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Une affaire de voisinage: Chapitre 7 - Une belle-mère pleine de surprises

Elisabeth accuse le coup après la déclaration d'amour de Benjamin. Enora tente de remonter le moral de son copain et parvient à lui faire oublier ses problèmes. Jusqu'à ce qu'une mystérieuse personne n'intervienne pour le ramener vers Elisabeth, son amour.

Proposée le 22/08/2024 par Imagine69

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Thème: Couple, passion
Personnages: FH
Lieu: A la maison, intime
Type: Roman


Elisabeth semblait désarçonnée par mes mots. Elle hésita puis chuchota fébrilement : « Tu… Tu devrais rentrer Benjamin ». Qu’avais-je fait de mal ? Avait-elle peur de tomber amoureuse ou étais-je le seul à éprouver des sentiments ? Nous remîmes nos habits dans le silence le plus total puis elle me raccompagna à la porte vitrée : « Elisabeth, je suis… ». Elle me coupa en déposant doucement ses lèvres sur les miennes : « Bonne nuit Benjamin ». Elle recula froidement puis referma. Je restais un instant immobile, à la regarder s’éloigner. Les lumières du salon s’éteignirent et je retournais chez moi sur la pointe des pieds. Je récupérais mon portable puis filais dans ma chambre pour me glisser dans le lit. Le lendemain, je me réveillais avec une boule au ventre. Je me postais instinctivement à la fenêtre dans l’espoir d’apercevoir Elisabeth dans la piscine. Mais rien. Personne à l’horizon. Je descendais prendre mon petit-déjeuner puis remontais me préparer avant d’aller en cours.

Mon moral était en berne et le message reçu pendant le cours de français ne me consola guère : « Benjamin, je m’excuse de mes agissements mais il faut que nous arrêtions de nous voir. J’espère que tu ne m’en voudras pas. Elisabeth ». Bien évidemment que je lui en voulais ! Je n’avais pas le recul nécessaire pour qu’il en soit autrement. Tout était allé si vite. Tout avait été si intense. Quel imbécile je faisais à m’imaginer que cela pouvait perdurer. Enora perçut mon désarroi et me demanda ce qui n’allait pas : « Rien, je me suis levé du mauvais pied ». Elle m’embrassa tendrement et m’enlaça. Je m’en voulais de l’avoir trompée et de penser à sa mère au lieu d’elle. Elle méritait tellement mieux ! Elle tenta de me remonter le moral par tous les moyens, sans succès. Après les cours, nous rentrâmes. Je trainais des pieds et elle ne me laissa d’autre choix que de la suivre chez elle. Elle me laissa seul dans la cuisine puis partit prendre une douche. J’étais fébrile, fiévreux, mal à l’aise.

La porte vitrée donnant sur le jardin s’ouvrit et Elisabeth entra. Ses yeux étaient rouges. Elle semblait anéantie : « Benjamin… ». J’avais envie de la prendre dans mes bras, de la réconforter, de l’aimer. En place de ça, je décidais de couper court à la conversation : « Ne t’en fais pas, je ne suis pas là pour toi ». Mes mots lui firent l’effet d’un coup de poignard. C’était le but recherché. Je tournais mes talons et partais trouver refuge dans la chambre d’Enora. Quand celle-ci me rejoignit, cinq minutes plus tard, elle me trouva allongé sur son lit en caleçon. Elle-même ne portait qu’un soutien-gorge et une petite culotte : « Je vois qu’on est sur la même longueur d’onde ». Nous échangeâmes un sourire complice et, sans même prendre la peine de fermer la porte, elle se rua sur moi. Mes mains étreignirent ses hanches, son entrejambe se colla à mon érection et nos lèvres se retrouvèrent. Le souffle court, nous nous frottâmes l’un à l’autre en faisant monter le désir : « On dirait que ça va un peu mieux ».

