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Une histoire de voisinage: Chapitre 6 - Visite pas si impromptue

Baptiste sent son coeur chavirer pour Enora, la copine de son fils. Bien qu'il soit toujours amoureux de sa femme et qu'il souhaite tourner la page de sa première expérience extraconjugale, Enora en a décidé autrement.

Proposée le 14/08/2024 par Imagine69

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Thème: Couple, passion
Personnages: FH
Lieu: Bureau, travail
Type: Roman


Après nos ébats, une vague de remord m’accabla. Enora la perçut et se retira pour me laisser me relever. Voyant son regard désorienté je décidais de me lancer dans un exercice d’équilibriste : entre distanciation et réconfort. Je m’emparais de mouchoirs et les tendais à la copine de mon fils, assise sur le bord du bureau. Elle était si mignonne, si fragile. Je ne pouvais pas faire le gougeât : « Attends je t’aide ». J’écartais l’une de ses cuisses et épongeais ma semence qui s’échappait de son sexe. Je n’en revenais pas d’avoir dépucelé ma si jolie belle-fille, de nettoyer ma propre semence entre ses lèvres vaginales si pures et innocentes. Enora me contempla à l’œuvre et mon érection revint malgré moi. Nos regards se croisèrent et je ne pus m’empêcher de l’embrasser avec tendresse. Quel piètre équilibriste je faisais ! La main de la jeune femme agrippa doucement mon sexe redevenu dur puis l’enfonça un peu en elle. Elle me rendait fou mais je ne pouvais pas sombrer à nouveau : « Enora… ».

Elle me fit taire du regard : « Ne t’en fais pas Baptiste, je voulais juste te sentir une dernière fois en moi. Merci pour tout, ça n’aurait pas pu être mieux ». Nous échangeâmes un sourire complice. Plutôt que de m’enfuir, j’enfonçais un peu plus mon mât en elle. Elle gémit fébrilement et sourit. Elle savait pertinemment que j’avais encore envie d’elle. A contre cœur, mon bassin finit par reculer et mon sexe, par se retirer. Je contemplais une dernière fois son corp sublime puis allais chercher les sous-vêtements qu’elle avait dérobé : « Attends-moi là ». Je réajustais mes habits puis sortais de la pièce pour aller régler les articles à la caisse. Je revenais à l’intérieur de mon bureau. Enora avait remis sa jolie robe rouge. Je lui donnais le soutien-gorge puis m’agenouillais pour lui enfiler son string : « C’est un cadeau… et un très joli choix ». Je me relevais, hésitais à lui faire la bise. La jeune femme prit les devants et déposa un baiser sur mes lèvres : « Merci Baptiste ». Elle quitta les lieux.

Je restais un instant seul puis, sentant la vague de remords revenir à grande vitesse, décidais de rentrer chez moi. Je posais mes affaires à l’entrée et retrouvais ma femme dans la salle de bain. Mon regard contempla son corps nu sous l’eau. Comment avais-je pu la tromper ? Je me déshabillais et la rejoignais en l’enlaçant par surprise : « Baptiste, t’es bête tu m’as fait peur ». Je palpais son sein doucement : « Tu pensais que c’était quelqu’un d’autre ? ». Elle se retourna et colla son bassin à mon sexe dur : « Je pensais que tu étais au surf et que c’était un étranger, prêt à me pénétrer avec son sexe en érection ». Je l’agrippais par les cuisses et la portais contre le mur : « Tu te serais débattue ? ». Elle rigola malicieusement puis enfonça mon sexe en elle. Je lui fis l’amour contre le mur avant que la voix de notre fils ne résonne à l’extérieur de la salle de bain : « Maman, Papa, vous êtes là ? ». Je me retirais, répondais et sortais de la douche pour me sécher et me rhabiller, quelque peu frustré.

