Alors que Joséphine regarde Richard jouer au tennis contre Rémy et s'imagine déjà se faire prendre par son voisin, celui-ci doit s'absenter pour une réunion. Joséphine se retrouver avec Rémy qui, en plus de lui faire un massage divin, ne va pas tarder à s'aventurer plus loin.
Proposée le 22/08/2024 par Imagine69
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Thème: Couple, passion
Personnages: FHH
Lieu: Bureau, travail
Type: Roman
Elisabeth but une gorgée de citronnade tandis que je rangeais les verres derrière le bar. Elle était arrivée sur les coups de dix heures avec Richard, qui avait été rejoint par son acolyte Rémy pour une partie de tennis. Nous étions trois à savoir que je me faisais son mari. Je me sentais mal pour elle. Elle était si jolie, si attentionnée, si fidèle. Pourquoi son homme la trompait-il ? Peut-être qu’au lit, elle n’était pas si dévergondée qu’elle y paraissait. Ou peut-elle qu’il lui portait trop de respect pour lui faire ce qu’il se permettait de me faire : « Il est joli ton haut ». Je sortais de ma torpeur : « Oh… oui… c’est un body ». Elle se pencha au-dessus du comptoir. Le tissu de son combi short tomba légèrement et j’entraperçus sa belle poitrine. Elle tendit sa main : « Je peux ? ». J’acquiesçais en m’approchant du plan de travail et ses doigts s’enfoncèrent légèrement dans mon décolleté pour toucher le tissu vert émeraude. Un frisson parcouru mon échine, elle était littéralement en contact avec mon sein.
Je n’étais pas lesbienne, mais Elisabeth avait ce magnétisme électrisant qui me faisait toujours un effet : « Très séduisante ! ». Elle se rassit et je pouffais : « Attention, tu vas me faire rougir ». Elle leva un sourcil charmeur, termina son verre puis quitta sa chaise : « Combien je te dois ? ». Je levais les mains : « Pas de ça entre nous ! ». Elle rétorqua : « Je te le rendrai d’une façon ou d’une autre ». Un silence s’installa puis elle le brisa : « Je dois rejoindre une amie. Fais attention aux deux dehors ! ». Je souriais : « C’est promis ! Oh et Elisabeth… joli combi short toi aussi ». Elle me lança un regard malicieux puis disparut. Je soufflais, déboutonnais mon short et glissais ma main à l’intérieur. Pourquoi étais-je mouillée ? La clochette de l’entrée retentit et Rémy apparut. J’avais eu le temps de retirer ma main, mais pas de refermer mon bas : « Joséphine… ». Il hésita un instant en me détaillant. Il était séduisant, jeune, athlétique et transpirant : « Est-ce que je peux te prendre deux bouteilles d’eau ? ».
Je bégayais : « Oui… oui, je vous les apporte ». Il répondit avec un regard charmeur : « Merci beaucoup. Au fait, ce top et ce short te vont à ravir ». Je rougissais légèrement et il partit. Je refermais ensuite mon short et préparais les bouteilles sur un plateau en rajoutant deux sodas. Je sortais du bâtiment et rejoignais les deux étalons. Elisabeth était déjà partie. Richard me toisa avec envie et me remercia pour l’eau. Je posais le plateau sur la table : « Alors, qui gagne ? ». Mon voisin prit une grande gorgée puis donna une tape sur l’épaule de son acolyte : « Lui, pour l’instant. Mais si j’avais son âge, il serait déjà couché ». Rémy gloussa et je décidais de taquiner Richard : « S’il te fait souffrir, je veux bien voir ça ». Il me toisa en ricanant et je prenais place sur le banc tandis qu’ils retournaient sur le court. Les balles s’enchainèrent sous le soleil de plomb. Pour limiter les traces de bronzage non voulues, je retirais mes bretelles et Richard ne manqua pas de le remarquer : « Tu devrais enlever ton short aussi ».
