Le journal d'une Vierge soumise - 10

Voilà, je suis dépucelée par chaque orifice. La suite? Une vie sexuelle démentielle voyons! Le dépucelage n'est qu'un point de départ dans la luxure... et je compte bien aller au bout de la route

Proposée le 16/09/2024 par GuiNancy

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Thème: Femme soumise
Personnages: FH
Lieu: Inclassable
Type: Histoire vraie

Chapitre 9 – Aventure(s)

Je suis vraiment une salope ! C'est ce que je me suis dit en rentrant chez mes parents, l'air de rien, la chatte et l'anus coulant de sperme. Et vu qu'il avait décidé de garder mon string pour rire, coulant de sperme n'était pas une image ! Ça coulait littéralement le long de l'intérieur de mes cuisses. Et franchement, ça coulait fort !

Je n'avais pas osé m'asseoir dans le bus. Ma robe s'arrêtait au dessus du genou. Assez bas pour éviter que la souillure entre mes cuisses ne soit trop visible mais assez courte pour que ça fasse bien salope ! Je n'avais qu'une hâte : rentrer à la maison pour me doucher. Malheureusement, ça ne s'est pas passé ainsi.

Quand je suis rentré, mon père était occupé dans le jardin à faire quelques travaux. Et avant que je ne puisse monter, il m'a alpagué. Il avait besoin d'un petit coup de main pour déplacer des plantes en pots (le genre gros pot vous voyez?). Et là, je vous le donne en mille, qui s'est retrouvée à devoir transporter des pots bien lourds du garage au jardin avec son père alors qu'elle est nue sous sa robe et que ses deux orifices dégoulinent de sperme ?

Mon Dieu, si mon père avait su... ou s'il avait vu. Car, quand on se penche accroupie, on ouvre plutôt bien ses orifices voyez vous. J'ai senti le sperme couler de ma chatte quand je me suis abaissée pour saisir un pot avec mon père l'attrapant de l'autre côté, en face de moi. Quand j'ai regardé quelques secondes plus tard, j'ai vu deux petites gouttes sur le sol en béton du garage. Aucun doute sur ce que c'était. Du sperme. Heureusement, il n'avait rien remarqué.

Après quelques aller retour, j'ai enfin pu monter et aller me doucher. J'avais l'intérieur des cuisses (et des fesses) littéralement souillés de sperme à moitié sec. Le voir dans la glace et le sentir sous mes doigts... comment dire.... Le pommeau de douche à fait son effet. Tout comme mes doigts (que je pouvais enfin introduire en moi). Ça, couplé au stress de ce qu'il venait de se passer dans le garage et le jardin... je me suis fait jouir rapidement et facilement. Comme la bonne salope que je suis.

Inutile de vous préciser que les semaines qui suivirent furent la fête de la luxure et de la baise. Une fois par semaine ne me suffisait pas. Et à Lui non plus. A chaque occasion, j'y passais. Il arrivait que ça soit un coup rapide à ma demande ou à la Sienne. Ou des moments beaucoup plus longs et intenses.

Je ne peux pas tout vous raconter (ce journal ferait 5000 pages) mais vous connaîtrez les meilleurs. Par exemple cette fois où mon ventre était en feu et où j'avais à peine une heure avant d'aller en cours. Le temps d'aller chez Lui et de me rendre à la fac ensuite, ça nous a à peine laissé 10 minutes.

A peine le collier sur mon cou, je me suis retrouvée debout, collé face au mur. Et enculée violemment. A m'en faire décoller les pieds du sol. J'étais en jean ce jour là (la rencontre n'était pas prévue). Et j'avoue que me faire enculer comme ça, debout contre un mur avec juste le jean en bas des chevilles, sans même enlever les chaussures ou rien d'autre.... ça faisait bien traînée et ça m'excitait fort. J'en étais au point où me faire enculer de force était plus excitant que douloureux.

Moins de 10min après, je sortais de chez Lui et je me rendais gentiment en cours comme si de rien n'était. Comme la petite étudiante modèle que j'étais. Alors que mon cul était défoncé et que j'avais le goût de son sperme dans ma bouche (oui oui... je l'ai pas sucé en tant que tel. Mais à genoux, bouche ouverte, attendant la divine offrande. Il n'en a pas mis une seule goutte à côté).

