Benjamin épie sa belle-mère par la fenêtre quand celle-ci s'en rend compte et se débrouiller pour l'attirer chez elle. S'en suivent des explications timides et une issue inattendue.
Proposée le 12/07/2024 par Imagine69
Nous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Couple, passion
Personnages: FH
Lieu: A la maison, intime
Type: Roman
La serviette nouée autour de la taille, je jetais un coup par-delà la fenêtre de ma chambre qui donnait sur le jardin et la piscine des parents d’Enora. Celle par laquelle il m’était arrivé d’épier ma désormais petite copine lorsque nous n’étions pas encore en couple. Le soleil était déjà assez haut dans le ciel et l’air ambiant se réchauffait. C’était le dernier mardi de cours avant les grandes vacances et je devais commencer par deux heures d’Histoire. Je jetais un coup d’œil à ma montre, j’étais en retard. J’allais tourner les talons lorsqu’un mouvement attira mon regard. Dans le jardin d’à côté, je vis Elisabeth, la mère de ma copine, s’approcher de la piscine. Ses longs cheveux bruns étaient détachés. Elle portait un chemisier noir transparent sous lequel je distinguais un maillot deux-pièces sombre. Elisabeth était une entrepreneuse qui surfait sur la vague du Bio et du fait-maison. C’était une mère à la fois zen et un peu sauvage, avec du caractère. Elle savait ce qu’elle voulait et sa fille avait bien hérité de ça.
Il m’arrivait parfois – non, souvent – de fantasmer sur elle, sur comment elle devait être au lit avec Richard, son mari. Bien évidemment, je n’en avais jamais parlé à Enora mais je savais que je n’étais pas le seul parmi mes amis à la trouver attirante. Je la vis tremper son pied dans l’eau puis enlever son chemisier et descendre pas à pas dans la piscine. Je la trouvais vraiment belle pour une femme de quarante ans. Son maillot serré mettait en valeur sa petite poitrine. Obnubilé devant ce spectacle comme l’adolescent de dix-sept ans que j’étais, j’en oubliais mon retard. Elisabeth plongea sa tête sous l’eau puis barbota avant de ressortir. C’est là que je les vis toutes les deux : ses sublimes fesses entre lesquelles passait la ficelle de son maillot-string. Une vague de chaleur se répandit dans mon corp et mon érection fit tomber ma serviette. Il fallait que j’immortalise ça, ne serait-ce que pour le montrer à mes amis. Non, ça ne se faisait pas ! Alors pour moi ? C’était risqué, mais le jeu en valait la chandelle.
J’allais prendre le téléphone sur ma table de chevet puis revins à mon poste d’observation au moment où Elisabeth s’allongeait sur un transat. Inconsciemment, ma main commença à cajoler mon sexe dur. Elle avait des courbes divines, un dos creux, un fessier bombé. Je m’imaginais la rejoindre et déposer des baisers sur sa peau humide. Elle enfila ses lunettes de soleil puis regarda son téléphone en tournant un peu la tête sur la droite, à mon opposé. Je pris un premier cliché, puis un second en zoomant sur sa chute de reins : « Benjamin, tu vas être en retard au lycée ». Encore ma mère ! Je retournais mon visage vers la porte fermée de ma chambre : « Oui, j’arrive ». Je jetais un dernier coup d’œil au-delà de la vitre et je vis le visage souriant d’Elisabeth tourné vers moi. Je me cachais immédiatement. Mon cœur tambourinais dans ma cage thoracique. Quel imbécile ! M’avait-elle vu ? Certainement. Je pris une grande inspiration et réfléchissais un instant avant de me reprendre.
