortit les boules de geisha de mon sexe détrempée et les remis dans le petit sac de velours. Et dans la seconde qui suivait, j'avais sa belle bite enfoncée au fond de ma chatte. Ce qui m'arracha un gémissement de plaisirs. Non, un vrai cri de plaisir plutôt. Rapidement, je me suis rappelée où j'étais et j'ai serré les dents.

Sans perdre une seule seconde, il me baisa violemment et puissamment. Il tapait tellement fort dans mes hanches que je devais vraiment m'appuyer sur l'arbre pour ne pas tomber. Autant dire que mes efforts pour rester discrète étaient assez durs à tenir. J'avais parfaitement conscience de gémir comme une chienne qu'on fourre mais je n'y pouvais pas grand chose.

Fort heureusement, il était vraiment surexcité. J'avais su trouver les mots pour ça. En quelques minutes à peine, je le sentis sortir de mon ventre.
« A genoux ! »
Je savais ce qu'il attendait. Je me plaçais donc à genoux, devant Lui. Son sexe à hauteur de mon visage. Mon visage tourné vers le haut pour tout recevoir. Et un bon gros flot de sperme bien blanc et épais vint alors recouvrir mon visage. Plusieurs jets puissants. Je sentais que j'en avais vraiment partout. Y compris dans les cheveux.

Il m'avait vraiment souillée le visage. Et j'en étais heureuse. Je souriais comme une crétine. Vous savez, ce sourire qui vient tout seul, qu'on arrive pas à empêcher.

Après un petit moment, je me suis relevé, le visage marbré de sperme. Il sortit un mouchoir juste pour essuyer mes paupières et me permettre d'ouvrir les yeux.
« Une véritable œuvre d'art » dit il.
Il sortit son téléphone et immortalisa sa « Mona Lisa du sperme » comme il m'appela après ça.

Je m'apprêtais à finir de m'essuyer quand il m'arrêta.
« Pourquoi gâcher une telle œuvre d'art ? Tu n'es pas heureuse d'être MA salope ?»
En le regardant droit dans les yeux, j'ai lu qu'il était sérieux. Il voulait que je reste comme ça ? Et bien allons y. En souriant je lui ai répondu « Bien sur que je suis heureuse. Heureuse et fière de Mon Maitre »

Et hop ! Retour vers le chemin et vers la voiture. Il y avait assez peu de monde heureusement. Mais pas personne non plus. En repartant, on a croisé deux gamines (de grandes adolescentes je dirai) à vélo. Elles avaient arrêté leur balade à la jonction du chemin et de notre petit sentier. J'ai tout de suite compris qu'elles avaient été alertées par mes cris de chienne en chaleur. Et qu'elles s'étaient demandées d'où ça venait.

Alors quand elles ont vu mon visage zébré de sperme (on est vraiment passé juste à côté d'elles), elles ont compris ce qu'il venait de se passer. C'était sur. Et elles ont eu l'air plus surprise et excitée que choquée. Ces deux petites salopes avaient du attendre moins longtemps que moi pour goûter leur première bite !

Sans un mot (mais sans cacher mon visage), je suis passée à côté d'elle. Et j'ai entendu leurs petits rires dans mon dos ensuite. Je suis sure d'une chose : ces deux petites salopes ont du se faire plaisir le soir même toute seule en repensant à ça.... et ça ne me laissait pas indifférente...

© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.


Laisser une note/commentaire (ou bien faire un signalement)

Histoire-Erotique.org lutte contre le plagiat pour protéger les oeuvres littéraires de nos auteurs.

Cette page est destinée à être consultée en ligne et ne peut pas être imprimée ou copiée.

© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle. Un nombre important d'auteurs nous ont donné l'exclusivité totale de leurs textes.

Fermer définitivement L'activation des cookies et de javascript est nécessaire à son bon fonctionnement. Suite à des abus avec les notes, nous avons apporté quelques modifications à celui-ci pour plus de partialité envers les auteurs qui sont très sensibles à ce que vous pensez de leurs histoires érotiques.
La nouvelle version a pour but d'éviter au maximum les abus inhérents à la notation des récits coquins, et donc des auteurs (les votes multiples par exemple).
Il sera maintenant impossible de noter plus d'une fois la même histoire érotique.
Les notes attribuées à la volée pour un même auteur (qu'elles soient bonnes ou mauvaises) seront modérées.

Commentaires de l'histoire :

Aucun commentaire pour le moment.


Voir les autres récits érotiques de cet auteur ou bien pour le contacter par email


Histoires érotiques choisies :
Le Journal d'une Vierge Soumise - 1
Le journal d'une Vierge soumise - 2
Le journal d'une Vierge soumise -3
Le journal d'une Vierge soumise -4
Le journal d'une Vierge soumise - 5