Le reste de la soirée fut un enfer. Croiser le regard de mon fils était une torture psychologique. Quel père ferait cela à son fils ? Je l’avais trahi. Et ma femme aussi. A la fin du diner, Joséphine me fixa d’un air soucieux : « Tu es livide chéri, tu devrais aller te coucher ». J’opinais du chef et les laissais débarrasser la table tandis que j’allais m’enfoncer sous la couverture de mon lit. Les images de la journée me revinrent et une érection naquit dans mon caleçon. Je revoyais les grimaces fébriles d’Enora. Ma femme me rejoignit une heure plus tard. Elle se blottit contre moi, posa sa main sur mon front pour voir si j’avais de la fièvre puis descendit vers mon sexe : « Joséphine, je… ». Elle m’intima le silence : « Tu ne pourras pas t’endormir avec autant de vigueur ». Elle disparut sous la couette et je sentis mon sous-vêtement glisser sous mes fesses avant que la douceur de sa bouche n’englobe mon membre dur. Ca faisait longtemps qu’elle ne m’avait pas fait de fellation.

Plus jeunes, nous étions sexuellement insatiables, aventureux et dévergondés. Puis le temps avait fait son œuvre et la créativité avait laissé place à la routine. Je contemplais la couverture monter et descendre, écoutais les bruits de succions qui s’échappaient des profondeurs du lit et revoyais mon sexe entre les lèvres de ma belle-fille : « Joséphine… ». Ma femme accentua ses mouvements et eut raison de moi. Je jouissais honteusement en elle et l’entendais déglutir. Elle me rhabilla et réapparut avec un sourire aux lèvres : « Je me disais que ça faisait longtemps que je n’avais pas sentis mon homme éjaculer dans ma bouche. Ça te plait toujours autant ? ». J’acquiesçais en contemplant son air obscène que j’adorais tant : « Par contre, tu me fais toujours bander ». Elle leva un sourcil intéressé avant que je la retourne sur le lit, enlève son bas et la pénètre virilement. Cette fois-ci, plus d’image d’Enora. Seule ma femme comptait !

Nous fîmes l’amour avec la fougue de nos vingt-ans et Joséphine atteignit l’orgasme par deux fois. Ereintés, nous nous rallongeâmes côte à côte et échangeâmes un rire complice avant de nous endormir nus sous les draps. Le lendemain, je me sentais plus amoureux et frivole que jamais. Avant de partir au travail, j’étreignais ma femme par derrière et l’embrassais dans la nuque. Elle portait un pantalon de yoga qui moulait parfaitement son fessier ainsi qu’un crop top sous lequel ses seins étaient nus : « Tu cherches à séduire tes clients ainsi ? ». Elle sourit en collant ses rondeurs à mon sexe : « Business is business… ça te donne des envies ? ». Je pressais un peu plus mon bassin contre elle : « Je me disais que ça fait longtemps que… ». Elle attendait la fin de ma phrase en sachant pertinemment à quoi je pensais : «… je ne t’ai pas prise par derrière ». Elle rigola avant de murmurer : « J’ai connu un homme qui passait à l’acte plutôt que d’en rester aux mots ». Nous échangeâmes un sourire.

Joséphine m’avait proposé cette nouvelle expérience le soir de notre mariage et nous n’avions pas mis longtemps avant d’atteindre l’orgasme. Par la suite, nous avions longuement exploré les plaisirs de cette pratique avant de l’abandonner peu à peu au fil des années. Nous nous embrassâmes passionnément avant d’être interrompus par un appel d’Elisabeth, la voisine. J’espérais qu’elle n’avait pas découvert ce que j’avais fait à sa fille chérie : « J’y vais, bonne journée mon amour ». Je partais au travail et passais une journée plutôt légère et joviale. Sur les coups de midi, mon portable vibra. Enora venait de m’envoyer un message, ou plutôt une photographie d’elle, dans les toilettes du lycée. Le t-shirt remonté et le pantalon baissé, elle arborait la lingerie que je lui avait offerte la veille. Mon rythme cardiaque s’emballa et une seconde image apparut. Cette fois-ci, son string était baissé et sa main était postée entre ses cuisses. Je déglutissais difficilement, à la fois énervé et très excité par ces clichés.

