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Une affaire de voisinage : Chapitre 1 - Un vol au supermarché

Baptiste est gérant d'un supermarché. Quand il prend la copine de son fils la main dans le sac, la situation dérape et il lui reprend plus que de simples produits.

Proposée le 12/07/2024 par Imagine69

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Thème: Couple, passion
Personnages: FH
Lieu: Bureau, travail
Type: Roman


Mon regard passait de caisse en caisse à l’affut d’un oubli ou d’un indice pouvant suggérer un vol. J’avalais une gorgée d’eau puis poursuivais ma visite dans les rayons avant de revenir à l’entrée du supermarché que je gérais depuis bientôt cinq ans. Il me tardait de finir la journée pour aller surfer et me détendre sur la plage. L’été était déjà arrivé et l’air chaud et iodé de l’extérieur pénétrait le bâtiment à chaque fois qu’une personne entrait. Au loin, j’aperçu Enora, la fille des voisins et la petite copine de mon fils, Benjamin. Les deux allaient sur leurs dix-huit ans et faisaient notre fierté. Joséphine et moi connaissions bien les parents d’Enora avec qui nous passions de nombreuses soirées. Richard était un plongeur hors pairs et Elisabeth était une entrepreneuse accomplie. Le couple nous avait rapidement intégré à la vie de quartier lorsque nous avions emménagé dans le sud-ouest de la France. Richard avait aussi aidé Joséphine à rénover le centre sportif dont elle s’occupait désormais.

A mesure qu’ils grandissaient, nos deux progénitures avaient développé un esprit de rivalité intellectuelle à l’école avant de laisser place à une relation amoureuse qui avait débuté il y a quelques mois. Leur complicité me rappelait mes années étudiantes, mes premières aventures, mes amourettes. Alors qu’ils passaient jadis le plus clair de leur temps à réviser dans le salon, les deux tourtereaux passaient désormais de longs moments dans leurs chambres, ensemble. Les quatre parents que nous étions ne voyaient pas cela d’un mauvais œil. Nous étions tous passés par là. Bien évidemment, Joséphine et moi faisions passer des messages à notre Don Juan sans toutefois l’embêter avec des détails intimes. En regardant passer Enora à une trentaine de mètres, je me dis qu’il n’en loupait pas une. En plus d’être une génie des sciences, la jeune femme était vraiment mignonne. Elle mesurait 1m75, avait des cheveux châtains légèrement ondulés, des yeux sombres et un sourire angélique.

En cinq ans, j’avais vu son apparence évoluer. Les pantalons et t-shirt larges laissaient aujourd’hui place à une jolie robe rouge évasée et des spartiates à talon. Elle rentra dans le magasin et je la vis ressortir les mains vides une dizaine de minutes plus tard. J’allais à sa rencontre :

- Bonjour Enora, tu vas bien ? Tu ne dis plus bonjour ? la tannais-je gentiment.
- Oh, bonjour Baptiste, répondit-elle en rougissant. Je ne vous avais pas vu.

Mon regard s’abaissa une fraction de seconde sur son décolleté. Une autre chose qui avait évolué, c’était son corps. Elle avait des formes plus marquées que sa peau halée mettait en valeur. Avec vingt ans de moins, je n’aurais pas hésité à la draguer pour la mettre dans mon lit. J’étais à la fois fier de mon fils et à la fois un peu jaloux. Nous discutâmes un peu en marchant vers la sortie. Je la sentais nerveuse. En passant la porte, le portique sonna. J’allais passer outre l’alarme quand Enora s’arrêta et confessa : « Je suis désolée… ». Je fronçais les sourcils : « Qu’est-ce que… ». La voyant mal à l’aise, je sus qu’elle avait dérobé quelque chose : « Est-ce que tu veux me donner ce que tu as pris ? ». Elle hocha timidement la tête. Pourquoi agissait-elle ainsi ? J’inspirais puis lui demandais de rentrer dans l’établissement. Elle me suivit et nous rentrâmes dans mon bureau que je refermais à clé derrière moi. Sans mot dire, je m’asseyais sur le rebord de la table et regardais sévèrement la copine de mon fils :