Je pris un air faussement outré puis me levais, ouvrais mon short et le faisais tomber à mes chevilles : « C’est mieux ? ». Il haussa les épaules en souriant. Je savais qu’il voulait que j’enlève le tout. Rémy me reluqua furtivement. Lui faisais-je aussi de l’effet ? Après avoir perdu un nouveau jeu, Richard demanda une pause. Ils revinrent boire de l’eau en m’épiant à tour de rôle. Le plus vieux dit au plus jeune : « Tu ne voulais pas passer aux toilettes ? ». Rémy allait dire « Non » mais il sembla comprendre la demande implicite : « Si, tu m’attends ? ». Richard opina et s’assit à côté de moi tandis que son comparse partait. Il n’avait pas encore quitté le court que déjà mon amant m’embrassait et baissait mon body pour dénuder et ploter mes seins : « Richard ! ». Il rétorqua : « Je ne pouvais plus attendre ». Sa main quitta ma poitrine pour filer vers mon entrejambe : « Ou alors tu étais trop épuisé ? ». Il pouffa en caressant mon sexe par-dessus le tissu : « Non, j’avais juste une… érection qui m’handicapait ».
Je levais un sourcil : « Ah bon ? Et en quoi me tripoter pourrait t’aider ? ». Il retira sa main puis baissa son short pour libérer son sexe droit. La mienne s’en empara instinctivement pour le masturber et le cacher : « Richard, nous sommes sur un court de tennis ». Il sourit : « Et alors ? ». Je rigolais nerveusement : « Et alors ce n’est pas discret … on pourrait nous voir… et Rémy… ». Il caressa ma joue, fronça les sourcils : « Suce-moi Joséphine ». Il savait que je ne pouvais pas résister cet ordre, que je mourrais d’envie de l’exécuter. Sans réfléchir, je me penchais et enfonçais son mât dans ma bouche. Il avait un goût d’excitation et de sueur. J’adorais ! Richard caressait ma tête qui montait et descendait rapidement sur son pieu contracté : « Oh, ta bouche m’avait manquée ». Je me redressais, donnais un coup de langue à sa lèvre et demandais : « Que ma bouche ? ». Il me sourit puis sa main glissa vers le bas de mon dos pour remonter le tissu de mon body entre mes fesses : « Non, pas que. Continue ! ».
Je rétorquais malicieusement : « Non, j’ai envie de te voir jouer avec ton érection ». Son visage blêmit : « Joséphine… tu ne peux pas ! ». Je lâchais son sexe et attrapais son menton : « Si tu gagnes, je te ferai jouir comme jamais ». Il me regarda, perplexe. La porte du court s’ouvrit et il réajusta son habit à la va vite : « J’en ai pas finis avec toi ». Je souriais en le regardant se lever : « J’espère pas ». Rémy se remit en position et ils reprirent le match. Richard redoublait d’effort et de ruse pour revenir au score. Quand il gagna son premier jeu, il eut le droit de reluquer discrètement le sein que je lui dévoilais. Son érection était toujours bien présente. J’avais hâte qu’il gagne ! Un téléphone sonna sur la table et j’informais les deux joueurs. Richard s’approcha et prit le téléphone : « Mince, c’est un investisseur ». Il répondit tandis que Rémy se désaltérait en me toisant timidement. Lui aussi avait une belle bosse qui déformait son short. Une bosse qui m’intéressait, que je ne parvenais pas à décrypter.
Je ne savais pas s’il était célibataire mais j’espérais que oui. Etais-je son type de femme ? Avait-il une attirance pour moi ? Richard raccrocha : « Je dois vous laisser, j’ai un investisseur qui est sur le port et qui souhaiterait me rencontrer ». Déçue, je l’encourageais tout de même à foncer. Il regarda son acolyte : « Je t’appelle si j’ai besoin de quoi que ce soit ». Rémy opina. Je me relevais, remettais mes bretelles et rentrais proprement le tissu de mon body entre mes fesses. Je posais mon short sur le plateau et Rémy me proposa de le porter : « Merci, mais ne t’en fais pas ». Pendant que Richard courait à sa voiture, je quittais le court, talonnée par Rémy dont je sentais le regard dévorer mon déhancher. Nous rentrâmes dans le bâtiment et le jeune homme partit aussitôt à la douche. Je rangeais les affaires quand une petite voix résonna dans ma tête : « Vas l’épier sous la douche, voir comme il est battit ». Je m’y refusais dans un premier temps mais cette petite voix devint bien vite très insistante.
