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Une affaire de voisinage: Chapitre 4 - Surprise sur le canapé

Benjamin et Elisabeth se quittent à contre coeur. Quand Benjamin se retrouve avec sa fille, la jalousie d'Elisabeth stoppe le couple en pleine action. Benjamin pourra-t-il pardonner sa belle-mère et amante?

Proposée le 6/08/2024 par Imagine69

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Thème: Couple, passion
Personnages: FH
Lieu: A la maison, intime
Type: Roman


Je déposais de tendres baisers sur le dos d’Elisabeth tout en profitant de la douce chaleur de son intimité : « Je suis bien en toi ». Elle tourna son visage vers le mien et trouva mes lèvres : « Tu crois qu’on a fait une bêtise Benjamin ? ». Je blottissais un peu plus mon bas ventre contre ses fesses bombées : « Peut-être, mais je suis prêt à la refaire… surtout si tu m’allumes à nouveau ». Elle pouffa et se déhancha malicieusement contre moi : « Ce n’est pas mon genre ». Nous nous trémoussâmes l’un contre l’autre avec sensualité et envie. Sentant que nous repartions pour une partie de jambes en l’air torride, Elisabeth temporisa : « Tu vas être en retard ». Je n’avais pas envie de partir mais me résignais finalement. Je la remerciais pour cette première fois puis après m’être rhabillé, je partais au lycée. Je retrouvais Enora à la bibliothèque, en compagnie de Solange, son amie : « Bonjour chérie, désolé je suis en retard… ». Elle me fit une place à côté d’elle : « Le réveil ? ». J’opinais.

Je n’allais certainement pas lui avouer que sa mère venait de me dépuceler et de tromper son père. Elle retourna à sa lecture et je sortais mes affaires. En regardant sa chute de rein, un élément nouveau me troubla : « Joli ». Mes doigts saisirent discrètement les ficelles de son string qui dépassaient de son pantalon. A ma connaissance, c’était la première fois qu’elle en mettait un. Avait-elle envie de me chauffer ? Elle me regarda, se mordit la lèvre et posa sa main sur ma cuisse : « C’est impoli de toucher une jeune fille studieuse comme ça au lycée ». Nous échangeâmes un sourire et nous plongeâmes dans nos études. Peu à peu, sa main remonta vers mon entrejambe et commença à pétrir mon sexe sous la table. Il m’était impossible de me concentrer sur autre chose que ses mouvements ! Mon érection naquit comme si je n’avais pas déjà éjaculé par deux fois ce matin. Solange se douta de ce qu’il se passait et décida de s’éclipser. Honteuse, Enora retira sa main et fit comme si de rien n’était.

Une fois seuls, j’ouvrais silencieusement mon pantalon et guidais les doigts de ma copine sur mon caleçon. Elle écarquilla les yeux sans se retirer : « Benjamin, on ne peut pas faire ça ici… ». Elle jeta un coup d’œil autour de nous puis palpa un peu plus mon sexe avec envie avant de refermer ma braguette comme si la tentation était trop grande : « C’est dangereux ! ». Je regardais les alentours : « Pourquoi ? Il n’y a personne ! ». Elle commença à ranger ses affaires puis se leva et se pencha derrière moi : « C’est dangereux parce que si je continue de te caresser, je vais finir par baisser ton boxer et te sucer ». Mon cœur s’arrêta. C’était la première fois qu’Enora me disait ça, comme si elle en mourrait d’envie. Le temps de me retourner, elle était déjà à dix pas de moi et s’échappait en me souriant. Je rangeais mes affaires et la poursuivais. Malheureusement, elle entrait déjà dans la salle de cours. Tout le reste de la journée se résuma à un jeu de séduction aussi excitant que frustrant.