- Ca ne te ressemble pas Enora, murmurais-je finalement. Que vont dire tes parents ?
- S’il-vous-plait, ne leur dites pas, me supplia-t-elle. Je suis vraiment désolée…
- Tu m’expliques ? demandais-je en gardant un ton neutre et ferme.
- Eh bien… je voulais avoir quelque chose d’un peu attirant à mettre… en-dessous, répondit-elle.
- Tu n’aurais pas pu demander de l’argent de poche à tes parents pour ça ? continuais-je en la déshabillant du regard malgré moi et en repensant à ses maillots de bains échancrés.
- J’avais honte… marmonna-t-elle en jouant avec ses doigts fins et sensuels.
- Ils sont plutôt ouverts, je ne vois pas où est le problème. Qu’as-tu volé ? demandais-je.
- Un soutien-gorge et…, buta-t-elle en devenant écarlate et essoufflée.

Plutôt que de le dire, elle jugea préférable de me montrer. Elle remonta le bas de sa robe jusqu’au nombril et se retourna lentement. J’aurais dû l’arrêter mais j’étais hypnotisé. Hypnotisé par le petit string qu’elle portait, par la ficelle qui descendait entre ses fesses rondes et fermes jusqu’à disparaitre. Une vague de chaleur m’envahit et je sentais mon sexe gagner en vigueur dans mon pantalon. Mon fils était un sacré veinard ! Je me raclais la gorge en sortant de ma torpeur :

- Bien, je ne dirais rien à tes parents mais tu vas me rendre ces articles, tranchais-je.

Elle acquiesça honteusement par-dessus son épaule et rabaissa le tissu sur ses fesses. Je me retournais, le temps qu’elle se décharge des sous-vêtements volés : « C’est bon ». Elle été rapide ! Je me retournais et restais paralysé. Devant moi, Enora était complètement nue. Elle avait un corps svelte et un ventre plat, des seins ronds surmontés de petites auréoles, de longues jambes au-dessus desquelles un pubis épilé laissait entrevoir de fines lèvres vaginales. Mon sexe se contracta dans mon boxer.

- Enora, commençais-je le souffle court en cachant mon regard, enfile vite quelque chose !
- Désolée, ma robe est tombée au dernier moment, répondit-elle lascivement.

Elle s’accroupie et remonta son vêtement en réajustant les bretelles sur ses épaules. J’avais encore son corps nu en mémoire. Pourvu que tout cela ne s’ébruite pas. Je mourrais de chaud dans ce bureau.

- Est-ce que vous me trouvez belle… nue ? me demanda-t-elle alors avec une sensuelle timidité.
- Enora, ce ne sont pas des choses à demander au père de ton copain, rétorquais-je durement.
- Je voulais juste avoir votre avis… pour savoir si Benjamin l’appréciera ? argumenta-t-elle.
- Il ne t’a jamais vu nue ? demandais-je en croisant les bras, un peu étonné.
- Non, confia-t-elle en murmurant et mordillant sa lèvre inférieure, vous êtes le premier.
- Euh, lâchais-je en étant quelque peu désorienté, je suis persuadé qu’il appréciera…
- Mais vous n’avez pas répondu à ma question, me coupa-t-elle. Vous me trouvez belle ?
- Ou veux-tu en venir Enora ? répondais-je en élevant un peu le ton et fronçant les sourcils.

Elle ne répondit pas tout de suite, sembla réfléchir à ce qu’elle allait dire. J’étais brûlant, fiévreux. Je repensais à sa jolie poitrine, à ses sublimes fesses et son petit string.

- Il y a deux jours, Benjamin et moi nous sommes retrouvés nus sous la couverture, commença-t-elle. On s’embrassait puis j’ai commencé à le… masturber et lui à me doigter…
- Epargne-moi les détails Enora, la coupais-je en sentant mon sexe se contracter à nouveau.

Ses yeux sombres me jaugèrent. Savait-elle que mon inconscient m’envoyait des images de mes doigts la satisfaire ou de mon sexe dans sa main ? Il fallait clore cette conversation au plus vite. Et l’oublier.