J’enfilais mon caleçon, mon jeans, un t-shirt et des chaussures puis prenais mon sac à dos, sortais de ma chambre et dévalais les escaliers : « Allô, oui Elisabeth ». Je m’arrêtais soudainement et tendais l’oreille : « Oui il est encore là pourquoi ? ». Mon sang ne fit qu’un tour : « Aucun problème, je lui dis ! ». Dans la cuisine, ma mère raccrocha le téléphone : « Benjamin ! Est-ce que tu peux passer chez Elisabeth en partant au lycée ? Elle a besoin d’aide pour attraper quelque chose. Richard et Enora ne sont pas là ». Dans quoi m’étais-je fourré ? Je passais mes mains sur mon visage, essayais de réfléchir : « Euh… d’accord mais… ». Ma mère apparut en bas des escaliers : « Allez vite, comme ça après tu files en classe ! ». Je finissais de descendre les escaliers, quittais la maison, descendais la pente jusqu’au portail puis sortais dans la rue. Elizabeth m’attendait déjà avec un regard aiguisé et un petit rictus. Ses cheveux humides tombaient sur ses épaules. Elle avait remis son chemisier par-dessus son maillot :
- Bonjour… Madame, balbutiais-je alors que je l’appelais d’habitude par son prénom.
Elle haussa un sourcil et pouffa en me faisant rougir de honte : « Suis-moi ». Je baissais les yeux et m’exécutais. En remontant la pente de leur côté, je ne pus m’empêcher de reluquer son déhancher et ses fesses sous le tissu transparent. Nous entrâmes dans la maison et elle me guida au salon :
- Vous… aviez besoin d’aide…, me hasardais-je d’une voix tremblotante.
- Assis-toi, ordonna Elisabeth d’une voix douce en me montrant le canapé.
J’inspirais et m’apprêtais à me faire remonter les bretelles en bonne et due forme. Je pris place sur le bord de l’assise et la quadragénaire me servit une tasse de café chaud dans un silence gênant. Elle s’installa à côté de moi en posant son coude sur le haut du dossier et ses genoux repliés sur le fauteuil.
- Tout se passe bien au lycée Benjamin ? me demanda-t-elle d’une voix douce et suave.
- Oui, j’ai un cours d’Histoire qui va commencer, assurais-je en espérant être rapidement libéré.
- Enora m’a dit que le professeur était absent. Elle va rester pour réviser avec sa copine. Tout se passe bien avec elle ? me questionna la quadragénaire en posant ses doigts sur mon épaule.
- Oui… tout se passe pour le mieux, confirmais-je en m’enfonçant dans le canapé.
- Est-ce qu’elle te comble ? demanda-t-elle franchement.
Je me retournais vers elle, pas certain d’avoir bien compris. Elle rigola, haussa un sourcil séducteur et baissa ses yeux vers mon pantalon. J’avais donc bien entendu !
- Oh… euh…, bégayais-je en sentant mes joues s’empourprer.
- Tu as raison, ça ne me regarde pas ! trancha-t-elle. J’espère juste que vous vous protégez…
- Oh, on ne l’a jamais fait encore…, avouais-je un peu trop rapidement.
- Ah bon ? reprit-elle avec une voix enjouée, voir moqueuse. Ça doit être frustrant, me taquina-t-elle en caressant ma joue. Est-ce que c’est pour ça que tu m’épiais en te masturbant ?
Une vague de chaleur se répandit en moi et mon cœur s’arrêta. Aucun mot ne pouvait s’échapper de mes lèvres. Je n’avais jamais ressenti pareille honte de ma vie.
- Ne sois pas timide, dit-elle en posant sa main sur la mienne. Est-ce que tu as eu le temps de finir ? Je suppose que non…, répondit-elle d’un air désolé.
J’étais au plus mal. Je ne parvenais pas à identifier d’issue à cette discussion. Ou voulait-elle en venir ? Que voulait-elle que je confesse ? M’en voulait-elle ? Comptait-elle le dire à mes parents ? Elizabeth s’agenouilla sur le canapé et se pencha vers mon oreille en susurrant : « Que dirais-tu de sortir ton sexe et de finir là, avec moi ? ». Je me retournais vers elle avec de grands yeux et elle mordilla sa lèvre.
- Elizabeth, c’est… déplacé ! répliquais-je fébrilement. Enfin, je suis le copain de votre fille et…
- Et se masturber en reluquant la mère de sa copine, ce n’est pas déplacé ? pouffa-t-elle en attrapant mon menton et me forçant à la regarder. Tu préfères que j’en parle à Enora ?
- C’est du chantage ! rétorquais-je en me libérant et en fuyant son regard.
- Et c’est du voyeurisme, s’esclaffa-t-elle en tirant sur ma ceinture. Montre-moi ! Je veux voir ! Tu me dois bien ça, non ?
