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Une histoire de voisinage: Chapitre 3 - Orgasme à la salle de sport

Joséphine et Richard n'en peuvent plus de se tourner autour. Aujourd'hui semble être un jour idéal pour sauter le pas et un colis va leur permettre de libérer leurs pleins potentiels

Proposée le 12/07/2024 par Imagine69

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Thème: Couple, passion
Personnages: FH
Lieu: Sauna, club, sexe shop
Type: Roman


Je fléchissais les genoux, maintenais mon dos arqué, bombais mes fesses plus que nécessaire puis me redressais en gémissant. Derrière moi, Richard soulevait des haltères. Nous étions seuls dans la salle de sport. Un an après mon arrivée dans le sud-ouest de la France avec Baptiste, mon mari, et Benjamin, mon fils, j’avais décidé de reprendre le centre sportif délabré du village. Avec l’aide de Richard, notre voisin, et de son jeune et virile acolyte Rémy, nous avions rénové l’établissement. Le court de tennis était comme neuf, le bar était rutilant, la salle de sport était bien équipée et la salle de massage avait sa table, sa décoration apaisante et sa sonorisation dernier cri. La piscine était encore en travaux, mais avec un peu de chance, elle serait fin prête d’ici un mois. Pendant que mon mari travaillait comme patron de supermarché, je m’occupais du centre. Il est vrai que les clients ne courraient pas les rues, mais le retour sur investissement commençait à se faire.

Quand il ne partait pas plonger, Richard passait du temps ici. Il m’aidait avec la maintenance du lieu, peaufinait sa musculature de quadragénaire et… me draguait. Lorsque j’étais seule, j’avais l’habitude de m’isoler dans mon « centre de commandement ». De là, je pouvais voir si quelqu’un arrivait. De là, je pouvais regarder toutes les vidéos érotiques que je voulais. De là, je pouvais m’adonner à mes plaisirs solitaires sans que personne ne me dérange. Je me souvenais encore de ma première masturbation dans le bureau. Timide et prudente, j’avais fermé la porte à double tour, m’étais assise sur ma chaise de travail, avais ouvert mon pantalon et avais glissé ma main dedans. J’avais toujours eu une libido débordante, que mon mari avait comblé de longues années avant que notre fils Benjamin ne vienne au monde. Puis les choses s’étaient tassées, notre couple s’était assagi et les masturbations secrètes ne se comptaient plus. C’était mon addiction à moi, que personne ne soupçonnait.

Parfois, il m’arrivait de me laisser aller plusieurs fois dans une seule et même journée. Je gardais toujours des habits de rechange, au cas où les miens ne soient trop imprégnés de mon excitation pour être portés. Après deux ans à la tête de l’établissement, j’avais commencé à m’aventurer vers les gadgets que je gardais jalousement dans un carton, au fond d’une armoire. Godmichés, vibromasseurs, plugs - tout y passait. Depuis la naissance de Benjamin, Baptiste et moi n’avions plus pratiqué la sodomie. La sensation me manquait mais j’avais trouvé des alternatives et réappris à aimer ça. Pour en revenir à Richard, je voyais dans son regard qu’il appréciait mes courbes et ma flexibilité. Sa femme Elisabeth était vraiment gentille et séduisante. Je l’imaginais très active sexuellement parlant. Les deux à vrai dire. Plusieurs fois, je les avais imaginé faire l’amour. Qui ne s’imagine pas ça de ses amis et de ses voisins ? Et puis progressivement, j’avais remplacé ma voisine par moi.