- Je voulais simplement dire que ce n’était pas très agréable, conclut-elle d’un air presque vexé.
- Ça fait partie des choses de l’adolescence Enora, laissez-vous le temps, commentais-je.
- Mais j’ai peur d’être déçue, lâcha-t-elle. Je ne veux pas l’être. Pas pour ma première fois…

Le silence s’installa. Je ne voyais toujours pas pourquoi elle avait volé ou en quoi ma réponse allait l’aider. L’une de ses bretelles glissa en dévoilant son sein nu. J’allais intervenir mais elle reprit :

- Je veux une première fois avec quelqu’un d’expérimenté, dit-elle en s’avançant vers moi. Quelqu’un qui puisse me guider, m’apprendre, me laisser un souvenir mémorable… ajouta-t-elle en posant ses mains sur mes cuisses. Je la veux avec vous cette première fois.
- Tu n’es pas sérieuse Enora ? tonnais-je en repoussant ses mains et m’éclipsant derrière elle à bonne distance. Tu es la copine de mon fils, je te connais depuis que tu es petite et puis j’ai quarante-deux ans et tu en as dix-sept… ajoutais-je en listant tout ce qui n’allait pas.
- Bientôt dix-huit, et je suis sexuellement majeure, me coupa-t-elle en me suivant lentement.
- Là n’est pas la question, je suis un homme marié, un père de famille ! poursuivais-je sèchement en contemplant son sein nu surmonté d’un téton dur et excité. Et puis je suis ami avec tes parents ! Que diraient-ils de ton attitude ? Remonte-moi cette bretelle à la fin !

Elle se planta face à moi puis fit à nouveau glisser sa robe sur le sol. Mes yeux détaillèrent machinalement ses formes sublimes et attirantes avant de revenir vers son rictus déterminé.

- Je ne me rhabillerai qu’une fois dépucelée. Je sais que je ne vous déplais pas, murmura-t-elle en s’approchant d’un pas félin, et que je vous fait bander, ajouta-t-elle en se plantant devant moi et en effleurant la bosse de mon pantalon. Je serai une très bonne élève…
- C’est non Enora, répondis-je sans la repousser mais en sortant mon téléphone sur le ton de la menace. Si tu ne te rhabilles pas, j’appelle tes parents.

Elle plongea son regard ardent dans le mien et ses doigts se refermèrent doucement sur mon érection : « Vous me plaisez énormément Baptiste. J’ai envie de vous… ». Avant que je n’eus le temps de réagir, elle posa ses lèvres sur les miennes. Mon portable tomba sur le sol et mes mains se posèrent sur ses hanches nues. Son corps élancé se blottit contre moi et je lui rendais son baiser. Qu’étais-je en train de faire ? Je la repoussais. Nos regards torrides se jaugèrent. Que Dieu me pardonne ! Elle revint à la charge et cette fois-ci, je la retournais contre le mur et l’embrassais fougueusement. Nos langues se découvrirent et valsèrent en territoire défendu. Nos souffles saccadés se répondirent à intervalle différé. Ma main caressa sa joue et son cou avant de prendre le chemin de son sein. Je le soupesais délicatement. Il était doux, pas trop lourd mais assez ferme. Je me revoyais en train d’épier son décolleté. Me voilà donc face à ce qu’il cachait ! Tu es en train de faire une grosse connerie Baptiste !

Comme si elle avait compris mes états d’âmes, Enora saisit ma main et la guida entre ses cuisses. J’avais l’impression que les rôles étaient inversés, que c’était elle la professeure dans l’histoire. Elle me sembla soudainement plus mature. Sous mes doigts, je sentais les reliefs à peine perceptibles de ses fines lèvres ainsi que la fente serrée et trempée de son intimité. J’investiguais le sillon à l’aveugle jusqu’à trouver son clitoris. Enora gémit doucement en mordillant ma lèvre. J’étais en train d’exciter la copine de mon fils sans trouver la force d’arrêter. Jusqu’où allais-je aller comme ça ? Le bassin de la jeune femme commença à onduler comme pour m’encourager à poursuivre. Mes lèvres s’aventurèrent dans son cou puis sur sa poitrine que j’embrassais, massais et suçotais : « Tu me fais du bien ». C’était la première fois qu’elle me tutoyait. Cela signifiait qu’un cap était franchi entre nous. Ma tête tournait. Je retournais gouter les lèvres fébriles de mon amante : « Tu me mets dans un pétrin sans nom Enora ».

