Enora en fait voir de toutes les couleurs à Baptiste. Après une fellation intense de bon matin, le couple se sépare. En fin de journée, Baptiste remarque qu'un intrus s'est glissé dans le supermarché... à moins qu'il ne s'agisse d'une intrus.
Proposée le 22/08/2024 par Imagine69
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Thème: Couple, passion
Personnages: FH
Lieu: Bureau, travail
Type: Roman
Le ciel sombre commençait à s’éclaircir à l’est. Je m’étais levé de bonne heure, peut-être à cause de la semaine et des évènements qui l’avaient jalonnée. Mon regard se posa sur la maison des voisins au-dessus de ma tasse fumante. De quoi pouvait bien rêver Enora ? Je fermais un instant les paupières et m’imaginais la rejoindre sous la couverture, poser mes lèvres dans son cou et glisser mes doigts sous son pyjama pour masser sa poitrine ferme. Une érection naquit dans mon boxer. Je sortais de ma torpeur, ingurgitais le reste de mon café puis filais sous la douche. J’avais une longue journée face à moi. Avant de partir, j’embrassais mon épouse qui se réveillait dans le lit. La veille, elle était rentrée éreintée de sa journée. Elle travaillait beaucoup pour que son centre sportif marche ! Je montais dans ma voiture et roulais jusqu’au supermarché. J’avais une première réunion dans une dizaine de minutes avec mes homologues et mon patron basé en Allemagne. Je détestais les réunions matinales !
Je me garais sur le parking quasi vide et marchais jusqu’à l’entrée principale d’où une lumière blafarde s’échappait. Le personnel de ménage s’attelaient déjà à la tâche. Un bruit de succion attira mon attention dans un recoin de la façade, sur la droite. Enora était adossée contre un pan de mur, une sucette enfoncée dans la bouche. Ses yeux sombres me dévoraient avec malice. Elle portait une veste chaude, un haut noir, un jeans moulant et des talons. A son épaule pendait son sac à dos d’école. C’était le seul élément qui me rappelait qu’elle n’était encore qu’une lycéenne. Je la regardais avec un brin de sévérité puis lui fit signe de me suivre. Elle s’exécuta et marcha derrière moi jusqu’à mon bureau. Une fois à l’abri des regards indiscrets, je fermais la porte à clé, plaquais la copine de mon fils contre le mur, retirais sa sucette et embrassais passionnément ses lèvres délicieusement sucrées : « Ce n’est pas bon les friandises comme ça de bon matin ».
Elle me sourit en faisant tomber son sac à dos à ses pieds : « Je mourrais d’envie de sucer quelque chose. Tu as peut-être mieux à me proposer ? ». Nos lèvres et nos langues se retrouvèrent dans un baiser fougueux : « J’ai une réunion dans quelques minutes ». En même temps que mes mots sortaient de ma bouche, mes mains retiraient sa veste et la laissait tomber sur le sol : « Je peux t’attendre sagement ». Ses doigts palpèrent mon sexe en érection par-dessus mon pantalon : « J’en doute fort ». Les miens remontèrent vers sa poitrine : « Hum, pas de soutien-gorge aujourd’hui ? ». Je baissais sa bretelle droite et dévoilais son sein nu et sublime que mes lèvres ne tardèrent pas à suçoter. Mes mains descendirent sur son dos puis s’insinuèrent dans son jeans légèrement élastique. Je palpais ses fesses nues entre lesquelles passaient la fine ficelle de son string : « Je ne l’ai pas volé, je te rassure ». Je retournais m’occuper de ses lèvres et de sa langue : « Dommage, je te l’aurais arraché ».
Enora leva un sourcil aguicheur puis ouvrit la braguette de mon pantalon. Au moment ou mon téléphone me notifia que la réunion avait démarré, la jeune femme parvint à extirper mon sexe et mes bourses par l’ouverture : « Enora, on avait dit « sagement » ». Elle prit son portable, démarra un enregistrement vidéo puis me le tendit : « Même toi tu en doutais ». Face à l’objectif, elle s’agenouilla, saisit mon sexe d’une main et l’enfonça dans sa bouche. J’expirais en serrant les dents. Cette réunion allait être compliquée à suivre. D’autant qu’elle n’y allait pas de main morte : « C’est bien meilleur que ma sucette, non ? ». En guise de réponse, je passais ma main libre dans ses cheveux et l’encourageais à reprendre. Tout en épiant et filmant ma jeune et jolie fellatrice, je prenais mon portable, glissais une oreillette et rejoignais la conversation en anglais : « Bonjour messieurs, dames ». Tous me saluèrent plus ou moins gaiement.