Je dégrafais son soutien-gorge et libérais sa jolie poitrine gonflée : « Beaucoup mieux, oui ». Je nous redressais et couvrais ses seins de baisers. Enora gémit en passant ses mains dans mes cheveux : « La porte est ouverte. Tu n’as pas peur que tes parents nous surprennent ? ». Elle m’embrassa en plongeant sa langue dans ma bouche: « Je m’en fiche, je décide d’assumer. S’ils ne sont pas contents, ils n’ont cas la fermer la porte ». Je l’allongeais sur le côté et me positionnais à moitié sur elle : « Hum, j’aime quand tu es rebelle comme ça ». Elle plongea sa main dans mon caleçon et étreignit mon sexe pour le masturber en l’extirpant à moitié de sa prison de tissu : « Je ne suis pas une rebelle, je suis une femme. Je fais ce que je veux, avec qui je veux ». Je m’arrêtais un instant, persuadé que j’avais mal compris ou qu’elle s’était mal exprimée : « Euh, qu’avec moi non ? ». Elle pouffa : « Embrasse-moi au lieu de dire des bêtises… ». Rassuré, je m’exécutais sans hésiter : « … et doigte moi ».

J’adorais l’état dans lequel était ma copine. Là encore, je ne tergiversais pas et plongeais ma main dans sa petite culotte. Elle était chaude, excitée. J’enfonçais un doigt puis un second dans son intimité pour la masturber envieusement : « Ah ! Tu me fais du bien Ben ! ». Je mordillais sa lèvre puis délaissais son puit noyé et dilaté pour son clitoris gonflé : « Qu’est-ce que tu me fais ? ». Je repartais en elle et poursuivais mon œuvre avec passion, en suivant les tressautements de son corps. Il me tardait de la déguster ! Avait-elle le même goût que sa mère ? Arrête d’y penser imbécile ! Je sentais ses ongles se planter dans ma peau. Sans crier gare, je me redressais et retirais sa culotte d’un geste sec. Enora était à point. Elle écarta ses cuisses en grand et m’offrit son intimité sans pudeur ni retenue. Je fondais sur elle tel un aigle sur sa proie et entamais un cunnilingus torride : « Ah oui ! ». Ma copine se laissa aller à des complaintes bruyantes. Sa mère ne devait pas en mener large. Je l’espérais secrètement !

C’était la première fois que je voyais son sexe d’aussi près, la première fois que je le goutais. Je savais d’où il tirait sa beauté et sa saveur succulente. J’enchainais les coups de langue et les baisers en ciblant son clitoris. Ses gémissements s’amplifièrent un peu plus tandis que son corps se tordait de plaisir. Mes mains s’agrippèrent à son sein droit et sa hanche gauche pour la maîtriser : « Ah ! ». J’accentuais mes mouvements puis délaissais sa hanche pour enfoncer deux doigts dans son intimité. Plus aucun son ne sortit de sa bouche. Je la doigtais et la léchais énergiquement puis soudain elle atteignit l’orgasme. Je me délectait de sa cyprine qui envahissait ma bouche. Les paupières fermées, les muscles tendus et traversés de spasmes, Enora semblait être en transe. Je finissais par de lents mouvements puis me retirais avec un dernier baiser : « Ca va mon amour ? ». Elle opina fébrilement. J’étais satisfait.

Je m’allongeais à côté d’elle et elle se blottit contre moi. La rebelle avait disparu, la femme était comblée. Une silhouette passa dans le couloir, devant la porte entrouverte. A quoi pensait Elisabeth ? Sa fille s’assoupit dans mes bras. Vingt minutes plus tard, mon portable vibra, ma mère m’appelait. J’embrassais le front de ma copine : « Je dois y aller ». Elle gémit, me laissa me lever puis se rendormit. Je contemplais son magnifique corp nu puis me rhabillais et partais. Le lendemain matin, je me rendais au lycée sans avoir eu de nouvelles d’Enora. Je lui envoyais un message : « Bonjour mon amour, tu vas bien ? Je m’inquiète ». Cinq minutes plus tard, mon téléphone vibra : « Salle 016 ». Bizarre, froid et directif. Avais-je fait quelque chose qui ne fallait pas ? Très certainement. Tandis que tous les élèves partaient en cours, je me dirigeais vers le lieu de rendez-vous situé dans une aile quasi-abandonnée de l’établissement. Sur mes gardes, j’ouvrais la porte et entrais.