A quoi ressembleraient les diners de famille ? Les sorties entre voisins ? Les ébats avec ma femme ? Je nageais dans l’inconnu : « Ton corps est magnifique ». Elle sourit, visiblement ravie du compliment, puis mon majeur s’enfonça doucement dans son vagin. Sa bouche resta ouverte pour laisser un souffle de plaisir s’échapper et elle écarta un peu plus les cuisses. Je la doigtais doucement, peu profondément. Tu la doigtes Baptiste ! Encore ses foutus états d’âmes. Cette fois-ci, ce fut Enora qui me repoussa délicatement : « Je t’ai fait mal ? ». Elle sourit puis m’embrassa : « Ne dis pas de bêtise, j’ai adoré ». Elle me poussa contre le bureau et ses doigts défirent les boutons de ma chemise avec habilité avant de la retirer. Sa bouche parcourut mes épaules et mon torse tandis que ses mains s’attelaient à défaire mon pantalon qu’elles laissèrent tomber à mes chevilles : « Ton corps aussi est magnifique… enfin, tout ce que je peux en voir ». Ses envies étaient claires mais elle restait timide.

Je caressais sa joue d’un air réconfortant : « Tu n’es pas obligée Enora ». Je posais mes lèvres sur les siennes puis sentais ses doigts glisser sous l’élastique de mon boxer. Elle le baissa à la moitié de mes cuisses et mon sexe dur remonta fièrement contre son ventre. A l’aveugle elle rapprocha ses mains de mon intimité et visa étonnamment juste : l’une d’elle se posa sous mes testicules tandis que l’autre se referma sur ma hampe. Elle me masturba doucement tout en taquinant sensuellement ma langue avec la sienne. Elle m’excitait terriblement ! Ses yeux se baissèrent pour regarder l’objet de sa convoitise :

- Alors, je suis une bonne élève ? me demanda la jeune femme en souriant avec séduction.
- Jusque-là c’est un sans-faute, confirmais-je en passant mes doigts dans ses cheveux.
- Hum, je vais tacher de ne pas te décevoir, rigola-t-elle en m’embrassant à nouveau.

L’instant d’après, elle déposait des baisers sur mon torse et mes abdominaux tout en s’agenouillant. Enora contempla mon sexe de plus près tout en continuant de le caresser consciencieusement. Je n’en revenais pas de nous voir ainsi, dans cette position. Mon sexe se contracta entre ses doigts.

- Je confirme, tu es sublime, me complimenta-t-elle en se pinçant les lèvres. Des conseils pour…?
- Bonne élève mais mauvaise fille, répondis-je en souriant. Je te conseille d’y aller pas à pas…

Je m’arrêtais en voyant l’adolescente enfoncer mon gland et une partie de ma hampe entre ses lèvres. Mon ventre se creusa, mon sexe se raidit en elle et un gémissement sorti de mes entrailles. J’avais l’impressions d’être dans un rêve. Sa langue humide tournoya lascivement autour de mon mât. Ses yeux, braqués sur moi, se plissèrent avec malice et elle se retira doucement :

- Pardon, qu’est-ce que tu disais ? me demanda-t-elle avec un filet de bave collé à ses lèvres.
- Oublie et continue, répondais-je en me laissant un peu aller.

