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Le journal d'une Vierge soumise - 9

Dépucelage. Oui, franchement ce mot résume tout. Mais ne dit rien de comment ça s'est passé. C'est le grand jour, le jour J. Avec une bonne bite... et une fille assoiffée de sexe

Proposée le 16/09/2024 par GuiNancy

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Thème: Femme soumise
Personnages: FH
Lieu: A la maison, intime
Type: Histoire vraie


Chapitre 8 – Dépucelage

Si vous avez bien suivi, ça fait presque deux mois que je l'ai rencontré. Pas si longtemps que ça. Mais une éternité presque. Surtout quand on sait à quoi on jouait. Un miracle que je sois encore vierge. Surtout que c'était le but de la rencontre initiale. Le Lion aurait pu dévorer la gazelle depuis longtemps. Ça me confirmait juste que j'étais tombé sur un mec bien. Ou plutôt un pervers bien. Oui, c'est plus juste.

En plus, on avait un « petit jeu » depuis maintenant plusieurs semaines. Une fois nue, je m'allongeais sur le lit, cuisses ouvertes. Son sexe bien raide venait se frotter contre ma vulve humide. Là tout se passait dans le regard. Il attendait deux mots pour passer à l'action. Mais en toute sincérité, il lui aurait suffit d'orienter son bassin, de mettre un coup de rein et tout aurait été réglé. Je m'amusais à le provoquer, à le pousser à bout, frottant mon bassin contre le sien, lui disant « baise moi », « défonce moi » en le regardant droit dans les yeux.

Et comme c'était un homme bien (oui oui, je le pense), lui tenait à respecter ce qu'il m'avait dit. Pour me laisser au moins le contrôle sur mon dépucelage. Car je sais parfaitement qu'une fois dépucelée, le contrôle serait entre ses mains à Lui. Ce que j'accepte avec grand plaisir. Autant dire qu'il était bouillant à chaque fois. Ce que mon petit cul et ma bouche encaissaient bien et avec plaisir.

Ce jour là, il m'avait laissé choisir ma tenue. Une seule consigne : fait moi plaisir. J'avais opté pour une petite robe d'été légère et courte. Un string, un soutif coordonné (le tout en dentelle bleu), un porte jarretelles et des bas. Le porte jarretelles était un cadeau de sa part. Il trouvait que cela m'allait à merveille. Et j'étais d'accord avec lui. Même si c'était difficile à mettre (et à attacher les bas).

Une fois chez lui et le rituel du collier passé, j'ai eu le droit à une bonne fessée. Il a une très bonne technique en la matière. De quoi faire rougir la peau, la faire chauffer, le tout sans faire mal, sans violence et sans laisser aucune trace le lendemain. Ensuite, je n'ai gardé que le porte-jarretelles et les bas. Et le collier bien sur.

Une fois dans le lit, nous avons repris notre petit jeu. Ma chatte luisante d'envie, son sexe raide qui se frotte contre lui. Mais cette fois là, ce fut différent. Différent par plein de petits détails d'abord. Pour une raison déjà évoqué, il mettait de la musique en fond sonore quand nous passions au lit. Les voisins profitaient moins de mes cris de plaisirs ainsi.

Mais cette fois, sa playlist était... comment dire... plus douce. Des vieux slows (le genre qu'on entend sur Nostalgie ou presque. Je m'amusais à le chambrer là dessus). En plus, le volet était partiellement baissé. Ça donnait une ambiance romantique. Est ce ça qui m'a fait craquer ? Probablement. Ça et l'envie que j'avais de mettre fin à cette attente.

Sa queue bien raide frottait contre ma chatte. Je gémissais comme la femelle en chaleur que j'étais et un ou deux baisers venaient de passer par là. L'ambiance romantique faisait son effet sur la chienne que j'étais. Alors je lui ai dit ce qui était convenu.

Bon, avant de lever le suspense sur ces deux mots, je préfère m'expliquer. On avait parlé fantasme. Comme tout le monde quoi. Avec beaucoup de honte, je lui avait avoué quel était le mien. Et là, j'ai encore honte d'en parler. Bon allez, je me lance et basta. Si vous n'aimez pas, passez à autre chose !