Je tombais nez à nez avec Enora, les cheveux tirés en arrière et le regard affuté. Elle ne portait qu’une veste moulante, qui s’arrêtait à son nombril, et un tanga : « Qu’est-ce que… ». Elle me sauta dessus, m’embrassa fougueusement. Mes mains passèrent sous ses fesses fermes puis dans sa nuque : « Que me vaut ce plaisir ? ». Elle ne répondit pas, se contenta de fermer la porte à clé. Elle me toisa avec un air de tigresse, me poussa jusqu’à une chaise. Ses doigts ouvrirent mon pantalon, baissèrent mon caleçon sous mes fesses et s’enroulèrent autour de mon sexe à moitié dur : « Ce que tu m’as fait hier soir… Assis-toi ». Je m’exécutais en sentant l’excitation monter : « Donc tu n’as pas aimé ? ». Enora ne releva pas. Elle s’agenouilla devant moi, ramena mon caleçon et mon pantalon au niveau de mes chevilles puis saisit mon sexe et l’enfonça sans hésiter dans sa bouche baveuse. Sa tête et sa main entamèrent des vas et viens intenses et déterminés qui me firent râler : « Oh… oui… Enora ! ».

Elle semblait à nouveau en transe. Cette fellation intense n’avait rien à voir avec la première : « Enora, tu… ». Elle se redressa, le souffle court, les lèvres plaquées à mon gland : « Je quoi ? ». Elle était magnifique : « Tu me fais bander ! ». Elle sourit en levant un sourcil aguicheur et me masturbant : « Je n’avais pas remarqué ! Ca m’excite de te sucer ». Mon sexe se contracta et un sourire s’étendit sur mon visage : « Alors continue ». Elle ne se fit pas prier et reprit son œuvre en geignant fébrilement. Ma main glissa derrière sa tête et enserra sa queue de cheval. Les pénétrations s’approfondirent, les bruits de succion s’amplifièrent et la bave coula en grande quantité sur mon mât. Ma bienfaitrice se retira une nouvelle fois, prit une grande inspiration puis s’attaqua à mes bourses qu’elle goba goulument : « Ah ! Ou est-ce que tu as appris à faire ça ? ». Elle ne répondit pas. Elle semblait concentrée, voir hypnotisée. Ses lèvres et sa langue épousèrent chaque courbe de mon sexe.

Elle se redressa ensuite entre mes cuisses et ouvrit les trois-quarts de la fermeture éclair de sa veste : « J’aime bien expérimenter ». Elle repoussa les bords vers l’extérieur de ses seins qui se rapprochèrent en gonflant : « Pas toi ? ». Sans attendre de réponse, elle emprisonna mon sexe entre ses rondeurs puis le bloqua avec ses mains. Elle commença à monter et descendre lentement : « Tu aimes ? ». J’étais subjugué par la scène : « J’adore ! On dirait que toi aussi ». Mes doigts pincèrent délicatement ses tétons durs. Enora opina et fit couler plus de bave sur mon sexe qui glissait contre son thorax : « Je suis très excité ». Elle se mordit la lèvre : « Ne te retiens pas ». Mes mains se posèrent sur l’assise de la chaise et mon bassin s’activa pour compléter ses mouvements : « Enora… ». Elle accéléra la cadence en resserrant sa poitrine autour de moi : « Vas-y ! ». J’atteignais l’orgasme en tremblant et des giclées de sperme partirent à l’assaut du cou de ma copine avant de ruisseler vers ses seins : « Oh Enora ! ».

Je croyais rêver ! Enora me regardait avec satisfaction tout en poursuivant sa masturbation. Je m’affalais en arrière sur la chaise et reprenais mon souffle : « Tu es folle de me faire jouir comme ça de bon matin et au lycée ». Elle retira mon sexe souillé puis le plongea dans sa bouche en me faisant gémir. Elle le ressortit, me montra le mélange de bave et de semence qui inondait sa bouche puis le fit couler sur sa poitrine. Ses doigts étalèrent mon œuvre sur ses seins, devenus luisants, puis pincèrent ses tétons durs avec indécence. Je ne reconnaissais pas la fille modèle avec qui j’étais sorti. Quelque chose en elle avait changé. En moi aussi d’ailleurs. Nous nous embrassâmes sensuellement puis elle se releva : « On va être en retard et il faut encore que je passe faire un brin de toilette ». Nous échangeâmes un sourire complice et elle réajusta un peu sa veste : « Je pensais que tu allais rester comme ça ». Elle rigola : « Hum, tu veux que je sente le sperme toute la journée ? ».