Les masturbations pendant lesquelles je pensais à Richard ne duraient pas bien longtemps. Quelque chose en lui m’excitait terriblement. Était-ce son allure sauvage, ses cheveux un peu longs ou ses muscles qui m’attiraient ? Un peu tout ça a vrai dire. Les regards et les sourires que l’on s’échangeait n’y étaient pas pour rien non plus. Plus le temps passait, plus la tension s’accumulait. J’aimais le voir soulever des haltères, m’imaginer être soulevée de la sorte avant d’être durement pénétrée. J’avais un petit côté masochiste et soumise, il fallait bien le reconnaitre. J’aimais aussi le voir travailler torse nu au soleil. Une fois, sur le ton de la plaisanterie, j’avais insinué qu’il serait mieux sans short. A ma grande surprise, il avait souri puis l’avait retiré. Malheureusement, il portait un boxer : « Hum, je pensais que tu étais nu en-dessous ». Il avait rigolé, puis m’avait dit : « Ce n’est pas très confortable pour travailler… Mais si Madame le souhaite, je peux toujours le retirer ».

J’avais hésité longtemps, très longtemps, trop longtemps. Il savait que je le voulais, qu’il m’attirait. Tout comme je savais qu’il voulait l’enlever son boxer, me dévoiler son pieux dans l’espoir que je le satisfasse. Ce jour-là, nous avions frôlé l’extra conjugalité : « Tu as encore du travail et… je suis assez grande pour te l’enlever moi-même ». Il avait levé un sourcil charmeur puis je m’étais éclipsée pour une séance de masturbation express. Calme-toi Joséphine ! Tu es mariée et tu as un fils. Richard posa ses haltères derrière moi et s’approcha : « Joli string. Je ne l’avais jamais vu ». Je le fixais avec un air faussement outré dans le miroir : « Tu me mates ? ». Il gloussa, se gratta la tête, sans savoir que je l’avais acheté juste pour ravir ses yeux : « Euh… non, bien sûr que non ». Je remontais mon minishort pour cacher mon sous-vêtement. Le tissu blanc rentra profondément entre mes fesses tout en révélant leurs prémices : « Dommage… Je te laisse continuer ton sport dans ce cas ». J’étais brûlante.

Il hésita puis s’allongea sur le banc olympique pour faire une session de développé couché. Je contemplais ses muscles se contracter et sa bosse déformer son short. J’avais envie de le retirer pour prendre son sexe dur en bouche mais me ravisais, préférant continuer de jouer avec ses nerfs. Quand il se redressa, il me vit m’étirer sur le sol. Genoux serrés, fesses bien relevées, dos creusé et bras allongés. L’élastique de mon string remontait à nouveau au-dessus de mon short. Je l’avais bien tiré, sentais le tissu glisser entre mes lèvres vaginales et presser mon anus. Allait-il se lever, arracher mes habits et me prendre en levrette sur le sol ? J’en mourrais d’envie ! Il se leva et s’agenouilla à côté de moi. Ses doigts longèrent ma colonne vertébrale : « Très flexible ! Mais ton string dépasse toujours, laisse-moi réajuster ton short une bonne fois pour toute ». Sans attendre de réponse, il tira les coutures dans le sillon de mes fesses en accentuant la pression sur mon entrejambe.

Je geignais doucement : « Merci, je suppose… ». Ses doigts campèrent un instant sur mes rondeurs découvertes : « Je t’en prie ». Il se releva derrière moi et entama des squats. Je sentais son regard dévorer mon postérieur. Je me retournais face à lui et poursuivais mes étirements, jambes bien écartées et tendues. Face à moi, l’homme me toisait en poursuivant ses exercices. Son sexe était en complète érection. Mon intuition me disait qu’il ne portait rien en-dessous : « Je suppose que le sport, c’est comme le travail… c’est mieux avec un caleçon ? ». Il prit un air faussement outré à son tour : « Tu me mates ? ». J’haussais un sourcil qui voulait dire « Et alors ? » puis me relevais : « Je vais prendre ma douche. Est-ce que tu peux garder la boutique pendant ce temps ? ». Il opina et tout en m’avançant vers la sortie, j’enlevais mon haut et libérais mes seins. J’ouvrais la porte, jetais un coup d’œil satisfait à son expression ébahie puis sortais. Mes tétons pointaient fièrement.