La voix à l’accent germanique tranchait parmi les autres : « Baptiste, avant de commencer, je voulais te dire que je viendrai te rendre une petite visite mercredi prochain ». Je maitrisais ma respiration et répondais : « Ce sera avec grand plaisir Klaus ». Je coupais mon micro et la réunion démarra par un compte rendu des performances du groupe. Je n’écoutais pas. Toute mon attention était rivée vers la sublime créature qui dévorait mon sexe avec envie, beaucoup d’envie. Elle avait fait des progrès et avait gagné en confiance. Ses joues se creusaient et la forme de mon sexe s’imprimait dessus. Enora me regardait avec malice. Jusqu’ou allait-elle aller comme ça ? Elle redressa mon sexe en me masturbant rapidement puis inclina sa tête et goba mes bourses. La vidéo continuait de capturer la salacité et la détermination de mon amante : « Baptiste, tu as le micro coupé ». Mon corps eu un spasme et je cliquais sur l’icône : « Oui, je suis là… ». J’étais complètement perdu.
Enora le savait, son sourire était empreint de fierté. J’essayais de me concentrer : « Oui, donc l’activité ici… ». Je fermais les yeux un instant puis commençais à détailler mon compte rendu. En parallèle, la copine de mon fils repris sa fellation de plus belle. Je sentais ses lèvres gagner du terrain et sa glotte se faire harceler par mon gland. Je n’allais pas tenir longtemps et là encore, elle le savait. Elle se retira un instant en emportant avec elle un filet de bave, lécha le dessous de ma hampe puis me sourit avec une idée derrière la tête. Ou plutôt un plan, un objectif. Elle posa ses mains sur mes hanches puis reprit son œuvre. Sans plus vouloir s’arrêter. Vint le moment ou mon sexe ne cessa plus de se contracter, ou mes muscles commencèrent à se rigidifier. Klaus ne cessait de me poser des questions. J’avais mieux à faire : « Attendez… je… capte… me reconnecte… ». Je quittais la réunion et ma bienfaitrice me regarda avec satisfaction : « Enora, tu vas me faire jouir ».
Ma main libre essaya de la repousser mais elle la détourna et l’emprisonna dans la sienne. Elle plissa les yeux, se redressa quelque peu puis s’arrêta en sentant mon sexe se tendre comme jamais. J’essayais de me retenir. Je n’allais pas y arriver. Enora resserra ses lèvres, lécha mon gland et signa ma fin. Devant mon regard stupéfait et l’objectif de son téléphone, elle recueillit dans sa bouche le fruit de son dur labeur : « Ah Enora… Oui ! ». Comment en étions-nous arrivés là ? Aimait-elle ça ? Il n’y avait aucun doute. Quand la tempête fut passée, elle recula lentement et me montra sa langue noyée sous mon nectar blanchâtre. J’immortalisais l’instant puis une coulée de sperme s’échappa de ses lèvres et coula sur son menton. Surprise, elle ferma instinctivement sa bouche, déglutit puis ramena le reste et en fit de même. Elle pouffa de rire et j’en fis de même : « Tu es folle Enora ». Je coupais la vidéo et lui rendais son portable : « Tu n’oublieras pas de me l’envoyer ». Elle hocha la tête en rigolant.
Son regard de biche me toisa : « Tu as aimé ? ». Je pouffais en caressant sa joue : « Et comment ! Et toi ? Ce n’était pas désagréable ? ». Elle sourit : «C’était mille fois meilleur que ma sucette ! J’ai adoré te sentir jouir et te gouter ». Elle me rendait fou ! Je l’aidais à se relever puis l’embrassais tendrement : « Merci Enora ». Elle sembla touchée par mes mots, se blottit contre moi en me serrant contre elle. Mon cœur battait la chamade. Les mots « Je t’aime » étaient sur le bout de nos lèvres respectives. Mais ils ne sortirent pas. Seul un regard suffisait : « Je te laisse à ta réunion Baptiste ». J’opinais, l’embrassais une nouvelle fois et réajustais mes habits avant de retourner sur mon téléphone : « Désolé, mauvaise connexion. Je disais… ». Enora sourit puis partit prendre ses affaires à côté de l’entrée. Mes yeux ne la quittaient pas un instant. Elle me salua une dernière fois puis sortit. Je parvenais à me reconcentrer sur mon travail jusqu’à ce que je reçoive la vidéo sur mon téléphone.