- Je n’arriverais pas à bander, je suis stressé, assurais-je en repoussant ses mains baladeuses.
- D’accord, je me retourne, conclut-elle en haussant les épaules avec un regard pétillant.
J’avais l’impression d’être avec une adolescente intenable et en quête d’aventure. Elle se retourna sur ses genoux et mes yeux dévalèrent son dos creusé, ses fesses rondes et la ficelle de son maillot en elles. Elle avait un corps magnifique. Dans quoi m’étais-je embarqué ? Quelles étaient mes alternatives ? J’inspirais longuement puis défaisais mon pantalon, le baissais avec mon caleçon jusqu’à la moitié de mes cuisses et prenais mon sexe mou en main. Que dirait Enora si elle me voyait ainsi ? Je commençais à me masturber doucement en contemplant les courbes de sa mère et l’érection vint naturellement. J’avais envie d’approcher ma main de son corps, de glisser mes doigts entre ses cuisses pour lui donner du plaisir. Elle alors tourna sa tête par-dessus son épaule et capta mon regard. Je rougis immédiatement en stoppant tout mouvement. Elle se retourna et s’assit à côté de moi en reluquant mon sexe dur avec joie. J’allais protester et remettre mon pantalon, mais Elizabeth m’en dissuada :
- Continue, murmura-t-elle en se collant à moi et en passant un bras derrière ma nuque. Est-ce qu’Enora t’a déjà masturbé ?
- Euh…, hésitais-je en reprenant timidement mes mouvements, oui mais… j’ai eu un peu mal.
- Hum, elle doit apprendre c’est normal. Ce n’est pas facile pour une mère d’enseigner ça à sa fille mais je peux te donner des conseils à lui donner, proposa-t-elle avec un petit sourire.
Je ne voyais pas où elle voulait en venir. Elle posa sa main sur ma cuisse et plongea son regard sombre dans le mien : « Premièrement, ne pas se précipiter et établir le contact visuel ». Mon souffle se coupa et un frisson parcouru mon corps en sentant ses doigts remonter : « Deuxièmement, ne pas outrepasser les bourses ». Elle palpa délicatement mes testicules en se mordant la lèvre: « Elisabeth… qu’est-ce que… ». Son visage s’approcha du mien jusqu’à ce que je sente son souffle : « Laisse-toi faire… Troisièmement, découvrir et amadouer le mât avec délicatesse… même s’il est imposant ». Ses doigts chassèrent les miens et nos regards se reportèrent sur mon sexe qu’elle masturbait lascivement : « Bien décalotter le gland. Hum comme ça ». J’étais paralysé par la peur et en même temps terriblement excité par ses caresses : « Quatrièmement, lubrifier le sexe si on souhaite accélérer un peu ». Elle se pencha au-dessus de mon gland et fit couler un filet de salive qu’elle étala ensuite.
La cadence de sa main augmenta : « Ah, Elisabeth… ». Elle ralentit puis stoppa ses mouvements avant de poser un index sur mes lèvres en souriant malicieusement : « Cinquièmement… et que si on en a envie… ». Ses mots s’estompèrent. Elle posa sa tête sur mon torse, comme si elle voulait écouter mon rythme cardiaque. Mais là n’était pas son but. Quand sa tête descendit, une douce chaleur enroba mon gland. Je voulais gémir de plaisir mais aucun son ne sortait de ma gorge. Les doigts de la brune reprirent leurs lentes oscillations, ses lèvres gagnèrent du terrain et sa langue s’activa avec voluptuosité autour de mon sexe. Sa tête monta et s’abaissa avant de remonter à nouveau. Je n’en croyais pas mes yeux, la mère de ma copine était en train de m’offrir ma première fellation. Mes amis ne me croiraient pas si je leur racontais. De toute façon, je ne comptais pas le faire. Elle était si tendre, si sensuelle et c’était à la fois si intime et inattendu. Mes doigts caressèrent son épaule puis ses cheveux humides.