J’arrêtais mes tâches et me dirigeais vers la salle de bain. Sur la pointe des pieds, j’avançais vers la douche dans laquelle se trouvait Rémy. J’inspirais profondément, m’accroupissais et écartais légèrement le rideau. Il était de dos, en train de rincer le shampoing qu’il avait sur la tête. Il avait de belles fesses bien musclées. Il attrapa son gel douche à l’aveuglette puis se positionna de profil. Mon regard s’arrêta sur son sexe à moitié bandé. Il était imberbe et massif, bien plus que celui de Richard et de mon mari. Je n’en avais jamais vu de ci beau et de ci gros. Sauf dans les films porno. Rémy fit un mouvement de côté et je m’éclipsais avant qu’il ne remarque ma présence. Je ressortais de la salle de bain, toute émoustillée, puis filais dans mon bureau. Je fermais la porte, me plaquais contre, ouvrais les deux boutons-poussoirs entre mes cuisses et entamais une masturbation compulsive. Je frottais mon clitoris en fermant les yeux et m’imaginant sous la douche avec le jeune homme.
Ma main libre glissa dans mon décolleté pour ploter mon sein puis deux doigts fébriles s’enfoncèrent dans mon intimité. Que c’était bon ! L’excitation montait quand soudain, la voix de Rémy s’éleva derrière la porte : « Joséphine ? ». Mince ! Je reboutonnais mon body à la va vite et ouvrais : « Oui ? ». Les boutons lâchèrent soudainement et le tissu remonta jusqu’à mon ventre en dévoilant mon intimité. Le regard du jeune homme fut attiré instinctivement avant qu’il ne le détourne. Je rougissais : « Mince… désolée… ». Mes doigts tremblants refermèrent les boutons. Pourquoi avais-je peur ? J’inspirais : « Les bodys… c’est pas toujours facile ». Il me regarda à nouveau et sourit timidement : « Ce n’est rien. Je voulais juste te demander combien je te dois pour les bouteilles d’eau et les sodas ». J’haussais les épaules : « Rien du tout, c’est la maison qui offre ». Rémy s’avança : « Vraiment, j’insiste ». A nouveau, les boutons de mon body lâchèrent en dévoilant mon sexe : « Oh ! ».
Cette fois-ci, Rémy ne détourna pas le regard : « C’est un signe que tu ne devrais pas le remettre ». Nous nous jaugeâmes un instant : « Tu penses ? ». Il opina. Nous échangeâmes un sourire. Au moment où il allait me sauter dessus, je décidais de faire durer le plaisir : « Est-ce que tu es bon en massage ? ». Il se gratta la tête et répondit : « Euh… je crois ». Je mordillais ma lèvre et demandais : « Est-ce que ça te dérange de m’en faire un ? ». Il épia mon pubis sans gêne puis acquiesça : « Après vous Madame ». Je levais un sourcil séducteur en sachant pertinemment qu’il me faisait passer devant pour pouvoir mieux reluquer mes fesses. Je m’appliquais donc sur ma démarche et nous allâmes dans la pièce dédiée. Je baissais mon body en me penchant sensuellement en avant. Je savais qu’il se rinçait l’œil mais me voulait-il vraiment ? Je nouais mes cheveux derrière ma tête puis m’allongeais sur la table en bombant mes fesses : « Veux-tu mettre une serviette sur moi ? ».
Le jeune homme me toisa et effleura mon corp, de ma cuisse à mon dos en passant par l’une de mes fesses : « Aucunement ». Nous échangeâmes un sourire complice et envieux. Rémy ouvrit le flacon d’huile. J’expirais, fermais les paupières. Ses mains viriles se posèrent sur mon dos et étalèrent habilement le liquide. Je gémissais de plaisir puis m’excusais timidement. Il me faisait vraiment du bien ! Pendant dix minutes il massa mon dos, mes bras et mes mains. Je manquais de m’endormir quand quelque chose de dur effleura mes doigts et raviva mes envies. Sous son short, Rémy bandait : « Si tu veux arrêter, n’hésite pas à me le dire ». Il ne répondit pas. Ses doigts descendirent vers mes reins creusés. Je me mordais la lèvre. Il reprit de l’huile et s’attaqua à ma jambe droite avant de faire celle de gauche. La situation était sur le point de basculer. Allait-il oser ? Du liquide coula abondamment sur mes fesses. La réponse était « Oui » !
Ses mains s’attaquèrent à mon postérieur bombé. Voyait-il mon entrejambe ? Certainement, surtout quand il écartait mes rondeurs au détour d’un mouvement circulaire. Il m’excitait ! Au bout de quelques minutes, il se pencha au-dessus de ma tête et susurra : « Est-ce que tu veux te retourner ? ». J’opinais et me retournais lentement pour lui faire face. Ses yeux ne purent s’empêcher de détailler mes seins et mon pubis que je dévoilais sans pudeur : « Toujours pas de serviette ? ». Il sourit : « Toujours pas ». Il commença par mes bras sans que je ne le lâche du regard. Il se positionna ensuite derrière moi, remit de l’huile dans ses mains et les apposa sans hésitation sur mes seins. Je souriais et le toisais en sentant son érection près de ma tête. Il m’électrisait ! Il revint sur le côté, poursuivit avec mon ventre, longea mon pubis et s’attaqua à mes jambes fermées. Quand il revint vers mes hanches, mes doigts effleurèrent sa bosse massive.