La réunion se termina et je transférais le fichier brûlant sur mon ordinateur avant de sortir de mon bureau. La journée passa et sur les coups de dix-huit heures, je rentrais dans une nouvelle réunion sur la stratégie de l’entreprise. Une réunion qui s’éternisa. A dix-neuf heure, Samuel, l’agent de sécurité, toqua à ma porte : « Vous allez rester tard Monsieur ? ». Je coupais le micro : « Oui Samuel. Tu peux éteindre les lumières et fermer la porte sans enclencher l’alarme. Je le ferai en sortant ». Il acquiesça et nous nous saluâmes. J’ouvrais ensuite mon téléphone et envoyais un message à Joséphine : « Je vais rentrer tard ce soir chérie. Dinez sans moi ». Elle me répondit : « Courage mon amour. Prends ton temps ». S’en suivit une photographie d’elle nue dans la salle de bain, face au miroir. Mes yeux détaillèrent son corps sublime et ma verge commença à durcir dans mon pantalon : « Hum, sublime ! Je fais au plus vite. Il ne s’agirait pas que tu attrapes froid comme ça ».
A dix-neuf heure trente, la réunion se termina. Je prenais mes affaires et sortais du bureau. Je me dirigeais vers la sortie dans la pénombre et le silence. Soudain, quelque chose tomba d’une étagère au rayon parapharmacie. Mes sens se mirent en alerte. Quelqu’un était entré par effraction. Je me rapprochais de la source du bruit tout en restant sur mes gardes. Je me penchais et prenais la boite de préservatifs sur le sol. Aucun bruit de pas n’était perceptible. Je reposais l’article et marchais vers l’allée centrale, en scrutant chaque rayon. Arrivé au niveau des vêtements, j’entendis le cliquetis d’un ceintre. Je me retournais et capté le mouvement d’une ombre qui se dirigeait vers les cabines d’essayage. Je me déplaçais rapidement en tentant de maitriser mon rythme cardiaque. A l’entrée de la zone, j’allumais les lumières. Il ne s’agissait pas de se mettre en difficulté dans le noir complet. J’avançais, d’un pas lent, prêt à toute éventualité… sauf à celle-là. Au bout de l’allée, Enora m’attendait.
Son regard me dévorait dans le reflet du mur de miroirs face à elle. Mon cœur continua de battre à tout rompre, mais différemment cette fois-ci. Elle portait une longue robe en dentelle transparente qui tirait plus de la nuisette que de l’habit de soirée. Les bords écartés dévoilaient son nombril, son ventre et le centre de sa poitrine nue. Sous le tissu, je distinguais les auréoles de seins et, à l’arrière, les ficelles de son string. Juchée sur des talons aiguilles, elle devait me dépasser en taille. Je la trouvais magnifique ! En m’approchant lentement, je remarquais qu’elle avait épaissit son mascara autour des yeux et qu’elle avait mis un joli rouge à lèvres. Ses cheveux châtains tombaient sur ses épaules tout en laissant apparaitre des boucles d’oreilles tombant de ses lobes. Je me plantais derrière elle, posais un baiser sur son épaule et étreignais ses hanches fines : « Vous êtes magnifique Madame ». Ses yeux suivirent le reflet de mes lèvres qui se posaient désormais dans sa nuque découverte.
Elle sourit : « Ma tenue vous plait-elle ? ». Mes mains s’avancèrent sur son ventre et écartèrent les bords jusqu’à dévoiler ses seins nus : « Elle est exquise, mais j’aurais peut-être… ». Mes doigts baissèrent son string jusqu’à la moitié de ses cuisses : « Un si beau sexe ne mérite pas d’être caché. Pas même par de la belle lingerie ». Elle tourna son visage vers moi et nos yeux épièrent nos lèvres avec envie : « Mon mari va arriver d’une minute à l’autre. Je doute qu’il apprécie de voir sa femme se faire déshabiller par un inconnu ». Hum, elle voulait jouer. L’une de mes mains remonta sous son sein gauche : « Votre mari a de la chance. Vous satisfait-il ? ». Elle se mordit la lèvre : « Disons qu’il remplit à peine ses devoirs conjugaux. Mais heureusement, j’ai un amant… ». Ma main glissa délicatement entre ses cuisses et mon majeur s’allongea dans la fente de sa vulve : « Hum, dites m’en plus sur lui ». Sa main se posa sur la mienne et son bassin se mit à onduler lentement.