Je prenais une serviette dans mon bureau et allais prendre une douche fraiche et revitalisante. En sortant, je me sentais toujours brûlante de l’intérieur. Il me fallait une bonne séance de masturbation ou alors… Non Joséphine ! Je me séchais et m’enroulais dans la pièce de tissu avant de sortir. Richard était adossé au bar, à côté de son sac de sport. Il m’épia de bas en haut avec intérêt. Son érection était toujours bien visible. Je m’approchais en souriant naïvement, me plantais devant lui : « Merci d’être resté ». Il pinça le bord de ma serviette et l’écarta en révélant le haut de ma cuisse. Je le laissais faire en passant ma langue sur mes lèvres : « J’avais très envie d’aller prendre une douche ». Je levais un sourcil : « Il n’y en a qu’une qui fonctionne… On aurait pu se serrer ». J’approchais mon bas ventre de sa bosse jusqu’à en ressentir la dureté. Sa main glissa sous le tissu et étreignit doucement ma hanche nue et découverte. Il me pressa un peu plus contre son sexe en érection et sonda mon visage.

Je mordillais ma lèvre : « Elle est libre maintenant, tu peux prendre ta douche ». Un voile de frustration s’apposa sur sa mine. Je reculais et partais vers mon bureau. Une fois n’est pas coutume, j’enlevais ma serviette avant de disparaitre de son champ de vision. Juste pour qu’il puisse entrevoir mes fesses nues. J’attendais un instant derrière la porte que je venais de fermer. Allait-il la forcer pour me prendre virilement ? Quinze secondes plus tard, je décidais de m’habiller. J’enfilais une jupe de tennis et un polo moulant. Cette fois-ci, pas de string ni de soutien-gorge. Je ressortais, m’approchais de la salle de bain. L’eau coulait, j’entrais silencieusement. J’avais envie de rejoindre Richard, de le surprendre avec une fellation. Au lieu de ça, je décidais de subtiliser sa serviette. Je me sentais comme une adolescente joueuse et en chaleur. Je quittais la pièce et la cachais derrière le bar. Mon rythme cardiaque s’accéléra quand la porte de la salle de bain s’ouvrit.

Richard apparut nu, les mains posées sur son sexe : « Je crois que j’ai oublié ma serviette Joséphine. Est-ce que tu en aurais une de rechange ? ». Je l’épiais à mon tour avec un regard espiègle : « Oui, je t’apporte ça tout de suite ». Il disparut dans les vestiaires. Je prenais sa serviette et le rejoignais. A quoi joues-tu ma grande ? Les expressions sur son visage changèrent du tout au tout lorsqu’il me vit : d’abord la joie et la gratitude, puis le doute, le questionnement et l’incompréhension. Il tendit une main : « Mais c’est ma serviette ? ». Je feignais l’ignorance en m’approchant de lui : « Ah bon ? Bizarre ! ». Il comprit. Je posais le tissu sur sa tête que je séchais en détaillant le reste de son corps : torse puissant, abdominaux visibles, pubis légèrement poilu. Je collais le mien à ses mains qui cachaient son membre. J’épongeais ensuite l’eau sur ses épaules, son dos et ses fesses. Il me laissais faire avec un petit rictus aux lèvres. Sans broncher, je m’attaquais ensuite à sa poitrine, son ventre et ses bras.

Je le sentais à la fois excité et tendu, tout comme moi : « Tu permets ? ». Il hésita, puis retira ses mains en même temps que les miennes enroulaient le tissu autour de son mât dur. Il souffla tandis que je mastur… séchais son sexe. Sa bouche se rapprocha de la mienne. J’esquivais malicieusement : « Il reste tes jambes ». Je m’agenouillais devant lui. Mon bas ventre se consumait. Je retirais la serviette et dévoilais son mât dur, droit et décalotté. Il n’essaya pas de le cacher cette fois-ci. Il guettait ma réaction puis fut convaincu que j’avais envie de le sucer sans m’arrêter. Il n’avait pas tort. Je poursuivais néanmoins ma mission et séchais méticuleusement ses jambes : « Satisfait ? ». Richard caressa ma joue et mes lèvres qui s’ouvrirent. Un frisson me parcourut : « Oui… mais il y a bien autre chose qui pourrait me satisfaire ». Il rapprocha imperceptiblement son sexe. Je levais un sourcil séducteur et jouais à la femme naïve : « Ah bon ? Quelque chose qu’Elisabeth ou mon mari pourraient réprimer ? ».