Rémy me sourit puis vint à nouveau masser ma poitrine avec générosité : « Hum, tu avais déjà fait mes seins, non ? ». Il répliqua : « C’est le masseur qui décide ». Nous échangeâmes un sourire et il redescendit, replia mes jambes luisantes et écarta mes genoux à quatre-vingt dix degrés. Mon rythme cardiaque s’accéléra et ma respiration s’arrêta. Mon intimité lui était entièrement offerte. J’avais envie de lui ! Patiemment, ses mains poursuivirent leur œuvre à l’intérieur de mes cuisses, se rapprochèrent à plusieurs reprises de ma vulve sans toutefois l’atteindre. Qu’attendait-il ? J’étais brûlante ! Il écarta mes pieds vers les rebords de la table puis s’agenouilla dessus, face à mon entrejambe. Il remit de l’huile sur mon pubis qu’il étala sur mes lèvres vaginales avec ses pouces. Finalement il se pencha et plongea sa langue dans ma fente trempée : « Oh Rémy ! ». Toute la pression retombait. L’acolyte de mon amant me léchait aussi bien qu’il m’avait massée.
Il était doux, précis, à l’écoute de mes envies. Mes doigts passèrent dans ses cheveux, mes paupières se fermèrent et mon bassin entama des oscillations nonchalantes : « Tu es très doué ». Il poursuivait religieusement et à mesure que mon excitation montait, les mouvements de sa langue s’enhardissaient. Mes muscles commencèrent à se crisper et Rémy redoubla d’effort. Mon intimité était imbibée de mouille et de bave : « Rémy… tu vas… ». Je ne pus terminer ma phrase. L’orgasme me frappa de plein fouet. Mon amant l’étira savamment de plusieurs secondes. Il termina par des baisers sur mon pubis et l’intérieur de mes cuisses puis se redressa en s’asseyant sur la table, jambes écartées : « Est-ce que mon massage t’a fait du bien ? ». Je le regardais fébrilement. Pensait-il que j’en avais fini avec lui ? Ses doigts se posèrent sur mon pubis puis son majeur glissa dans la fente de ma vulve et s’enfonça délicatement en moi : « Tu ne réponds pas ? ».
Je grimaçais. J’étais ivre. Il me rendait folle ! Sans plus attendre, je me redressais à mon tour et m’agenouillais devant lui sur la table avant de l’embrasser fougueusement. Nos bouches et nos mains se découvrirent pleinement. Je retirais son t-shirt et le poussais en arrière. Il s’appuya sur le rebord de la table avec ses mains puis resserra ses jambes et haussa son bassin pour m’aider à enlever son short. Quand il écarta à nouveau ses cuisses, son sexe majestueux se dressa fièrement contre son ventre. Il était vraiment imposant ! Je retournais l’embrasser tout en saisissant le flacon d’huile. J’en faisais couler une grande quantité sur son torse et ses cuisses avant de m’en remplir les main : « Hum, je vais être tout huileux ». Je souriais : « C’est le but ». J’étalais le liquide sur son corps d’athlète puis m’attaquais à l’objet de ma convoitise : son sexe. Je le massais et le masturbais d’abord à une main, puis à deux : « C’est désagréable ? ». Il se mordit la lèvre en fronçant les sourcils.
J’adorais sa virilité teintée de douceur, ses veines saillantes, son gland luisant. Je déposais des baisers sur son torse musclé tout en poursuivant mon œuvre manuelle : « Tu ne réponds pas ? ». Il passa une main derrière ma tête et m’embrassa fiévreusement. Il adorait ! Je prenais une inspiration, tentais de calmer mes ardeurs puis reculais mes genoux, me penchais en avant et enfonçais l’extrémité imposante de son pieux dans ma bouche. J’y allais aussi lentement que je le pouvais, faisais virevolter ma langue sur ton gland, hydratais un peu plus son mât qui avait le goût de l’huile et malaxais ses bourses rondes. Rémy râlait de plaisir, caressait mes cheveux et contemplait ma croupe relevée : « Oh Joséphine ! ». Je poursuivais mon œuvre avec détermination tout en hoquetant de temps à autre. Il finit par me relever et embrasser mes lèvres baveuses. Il était vraiment craquant ! Il m’attira et je m’agrippais à ses épaules puissantes pour m’accroupir à califourchon sur lui.