Mes doigts pianotèrent : « Enora, tu ne peux pas m’envoyer des photos comme ça ». Un instant plus tard, elle répondit : « Désolé, mauvais numéro ». Comme si je la croyais ! Quel était son but ? Me chauffer gratuitement ? J’enregistrais les clichés sur mon ordinateur et effaçais les messages. J’essayais ensuite de me remettre au travail, sans grande réussite. Le soir, je découvrais avec soulagement que Benjamin n’était pas en train de réviser chez nous avec sa copine. Il rentra tard, tout comme Joséphine qui semblait épuisée. Je leur préparais un bon diner et débarrassais la table. Nous regardâmes un peu la télévision avant d’aller nous coucher. Ma femme se blottit contre moi et s’endormit en moins de temps qu’il en fallait pour le dire. Nous n’allions pas réitérer l’exploit de la veille ce soir. Dommage ! Le lendemain, je me préparais, la réveillais avec un baiser tendre puis partais au travail. Après ma ronde matinale, j’allais me réfugier dans mon bureau pour traiter mes emails.

Une heure plus tard, je repartais faire un tour dans le magasin et tombais sur deux employés qui discutaient en rigolant : « Vous allez bien messieurs ? ». L’un deux me regarda avec des yeux écarquillés : « Chef, vous n’allez pas croire le canon qui vient de passer au rayon lingerie… ». Il me décrivit une jeune femme en tout point similaire à Enora. Je n’en revenais pas ! Sans poser de question, je retournais vers mon bureau dans l’espoir de ne pas la croiser. Je rentrais dans la pièce en regardant derrière moi puis tournais la clé. En me retournant, je tombais des nus. Elle était là, posée contre mon bureau, un sourire aux lèvres et un imperméable fermé sur son corps. Je fronçais les sourcils en m’avançant vers elle : « Enora, tu ne devrais… ». Elle ouvrit son manteau et le fit glisser à terre. Je m’arrêtais, subjugué par ce que je voyais : « Bonjour Baptiste ».

Elle portait un soutien-gorge noir en dentelle dont les bretelles remontaient vers un collier serré autour de son cou. Son bassin était emprisonné dans un porte-jarretelle assorti à ses bas noirs. Aucun sous-vêtement ne protégeait son intimité et son pubis imberbe attira mon regard comme un aimant. Je m’avançais vers elle : « Enora, on ne peut pas recommencer… j’aime ma femme… ». Elle saisit délicatement ma main et la glissa entre ses cuisses. Son sexe était chaud et humide. Je ne lutais pas : « Je sais Baptiste … ». Mon cœur battait la chamade, mes doigts caressaient machinalement son clitoris. Elle était si belle, si séduisante. Je voulais la voir gémir et jouir à nouveau. Mon regard plongea dans le sien : « Ou veux-tu en venir Enora ? ». Elle hésita un instant : « Je veux que tu me prennes, comme une femme… ». Mes lèvres se collèrent aux siennes, nos langues se retrouvèrent et mon majeur s’enfonça en elle. J’avais envie d’elle, terriblement envie d’elle. Qu’elle piètre marie je faisait !

Nous nous embrassâmes passionnément et ses doigts défirent ma chemise avant de palper la bosse dans mon pantalon : « J’ai envie de te sucer… ». Je repoussais sa main, la retournais et la penchais sur le bureau : « Non, tu te laisses faire ». Enora semblait apprécier la situation. Je maintenais une main lourde sur son dos et caressais son clitoris de l’autre. J’enfonçais ensuite deux doigts dans son intimité brulante et trempée. Elle gémit de plaisir tandis que je la masturbais en bonne et due forme. Je focalisais ensuite mon attention sur son entrejambe, écartais l’une de ses fesses, reluquais son œillet serré puis le trou plus large de son intimité que mes doigts venaient de quitter. Je m’accroupissais et les remplaçais par ma langue : « J’adore te lécher ». Elle râla fébrilement de plaisir. Ma langue s’activait et mes mains pétrissaient ses fesses fermes et bombées. Quelques minutes plus tard, je me relevais et ouvrais mon pantalon en sortant mon sexe droit : « Alors comme ça tu voulais que je te prenne ? ».