Une fois les cours terminés, nous nous retrouvâmes devant le lycée et rentrâmes chez nous à pied. Au détour d’une ruelle, je la plaquais contre un mur et l’embrassais fougueusement : « Tu m’as terriblement excité aujourd’hui, tu sais ? ». Elle suçota ma lèvre inférieure et palpa mon sexe : « A bon ? Je ne savais pas, peut-être que tu peux me montrer ça chez moi ? ». J’hésitais un instant car je redoutais de croiser Elisabeth autant que j’avais envie de la voir. Enora n’attendit pas ma réponse et ouvrit la voie. Elle me regarda par-dessus son épaule et remonta légèrement son string pour me chauffer. Je la rattrapais et glissais la moitié de ma main dans son pantalon, contre sa fesse. Nous arrivâmes rapidement chez elle et croisâmes, comme je le redoutais, sa mère. Mon rythme cardiaque s’emballa. Elle me toisa puis nous sourit : « Bonjour les jeunes, vous avez passé une bonne journée ? ». Je répondais, avec peut-être un peu trop de ferveur dans la voix : « Excellente Elisabeth, et vous ? ».

Elle opina puis disparut dans le salon. Enora m’attira au pas de course vers sa chambre : « Excellente journée ? On va faire en sorte que ça le reste alors ». Elle ferma la porte, jeta nos sacs sur le sol et me poussa sur le lit. Elle s’installa à califourchon sur mon bassin, m’embrassa fougueusement, se frotta à mon érection quelques instants puis se releva à côté du lit : « Je te montre ce que j’ai acheté ? ». J’acquiesçais et elle ôta son haut pour me dévoiler son soutien-gorge. Elle se retourna ensuite, ouvrit son pantalon et le retira lentement. Mes yeux contemplèrent ses sublimes fesses et son string. Je la saisis par les hanches et l’attirais vers moi : « Tu as un joli petit cul ». Elle me regarda avec un air faussement outré : « Et ce que j’ai acheté alors ? ». Je l’emmenais avec moi vers la tête de lit et l’asseyais à l’envers entre mes cuisses : « Voyons-voir ». Je déposais un baiser dans son cou, palpais ses seins par-dessus son soutien-gorge puis caressais son pubis à travers son string : « Jolie qualité ».

Elle haussa un sourcil intéressé : « Peut-être que tu veux vérifier l’intérieur aussi ? ». J’opinais et remontais ma main vers son bas ventre avant de m’insinuer sous le tissu. Je longeais son pubis épilé puis glissais méticuleusement mon majeur entre ses lèvres vaginales chaudes et humides. Enora gémit fébrilement. Grâce aux conseils de sa mère, je trouvais son clitoris et le massais sensuellement : « Hum, je vois que tu t’es amélioré depuis la dernière fois ». Pour éviter toute suspicion de sa part, je rétorquais instinctivement : « Et je vois que tu es excitée… ce n’est pas bien pour une jeune fille studieuse ! ». J’introduisais un doigt dans son intimité et Enora se mordit la lèvre. Elle guida mon autre main dans son soutien-gorge et je palpais soigneusement son sein tout en la doigtant. Mon érection était à son paroxysme : « Tu m’excites Benjamin. Ce que je t’ai dit à la bibliothèque… j’en ai vraiment envie ». Je revenais à son clitoris et jouais aux naïfs : « J’ai une très mauvaise mémoire. De quoi s’agissait-il ? ».

Elle retira mes mains et s’agenouilla face à moi : « Dommage pour toi ! ». Lisant la déception dans mon regard, elle retira mon t-shirt et m’embrassa avant de descendre sur mon torse et mon ventre. Ses doigts ouvrirent mon pantalon qu’elle baissa à la moitié de mes cuisses. Elle contempla la bosse de mon caleçon puis se pencha pour l’embrasser. Ma respiration se coupa. Je posais une main dans ses cheveux et contemplais sa chute de reins et son string. Elle se redressa et posa ses lèvres sur les miennes : « Tu m’aides ? ». Je soulevais mon bassin et elle baissa soigneusement mon caleçon. C’était la première fois qu’elle allait me voir nu. Elle m’avait déjà masturbé mais c’était sous une couverture et dans la pénombre. Mon sexe se libéra de sa prison de tissu et se redressa contre mon ventre. Enora le contempla sans mot dire : « Tu es… déçue ? ». Elle posa une main sous mes bourses et l’autre autour de ma hampe. Elle décalotta mon gland lentement puis remonta : « Elle est… énorme ».