Il guida son gland entre mes lèvres vaginales et j’amorçais ma descente en grimaçant et en plantant mes ongles dans son dos. Jamais je n’avais accueilli pareil sexe en moi mais l’excitation dilata progressivement mon vagin. Peu à peu, je gagnais en assurance et m’empalais entièrement sur lui avant d’entamer de lents vas et viens. J’embrassais mon amant qui me laissait mener la danse puis reculais mon buste, posais mes mains sur la table et poursuivais mes lentes oscillations. Rémy caressa mes seins durs et regarda son sexe apparaitre et disparaitre en moi : « La vue te plait ? ». Il opina en souriant. Après un moment, il se pencha vers moi et m’allongea délicatement. Mes mains se perdirent dans ses cheveux et son dos. Son bassin s’activa respectueusement et son sexe se contracta en me faisant gémir. Il me fit l’amour en ne détournant pas son regard du mien. Un vrai gentleman. Ses coups devinrent un peu plus assumés à mesure que mon excitation montait : « Ah Rémy ! » .
Il me regarda jouir et m’accompagna presque amoureusement. Il couvrit ensuite mon corp de baisers et se retrouva une nouvelle fois entre mes cuisses pour me lécher. Que c’était bon ! Quand il se redressa sur ses genoux, je me retournais sur la table en écartant mes cuisses et réhaussant mon bassin. L’instant d’après, les mains de mon amant s’appuyèrent de chaque côté de ma tête et son gland effleura mes fesses. Mes doigts partirent vers lui et l’invitèrent à nouveau dans mon intimité. Rémy resta immobile en faisant la planche et mes reins débutèrent les hostilités en montant, descendant, remuant langoureusement. Je le draguais, paradais, soupirais en sentant son sexe se contracter en moi. Sensuellement, son bassin s’écrasa contre mes fesses et ses reins se joignirent aux miens : « Ah oui ! ». Nous dansâmes pendant de longues minutes au son de nos corps s’entrechoquant puis il se retira, embrassa mon dos puis mes fesses que je remontais un peu plus.
Je sentais que ses envies se portaient sur quelque chose en particulier : « Est-ce que tu as envie d’essayer… autre chose ? ». Il me caressa : « Je ne sais pas ». Il voulait savoir si moi j’étais ouverte à autre chose. Était-ce bien raisonnable ? Comment savoir sans avoir essayé ? Lentement, j’écartais mes fesses et lui offrais ce qu’il convoitait. Son pouce se posa sur mon clitoris pour le malaxer tandis que sa langue s’aventurait sur mon œillet. Il me lécha longuement en hydratant mon orifice puis je l’invitais à venir devant moi : « Il va falloir beaucoup de lubrifiant ». J’ouvrais mes lèvres et prenais une nouvelle fois son sexe en bouche. Rémy me regarda faire en accompagnant mes mouvements avec retenue. Il caressa mes cheveux puis mon dos glissant. Je remontais mon bassin et écartais mes cuisses pour l’inviter. Il remit de l’huile sur ses mains, se pencha au-dessus de moi et l’étala sur mes fesses. Une fois les courtoisies faites, il enfonça lentement son majeur dans mon anus.
Il me dilatait soigneusement pendant que ma bouche le lubrifiait généreusement. Que c’était bon ! Au bout de deux minutes, il recula et se plaça à côté de ma hanche tandis que je reprenais ma respiration. Il retira son doigt et aspergea mon entrejambe d’huile. De sa main gauche, il vint taquiner mon clitoris gonflé par-dessous. Son majeur revint sur mon sphincter et son annulaire le rejoignit avant que les deux ne se plantent en moi. L’orgasme me prit par surprise et mes muscles se crispèrent : « Ah Rémy ! ». Il poursuivit. Mon corp trembla et ma mouille gicla sur la table : « Ah ! ». Le jeune homme jubilait et il le méritait. Il se retira avec précaution, m’installa sur le côté et s’allongea derrière moi. J’étais fébrile et à sa merci. Il m’embrassa tendrement dans le cou. Ma main écarta ma fesse supérieure. Il posa son gland sur mon anus et le pénétra de façon lente mais déterminée : « Oh mon Dieu ! ». Sa main se posa sur la mienne tandis que son mât dur dilatait mon sphincter comme jamais.