Voici le genre de salope que j'étais devenue en à peine plus de deux mois. Et franchement j'adorais ça. Ça me faisait rire intérieurement quand on parlait cul avec les copines maintenant. Les entendre parler de leurs expériences tellement basiques, tellement normales comme si c'était extraordinaire. Alors que moi j'étais devenue la pire des chiennes.

Et entendre Sophia dire « toi tu peux pas comprendre, moi vierge je comprenais pas non plus » alors que mon ventre était plein de sperme et que mon cul était encore rouge de la fessée que j'avais reçu deux heures plus tôt. C'était un vrai délice. J'avais envie de lui dire : « Vraiment Sophia ? Moi je me suis faite dépuceler le cul à la sauvage sur un capot de voiture. Et toi, ton cul, il a déjà pris de la bite ? »

Mais non, je me retenais. Elles n'auraient pas pu comprendre. Et je suis folle certes mais ce n'est pas une raison pour que tout le monde le sache. Les entendre débattre sur le goût du sperme me faisait rire aussi. Moi je n'ai jamais refusé d'en avaler. Mon seul regret était presque de ne connaître que le Sien. Ça ne me permettait pas de comparer et d'avoir un avis comme elles.

Tiens, il me revient un autre épisode. Vous savez qu'une femme qui a ses règles a également des envies ? Moi je suis chaude bouillante ces jours là. Ce qui est très frustrant d'ailleurs. Un jour, je lui fait savoir que je suis indisposée mais que je pense « fort » à Lui. Comment ? Une photo de dos, nue, cambrée. Plutôt explicite non ?

Résultat des courses, 45min après je suis chez Lui, à genoux, en collier et habillée. En train de le sucer. Une de ces bonnes pipes qu'il aime. Et moi j'adore ça sucer, sentir sa bite durcir dans ma bouche. Et vu mon envie du jour, je prenais mon temps pour me délecter de cette verge. Tout en l'entendant me traiter de salope et en sentant sa main agripper ma longue chevelure.

Après un bon moment à déguster cette queue, j'ai senti son plaisir venir. Il s'est vidé dans ma bouche sans prévenir comme à son habitude. Et j'ai tout avalé. Comme à mon habitude. Mais je n'ai pas arrêté de le sucer pour autant. Ce qui lui arrachait des gémissements et des cris de plaisirs très sympa à entendre.

Franchement, mesdames (ou mesdemoiselles), sucez votre mec après qu'il ait giclé. Juste après. Et vous verrez l'effet que ça lui fait. Il appréciera.

Donc je ne me suis pas arrêté. Et en quelques minutes, son début de fin d'érection redevint une érection franche et sincère. Alors pourquoi m'arrêter ? J'ai continué, sans jamais laisser sa bite sortir de ma bouche. J'avais envie de voir s'il pouvait me cracher dans la bouche une deuxième fois rapidement. Et je fut très agréablement surprise. Comme Lui d'ailleurs.

Il s'est vidé une seconde fois dans ma cavité buccale. Il y avait moins de sperme évidemment. Mais assez pour en apprécier le goût. Et là encore, j'ai tout avalé. J'ai voulu continuer mon petit jeu, surtout que ces gémissements devenaient presque des suppliques de plaisir. Mais il m'a arrêté, me faisant comprendre que je n'en obtiendrai pas plus.

Et heureusement qu'il m'a arrêté car j'étais dans un tel état ce jour là que je serai peut être encore en train de le sucer 10ans après. Une vraie salope je vous dis......

P.S: Voilà, vous avez les 10 premiers épisodes de ce "journal intime". Il y en a plein qui peuvent suivre. Mais comme déjà dit, écrire pour écrire n'a pas d’intérêt s'il n'y a pas d'interactions avec les lecteurs. Faites moi savoir ce que vous en pensez, posez moi vos questions, n'hésitez pas à me joindre via le site. J'ai publié 10 épisodes avant même de savoir ce qu'ils amèneront comme réaction, j'ai même rajouté une photo. Alors ne soyez pas égoïstes et donnez moi l'envie de vous faire partager la suite ;)

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