Pourquoi faisais-je cela ? Était-ce pour la remercier, l’encourager ou simplement l’aimer ? Sûrement des trois. Des gémissements et des bruits de succion et de bave s’échappèrent de sa bouche. A mon tour je soufflais de plaisir en sentant mon sexe se contracter en elle. Elle se redressa en souriant : « Est-ce que tu aimes ? ». J’opinais timidement, caressais sa joue, avançais mon visage vers le sien avant de m’arrêter. J’hésitais puis sautais le pas et déposais un baiser sur ses lèvres. Allais-je me prendre une gifle ? Même si elle ne s’attendait peut-être pas à ce geste, Elisabeth ne me réprima pas et nos langues se taquinèrent même un instant. Elle recula en haussant un sourcil séducteur : « Je vois que tu as appris les bonnes manières ». Elle s’agenouilla sur le canapé, ramena ses cheveux à l’opposé de mon corps et repris sa fellation en me laissant tout voir : ses coups de langue sur mon gland, ses lèvres tendues, ses joues tantôt creusées et tantôt gonflées. Elle était sublime !
Mes muscles se tendaient. J’étais plus excité que je ne voulais bien l’admettre. Mes doigts se perdirent dans ses cheveux sombres puis remontèrent le bas de son chemisier, massèrent son dos. Ils s’aventurèrent ensuite jusqu’à son string puis dépassèrent la ficelle pour découvrir ses fesses fermes. Etais-je vraiment en train de tripoter ma belle-mère ? Cette prise de conscience acheva de faire monter l’excitation en moi : « Elisabeth… je vais… je vais éjaculer ». La quadragénaire répondit par un simple « Hum… » et poursuivit. A quoi jouait-elle ? M’avait-elle bien entendu ? Je sentis mes bourses remonter, ma hampe se contracter et ses lèvres s’immobiliser. Je fronçais les sourcils, essayais de me retenir en serrant les dents et plantant mes doigts dans ses fesses puis cédais. Quand la première giclée de sperme fut expulsée, la tête d’Elisabeth reprit ses oscillations et mon bassin l’accompagna fébrilement. Je gémissais en sentant sa bouche se remplir puis en l’entendant déglutir.
J’avais l’impression de ne plus pouvoir ou vouloir m’arrêter. Quand mon orgasme prit fin, Elizabeth déglutit une dernière fois et l’excitation laissa place au malaise : je venais d’éjaculer dans la bouche de ma belle-mère qui avait avalé ma semence ! Quel petit copain je faisais ? Je coiffais nerveusement ses cheveux pendant qu’elle finissait de me suçait avant de se relever. Elle était si belle avec ses joues rosées et son regard inquiet : « Est-ce qu’on a fait une bêtise ? ». Je ne savais quoi répondre, j’étais ivre. Au diable le petit copain parfait ! Je posais une main sur sa joue et m’approchais pour l’embrasser et la réconforter. La quadragénaire eut un mouvement de recul : « Attend, je dois boire un verre d’eau… ». Elle se leva et s’enfuit dans la cuisine. Je me regardais, à moitié nu, face à mes propres questionnements. Je réfléchissais aux implications, aux conséquences puis fermais les yeux et inspirais profondément. Quand je rejoignais Elisabeth dans la cuisine, j’étais nu comme un ver.
Elle avait les mains écartées sur le lavabo, semblait en pleine crise existentielle. Son regard sombre se posa sur moi, me questionna puis me supplia de ne pas avancer vers elle, de ne pas la tenter. Mais je ne pouvais m’arrêter là ! Alors que j’arrivais sur elle, ses mains se retrouvèrent dans mes cheveux, ses lèvres se collèrent à ma bouche et sa langue retrouva la mienne dans une valse torride : « Benjamin… on ne peut pas… ». L’instant d’après, elle se retrouvait collée contre le réfrigérateur, les chevilles nouée sur mes reins et les fesses supportées par mes mains. Nous nous embrassâmes fougueusement. Mon sexe se frottait envieusement à son entrejambe : « Viens… on va dans la chambre ». Je l’embrassais à nouveau et la portais jusque dans la suite parentale. Nous nous agenouillâmes face à face sur le lit. Ses doigts retrouvèrent le chemin de ma hampe qui n’avait pas perdu de sa forme. Je retirais son chemisier, étreignais ses hanches et ses côtes puis enlevais le haut de son maillot.