Elle eut à peine le temps d’hocher la tête que déjà mon membre s’enfonçait en elle. Mon bassin se pressa contre ses fesses : « Oui ! ». J’étreignais ses hanches et lui assénais des coups de reins lents mais puissants : « Tu m’as manqué Enora ». Elle s’empala sensuellement sur moi : « Toi aussi Baptiste ». Mes mains remontèrent jusqu’à ses épaules et mes mouvements s’amplifièrent. Que me prenait-il ? Sauter une jeune femme de la sorte, ce n’était pas moi. Quoi que, à bien y réfléchir, Joséphine et moi avions, pendant des années, eu des parties de jambes en l’air endiablées. Voulais-je retrouver cette fougue aujourd’hui avec la copine de mon fils ? Peut-être bien. Je ralentissais la cadence, passais une main sous la gorge de mon amante et la relevais un peu vers moi : « Tu veux que j’y aille plus doucement ? ». Elle me lorgna par-dessus son épaule : « Surtout pas ». Je saisissais ses avant-bras et les ramenais vers son dos cambré. Mon bassin relança ses attaques contre ses fesses fermes.

Sentant l’orgasme arriver, je m’arrêtais en elle et la redressais contre moi. Nous nous embrassâmes fébrilement et mon majeur se fraya un passage jusqu’à son clitoris. Je le malaxais rapidement et Enora posa un genou sur le bureau puis un second, en les écartant largement : « Tu vas me faire jouir ». Je poursuivais mes caresses, lui assénais de petits coups de reins puis plaquais ma main sur sa bouche au moment où elle atteignait l’orgasme : « Oui, oui ! Fais-moi… ». Des spasmes parcoururent son corps et les muscles de son sexe se contractèrent à mesure que sa cyprine s’évacuait. Elle râlait mais les bruits s’étouffèrent contre mes doigts. Je restais un moment en elle, à savourer son plaisir puis la poussais en avant, à quatre pattes sur le bureau. Je contemplais son beau petit cul à moitié couvert pas son porte-jarretelle, ainsi que ses lèvres rosées et luisantes. Je les léchais et les suçotais en attendant que mon excitation retombe un peu. Enora aussi retrouvait ses esprits et je sentais que mes coups de langue lui faisaient du bien : « Alors comme ça tu t’es trompée de numéro hier ? ».

Elle gloussa : « Oui, je suis vraiment désolée de t’avoir infligé ça… ». Je pris mon téléphone et immortalisais la scène, sa position, son entrejambe trempé : « C’est pour compléter la série que tu m’as fait commencer ». Enora jouait le jeu en creusant son dos, écartant un peu plus ses genoux et glissant deux doigts dans son vagin : « J’espère que tu ne te masturberas pas sans moi ». Je finissais de me déshabiller puis contournais le bureau pour m’accroupir face à elle et l’embrasser : « Je vais essayer de me retenir ! Tu as des fesses magnifiques, parfaites pour la levrette ». Je serrais les dents en me rendant compte de la façon dont je lui parlais. Enora aussi parut surprise mais elle rebondit : « Ca me va comme compliment… Et ma bouche ? Elle est parfaite pour quelque chose en particulier ? ». Quelle allumeuse ! Je passais mon pousse sur sa lèvre inférieure : « Hum, voyons voir ça. Ouvre. ». Elle s’exécuta docilement, toujours à quatre pattes sur le bureau.

Je fis mine d’hésiter puis me relevais et me masturbais face à son visage. J’enfonçais mon pouce dans sa bouche et elle le suça en gémissant. Je la trouvais terriblement excitante ! Mon doigt se retira : « Tu ne veux pas te branler avec mes lèvres ? ». Avait-elle vraiment dit ça ? L’instant d’après, j’enfonçais mon sexe dans sa bouche. Je ramenais ses cheveux en arrière et entamais des vas et viens calmes mais résolus : « C’est vrai que c’est mieux, ta bouche est parfaite ». Je ne me reconnaissais plus mais poursuivais tout de même ma valse en écoutant ses gémissements fébriles et sa bave tourner autour de mon membre. Je poussais mon gland contre sa glotte. Enora se laissa faire. Un filet de bave coula sur son menton. Je prenais un autre cliché puis me retirais lentement : « Ça te plait de me photographier en train de pénétrer ma bouche ? ». J’opinais sans rougir et elle poursuivit : « Assis-toi ». Je pris la chaise qu’elle me montrait du regard et la positionnais devant elle avant de m’assoir.