Je rigolais en haussant les épaules : « Le sperme pas forcément mais mon sperme, oui ». Elle prit un air faussement outré avant de refermer sa fermeture éclair. Elle se retourna et marcha vers le bureau sur lequel son jeans était plié. Je toisais ses jolies fesses, relevais mon pantalon et la rattrapais avant qu’elle ne se rhabille. Je l’asseyais sur la table et la poussais légèrement en arrière : « Benjamin, on doit… ». J’écartais ses cuisses puis le tissu de son tanga recouvrant sa vulve : « Je voulais voir si tu étais vraiment excitée ». Elle se mordit la lèvre : « As-tu trouvé une réponse à ta question ? ». Je la trouvais quand ma langue remonta sa fente trempée jusqu’au clitoris gonflé. Enora posa ses jambes sur mes épaules et caressa mes cheveux pendant que je la léchais religieusement. J’étais plus mesuré que la veille. Je souhaitais simplement la détendre, la remercier et la gouter une nouvelle fois. Au bout de cinq minutes, elle me fit signe de remonter : « J’adore ta langue… et ton sexe… et ton corp… et…».

Je la coupais en l’embrassant langoureusement. Nous nous caressâmes mutuellement puis Enora posa mon gland entre ses lèvres juteuses et le fit lentement coulisser de haut en bas : « Un jour, il faudra que nos sexes fassent plus ample connaissance ». Je baissais mon regard pour me projeter en elle et souriais : « Oui, le mien n’arrête pas de me harceler avec ça ! ». Enora pouffa : « C’est vrai qu’il est plutôt impoli… mais ça tombe bien, le mien aussi ». A mon tour, je rigolais : « Je ne peux pas dire le contraire, il m’a demandé tout à l’heure si j’étais libre ce weekend pour le… ». La phrase resta en suspend et Enora leva un sourcil interrogateur : « Le quoi ? Le pénétrer ? Le dilater ? Le remplir ? ». Je me mordais la lèvre en y pensant : « Exactement tout ça ! Mot pour mot ». Nous échangeâmes un rire puis un dernier baiser : « Alors j’ai hâte ». Nous mîmes fin à cette exquise torture, nous rhabillâmes puis filâmes en cours. Le reste de la journée fut ponctué de caresses sous la table et de regards ardents.

En arrivant devant nos portails, je l’enserrais et lui demandais : « J’adore ton parfum, c’est quoi ? ». Enora se mordit la lèvre : « Insolence de Benjamin ». Nous échangeâmes un sourire puis un baiser sensuel : « Bonne nuit Monsieur l’Insolent ». Je répliquais : « Bonne douche, Madame l’Allumeuse ». Elle rigola puis nous nous séparâmes. Pendant le diner, mon téléphone vibra. Que pouvait-elle bien m’envoyer ? Ce n’était pas Enora, mais un numéro inconnu : « Rendez-vous demain à l’entrée de la Mairie à 11h00. Nicole ». Je fronçais les sourcils. Qui était cette Nicole ? Je pianotais : « Je crois que nous ne nous connaissons pas ? ». Un nouveau message apparut : « Elisabeth ». Je reposais mon portable et inspirais. Mon père me regarda : « Ça ne va pas ? ». Je me reprenais : « Si, ce n’est rien ». Je ne tardais pas à sortir de table pour aller me coucher. Les souvenirs et les questions se bousculaient dans ma tête. Je ne trouvais finalement le sommeil qu’aux alentours de trois heures du matin.

Le lendemain, je me réveillais et envoyais un message à Enora : « Mon amour, je ne me sens pas bien. Je vais rester au lit aujourd’hui ». Nous échangeâmes un peu puis, sur les coups de dix-heures, j’allais prendre une douche. Une fois prêt, je sortais de chez moi en direction de la Mairie. Je m’asseyais sur un banc en face puis patientais. A onze heures, une voix s’éleva derrière moi : « Benjamin ? ». Je me retournais vers une jolie femme noire de la trentaine qui portait un haut gris, une jupe longue et des talons. Elle était grande et fine. Ses cheveux frisés avaient une teinte argentée au soleil. Un piercing au nez amenait un peu d’asymétrie sur son visage parfait. Nous nous toisâmes de haut en bas : « Nicole ». Elle me tendit sa main, que je prenais : « Enchantée. Viens, nous n’avons pas une seconde à perdre ». Elle m’amena au pied d’un immeuble puis me fit entrer dans un appartement au second étage.

