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Une histoire de voisinage: Chapitre 5 - Tentations au centre sportif

Joséphine retrouve ses anciennes envies avec Richard, le voisin. Au lendemain de leur première fois, elle le retrouve au centre sportif mais un client les empêche de se retrouver en bonne et due forme. Restera-t-il pour admirer le spectacle?

Proposée le 14/08/2024 par Imagine69

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Thème: Couple, passion
Personnages: FH
Lieu: Bureau, travail
Type: Roman


Après nos ébats, Richard et moi nous séparâmes. Il sortit rejoindre Rémy pour aller travailler tandis que je retournais sous la douche pour me nettoyer. L’eau fraiche tempéra mon corps brûlant. Mon majeur glissa entre mes lèvres vaginales pour récupérer un peu du nectar de mon amant. Je le léchais, goutais au fruit défendu. Qu’avais-je fait ? J’avais trompé mon mari avec mon voisin. J’avais trompé Elisabeth avec son mari. Je m’en voulais mais en même temps, j’avais pris un tel plaisir. Le reste de la journée se déroula sans problème. Quelques clients vinrent prendre un verre à midi tandis que d’autres arrivèrent pour une séance de sport en fin de la journée. Je fermais finalement le centre et rentrais chez moi. Richard venait de se garer devant chez lui et de sortir de sa voiture. Mon rythme cardiaque s’accéléra, nous échangeâmes un sourire nerveux. Je me rangeais à côté de lui, éteignais le moteur et quittais l’habitacle pour me retrouver face à mon voisin et amant : « Richard… ».

Je n’eus pas le temps de finir ma phrase qu’il me poussa contre le mur de sa maison et m’embrassa fougueusement : « Richard… non… on ne peut pas… pas ici ». Sa main remonta entre mes cuisses et sous ma jupe pour masser ma vulve au travers de ma culotte : « J’ai trop envie de toi, de tes lèvres et ton corps… je n’ai pas arrêter d’y penser aujourd’hui ». Je le repoussais à contre cœur : « Moi non plus, mais on ne peut rien faire ici, on est à découvert ». Il insista : « Alors chez toi ? ». Je rougissais : « Hors de question, mon mari pourrait rentrer à n’importe quel moment ». Il souffla puis recula finalement. J’avais terriblement envie de lui. Je ne pouvais pas non plus attendre le lendemain. Je regardais son break puis les alentours déserts : « Le coffre de ta voiture est plus grand que le mien, non ? ». Il les jaugea puis me sourit avant d’ouvrir la portière arrière. Je me glissais furtivement à l’intérieur en rigolant comme une adolescente : « Je ne sais pas ce que tu me fais faire… ».

Il me suivit, ferma le coffre puis m’embrassa à pleine bouche. Mes cuisses s’ouvrirent machinalement et sa main s’enfonça dans ma culotte avant que deux de ses doigts ne me pénètrent : « Ah Richard ! On ne peut pas trainer ! ». Après une dizaine de pénétrations, je retirais ses doigts baladeurs et l’allongeais à moitié contre la banquette arrière. Je me positionnais sur lui. Il baissa son short tandis que j’écartais le tissu moite de ma culotte. Il guida son sexe dur en moi, saisit mes hanches pour attirer mon corps vers le sien. Pas le temps de tergiverser, j’entamais immédiatement des oscillations intenses et profondes. Richard me contempla le chevaucher en relevant mon haut et plotant mes seins : « Oh oui Joséphine, continue ». Je prenais sa tête dans mes mains et blottissais son visage contre ma poitrine. Je m’appuyais sur lui pour mieux m’empaler sur son mât. Soudain, je vis Enora, sa fille, passer devant la voiture. Elle souriait, écoutait de la musique : « Attends ».

Nos corps s’immobilisèrent un instant mais son majeur força mon sphincter sournoisement pour se planter en moi. Je grimaçais de plaisir. A peine la jeune femme avait-elle disparu que je reprenais mes vas et viens endiablés : « Tu vas me faire jouir Richard ». J’accélérais le rythme sur la dernière ligne droite qui menait au Paradis puis jouissais en essayant de limiter les décibels. Je sentais l’excitation de Richard monter puis arrêtais volontairement tout mouvement : « Viens ». Je me retirais devant ses yeux inquisiteurs et ouvrais le coffre : « Qu’est-ce que tu fais ? ». Je sortais du véhicule et l’attirais jusqu’à ce qu’il soit assis au bord. Ma main s’empara de son sexe pour le masturber énergiquement et je l’embrassais : « Plus tôt dans la journée, tu m’as dit que je n’avais pas fini de te sucer… ». Sans en rajouter, je me penchais en avant et prenais son sexe dans ma bouche baveuse : « Ah, Joséphine ! ». Ses doigts se perdirent dans mes cheveux pour encourager mes mouvements.