Je pouffais : « Elle ? ». Ma copine rougit et me masturba doucement en guettant mes réactions. Elle aussi s’était améliorée ! Je soufflais de plaisir : « Hum, la bibliothèque, ça me revient maintenant ! ». Enora rigola : « Trop tard ! C’est à toi de me dire ce que tu veux… ». Elle accéléra le rythme en me regardant rougir : « Alors ? ». J’arrêtais sa main, hésitais un instant puis plongeais mon regard dans le sien : « Je veux que… Je veux que tu me suces ». Elle se mordit la lèvre, me poussa contre la tête de lit et commença à se pencher. Je sentais déjà la chaleur de son souffle sur mon sexe. Plus que quelques centimètres. Mes doigts disparurent dans ses cheveux. Quelqu’un toqua à la porte et ouvrit. C’était Elisabeth. Elle me regarda avec de grands yeux : « Oh pardon, je ne voulais pas… ». Enora se releva comme une furie : « Maman, attend que je te dise d’ouvrir ! C’est pas possible, je n’ai pas d’intimité ici… ». Sa mère referma la porte mais c’était trop tard. L’avait-elle fait exprès ? Possible.

Ma copine sauta du lit et enfila ses habits. J’essayais de la convaincre à nouveau : « Tu ne veux pas fermer à clé et… ». Elle me fusilla du regard : « Je ne suis plus d’humeur… Est-ce que tu penses qu’elle va me prendre pour une… salope ? Je veux dire, entre le string et la fellation… ». Si seulement elle savait de quoi sa mère était capable ! Je me rhabillais à mon tour et me levais pour la réconforter en choisissant mes mots : « Ta mère a été jeune aussi, il n’y a aucun mal à découvrir sa sexualité et puis… il n’y a pas vraiment eu de fellation ». Enora souffla puis rigola en pinçant mon t-shirt nerveusement : « L’intention était bien là ». Nous passâmes un moment ensemble sans que mon érection ne s’adoucisse. Finalement, je pris mes affaires, embrassais une dernière fois ma copine et quittais sa chambre. J’allais ouvrir la porte d’entrée quand la voix d’Elisabeth chuchota derrière moi : « Bonne soirée Benjamin ». Je me retournais et contemplais la belle brune qui m’avait dépucelé le matin même.

Elle avait troqué ses habits de la journée par un pyjama composé d’un petit short blanc et d’un haut laissant deviner les reliefs de ses tétons. Nous nous jaugeâmes un instant. Un mélange d’attirance et de frustration se mêlait en moi. Mon érection était toujours là, tout comme mon envie de lui faire l’amour. Sans réfléchir, je m’avançais vers ma belle-mère qui eut un léger mouvement de recul. Redoutait-elle ma réaction ou celle de sa fille si jamais elle découvrait notre relation ? Mes lèvres se posèrent sur les siennes et ma main glissa entre ses cuisses. Au travers du tissu fin, je pouvais sentir son sexe chaud. Immobile, Elisabeth gémit doucement puis me repoussa au moment où la poignée de la porte d’entrée s’actionnait. Mon cœur s’arrêta, c’était Richard. Nous l’avions échappé de peu ! Comme si de rien n’était, je saluais courtoisement Elisabeth et serrais la main de son mari au passage : « Bonne soirée Ben ». Je sortais de la maison et prenais une grande inspiration. Quelle journée !