En attendant, Enora avait attaché ses cheveux. Son regard était incandescent. Elle rapprocha ses genoux du bord du bureau puis se pencha en avant en récupérant mon sexe avec ses lèvres. Je gémis de plaisir en voyant sa tête monter et descendre, en contemplant ses fesses, plus haute que le reste de son corps, pointer vers le plafond. Je caressais ses cheveux et son dos creusé. Elle en avait de la créativité, de la sensualité. Je sentais la bave couler sur ma hampe et mes bourses avec la gravité. Enora s’attelait religieusement à la tache et gagnait même du terrain. Un peu plus et elle me prenait dans sa gorge. Cette idée m’excita et l’orgasme pointa le bout de son nez : « Tu vas me faire jouir ». Elle poursuivit un instant puis se releva en souriant, fière d’elle : « Hum, je ne savais que ma bouche te faisait tant de bien ». Je l’embrassais passionnément puis l’invitais à venir sur moi. Elle descendit du bureau et se positionna à califourchon au-dessus de mon bassin.

Sans attendre, elle s’empala sur mon sexe et me chevaucha en jouant sur ses genoux et ses hanches. Je défaisais son soutien-gorge, puis contemplais, massais et suçotais ses seins. La jeune femme gémissait en adaptant son rythme à ses envies. Elle colla son bassin au mien et frotta son clitoris à mon pubis. J’étreignais ses hanches pour mieux ressentir ses mouvements. Je sentais le désir monter en elle, ses muscles se contracter et sa respiration s’emballer : « Mademoiselle, aurait-elle envie de jouir ? ». Elle mordilla fiévreusement ma lèvre inférieure : « Elle aimerait bien sentir Monsieur jouir en elle aussi ». Je ne répondais que par un haussement de sourcil. L’une de mes mains remonta vers sa queue de cheval pour l’attraper tandis que l’autre glissa entre ses cuisses. Mon majeur et mon index massèrent ses lèvres écartées par mon sexe avant que le premier ne revienne s’allonger au-dessus de son anus en y appliquant une pression constante : « Est-ce que mon doigt te dérange ? ».

Elle ne répondit pas mais ses ondulations s’intensifièrent et son souffle s’amplifia. Son corps tressaillit : « Qu’est-ce que tu me fais ? ». Une phalange força un peu plus son sphincter et elle atteignit l’orgasme en me faisant jouir par la même occasion. Nos râles se mêlèrent dans un concert torride, mon sperme se répandit en elle, ses lèvres se plaquèrent aux miennes. Elle se blottit contre moi et mes deux bras étreignirent son dos creusé. Son bassin décéléra peu à peu jusqu’à s’immobiliser. Nous échangeâmes des caresses et des baisers puis sa main vint cajoler mes bourses derrière elle : « Tu me fais tellement de bien ». Elle aussi me faisait du bien. Tant et si bien que j’avais du mal à débander. Elle se retira lentement, écarta mes cuisses puis se retourna et s’installa sur moi à l’envers, mon sexe entre ses cuisses. Sa tête se posa sur mon épaule. Elle reprenait ses esprits. Mes mains caressèrent sa poitrine ferme qui montait et descendait : « Je te donnes des mouchoirs ? ».

Elle sourit puis guida mes doigts entre ses cuisses, contre son intimité ruisselante de mouille et de sperme : « Pour essuyer tes méfaits ? Moi j’aime en être imprégnée ». Elle accompagna mes caresses qui étalèrent ma semence dans la fente de son intimité. Elle essuya ensuite mes phalanges à ses lèvres, les lécha et les suça. Plus bas, elle colla ma hampe à sa vulve en la lubrifiant avec le fruit de nos orgasmes : « Pas très catholique ! ». Elle sourit avec malice : « De gouter ton sperme ou de cajoler ta queue dure avec ma petite chatte trempée ? ». Cette fois-ci s’en était trop ! Je la poussais en avant vers le bureau et elle agrippa le rebord en levant son bassin. J’eus à peine le temps d’orienter mon gland vers son antre que déjà ses fesses rondes se baissaient pour se blottir au plus près de mon corps : « Ah Enora ! ». La jeune fille sage et timide n’existait plus. J’étreignais ses hanches oscillantes et l’encourageais à s’empaler sur moi : « Tu aimes la vue ? ». Oh oui, je l’adorais !