Elle gémit et mon doigt commença à glisser sur son clitoris : « C’est un bel homme, plus âgé que moi, avec beaucoup d’expérience. Il est à la fois sensible et virile. Il hante mes pensées et parcourt mes rêves. Il sait aussi bien me faire l’amour que me… sauter… ». Elle râla de plaisir et blottit un peu plus ses fesses contre mon érection : « Continuez ». Son regard s’enfiévra, sa main droite passa derrière ma tête : « J’adore nos moments. Je me sens à la fois en sécurité et vulnérable, soumise et libre. J’aime la façon dont il attise mes désirs, enflamme mes envies. J’aime sentir ses coups de reins fougueux et ses mains assurées. Il me fait mal autant qu’il me fait du bien… Ah ». J’enfonçais deux doigts dans son intimité juteuse puis palpais son sein gonflé : « Continuez ». Enora me regarda dans le miroir en fronçant les sourcils : « J’aime le voir, m’abandonner à lui jusqu’à ce qu’il me fasse jouir et que son sperme se déverse en moi. Je crois que… je crois que je l’aime ». Mes doigts s’arrêtèrent subitement.
Enora me regarda dans le miroir, guetta une quelconque réaction avec une mine inquiète. Elle semblait fébrile, plus exposée que jamais. Mon cœur avait arrêté de battre. Mon esprit s’était subitement envolé. Mes doigts se retirèrent de mon amante, dont la déception pu se lire sur le visage. Je la retournais et la plaquais contre le miroir avant de l’embrasser comme jamais je ne l’avais fait auparavant : « Moi aussi, je crois que je t’aime Enora ». Elle plongea son regard dans le mien, sourit puis revint gouter à mes lèvres avec passion. Nos mains passèrent dans nos cheveux. Nos corps se blottirent l’un contre l’autre. Nos cœur et nos souffles se synchronisèrent sur le même tempo. Nous avions envie l’un de l’autre et pas que physiquement. Ses doigts déboutonnèrent ma chemise, caressèrent mon torse puis ouvrirent mon pantalon, s’engouffrèrent dans mon boxer et palpèrent mon sexe dur avec envie. Elle m’excitait, me comblait, me volait un peu plus à ma chère Joséphine.
Mes lèvres et ma langue s’attaquèrent à son cou : « Tu es magnifique Enora ». Sans attendre de réponse, je descendais vers ses seins puis son ventre. J’avais l’impression de la découvrir sous un nouveau jour. Je m’agenouillais devant elle. Ses mains se posèrent sur ma tête et sa cuisse sur mon épaule. Nous étions sur la même longueur d’onde. J’entamais un cunnilingus passionné et me délectais du goût de sa mouille : « Oh oui Baptiste !». La jeune femme tendit un peu plus son bassin vers moi et me fournit le champ d’action nécessaire pour lécher sa vulve sur toute sa longueur. Quand ma langue revint vers son clitoris, mon index et mon majeur s’enfoncèrent dans son intimité pour la masser de l’intérieur. Ma main libre remonta quant à elle vers son sein droit pour le palper amoureusement. Enora gémissait de plus en plus profondément. Après quelques minutes, des spasmes traversèrent son corps et ses doigts tirèrent des mèches de cheveux : « Baptiste… Bapti… ».
Elle atteignit l’orgasme et je me repaitrais du fruit de son plaisir. Je la nettoyais scrupuleusement en accompagnant la fin de sa jouissance. Je reposais sa jambe sur le sol puis me redressais. Le regard fiévreux, la copine de mon fils m’embrassa : « Tu es fou… ». Je baissais mon caleçon sous mes fesses et relevais son genoux au niveau de ma hanche : « Simple retour des choses ». Je la pénétrais profondément et nos râles se mêlèrent dans nos bouches. Je lui fis tendrement l’amour en profitant de chaque instant en elle. Elle était divine ! Je relevais ensuite son autre jambe, passais le creux de ses genoux dans celui de mes coudes. Enora gémit davantage en raison de mes coups de reins plus amples et vigoureux. Ses mains se posèrent sur mes joues tandis que nos langues tournoyaient l’une contre l’autre. Nos corps s’échauffaient et au bout de cinq minutes, ma chemise commença à s’imprégner de sueur. Je reposais mon amante et me déshabillais intégralement en une poignée de secondes.