Alors que je descendais dans la pénombre en direction du portail, la porte d’entrée s’ouvrit et se referma dans mon dos. Enora me rejoignit au pas de course : « Qu’est-ce que… ». Elle me poussa contre un mur, s’assura que personne ne pouvait nous voir puis remontra le bas de son haut au-dessus de ses seins nus. Je les admirais pleinement pour la première fois : « Enora… ». Elle s’approcha en souriant et m’embrassa sensuellement : « Je suis désolée pour ce soir Benjamin. Je sais que tu es frustré… ». Pour appuyer son propos, elle caressa la bosse de mon pantalon qu’elle ne tarda pas à ouvrir : « Ce n’est pas grave, il s’agissait juste de dire que tu n’en avais pas envie… ». Enora rigola. Nos langues se dégustèrent puis la mienne se désengagea pour venir lécher son téton gauche. Elle avait une sublime poitrine, très différente de celle de sa mère. Ses doigts extirpèrent mon sexe droit dans la pénombre et le masturbèrent doucement. Je passais à son téton droit que je suçotais tendrement.

Enora souffla : « Je ne savais pas comment te dire que je n’avais pas envie de te sucer… ». Perplexe, je me redressais contre le mur et attendais qu’elle s’explique. Elle s’approcha de mes lèvres, sans pour autant les toucher, puis s’accroupit devant moi. Avant même que je ne puisse comprendre ce qu’il se passait, ma copine enfonça mon sexe dans sa bouche et entama une fellation langoureuse. Mes poumons se vidèrent dans un râle et mes yeux se braquèrent vers ceux d’Enora. Elle était douce, sereine et précise dans ses mouvements. Sa main droite me masturbait au rythme des pénétrations tandis que la gauche pétrissait son sein ferme. Elle gémit. Mon sexe se contracta et ma bienfaitrice sourit en marquant une pause. Elle savait qu’elle me mettait dans tous mes états. Malheureusement pour moi, cela signa la fin de cette première fellation. Enora se retira puis se releva : « Tu as aimé ? ». Mes lèvres se posèrent sur les siennes : « J’aurais aimé que ça ne s’arrête jamais ! Et toi ? ».

Elle leva un sourcil séducteur : « Si ton sexe reste dressé comme ça, je risque de recommencer ! J’ai adoré te… sucer ». Un frisson parcourut mon corps en l’entendant dire ça. Elle remonta mon caleçon et referma mon pantalon : « A charge de revanche ». Elle mordilla sa lèvre : « Tu as des idées particulières ? ». Ma langue passa sur ses lèvres et mes doigts déboutonnèrent son pantalon : « Pas ce soir, mes parents vont se demander ce qu’on fait ». J’ouvrais sa braguette : « Je peux leur dire que je léchais leur petite fille chérie ». Enora hésita puis recula pour refermer son pantalon et réajuster son haut: « Elle est pudique leur petite fille chérie. On se voit demain après-midi ? J’ai rendez-vous chez le dentiste demain matin ». J’acquiesçais et l’embrassais sensuellement en laissant mes mains s’aventurer sur ses fesses fermes et les ficelles de son string. Je rentrais ensuite chez moi et prenais une douche après diner. Je m’allongeais en boxer sur mon lit et repensais à cette journée.

Dans quoi m’étais-je empêtré ? Mon téléphone vibra. C’était Enora : « Je vais dormir et rêver… de nous. Bonne nuit mon amour ». Une photographie d’elle apparut dans la discussion. Elle était allongée dans son lit, ne portait qu’une chemise de nuit complètement ouverte. Mes yeux détaillèrent ses seins nu, son ventre creux et son pubis imberbe. J’ôtais mon sous-vêtement et prenais le même cliché avant de répondre : « Je vais rêver de toi, de ton corps, de tes mains et de tes lèvres… Si ça ne gêne pas la pudique qui sommeille en toi. Bonne nuit chérie ». Elle répondit : « Tu diras à la Enora de tes rêves de m’en laisser un peu alors… et ne sois pas trop tendre avec elle parce que le Benjamin de mes rêves ne l’est pas avec moi ». Je me mordais la lèvre. J’avais terriblement envie d’elle ! Je pianoté : « Promis ». A peine le message envoyé qu’un autre arriva. Cette fois-ci c’était Elisabeth : « Je suis vraiment désolée de vous avoir interrompus ce soir… ». Je soufflais puis écrivais : « Je ne te crois pas… ».