Je pétrissais ses petits seins à l’aveugle puis reculais, les admirais et les suçotais à tour de rôle. Mon amante gémit fébrilement : « Oh Benjamin, on ne devrait pas… ». Je revins face à elle pour l’embrasser tout en massant ses reins : « C’est un peu tard, non ? J’ai envie de toi ! ». Mes doigts passèrent sous la ficelle de son string et contournèrent sa hanche pour venir vers son bas ventre. Elisabeth hésita un instant puis ses cuisses s’écartèrent et son bassin se releva de quelques centimètres. Ma main s’engouffra dans son maillot. Je découvrais son pubis épilé puis la fente chaude et mouillée de sa vulve. Le souffle de mon amante se coupa un instant avant de reprendre. Je progressais lentement pour ne pas faire de faux pas. Je m’étais déjà plié à l’exercice avec Enora mais je n’avais pas fait de miracle. Elisabeth reprit son rôle d’éducatrice et guida mon majeur au travers du tissu : « Ca, c’est mon clitoris, tu peux le stimuler doucement… Voilà, comme ça… Il gonfle avec l’excitation… Ah ! ».
Je m’exécutais religieusement en sentant son plaisir grandir: « Alors comme ça tu es excitée ? ». Elle sourit et mordilla ma lèvre : « On se demande pourquoi ! ». Je poursuivais mon œuvre pendant que la quadragénaire peinait à m’expliquer le faux débat entre l’orgasme clitoridien et vaginal : « En réalité, les femmes… peuvent aussi… être stimulée de l’intérieur… car le clitoris…». Elle était brûlante et je prenais plaisir à la mettre hors d’elle. Mon majeur et mon annulaire s’approchèrent de son orifice : « De l’intérieur tu dis ? ». Sans attendre de réponse, mes phalanges s’enfoncèrent dans son intimité trempée. Elisabeth gémit et se redressa un peu plus : « Oui ! » . Je la doigtais soigneusement en l’embrassant et la sentant faiblir. Elle était terriblement excitante ! Mes doigts se retirèrent ensuite et défirent les nœuds de son maillot-string qui tomba : « J’ai envie de te gouter ». Elle sourit puis m’allongea sur le lit et se positionna nue à califourchon sur moi pour m’embrasser : « Tu es sûr ? ».
Plutôt que de répondre, je saisissais ses hanches et glissais entre ses jambes fines et écartées. L’instant d’après, je me retrouvais face à son intimité imberbe et fine. Je contemplais un instant sa vulve et son pubis puis ma langue plongea dans la fente mouillée et remonta envieusement jusqu’à son clitoris : « Ton sexe est magnifique ! ». Mon amante lâcha un soupir de plaisir puis passa une main dans mes cheveux. Je renouvelais mon coup de langue puis m’arrêtais sur son clitoris pour le dorloter. En parallèle, mes mains remontèrent son corp jusqu’à ses seins que je pétrissais virilement. Je prenais le temps d’embrasser, suçoter, pénétrer et taquiner son sexe du bout de la langue. J’avalais le fruit de son excitation sans sourciller et pinçais doucement ses tétons durs : « Oh Benjamin ! Tu es sûr que je suis la première à qui tu fais un cunnilingus ? ». Je plissais les paupières, ravi du compliment qu’elle me faisait, et redoublais d’intensité dans mes mouvements en sentant son bassin onduler sur moi.
Elisabeth se laissa lentement tomber en arrière sur mon ventre et sa main releva mon sexe dur. L’instant d’après, elle inclina sa tête sur le côté et enfonça mon gland à l’intérieur de sa joue. Elle me suça fébrilement avant que l’intensité de mes coups de langue ne la pousse à se redresser : « Hum, tu m’excites Benjamin ». Je redoublais d’effort sous le regard de la quadragénaire dont le bassin s’activait de plus en plus pour rechercher mes caresses. Son intimité se lubrifia davantage et j’avalais sa cyprine avec envie. Elisabeth tenta de se retirer en grimaçant. Je la fis basculer sur le côté, posais une main sur sa poitrine pour la maintenir plaquée au lit et dévorais assidument son clitoris en maintenant ses cuisses écartées : « Oh Benjamin… ». Ses muscles commencèrent à se tendre, son corps à convulser. Alors qu’elle allait atteindre l’orgasme, je me relevais au-dessus d’elle, enserrais doucement sa gorge et masturbais rapidement son clitoris de ma main libre : « Oh mon Dieu ! ».