Il faut dire que je n’y allait pas par quatre chemins. J’étais pressée, envieuse et déterminée. Une trentaine de secondes plus tard, Richard râla et sa semence, en faible quantité, gicla dans ma bouche : « Ah, oui ! ». J’avalais instinctivement en réduisant la cadence. Ca faisait longtemps que ce goût n’avait pas ravi mes papilles. J’aspirais tout le surplus de bave et me redressais : « Maintenant c’est fait… et tu as officiellement joui dans tous mes orifices aujourd’hui. Pas mal pour une première journée, non ? ». Il rigola, m’embrassa en caressant mes reins : « J’ai hâte d’être à demain ». Et moi donc ! Mais le temps était compté : « Je dois rentrer ». Il opina et après un dernier baiser, je le quittais pour rentrer chez moi. Ni une ni deux, je filais dans la salle de bain pour me brosser les dents et prendre une douche. Les tiraillements de mon corps me faisaient du bien. Je me sentais en vie ! Des mains m’enlacèrent et mon cœur s’arrêta. Était-ce Richard ? Non, juste mon mari : « Baptiste, tu m’as fait peur ».

Ses mains remontèrent vers mes seins pour les palper doucement et son sexe dur se colla à mon dos: « Tu pensais que c’était quelqu’un d’autre ? ». Je rougissais honteusement. Ne laisse rien paraitre Joséphine ! Je décidais de jouer la carte de la provocation et me retournais : « Je pensais que c’était un étranger, prêt à me pénétrer avec son sexe en érection ». Il prit mes cuisses et me porta contre le mur. J’avais l’impression de retrouver l’homme aventurier que j’avais épousé : « Tu te serais débattue ? ». La réponse était « Non ». C’était l’un de mes fantasmes mais bien évidemment, je ne pouvais pas le dire sans risquer de le perturber. Je décidais donc de rire et d’accueillir son sexe en moi. Je m’accrochais à lui, plongeais mon regard dans le sien en sentant son sexe aller et venir en moi. La voix de Benjamin, notre fils, raisonna à l’extérieur : « Maman, Papa, vous êtes là ? ». J’allais faire signe à mon homme de se taire et de poursuivre mais il répondit à notre fils et se retira en faisant la moue.

J’étais frustrée. J’avais envie de lui mais il se séchait déjà en m’exposant sa belle érection. Je le trouvais beau, plus rayonnant qu’à l’accoutumée. Néanmoins, son teint se dégrada rapidement une fois à l’extérieur de la salle de bain. Il termina à peine son diner. Je me demandais bien ce qu’il pouvait avoir. Était-ce en lien avec ce que j’avais fait aujourd’hui ? Je le fixais avec bienveillance : « Tu es livide chéri, tu devrais aller te coucher ». Il accepta sans rechigner. Benjamin et moi débarrassâmes la table et regardâmes la télévision. Que faisait Richard en ce moment ? Était-il en train de faire l’amour à sa femme ? Pensait-il à moi ? Peut-être les deux. Et moi, pourquoi pensais-je à lui alors que mon homme était seul dans le lit ? Je décidais de le rejoindre après avoir souhaité « Bonne nuit » à notre fils. Je me blottissais contre Baptiste et prenais sa température. Rien. Une rapide caresse sous la couverture m’indiqua qu’il bandait. Peut-être qu’une fellation lui ferait du bien. Ca faisait si longtemps !

Je glissais sous le linge et il essaya de me dissuader. C’était mal me connaitre. Une fois à l’abri, je baissais son boxer et prenais son sexe dur dans ma bouche réconfortante. Il m’avait manqué ! Je le suçais religieusement en sentant son ventre se creuser et ses muscles se contracter. Quelques instants plus tard, il souffla : « Joséphine ». J’accentuais mes succions et son sperme chaud se déversa en moi. Je l’avalais docilement, le rhabillais et le rejoignais : « Je me disais que ça faisait longtemps que je n’avais pas sentis mon homme éjaculer dans ma bouche. Ça te plait toujours autant ? ». Il acquiesça en souriant et me dit qu’il n’en avait pas fini avec moi. L’instant d’après, mon pyjama était enlevé, mes cuisses étaient écartées et mon homme était en moi. Il me fit terminer une fois et, éreintée par ma journée, je simulais un second orgasme. Il se retira, fier de lui. Je l’aimais tant ! Nous nous endormîmes en moins de temps qu’il n’en fallait pour le dire. Mon corps avait vraiment besoin de récupérer.