Il était petit mais bien aménagé : « Est-ce que je peux savoir ce que je fais là ? ». Nicole me prit par la main et m’attira dans le salon : « Pas le temps, rentre là-dedans ». Elle ouvrit une penderie et me poussa à l’intérieur : « C’est vrai que tu es mignon… Reste discret ». Elle referma, mais pas complètement. Juste assez pour que je puisse voir l’extérieur. Qui était-elle ? Comment avait-elle eu mes coordonnées ? Les minutes passèrent. Je m’apprêtais à signaler mon mécontentement quand quelqu’un toqua à la porte. Nicole alla ouvrir. La porte claqua et l’instant d’après elle était poussée sur le canapé. Elisabeth se jeta sur elle, la plaqua contre l’assise et l’embrassa fougueusement : « Tu m’as manquée Nicole ». Les mains de la trentenaire se callèrent sur ses reins et tirèrent son combi-short en faisant remonter le tissu entre ses fesses : « Toi aussi Elisabeth ». Je n’en revenais pas. Non seulement je n’étais pas le seul amant de la mère de ma copine, mais en plus elle était bisexuelle !

Je ne parvenais pas à détourner mon regard des deux femmes qui se bécotaient amoureusement : « Est-ce que tu vas mieux depuis hier ? ». La quadragénaire se redressa sur ses genoux : « Pas vraiment… Je suis toujours aussi perdue ». Nicole prit un air réconfortant : « Que te dit ton cœur ? ». Elisabeth pouffa nerveusement en détournant le regard : « Je ne comprends rien à ce qu’il me dit… ». Son amante rétorqua : « Parce que tu ne l’écoutes pas ». La mère d’Enora roula des yeux : « Tu sais bien que ce n’est pas aussi simple. Ça fait vingt ans que je vis avec Richard puis, en l’espace d’un an, je tombe amoureuse de toi et de Benjamin ». La jeune femme à la peau couleur ébène se redressa vers elle : « Alors pourquoi ne pas le lui avoir dit comme tu me l’as déjà dit à moi ? ». Mon cœur battait la chamade à mesure que je comprenais où notre hôte voulait en venir : « Ca nous avancerait à quoi ? Il est jeune, il est en couple avec ma fille… ». Nicole la coupa : « Mais il t’aime ».

Elisabeth se leva soudainement : « Assez parlé de tout ça, je peux te prendre un verre ? ». Sans attendre de réponse, elle disparut dans la cuisine. Son amante regarda dans ma direction. Elle était déterminée à faire bouger les choses d’une façon ou d’une autre. Son invitée revint s’assoir avec deux verres et elles trinquèrent. Si Nicole ne but qu’une lampée de ce qui semblait être du whisky, Elisabeth, elle, but le verre d’une traite : « Je pense que tu devrais enlever tes habits ». Nicole sourit puis prit les deux verres pour les poser sur la table basse : « Madame est directive ». Elles s’embrassèrent avec malice : « J’ai envie de toi Nicole ». Elles se dévêtirent mutuellement avec fébrilité et passion. Une fois son combi-short enlevé, Elisabeth se trouva être complètement nue : « Hum, tu n’as pas froid aux yeux ». Elle se mordit la lèvre : « Je savais que j’allais te voir. Moi au moins je te facilite la chose ». En effet, Nicole n’était pas aussi déshabillée sous son haut gris et sa jupe longue.

Elle portait un soutien-gorge noir et une culotte échancrée assortie qui mettait en valeur sa taille fine, ses longues jambes et ses jolies formes. Mon sexe gonfla dans mon pantalon. Elisabeth poursuivit : « Rien que pour ça, tu me dois un strip tease ». La trentenaire mordilla sa lèvre en souriant puis se leva. Tournée vers moi, faisant dos à son amante, elle se mouva sensuellement, ôta son soutien-gorge et me dévoila sa sublime poitrine. Qui essayait-elle de charmer ? Elisabeth ou moi ? Elle continua sa parade en jouant avec sa culotte avant de la faire glisser au niveau de ses talons. Mon sexe se contracta, une chaleur se répandit en moi : « Hum, joli petit cul ». Elisabeth se rapprocha sur le canapé et embrassa ses fesses à tour de rôle. Nicole regarda dans ma direction en souriant. Elle se pencha ensuite en avant et posa ses coudes sur la table basse : « Toujours aussi flexible ». Elle venait d’offrir son entrejambe à son amante qui commença à la lécher sensuellement : « Ah Elisabeth… ».