Richard sourit et glissa ses doigts dans mes cheveux : « Possible. Est-ce que ce serait grave ? ». J’opinais : « Très grave ». Sans en rajouter, j’accueillais la moitié de son gland dans ma bouche puis l’embrassais : « Quelque chose comme ça ? ». Mon amant soupira en opinant et la clochette de l’entrée retentit. Un sourire se dessina sur mes lèvres : « Ça doit être le livreur, je dois y aller ». Richard tenta de me dissuader mais je me relevais et sortais de la salle de bain. Je n’en revenais pas, j’avais gouté un autre sexe que celui de mon mari et j’étais excitée comme une pucelle. Je saluais le livreur qui me reluqua et me remit une petite boite. Il me salua puis tourna les talons. Quand la clochette sonna à nouveau, Richard sortit de la salle de bain, le sexe fièrement dressé : « Hum, pas sûre que tu respectes le dress code de l’établissement ». Il sourit pendant que je m’approchais de lui : « Est-ce qu’avoir le sexe dans la bouche de la propriétaire serait plus conforme ? ». J’haussais un sourcil envieux : « Possible… je lui demanderais à l’occasion. Tiens, regarde ».

Je lui tendais la boite empaquetée qu’il commença à ouvrir et décidais de sauter le pas. L’une de mes mains s’aventura sous ses bourses tandis que l’autre le masturba doucement. Il soupira : « Tu as des mains baladeuses ». Je renforçais mon étreinte : « Et une bouche impatiente ! ». Il ouvrit la boite et son regard s’illumina : « C’est… ». Je complétais : « Un plug, oui. Tu m’aides à le mettre ? ». Il saisit l’objet puis laissa la boite tomber à terre. Ma main saisit la sienne pour guider l’objet vers mes lèvres : « Il faut d’abord le lubrifier ». Je l’enfonçais dans ma bouche et le suçais devant les yeux attentifs de Richard : « Puis ensuite… ». Je me blottissais contre lui et guidais sa main sous ma jupe. L’extrémité du plug se posa sur mon anus. Son autre main vint écarter l’une de mes fesses. Avec la plus grande délicatesse, il inséra le gadget en moi, m’arrachant un soupir de plaisir : « Je ne savais pas que tu aimais… ». Je l’embrassais sur les lèvres puis reculais : « Maintenant tu sais ».

Ses doigts s’enfoncèrent dans ma fesse nue et il essaya de m’embrasser à son tour. J’esquivais en souriant : « Est-ce que ça te dérange ? ». Il se mordit la lèvre : « Est-ce que tu me laisseras le remplacer ? ». J’haussais mes épaules : « Ça dépend si tu es sage ou pas ». Il me tira contre lui et m’embrassa. Cette fois-ci pas d’esquive, pas de jeu, pas d’excuse. Nos langues se découvrirent envieusement. Je m’abandonnais à lui ! Sa main libre remonta mon polo au-dessus de ma poitrine qu’il palpa méthodiquement : « Tu m’excites Richard ». Il m’embrassa dans le cou puis suça mes tétons à tour de rôle : « Toi aussi Joséphine ! Je note que tu n’avais pas fini ». Je jouais à l’innocente : « Pas finis quoi ? ». Il n’hésita pas : « De me sucer ». Je le repoussais contre le mur, saisissais son sexe droit que je masturbais avec envie : « Je t’ai sucé moi ? Je ne me souviens plus… ». Il posa sa main sur mon épaule et je m’agenouillais sans résister. Cette fois-ci, j’enfonçais la moitié de son sexe en moi et entamais une vrai fellation, cadencée et précise. Nos gémissements de plaisir se mêlèrent. J’adorais ça !