Elle répondit : « J’ai agi par jalousie… ça ne se reproduira plus ». Je réfléchissais puis tapotais sur mon écran : « Tu es toujours aussi mignonne, même quand tu es jalouse ». Elle m’envoya un cliché d’elle en se mordillant la lèvre inférieure et levant un sourcil aguicheur : « C’est vrai ? ». Elle était sublime ! Je pianotais : « Oui ! Mais pas sûr que ça pardonne quoi que ce soit ». Elisabeth écrivit : « Comment pourrais-je me faire pardonner ? A genoux ? ». Un nouveau cliché apparut d’elle en train de gonfler sa joue de l’intérieur avec sa langue pour mimer une fellation. Elle me rendait fou ! Je répliquais : « Hum, peut-être que tu peux commencer par m’envoyer une vidéo de toi en train de repenser à nos ébats ? ». Sans attendre sa réponse, je remettais mon boxer, m’assurais que la maison était éteinte puis sortais discrètement dans le jardin. J’escaladais le mur pour passer chez les voisins. Seule la lumière tamisée était visible. Je m’approchais discrètement de la fenêtre du salon.

La mère d’Enora fixait l’entrée de la pièce avec un mélange d’inquiétude et d’excitation. Elle déploya un plaid sur elle, gigota en-dessous puis le repoussa à la moitié de ses cuisses écartées. Son petit short venait d’être enlevé et son haut d’être remonté au-dessus de ses seins. Elle prit son téléphone et commença à filmer ses caresses, ses gémissements et ses grimaces. Je la trouvais sublime et drôlement impliquée ! Sur la pointe des pieds, je contournais la maison par l’extérieur puis ouvrais la porte vitrée sans faire de bruit. Je pénétrais dans le salon en refermant derrière moi. Mon cœur battait la chamade, l’adrénaline se répandait en moi. Je m’approchais de mon amante puis, quand elle fut à bonne distance, la bâillonnais avec ma main et m’asseyais à côté d’elle. Elisabeth sursauta et fit tomber son portable : « C’est moi, Benjamin ». Ses sourcils se froncèrent et je souriais : « Toujours aussi mignonne… et sexy, même quand tu as peur ».

Mes yeux détaillèrent son corp nu, fragile et magnifique. Sans retirer ma main de sa bouche, je glissais mes doigts libres sur sa poitrine et effleurais lentement ses courbes. Sa respiration ralentit un peu plus et mes doigts s’aventurèrent sur son ventre et ses hanches. Elisabeth plia alors ses genoux et écarta lentement ses cuisses sur le canapé. J’aurais pu entretenir le suspense et me rapprocher lentement mais la vue de cette femme offerte et brûlante d’envie m’électrisa. Mon majeur fila instinctivement se réfugier entre les lèvres vaginales trempées de mon amante qui gémit sous ma main : « Oh, tu m’as manqué Elisabeth ! ». Après m’être occupé de son clitoris gonflé, mon majeur et mon annulaire s’enfoncèrent en elle sans rencontrer de difficulté. Je la doigtais fougueusement en sentant ses muscles se tendre de plaisir puis ressortais m’occuper de son clitoris : « Hum ! Hum ! ». Elle était brûlante et fébrile. Je retirais ma main de ses lèvres et me penchais pour l’embrasser.