Cela permis à Enora de reprendre le dessus. Une fois nu, elle me poussa sur un banc matelassé sur lequel, en règle générale, les hommes patientent pendant que les femmes essayent. Je me retrouvais donc à moitié allongé, m’appuyais sur le meuble pour maintenir mon buste redressé. La jeune femme écarta mes cuisses pour s’agenouiller entre. L’instant d’après, le regard plongé dans le mien, elle enfonça mon sexe dans sa bouche et se lança dans une fellation sensuelle. Je caressais sa joue et ses cheveux. Elle creusa son dos et écarta le tissu de sa robe pour que je puisse admirer ses sublimes fesses et son entrejambe dans le reflet du miroir. Mon sexe se tendit de plaisir en elle et elle plissa les yeux en guise de satisfaction. Ses mains se posèrent sur mes cuisses et sa tête poursuivit ses oscillations nonchalantes : « Ah Enora… ». J’avais à peine râlé ces mots que ses lèvres s’avancèrent lentement mais sûrement jusqu’à mes bourses. Mon sexe avait entièrement disparu dans sa bouche et sa gorge.
Elle resta un instant immobile et moi paralysé. Les images et sensations s’imprimaient dans mon âme. Puis Enora se retira lentement et un filet de bave coula sur son menton avant de tomber sur sa poitrine ferme. Elle rigola : « Désolée, je… ». Je la coupais avec un baiser torride puis l’invitais à se relever : « Je t’aime Enora ! Viens ». Je prenais place au milieu du banc, me penchais en arrière sur mes coudes et contemplais la jeune femme guider mon sexe luisant en elle. Elle posa ses pieds sur le sol, ses mains sur mes épaules et me chevaucha avec élégance et sensualité. Son regard était brûlant de désir, ses tétons pointaient comme jamais. Au bout d’un instant, je me redressais et les emprisonnais à tour de rôle entre mes lèvres. Enora cajola ma tête contre sa poitrine tout en frottant son clitoris contre mon pubis. Ses muscles commencèrent à se raidir et ses gémissements à s’intensifier. L’une de ses mains guida alors la mienne de son dos à ses fesses écartées, puis allongea mon majeur sur son anus.
Je l’interrogeais du regard et elle se mordit la lèvre inférieure en geignant. Je pressais son sphincter et le rythme de son bassin s’enflamma : « Ah Baptiste ». Elle me chevaucha sauvagement en serrant les dents. Une première phalange s’enfonça en elle, puis une seconde et enfin une troisième. Elle ouvrit sa bouche et j’utilisais ma nouvelle prise pour accompagner son bassin contre le mien. Le cri qu’elle laissa s’échapper dû raisonner dans tout le bâtiment. Sa cyprine inonda nos entrejambes et les bruits de frottement mouillés accompagnèrent ses derniers râles : « Tu ne veux pas éjaculer ? ». Je retirais mon doigt de son anus et la serrais contre moi : « Je me retiens de toutes mes forces pour continuer de te faire l’amour et de te voir jouir ». Elle m’embrassa puis mordit ma lèvre : « C’est pas du jeu ! ». Je souriais à mon tour : « Et toi, c’était fairplay ce que tu m’as fait ce matin ? ». Elle rigola avec mauvaise foi : « Moi ça ne compte pas, je voulais juste t’aider dans ton travail ».
J’haussais un sourcil : « C’est le rôle d’une assistante ça ! ». Elle sourit : « Alors embauche-moi et tous les matins, je me glisserai sous ton bureau et te sucerai jusqu’à ce que tu jouisse en moi ». Mon sexe se contracta en elle : « Pas besoin de t’avoir comme assistante pour ça, si ? ». Elle hocha la tête en souriant : « En attendant, c’est toi qui a jouis. Viens ! ». Je m’allongeais complètement sur le banc et invitais Enora à positionner son entrejambe trempé au-dessus de mon visage. Elle s’exécuta sans rechigner et me présenta sa vulve trempée que je léchais assidument en étreignant ses hanches. Rapidement, elle se pencha en arrière, posa ses mains sur mon ventre et ondula son bassin en s’abandonnant à mes caresses buccales. Elle était aussi sublime que délicieuse ! Ma langue navigua quelques minutes entre son clitoris et son antre avant de se diriger vers son anus. Enora me regarda faire en se mordant la lèvre : « Tu me rends folle Baptiste ! Et tu vas me rendre nympho à force ! ».