Au bout de trois minutes, Richard voulu enlever mon polo. Je lâchais prise et levais les bras pour l’aider. Arrivé à mes poignets, il entortilla le tissu entre ses derniers pour les emprisonner et les immobiliser. J’ouvrais les lèvres en guise de stupéfaction et il en profita pour réintroduire son sexe en moi. Son arrogance me plaisait, cette prise d’initiative m’excitait et mon côté soumise était comblé ! Je gémissais fébrilement en m’activant sur son membre virile. Il soupira : « Ca fait tellement longtemps que je rêve de ce moment ». Pour lui faire comprendre que moi aussi, je l’emmenais jusqu’à ma glotte puis me retirais. Un filet de bave coula sur mon menton et mes seins : « Tu es sublime Joséphine ». Je donnais un coup de langue à son gland trempé puis déposais des baisers sur sa hampe avant de l’allonger sur l’axe central de mon visage. Mes lèvres gobèrent ses bourses à tour de rôle puis je revins en position initiale. Richard caressa ma joue puis réinvestit mon orifice.

Voyant que je ne bougeais pas, il passa sa main derrière ma tête puis activa ses reins progressivement. Que dirait Baptiste s’il voyait notre voisin besogner mes lèvres en faisant mousser la bave qui s’agglutinait aux commissures de mes lèvres ? Celui-ci resserra le lien de mes poignets et amplifia ses vas et viens. Mes poumons n’étaient plus aussi nourris en oxygène mais j’aimais ça. Je me sentais lui appartenir et vice-versa. Jadis, Baptiste était comme ça : passionné et directif. Richard me bloqua contre lui, son sexe se contracta contre ma glotte. Allait-il jouir dans ma gorge ? J’espérais que oui ! Il se retira et je pris une grande bouffée d’air. Je rigolais nerveusement : « Tu n’es pas sage du tout, tu sais ? ». Il ôta mes liens, me releva et me plaqua contre le mur pour embrasser mes lèvres mouillées : « Je suis désolé si je me suis emporté ». Je le mordillais en le faisant sursauter : « C’est la dernière fois que tu t’excuses ! D’ailleurs, je t’enlève des points ». Il rigola : « C’est pas juste ! ».

Je le défiais du regard : « Et si tu commençais par me lécher au lieu de te plaindre ? ». Il s’abaissa docilement, suçota mes tétons en palpant mes seins puis s’agenouilla. Il baissa ma jupe sur le sol puis contempla mon pubis. Je posais une cuisse sur son épaule, qu’il embrassa sensuellement en se rapprochant de ma vulve. Sa langue s’enfonça enfin dans la fente glissante de mon sexe et mon excitation poursuivit son ascension vers le septième ciel. Il prit le temps de me découvrir et m’amadouer avant de passer aux choses sérieuses. Il s’attaqua à mon clitoris avec habileté et des gémissements s’échappèrent de mes entrailles. Ma main se posa derrière sa tête, mon bassin commença à onduler : « Moi aussi, j’ai rêvé de ce moment ». Il sourit : « Tu es délicieuse Joséphine ». Il me faisait du bien, beaucoup de bien ! Richard remonta ma cuisse de son épaule vers mon torse pour avoir plus d’amplitude dans ses mouvements. Ses lèvres et sa langue me rendaient folle : « Continue ».