Elisabeth planta ses doigts dans ma peau et gémit : « Tu es fou Benjamin ! ». Je poursuivais mes caresses et baisers puis descendais pour m’installer entre ses cuisses ouvertes. Une fois de plus, je ne passais pas par quatre chemins et plongeais directement ma langue dans sa fente mielleuse. Je la léchais dans tous ses recoins en me délectant de son goût. Elisabeth semblait être en transe. Ses mains se plaquèrent derrière ma tête et son bassin se frotta à moi. J’adorais être l’artisan et l’objet de son excitation : « Tu… tu me fais trop de bien Benjamin ». J’avalais sa cyprine, remontais mes mains vers ses seins pour les palper quand soudain, un bruit de verre raisonna dans la cuisine. J’allais relever la tête mais Elisabeth m’intima l’ordre de continuer avant de déplier le plaid sur moi. Je continuais de la lécher en ne sachant pas si nous allions être découverts et par qui. Mon amante semblait confiante car elle m’encouragea à poursuivre mon œuvre avant de m’inviter à remonter deux minutes plus tard.

Mon regard se braqua directement sur la cuisine : « C’était qui ? ». Pendant ce temps, Elisabeth me couvrait de baisers. Elle baissa mon caleçon sous mes fesses et guida mon sexe dur dans son intimité ardente : « Mon mari ». Je me retournais vers son visage souriant et finissais de me planter en elle : « Tu n’as pas peur ? ». Elle donna un coup de langue à mes lèvres : « Et toi, tu n’as pas peur de te faire sa femme de la sorte ? ». Si j’avais peur mais l’excitation était plus forte. Je contemplais les petits seins de mon amante rebondir à chaque impact, puis augmentais la cadence. Cinq minutes plus tard, elle agrippa mes cheveux et croisa ses tibias sur mes fesses : « Continue Benjamin… ». Mon pubis frottait son clitoris, ma main gauche vint englober sa fesse. Elisabeth remonta le tissu de son haut dans sa bouche et mordit dedans pour taire son orgasme. Je l’accompagnais virilement puis ralentissais la cadence jusqu’à m’immobiliser en elle : « Tu es magnifique quand tu jouis ».

Elle glissa ses mains sur mes fesses : « Et toi ? Tu n’as pas envie de jouir ? ». Je pouffais discrètement : « Je me retiens ! J’ai envie de pouvoir te faire l’amour plus longtemps… ». Elle me coupa : « J’ai envie que tu éjacules en moi. Tout de suite ! ». Il n’en fallait pas pu pour me convaincre ! Mon bassin se remis en action immédiatement et le point de non retour arriva : « Oh oui Benjamin, vas-y ». Je réprimais un grognement puis atteignais l’orgasme : « Madame est-elle comblée ? ». Elle opina et m’embrassa tendrement. Mon sexe perdit de sa dureté et je n’eus d’autre choix que de me retirer : « J’aurais tellement aimer continuer… ». Mon amante sourit et souffla : « Ecarte les jambes et laisse-toi faire ». Je m’exécutais et Elisabeth disparut sous mon corps en déposant des baisers sur ma peau. Je remontais mon bassin et une seconde plus tard la douceur de sa bouche engloba mon sexe trempé. J’expirais dans un râle de plaisir en sentant sa langue tournoyer lascivement autour de moi.

Ses doigts étreignirent mes hanches, massèrent mes fesses. Mon sexe reprit progressivement de sa dureté et la tête d’Elisabeth entama des oscillations que mon bassin ne pouvait s’empêcher de compléter par moment. Des bruits de succion, de bave et de glotte s’échappaient du plaid. La fellation de la mère de ma copine était divine et sensuelle. Je contemplais l’ombre de sa tête monter et descendre : « Comment ai-je pu croire que je pourrais ne pas avoir d’érection avec toi ? ». Elle rigola, poursuivit son œuvre un instant puis remonta : « Il me faut un whisky ! Tu m’attends ? ». J’acquiesçais et me relevais pour la laisser passer. Elle quitta le salon d’un pas élégant et je m’asseyais sur le canapé en l’attendant. Elle revint moins de trente secondes plus tard et s’agenouilla entre mes cuisses écartées. Elle me sourit, prit une gorgée qu’elle dégusta en fermant les paupières puis posa le verre sur la table derrière elle : « Je ne voudrais pas être accusée de faire boire un mineur ».