J’étais estomaqué de voir la tête de ma belle-mère s’activer derrière la croupe d’une femme. A en croire les râles de la trentenaire, elle maitrisait l’art du cunnilingus. Au bout de cinq minutes, Nicole alla s’agenouiller à califourchon sur une cuisse de son amante. Elle écarta consciencieusement la seconde puis commença à la masturber en l’embrassant : « Tu n’aurais pas aimé que Benjamin soit là ? ». Elisabeth souffla : « Si, bien sûr que si… ». Sa bienfaitrice accéléra ses mouvements sur son clitoris en avouant : « Moi aussi ». La mère d’Enora leva un sourcil : « Hum ! J’ai cru que tu n’étais que… lesbienne ». La tension montait en moi, mon rythme cardiaque accélérait de seconde en seconde. La jeune femme poursuivait ses caresses avec détermination et son invitée n’en menait pas large : « Tu m’as redonné envie d’essayer avec un homme. Tu n’aimerais pas me voir avec lui ? ». Elisabeth commença à trembler de plaisir : « Je serais… extrêmement jalouse… et excitée ».

Nicole accéléra un peu plus ses mouvements puis s’arrêta soudainement, l’embrassa tendrement et enfonça deux doigts dans son intimité brûlante : « Jalousie et excitation, c’est le combo parfait pour une partie de jambe en l’air endiablée ». Sans plus en dire, elle se leva en laissant son amante brûlante et hagarde sur le canapé. Elle s’approcha de moi avec une démarche féline puis ouvrit la porte. J’inspirais, prenais sa main et sortais. Les yeux d’Elisabeth s’écarquillèrent : « Benjamin ? ». Ni Nicole, ni moi ne répondîmes. Nous étions sur la même longueur d’onde. La belle noire se planta face à la quadragénaire et je vins l’enlacer par derrière en déposant un baiser dans sa nuque dégagée : « Qu’est-ce que… ». Elisabeth ne finit pas sa phrase. Devant elle, son amante venait de trouver mes lèvres avec les siennes. Nous nous embrassâmes sensuellement. Ses fesses se frottèrent à mon érection, l’une de mes mains monta vers son sein droit tandis que l’autre descendit vers son pubis lisse.

Pendant deux minutes, mon majeur malaxa son clitoris lubrifié de bave. Elle m’encouragea avec des caresses, des coups de langue et des râles. Face à nous, Elisabeth resta muette. Appréciait-elle de nous voir ainsi ? Était-elle jalouse ? Notre baiser langoureux prit fin et Nicole s’assit face à moi entre les cuisses de son amante. Elle déboutonna mon pantalon et extirpa mon sexe droit. Elle haussa un sourcil enjoué puis contourna mon gland pour couvrir ma hampe de baisers. De ce que j’avais compris, elle ne devait pas être accoutumée avec ce genre de pratique. Pourtant, quand sa bouche m’accueillit en elle, tout doute s’effaça. Elle savait y faire ! Sa fellation était douce, profonde, appliquée. Derrière elle, Elisabeth ne détournait pas son regard du mien. Était-elle jalouse ou excitée ? Je n’en avais aucune idée, mais elle était magnifique. Ma main droite vint caresser les cheveux de ma bienfaitrice et la mère d’Enora se décida à s’occuper de ses seins. Nicole tressaillit et poursuivit avec lascivité avant de se retirer. Elle m’adressa un sourire puis se releva, m’embrassa et se retourna.

Elle se pencha vers Elisabeth, posa ses mains sur ses épaules, creusa son dos et fléchit ses genoux. Lentement, je guidais mon gland vers son intimité et l’enfonçais entre ses lèvres couleur ébène. Nicole gémit de plaisir et de douleur. Elle était enivrante, bien que très serrée. Son regard plongea dans celui d’Elisabeth : « Tu avais raison. Il est très bien foutu ». Ravi d’entendre ces confessions, je poursuivais mon œuvre jusqu’à me blottir contre les fesses fermes de ma nouvelle amante. Pendant dix minutes, Elisabeth la contempla en écoutant le bruit caractéristique de deux corps qui se frappent lors d’une levrette. Nicole se redressa ensuite contre moi et nous continuâmes un moment avant qu’elle ne retire mon sexe et ne l’emprisonne entre ses cuisses fines. Elle m’embrassa par-dessus son épaule tout en ondulant son bassin pour me masturber. Dix secondes plus tard, la bouche d’Elisabeth emprisonna mon gland qui ressortait sous l’intimité de son amante. Elle venait de rejoindre la partie.

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