Il prit alors mon autre jambe et la souleva vers ma poitrine à son tour : « Ah ! ». Mon dos glissa sur le mur à mesure qu’il me soulevait. J’essayais de m’agripper sans trouver de prise. Jamais un homme ne m’avait fait pareil cunnilingus. Richard en avait de la force pour me lever ainsi tout en poursuivant son œuvre. Je me sentais en sécurité. A sa merci mais en sécurité. Sa langue poursuivait inlassablement ses mouvements contre mon clitoris gonflé. Ma respiration se raccourcissait considérablement. Mes muscles commencèrent à se contracter : « Richard ! Richard ! ». Il continuait sans relâche : « Oui ! Richard ! ». Il m’accompagna jusqu’à l’orgasme avec beaucoup de maîtrise et de savoir-faire. Je jouissais en savourant la douceur et la dextérité de sa langue. Il ralentit progressivement puis me fit redescendre en gardant mes genoux dans le creux de ses coudes. J’enlaçais mes bras derrière sa nuque et l’embrassais lascivement : « Je peux savoir où tu as appris à lécher comme ça ? ». Je me doutais qu’Elisabeth devait être comblée avec lui.

Richard se rapprocha et son gland effleura ma vulve brulante : « C’est un secret ! Est-ce que ça m’a permis de récupérer mes points ? ». J’hésitais : « Seulement quelques-uns ». L’instant d’après, son sexe dur s’enfonça en moi. Mon long cri de plaisir et de surprise raisonna dans le centre. Richard me regarda avec fierté et férocité. Il ne me laissa pas le temps de m’accoutumer à sa présence et entama des vas et viens soutenus : « Oh oui, vas-y ». Nos lèvres et nos langues se retrouvèrent. Je n’en revenais pas de l’avoir en moi. Nous étions en train de tromper nos familles. Cette idée, bizarrement, m’excita un peu plus encore. L’adrénaline de l’interdit. Richard me prit fougueusement contre le mur. Ce matin encore, je rêvais qu’il me pénètre ainsi. Je n’étais pas déçue. Son sexe vigoureux allait et venait en moi sans relâche. Il nous écarta de la paroi, resserra ses prises sur mes fesses et entama des pénétrations endiablées. Mon corps vibrait, la grimace de plaisir qui déformait mes traits ne s’estompait pas.

Mes doigts glissaient sur sa peau suante, ses bourses frappaient rapidement mon entrejambe. Il était en train de me démonter au milieu du centre, sans vergogne. J’adorais sa part obscure, bestiale : « Tu… me… ». Les sons avaient du mal à sortir de ma bouche, l’air ne rentrait plus. Richard s’arrêta au plus profond de moi en souriant : « Je te quoi ? ». Je reprenais mon souffle, fonçais les sourcils : « Tu me… défonce ». Il savait que c’était tout sauf un reproche. Il rigola puis nous emmena vers le bar sur lequel il s’adossa, le corps en diagonal. Il lâcha mes fesses pour allonger ses bras sur le comptoir : « A ton tour ». Je souriais, prête à relever le défis. Mes cuisses se resserrèrent sur ses hanches, mes mains agrippèrent ses épaules et mon bassin commença à osciller doucement, prudemment. Richard me laissa faire en savourant chaque pénétration. Mon corps trempé se frottait au sien. Mon clitoris glissait sur son pubis. Une fois à mon aise, j’accélérais la cadence devant un Richard contemplatif et stoïque.

Lui faisais-je du bien ? Car moi, j’étais au bord de l’orgasme et il le savait. Je commençais à ralentir la cadence pour retarder le moment fatidique quand il enserra ma gorge et guida mes mouvements : « Ne ralentit pas ». Je le toisais fébrilement et obéissais. Mes muscles se crispaient à nouveau, mes ongles se plantaient dans sa peau, mes râles s’amplifiaient. J’atteignais l’orgasme. Richard resserra doucement son étreinte sur ma gorge. Il me rendait folle ! Je voulais qu’il jouisse lui aussi : « Tu ne termines jamais ? ». Il se redressa en levant un sourcil : « Tu veux vraiment que je termine ? ». J’acquiesçais, prête à me faire une nouvelle fois démonter. Au lieu de ça, Richard m’embrassa tendrement, colla son pubis à ma vulve. Son sexe se contracta au plus profond de mes entrailles puis des giclées de sperme se déversèrent en moi : « Hum ! ». Jamais un autre homme que le mien n’avait éjaculé en moi. Un frisson parcourut mon échine : Baptiste était définitivement cocu.