Je vis alors une silhouette derrière la porte entrouverte. Mon cœur s’arrêta un instant. C’était Richard. Depuis combien de temps nous épiait-il ? Aimait-il ce qu’il voyait ? Mon regard le supplia de rentrer et il s’exécuta. Rémy s’arrêta un instant puis reprit son œuvre sous les encouragements inaudibles de son patron. Richard se planta devant moi, caressa ma joue et mes lèvres. Il contempla nos corps allongés et luisants. Mon souffle était court, le sexe de son acolyte était presque entièrement en moi. Je le voulais, lui aussi et il le savait ! Lentement, il baissa son short et dévoila son sexe dur qu’il guida dans ma bouche ouverte. C’était la première fois que j’avais deux hommes en moi. Je savourais l’instant ! Richard me laissa mener la fellation. Il était plus doux et retenu qu’auparavant. Sa main glissa entre mes cuisses et massa affectueusement mon clitoris pendant que je le suçais. J’étais terriblement excitée ! Derrière moi, Rémy se retira et mon sphincter se contracta.
Il se leva et me contempla sucer son patron dont il connaissait la femme et la fille depuis des années. Cela lui faisait-il quelque chose ? Mon voisin retira son sexe de mes lèvres et m’allongea en travers de la table. Il remonta mes cuisses écartées puis me lécha avec attention. Je gémissais en regardant Rémy, à l’envers. Le jeune homme se baissa à mon niveau et m’embrassa en caressant mes seins. Les deux étalons se relevèrent en même temps. L’un planta son sexe dans le mien et l’autre l’enfonça dans ma bouche. Ce n’était pas chose facile que de sucer un sexe aussi imposant et encore moins en ayant la tête à l’envers. Néanmoins, je parvenais à m’habituer et pouvais compter sur Rémy pour me ménager. Richard aussi était mesuré dans ses coups de reins et il suivait scrupuleusement notre rythme. Je posais mes mains sur les hanches fermes du jeune homme et l’attirais lentement en moi. J’inspirais et expirais par le nez puis lentement, sa verge s’aventura dans ma gorge en la déformant.
Je ne pus la maintenir qu’une poignée de secondes avant de hoqueter. Rémy se retira prestement et mon voisin me redressa : « Tu ne cesseras jamais de me surprendre Joséphine ». Je reprenais ma respiration et me blottissais contre lui en l’embrassant : « Tu as très bien fait de le recruter. C’est un vrai gentleman ». Richard me porta et reprit ses pénétrations : « Comme moi, non ? ». Je rigolais en me mordant la lèvre : « J’en doute ». Rémy se positionna derrière moi et la tension monta. Je passais un bras derrière sa nuque et il aida son patron à me soutenir. Nous échangeâmes un regard, un baiser volé puis il enfonça son sexe dans mon anus. C’était donc ça la sensation d’être prise en sandwich. Sentir deux sexes droits et durs vous assaillir sans que vous ne puissiez, ni ne vouliez leur échapper. Si Baptiste me voyait ainsi ! Mes amants me prirent quelques instants puis, aidée par leurs mains, je pris l’ascendant et entamais des ondulations à peine contrôlables : « Oh oui ! Continuez ».
Cette fois-ci, ils ne retinrent pas leurs coups de reins et me firent jouir à en perdre la voix. Devant et derrière moi, les grognements s’accumulèrent. Mon corp glissant était battu par ceux de mes amants. En moi, leurs sexes ne se décontractaient plus. J’étais ivre de plaisir, presque inconsciente. Richard fut le premier à éjaculer, suivi de prêt par Rémy. Leurs spermes se déversèrent dans mes entrailles. Je convulsais, brûlais de l’intérieur. C’était magique ! Ils restèrent un moment en moi puis reposèrent mon corps endolori. Il me couvrirent de baisers et de caresses. Je partis ensuite prendre une douche longue et salvatrice. Dix minutes plus tard, je retrouvais mes deux amants sur le court de tennis, nue comme un ver : « Le gagnant aura une récompense ». Mais la partie ne reprit jamais. Les deux étalons en décidèrent autrement et je ne m’en plaignais pas. Ils me prirent virilement à deux sur le court de tennis nous atteignîmes l’orgasme au moment ou une voiture arrivait : « Bonjour André ! ».
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