Mon regard lui répondit : « Et alors ? ». Elle se recula et se pencha au-dessus de moi : « Traites-moi comme une nympho ». Ses mots m’enhardirent. Je l’embrassais fougueusement et me redressais en la faisant basculer à son tour en arrière. J’allongeais le bas de son corp. Le haut resta redressé à l’aide de l’appui de ses coudes. Je déposais un dernier baiser sur ses lèvres puis me plaçais debout devant son visage, un pied de chaque côté du banc. Nos regards se défièrent avec envie et animosité. L’une de mes mains passa derrière sa tête légèrement penchée, l’autre saisit mon sexe et l’enfonça lentement dans sa bouche grande ouverte et souriante. Enora ne me quitta pas du regard et me laissa mener soigneusement la dance : « Tu aimes ? ». Elle cligna des yeux et je poursuivais avant d’approfondir un peu mon œuvre puis de me retirer. Une belle quantité de bave s’était agglutinée dans sa bouche et sur mon sexe. Enora inspira puis essaya de me reprendre en elle. Je repoussais délicatement sa tête en arrière et l’immobilisais : « C’est moi qui donne les ordres ».
Elle me toisa avec un regard de biche et opina. J’effleurais ses lèvres rouges avec mon gland. Sa langue ne put s’empêcher de sortir. Je la fis lécher le dessous de ma hampe lentement puis mes bourses, qu’elle goba poliment après avoir reçu mon accord implicite. Je me reculais ensuite, l’embrassais tendrement puis m’installais entre ses cuisses que j’écartais grandement. Je m’installais en position de planche sur elle puis la pénétrais profondément en lui arrachant un cri. Le premier d’une longue lignée. Faisant suite à sa requête, j’entamais des vas et viens plus débridés et plus puissants. Mes muscles saillaient et les mains de mon amante s’accrochèrent à mes avant-bras luisants, comme pour ne pas perdre pied. Trois minutes plus tard, je ramenais mes pieds de chaque côté du banc, repliais ses jambes vers son buste et poursuivais avec des coups de reins francs qui firent vibrer son corp : « Baptiste… ah… oui ! ». Enora était dans une zone grise : penchée au bord du précipice mais pas encore tombée.
Elle avait un pied dans l’orgasme et l’autre dans l’excitation extrême. Je ressortais rapidement mon sexe et frottais mon gland contre son clitoris. Ce fut à ce moment là qu’elle atteignit le septième ciel. Je me replantais en elle et l’accompagnais avec des pénétrations fermes : « Ah oui ! ». Je la regardais trembler de plaisir. J’étais moi aussi au bord de l’explosion : « Retire-toi Baptiste ». Avais-je fait quelque chose de mal ? A contre-cœur, j’acceptais et me relevais. Devant moi, la sublime créature se retourna, s’allongea sur le ventre, remonta son bassin en creusant son dos et écarta sa robe en me dévoilant son postérieur. Mes yeux scrutèrent ses fesses sublimes et offertes puis observèrent le reflet de ceux de mon amante qui me toisait dans le miroir. Sans attendre, je reprenais place au-dessus d’elle et enfonçais mon sexe dans son intimité brûlante, entre ses cuisses serrées. J’étreignais ses hanches immobiles puis entamais des vas et viens sauvages à la façon d’un marteau piqueur.
L’excitation monta subitement et je pris appui sur ses omoplates en réduisant la cadence. La beauté de son corps, la chaleur de son intimité et la concupiscence de son regard m’électrisaient. Je m’arrêtais, au bord de l’orgasme : « Il y a un problème mon amour ? ». Elle savait l’état dans lequel je me trouvais mais décida d’attendre une seconde, deux secondes… Ses fesses se déhanchèrent en remontant fébrilement vers moi. Dans le miroir, je vis qu’elle rigolait. Je m’avouais vaincu. Mon bassin s’écrasa contre son postérieur et mon sexe disparut entièrement en elle : « Ah Baptiste ! ». Je lui assénais des coups de reins incontrôlables puis jouissais dans son intimité en geignant sans retenue. J’étais aux anges ! Je ralentissais progressivement la cadence, passais une main sous la gorge de mon amante qui releva son visage vers le mien en arquant son dos. Mes lèvres trouvèrent les siennes : « Je t’aime Enora ». Elle sourit puis répondit : « Moi aussi je t’aime Baptiste ». Quelle semaine…
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