Une nouvelle grimace déforma ses traits, son bassin se souleva et son sexe expulsa un liquide transparent sur le lit. Elle était tellement belle, tellement excitante ! Le reste, se fit naturellement, par envie, par besoin. Mon bassin se rapprocha du sien, mon gland s’insinua entre ses lèvres puis s’enfonça au plus profond de ses entrailles : « Oh oui ! ». La douceur et l’humidité de son vagin enveloppèrent agréablement mon membre qui entamait déjà des vas et viens soutenus. Je m’installais sur mon amante et l’embrassais tendrement tout en lui assénant des coups de reins vigoureux : « Tu es fou Benjamin… ». Elle ne disait visiblement pas ça dans le mauvais sens du terme. Ses cris se succédèrent, ses ongles se plantèrent dans mon dos : « Oh, qu’est-ce que tu me fais ? ». Sa bouche s’ouvrait tandis que mon pubis frappait son clitoris. Je collais mon corps au sien, malaxais son sein droit puis agrippais le dessous de sa cuisse en remontant son genou sur ma hanche : « Je veux que tu jouisses ».
Son souffle se perdait dans ma bouche à mesure que je la pénétrais avec intensité : « Continue ! Continue ! Con…». Elle atteignit un nouvel orgasme sans que je ne m’arrête. Nos lèvres et nos langues se taquinèrent fébrilement puis je me relevais et me retirais soudainement de son intimité pour admirer son corp nu tout en me masturbant envieusement : « Tu es magnifique Elisabeth ! ». La belle brune me regarda en massant ses seins et son intimité brûlante : « Je n’avais pas jouis comme ça depuis longtemps… J’ai bien fait d’enfiler ce petit maillot ce matin ». Je la regardais entre sidération et séduction : « C’était ton plan depuis le début ? Attirer le copain de ta fille pour te le faire ? ». Elle se redressa face à moi et malaxa envieusement mes bourses devant elle : « Il n’avait cas pas m’attirer autant ! Je pensais que mon plan était clair à partir du moment ou je t’ai sucé… ». Elle sourit puis se pencha un peu plus et lécha mon gland : « Est-ce que c’était une mauvaise idée ? ».
En guise de réponse, je rassemblais ses cheveux humides à l’arrière de sa tête et enfonçais doucement mon sexe dans sa bouche. Elisabeth sembla enchantée par cette prise d’initiative. Elle me suça méticuleusement pendant que je me masturbais puis s’installa sur ses genoux, posa ses mains sur mes cuisses et entama des vas et viens plus amples. Je penchais le haut de mon corps vers l’arrière et suivais ses mouvements avec mes reins et ma main derrière sa tête. Progressivement, les bruits de glotte s’accentuèrent sans qu’elle ne faiblisse. Elle se releva finalement pour respirer et m’embrasser : « J’adore ton sexe, ton corps, ta virilité, ta fougue, ton impatience… ». Elle passa une main derrière ma tête et m’emmena avec elle dans sa lente chute sur le matelas. Elle se faufile entre mes genoux, se retourna et s’allongea sur le ventre en souriant. Mes yeux contemplèrent son dos creusé et ses fesses bombées vers mon bassin. Lentement, je guidais mon sexe entre ses cuisses serrées pour la pénétrer.
Elisabeth grimaça en souriant et se mordant la lèvre : « Mauvais endroit ». Je rougissais de honte et me retirais rapidement pour la pénétrer un cran plus bas : « Désolé ». La quadragénaire rigola : « J’attends de meilleures excuses ». Ses fesses remontèrent jusqu’à mon bassin et mon sexe s’enfonça dans son vagin. D’un coup de rein vigoureux je la replaquais au matelas et entamais des vas et viens sauvages. J’adorais percuter ses jolies fesses tendues, entendre ses cris de plaisir et d’encouragement à moitié étouffés par la couverture. Sentant l’orgasme approcher, je passais une main sous son cou et remontais son visage vers le mien en arquant un peu plus son dos. J’embrassais ses lèvres à l’envers puis plantais mon regard fiévreux dans le sien : « Je vais… ». Incapable de finir ma phrase, j’atteignais l’orgasme en elle et finissais là ou ma copine avait grandit pendant les neuf premiers mois de sa vie. Et je ne le regrettais pas.
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