Quand l’éruption prit fin, je reculais mes lèvres et plongeais mon regard dans celui de mon amant : « Etonnamment calme et sensible pour une brute comme toi ». Il éclata de rire : « Merci du compliment ! Je me retenais déjà depuis un petit moment ». Je l’embrassais à nouveau : « J’ai adoré… du début jusqu’à la fin ». Il me sourit puis m’assit sur une chaise haute sans se retirer : « Je ne savais pas que c’était déjà la fin… ». Il posa mon pied droit sur le comptoir, écarta un peu plus ma cuisse gauche et retira son sexe du mien sur quelques centimètres. Il regarda mon intimité, s’écarta un peu puis saisit la plateforme de mon plug anal. Je le contemplais avec de grands yeux : « Tu n’en loupes pas une ! ». Il rigola : « Je voulais juste savoir si j’avais gagné assez de point ». Était-ce bien raisonnable ? J’acquiesçais doucement. Richard se pencha et m’embrassa. En parallèle, ses doigts tirèrent sur mon plug et l’extirpèrent méticuleusement. Mon amant se redressa.

Je passais mes mains sous mes fesses pour bien les écarter. Il retira son mât de mon vagin et son sperme chaud coula jusqu’à mon anus : « Hum, on dirait que ton lubrifiant naturel va nous aider ». Nous échangeâmes un sourire puis il étala son nectar autour de mon œillet à l’aide de son gland : « Très bonne technique. J’approuve ». Il rigola puis pressa délicatement mon sphincter qui se dilata volontairement pour le laisser passer. Un râle s’échappa de nos lèvres. Ca faisait longtemps que je n’avais pas senti un sexe me pénétrer par là. Aucun gadget ne pouvait remplacer cette sensation. L’une de mes mains vint se poser sur mon pubis pour que mon majeur cajole mon clitoris. Richard s’enfonça un peu plus, mon sphincter se resserra : « Ça va ? ». J’opinais en me mordant la lèvre. Comment lui dire que j’avais déjà envie de jouir ? Il poursuivit soigneusement. Un spasme agita ma jambe gauche, ma mâchoire se serra, mon doigt redoubla d’énergie. Il allait me faire jouir, trop tard pour lui dire.

Richard grimaça et son sexe se contracta en moi. Son regard voulait tout dire, lui aussi était à bout : « Vas-y… Vas-y… Vas-y ». Mon doigt survolait mon clitoris frénétiquement, les siens se plantèrent dans ma peau : « Ah Joséphine ». J’éjaculais sur lui en sentant son sperme tapisser mes entrailles. La clochette de l’entrée retentit. J’ouvrais grand les yeux, plaquais une main sur ma bouche sans pouvoir voir de qui il s’agissait. Pourvu que ce ne soit pas Baptiste, ou Benjamin, ou Elisabeth… Richard guettait l’entrée et s’enfonçant un peu plus en moi sans s’en rendre compte. Ses sourcils se froncèrent : « Rémy ! ». La voix du jeune homme retentit : « Oh pardon, je reste dehors ». Mon cœur manqua de s’arrêter à cause de la pression. La clochette retentit à nouveau. Richard me regarda en rigolant : « Ouf on a eu chaud ! Ne t’en fait pas, il ne dira rien ». J’inspirais profondément, laissais ma tête retomber un peu en arrière : « La prochaine fois, il faudra penser à verrouiller la porte ».

Richard haussa un sourcil : « Hum, Madame pense déjà à la prochaine fois ». Je balbutiais : « Oui… enfin… je ne suis pas seule à… ». Richard m’embrassa tendrement et son sexe coulissa un peu plus en moi : « J’ai déjà hâte ».

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Commentaires de l'histoire :

Jenna
J'adore. Je dévore ce récit
Posté le 13/08/2024

b.le-somptier@orange.fr
Pas mal le scénario.
Posté le 18/07/2024


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