Elle sourit et me reprit en bouche. Sa tête s’activa lentement. Elle avait beau être novice, sa fellation n’en demeurait pas moins divine et sensuelle. Ma main caressa sa joue en guise d’encouragement avant de se retirer par honte. Je n’arrivais pas à me faire à l’idée que la copine de mon fils, la fille de Richard et Elisabeth, était en train de me sucer. Je n’arrivais pas à concevoir que j’étais en train de tromper ma femme avec une adolescente. Enora ramena délicatement mes doigts sur sa joue. J’outrepassais mon malaise et effleurais sa peau douce comme de la soie avant de coiffer tendrement ses cheveux châtains. La jeune femme aussi commençait à prendre ses aises. Elle testait ses limites, découvrait la sensation d’avoir un gland collé à sa glotte puis à l’intérieur de sa joue. Ses lèvres et sa langue prirent ensuite le temps de se balader sur mon sexe, de lécher mon gland jusqu’à aller taquiner mes bourses : « Tu te débrouilles très bien pour une première fois. Tu es sûre que c’est la première ? ».

Enora pouffa timidement puis suçota mon gland : « J’ai un bon… un très bon professeur ». Mon sexe se contracta une nouvelle fois. Elle me rendais fou. J’étais très excité. Peut-être un peu trop d’ailleurs. Je la relevais et l’embrassais pour la remercier. Je l’asseyais ensuite sur le bureau et la poussais doucement en arrière. Je contemplais son corps magnifique, ses prunelles sombres, ses lèvres luisantes, ses seins fermes, ses cuisses écartées et son intimité juste en-dessous de la mienne. Je me penchais sur elle et suçotais ses tétons à tour de rôle, malaxais sa poitrine. Enora geignait pudiquement. Ses doigts se perdirent dans mes cheveux et m’accompagnèrent jusqu’à son pubis. Je sécurisais ses jambes écartées sur mes épaules. Nous échangeâmes un regard passionnel et je descendis vers son intimité vierge de toute expérience impliquant une autre personne qu’elle-même. Ma langue débuta son parcours en bas de sa fente vaginale avant de remonter vers son sommet.

Un gémissement s’échappa des lèvres de l’adolescente, ses doigts pressèrent un peu ma tête et son bassin ondula irrésistiblement. C’était la première fois qu’elle sentait une langue à cet endroit. Je comptais bien faire de ce premier cunnilingus une expérience mémorable. Je pris mon temps, mis toute mon expérience pour lui faire découvrir ces nouvelles sensations tout en faisant monter progressivement son désir. Rien ne servait de courir ! Je taquinais son clitoris de bas en haut, de haut en bas, de façon circulaire puis horizontale, avec une langue molle et lascive puis un peu plus dure et précise. Je suçotais ses fines lèvres, les écartais et les massais avec deux doigts, enfonçais une phalange dans son intimité chaude. Les paupières fermées, Enora râlait de plaisir, décollait son dos de la table, m’encourageait. J’accélérais la cadence, dégustais sa cyprine, suivais les signaux que m’envoyait son corps et massais ses deux seins fièrement dressés vers le plafond : « Oh Baptiste ! ».

Ses cuisses s’écartèrent davantage, ses muscles se raidirent, ses lamentations s’amplifièrent et son bassin ondula en recherchant ma langue. J’intensifiais mes assauts sur son clitoris gonflé puis Enora atteignit l’orgasme. Je rougissais de honte mais la voir jouir me fit passer ce sentiment. On aurait dit un chaton qui apprend à miauler. Je ralentissais la cadence, lubrifiais son intimité avec un mélange de bave et de mouille puis me relevais. Les mains de mon amante rejoignirent les miennes sur ses seins. Son souffle était profond, son corps se frémissait encore. Elle ouvrit ses paupières et me sourit fiévreusement : « C’était magique, merci Baptiste ». Je souriais : « J’ai une très… très bonne élève ». Elle redressa le haut de son corps en mordillant sa lèvre et me toisant envieusement. Elle étreignit mon sexe entre ses cuisses, frotta doucement mon gland contre son clitoris puis l’enfonça légèrement en elle : « Enora, tu es sûre que tu veux le faire avec moi, dans ce bureau ? ».