Mon fantasme, c'est de me faire violer. En guise de dépucelage. Mais le vrai truc, un inconnu, la violence, dans la rue. Le vrai truc de force. Le truc bien dégueu. Il paraît que c'est un fantasme assez fréquent pour les femmes même si peu l'avouent. J'ai vu plein de pages sur internet qui le confirment. Et la réalisation de ce fantasme a même un nom : le Non Consentement Consensuel, autrement appelé CNC.

Donc voilà. Il était convenu que je lui demande de me violer quand je voudrais faire sauter mon hymen. Et il était convenu qu'il le fasse. Enfin qu'il le simule évidemment. Car si je suis consentante et demandeuse, ça ne peut pas être un viol. C'est évident. Quand bien même ça en serait un physiquement. Dans cette idée (oui, on en a beaucoup parlé), je me débattrais, je pleurerais, le supplierai mais il continuerai, me mépriserai, m'humilierai. Oui, je suis folle, je l'ai déjà dit. Inutile de revenir là dessus.

Donc, dans cette ambiance romantique et sexuelle, j'ai décidé de « finir le travail » et d'avoir ce que j'étais venu chercher. Il s'est redressé au dessus de moi, je sentais son désir contre mon corps.

Je l'ai regardé droit dans les yeux et avec un petit sourire provocateur, je lui ai dit « viole moi ». Là, j'ai vu un éclair de bestialité passer dans son regard. Il m'a dit « t'es vraiment inconsciente petite ». Et sa main est venue poser sa queue contre l'entrée de ma chatte. Je me suis alors débattue, j'ai crié, le suppliant, lui disant que j'avais changé d'avis.

Mais comme prévu, il s'en foutait. Rapidement une de mes mains se trouvait clouée au matelas et son autre main finissait d'ouvrir mes jambes pour bien se positionner. Son « ta gueule petite pute » faillit me pousser à lui redemander de me violer. Mais l'entrée de sa bite dans ma chatte chaude, humide et serrée m'a coupé la parole.

Son gland entra plutôt facilement tellement j'étais demandeuse. Mais pour finir son affaire et arracher définitivement mon innocence, il dut mettre un grand et violent coup de rein. Du style de ceux que mon cul supporta la première fois. J'ai senti la déchirure dans mon ventre et son sexe qui plongeait au fond de mes entrailles.

Mon cri fut celui d'une vierge violée, d'une innocence arrachée. Mais je suis sur que mon regard était celui d'une salope perverse et d'une femme satisfaite et attendant la suite. Car il ne perdit pas une seconde pour me baiser violemment. Les grands coups de reins s’alignèrent entre mes cuisses.

Violent, bestiaux, puissant. Je continuais à faire semblant de me débattre mais il fit la chose la plus excitante possible : il vint placer sa main sur mon cou. Et là, je ne me suis plus débattue, trop heureuse d'être maîtrisée par mon mâle, mon propriétaire, mon Maitre.

Il m'a baisé, longuement et bestialement.. Il n'y avait rien de tendre ou de romantique là dedans. J'ai pleuré (oui, un dépucelage ça fait un peu mal) mais j'ai surtout gémis de plaisir. Putain que c'était bon. J'attendais ça depuis des années et ça n'aurait pas pu être plus proche de mes fantasmes.

J'ai parfaitement senti que lui aussi il aimait ça. Aucun doute sur ce sujet. Le point d'orgue fut son sperme remplissant ma chatte. Là, j'ai pas joui (dur de jouir sur un dépucelage) mais j'en ai été très très proche. Sentir son sperme se vider dans mon ventre.... comment dire... si vous connaissez mieux que ça, je veux bien savoir ce que c'est.

La fin de cet épisode romantiquement violent fut un baiser passionné et un « je t'aime » prononcé simultanément. Ce qui nous fit rire. Cette journée ne se termina pas là. Après avoir pris le temps de nous remettre de nos émotions, ma bouche (la vilaine!) est allée vérifier si sa virilité était revenue. Et mon cul eu le droit à une visite. Baisée par les trois trous le jour de mon dépucelage... Une vraie salope je vous dis !

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