Nous échangeâmes un sourire et je me penchais en avant pour l’embrasser. Ses lèvres avaient un goût tourbé que j’appréciais : « Et pour la corruption de mineur ? ». Elle leva un sourcil : « Te sens-tu corrompu ? ». J’hochais la tête et passais une main dans ses cheveux : « Pas autant que je le voudrais ». Elle rigola : « Au fait, est-ce que tu m’as pardonnée pour ma jalousie ? ». J’hésitais et répondais : « Je n’ai toujours pas reçu de vidéo ». Elle se mordit la lèvre et répondit : « C’est bien ce qu’il me semblait ». Elle saisit son téléphone qui était tombé, pianota dessus et me le donna. Je reculais contre le dossier du canapé et contemplais l’écran. La vidéo avait démarré. L’objectif fixait Elisabeth qui redressa malicieusement mon sexe et le masturba avant de l’embrasser et de l’accueillir dans sa bouche : « Hum ». Pendant cinq minutes, je la filmais aller et venir, creuser ses joues, lécher ma hampe et gober mes bourses. Je caressais ses cheveux de ma main libre et encourageais ses mouvements.

Elle tenta de repousser ses limites à plusieurs reprises mais se ravisa avant de se redresser en haletant : « Tu es vraiment bien foutu ! Un peu trop pour ma petite bouche peut-être ». Je répondais : « Et pour ton sexe ? ». Elle se mordit la lèvre, se releva, s’installa à califourchon sur moi et me chevaucha sensuellement devant l’objectif. J’admirais son corp sublime, toisais son regard ivre et ses lèvres entrouvertes, déposais des baisers sur sa poitrine ferme et laissais ma main libre naviguer sur ses courbes. Je remontais jusqu’à son cou, resserrais légèrement l’étreinte sur ce dernier et Elisabeth redoubla soudainement d’intensité : « Oh Benjamin ! ». Je posais immédiatement le portable sur le coussin à côté tout en gardant l’objectif rivé vers nous et enlaçais mon amante pour l’accompagner vers son orgasme. Elle mordit ma lèvre inférieure et jouit fébrilement : « Je ne vais plus pouvoir marcher demain ! ». Je répondais naïvement : « Est-ce que tu veux qu’on arrête ? ».

Elle rigola, m’embrassa lascivement puis se retira et se retourna entre mes cuisses écartées : « Tu crois que je vais te laisser partir comme ça ? ». Elle se pencha légèrement en avant, fléchit les genoux, m’exposa son entrejambe magnifique et guida une nouvelle fois mon sexe vers son intimité avant de s’assoir sur moi. Je reprenais son portable et filmais la vue spectaculaire qui m’était offerte. Mon amante se déhanchait et s’empalait sensuellement sur mon sexe éreinté mais toujours aussi fièrement dressé. Je caressais son dos, étreignais sa hanche gauche et accompagnais ses mouvements. Il ne fallut à Elisabeth que trois minutes pour m’amener au bord de l’orgasme : « Ah… je vais jouir… ». Elle se intensifia ses déhanchés en s’agrippant à mes cuisses puis se retira soudainement, glissa entre mes cuisses et me fit éjaculer sur sa langue tirée que je filmais : « Ah Elisabeth, je t’aime ! ». Elle avala en manquant de s’étouffer.

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Commentaires de l'histoire :

Anonyme
C’est merveilleux comme scénario, très existant. Vivement la suite
Posté le 6/08/2024


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