Elle opina en me masturbant dans le creux huileux de son antre : « Laisse-moi au moins mettre un préservatif ». Ses doigts pressèrent un peu plus mon sexe dans le sien : « Je veux te sentir en moi, sans rien entre nous ». Moi aussi je le voulais ! Je posais une main sous sa cuisse et l’autre sur sa hanche. La jeune femme se redressa vers moi puis grimaça quand mon mât pénétra son intimité serrée. Je laissais son vagin s’accoutumer, enchainais de lents vas et viens puis m’enfonçais un peu plus : « Ah ! ». J’interrogeais mon amante du regard. Elle cala ses creux poplités dans l’angle de mes coudes. Ses mains passèrent derrière ma tête. Son regard plongea dans le mien et ses lèvres m’embrassèrent fébrilement. Mes doigts se pressèrent contre ses reins et mon bassin reprit son lent voyage pour rejoindre le sien. Les complaintes d’Enora se perdaient en moi. Mon pubis finit par toucher sa vulve. Je restais un moment immobile, planté dans la copine de mon fils que je venais de dépuceler.

Elle me regarda avec des sourcils froncés et un petit sourire de satisfaction : « Ça tire ». Mon sexe se contracta impulsivement et elle ouvrit la bouche, visiblement émerveillée par la sensation d’avoir ce corps étranger et excité en elle. Nos langues se retrouvèrent dans une valse sensuelle et mes reins commencèrent à s’activer doucement. Enora encaissait sans se plaindre. Bien que son vagin se soit dilaté et lubrifié, je restais mesuré dans mes mouvements. J’allongeais à nouveau mon amante sur le bureau et lui fit l’amour quelques minutes en contemplant son corps élancé : « Est-ce qu’on peut échanger ? ». J’acquiesçais, débarrassais le plan de travail d’un revers de main, portais mon amante et m’allongeais entièrement sur le bois sans me retirer d’elle. A califourchon sur moi, Enora s’empala lentement. Elle était si belle, si fragile ! Ses mains s’appuyaient de chaque côté de ma tête tandis que les miennes naviguaient entre ses cuisses, ses hanches, ses seins et ses joues : « Tu es magnifique ».

Son souffle lent était entrecoupé d’hoquètements et de râles mêlant plaisir et douleur. Quand le haut de son corps se pencha et que sa poitrine se colla à mon torse, mes mains massèrent son dos cambré et sa chute de reins. Elle accéléra la cadence en frottant son clitoris à mon pubis. Elle guettait les changements de mon corps : grimaces, respirations saccadées, tensions musculaires, mouvements incontrôlés du bassin. Elle apprenait vite et ne restait pas en reste ! Alors que l’orgasme se rapprochait à grand pas, un sentiment de peur et d’appréhension m’envahit. Je ne pouvais pas finir en elle, c’était bien trop risqué ! Enora accéléra le rythme : « Fais-moi jouir Baptiste ». Je ne pouvais la décevoir. Je serrais les dents et la copine de mon fils atteignit l’orgasme. Le chaton était devenu une chatte libre. Elle était sublime ! Je m’apprêtais à immobiliser son bassin et me retirer quand son regard ardent retomba sur moi et que ses mains emprisonnèrent les miennes au-dessus de ma tête.

Malgré la douleur, elle se déhanchait sur moi rapidement en geignant. Le message était clair, son envie était limpide : « Ejacule en moi ». Mon angoisse était dévorante, mon excitation à son paroxysme : « Enora… ». Je parvins à me libérer de ses emprises mais au lieu de me retirer et la repousser, j’emprisonnais mon amante dans mes bras, plantais mes doigts dans son dos et ses fesses, enfonçais mon sexe au plus profond du sien et explosais en elle en lui assénant des coups de reins éperdus : « Ah Enora ! ». Qu’avais-je fait ? Et si elle tombait enceinte ? Du haut de ses dix-sept ans, la jeune femme me souriait d’un air triomphant : « Hum, oui ! Ne t’en fais pas, je prends la pilule ». Mes poumons se remplirent d’air tandis que les dernières contractions de mon sexe finissaient de transférer mon sperme en elle. Je l’embrassais tendrement, caressais ses reins et ses cheveux puis répétais : « Tu me mets dans un pétrin sans nom Enora ». Nous échangeâmes un rire nerveux et amoureux.

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Commentaires de l'histoire :

Jenna
Super récit. J'adore
Posté le 13/08/2024

Anonyme
torride j'ai adoré
Posté le 16/07/2024


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