Elle était à la fois sensuelle et torride, envoutante et excitante. Au bout de quelques instants, je nous poussais au milieu de la pièce et invitais mon amante à se positionner à quatre pattes sur le sol. Elle s’exécuta en mordillant sa lèvre et je l’accompagnais. Les mains posées sur la chaise derrière moi, je baissais mon bassin en l’alignant avec le sien. Ils se synchronisèrent instantanément dans un mélange de pulsion et de concupiscence. Enora me lança un regard de biche par-dessus son épaule : « Elles te plaisent mes fesses à levrette ? ». Je lui assénais un coup de reins virile : « Enormément ». Elle baissa un peu plus le haut de son corps en posant ses coudes parterre et creusant son dos. Son corps svelte et luisant était splendide. J’avais de la chance de pouvoir en profiter ainsi. Beaucoup d’adolescents devaient m’envier, à commencer par mon fils. S’il nous voyait ainsi ! Je chassais cette idée de mon esprit et admirais mon sexe coulisser dans l’intimité de sa copine. Elle allait encore me faire jouir !

Je délaissais la chaise pour me positionner au-dessus d’elle, tel un étalon montant sa jument. Mon bassin s’abattait sur ses fesses avec plus d’amplitude et de détermination. Ses cris montaient à nouveau : « Masturbe-toi ». Elle s’exécuta et je sentis ses doigts malaxer son clitoris à proximité de son orifice. Je passais une main sous son cou et redressais le haut de son corps à l’horizontal. De ma main libre, je saisissais son bras d’appui au sol et le collais dans son dos arqué. Enora était à mon entière merci, rattachée à la moquette que par ses genoux écartés. Je trouvais notre équilibre et entamais des pénétrations franches et vigoureuses. Ses complaintes montaient et mes grognements s’enchainaient. Nos corps étaient luisants de transpiration. Mon bas ventre glissait contre ses fesses. L’orgasme me frappa en premier et je ne pus retenir mes coups de reins. J’éjaculais dans l’intimité de ma belle-fille tout en frappant virilement son postérieur. Elle atteignit un semi-orgasme qui finit de l’achever.

Je relâchais mon emprise sur elle, mon cœur tambourinait dans ma poitrine. La jeune femme allongea ses bras devant elle et posa sa joue sur la moquette. Bien qu’éreinté, son corps continuait de faire des vas et viens lascifs : « Tu es insatiable ! ». Enora ne répondit pas, elle reprenait ses esprits. Je me retirais délicatement d’elle et m’asseyais sur la chaise. Mes bourses tiraient mais mon érection était toujours intacte. Je contemplais mon amante, son entrejambe et mon nectar qui s’échappait de son orifice. Reprenant mon souffle, je saisis mon portable et prenais une photographie : « Tu me l’enverras ? ». Enora se redressa et me regarda par-dessus son épaule. J’opinais du chef puis passais mon pouce dans la fente de sa vulve, étalais mon sperme sur son clitoris, ses lèvres puis son anus. Elle me regarda faire sans rechigner puis se retourna vers moi, entre mes jambes. Elle posa son visage contre ma cuisse et me laissa caresser sa joue : « Est-ce que tu es satisfaite de ta deuxième expérience ? ».

Elle souffla en souriant : « Je crois que tu connais déjà la réponse… Est-ce qu’on peut dire « Jamais deux sans trois ? ». Sans hésitation, j’acquiesçais. Je m’enfonçais dans une relation qui n’avait pas lieu d’être, et je le faisais le cœur léger, avec une femme qui aurait pu être ma fille. Elle enroula ses doigts à la base de mon sexe : « Tu permets que je te nettoie ? ». Sans attendre ma réponse, elle enfonça mon mât souillé dans sa bouche. Je grimaçais en ayant un léger mouvement de recule : « Je suis juste un peu sensible après… ». Elle hocha la tête puis me suça consciencieusement jusqu’à ce que mon sexe soit propre. Nous échangeâmes un regard tendre puis nous relevâmes pour nous embrasser et nous rhabiller : « Ne reste pas trop longtemps dehors avec ton imperméable, on ne sait jamais ». Enora sourit : « Si c’est pour que tu réapparaisses et me refasses la même chose, je pense que je le garderai à vie ». Elle m’embrassa tandis que mon cœur peinait à redémarrer. Avait-elle dit : « A vie ? ».

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