Au réveil, je pris mon petit-déjeuner avec lui puis filais sous la douche. Il me remplaça ensuite et je retournais dans la chambre pour m’habiller. Mes yeux se posèrent sur un pantalon de yoga blanc et un crop top. Était-ce trop osé ? Baptiste allait-il apprécier ? Et Richard ? J’enfilais les deux vêtements sans rien en dessous. La journée promettait d’être chaude. Depuis la cuisine, j’appelais mon fils, encore dans sa chambre : « Benjamin, tu vas être en retard au lycée ». Il me répondit : « Oui, j’arrive ». Avant de partir, Baptiste m’enlaça et me complimenta sur ma tenue. Nous flirtâmes et il me partagea son envie de réessayer la sodomie. Je levais un sourcil intéressé, mes fesses se trémoussèrent contre son sexe dur. Il n’avait qu’à ouvrir son pantalon, baisser le mien et me pénétrer. J’étais toute à lui. Nous nous embrassâmes lorsque mon portable vibra. C’était Elisabeth. Mon cœur s’emballa. Que me voulait-elle ? Était-elle au courant pour son mari et moi ? Allait-elle me remonter les bretelles ?

Baptiste recula : « J’y vais, bonne journée mon amour ». J’inspirais profondément et décrochais : « Allo Elisabeth, comment vas-tu ? ». Je comprenais rapidement qu’elle ne savait pas pour Richard et moi mais qu’elle avait besoin de Benjamin pour l’aider à attraper quelque chose en hauteur. Je raccrochais et demandais à mon fils de passer chez elle. Il maugréa mais finit par y aller avant de partir au lycée. Une chose était sûre, c’est que Richard n’était pas chez lui. M’attendait-il au complexe sportif ? J’attendais impatiemment en regardant les aiguilles de la pendule avancer. Trois minutes plus tard, je prenais mes affaires et partais. Pas de Benjamin ou d’Elisabeth à l’horizon. Je montais dans ma voiture et prenais la route jusqu’à mon travail. J’entrais dans le complexe, posais mes affaires sur le bar et me dirigeais vers la salle de sport. Richard était là, en train de travailler ses pectoraux. Nous échangeâmes un sourire avant que je ne m’aperçoive qu’un autre client était là : « Bonjour André ! ».

Mince ! J’attachais mes cheveux en cachant ma frustration et commençais à courir sur le tapis. Dans le miroir, je voyais le regard de Richard braqué sur mon postérieur. J’avais tellement envie de lui ! Je poursuivais sur un steppeur tandis qu’il enchainait les abdominaux en épiant mes seins rebondir sous mon crop top. Nos corps commençaient à luire et nos vêtements à s’imbiber de sueur. Savait-il que je ne portais rien dessous ? Très certainement. J’arrêtais ma session et commençais des exercices debout. En levant mes bras, mon haut dévoila le bas rond de ma poitrine ferme. Je remarquais qu’André n’en loupait pas une miette. Et si… ? Non, tromper mon homme avec un autre suffisait. Pas besoin d’en avoir deux. Quoi que… André se leva, nous salua poliment puis partit. Il n’en fallut pas plus à mon voisin pour se lever, se ruer vers moi et m’embrasser : « C’est fou comme tu es sexy ». Ses mains partirent aussitôt vers mes fesses tandis que les miennes s’aventurèrent sur son érection pour la palper : « Toi aussi tu es pas mal. Viens, on finit notre sport avant d’aller prendre une douche ».

Je reculais, saisissais deux haltères et les lui tendais : « Tiens, fais tes épaules un peu ». Décontenancé, il les prit et entama des élévations latérales. A la troisième, je m’accroupissais devant lui, baissais son short à la moitié de ses cuisses et enfonçais son sexe droit dans ma bouche. Je gémissais et plissant les paupières. Il m’avait tant manqué ! Richard stoppa ses mouvements et je me retirais : « Si tu t’arrêtes, je m’arrête ». Il me toisa un instant, pensant que je rigolais. Il n’en était rien. Ses bras se relevèrent et je repris mon œuvre en posant mes mains sur ses hanches. La sueur donnait à son mât un petit gout salé. Je le suçais passionnément en le toisant et caressant ses bourses pleines. Il commença à grimacer de douleur et de plaisir. Au bout d’un moment, il n’eut d’autre choix que de baisser les bras. Je déposais un baiser coquin sur son gland puis remontais son short et me relevais. Il rigola nerveusement et chercha à m’embrasser : « Tu me pousses à bout Joséphine ! ».

J’haussais les épaules en souriant : « Ah bon ? J’ai besoin de m’étirer un peu, continue de t’entrainer ». Je donnais un coup de langue taquin à ses lèvres et m’en allais. Il s’installa sur une machine tandis que je prenais un tapis pour me placer à deux mètres devant lui. Je m’agenouillais dos à lui, baissais l’élastique de mon pantalon moulant sous mes fesses puis me penchais en avant en creusant mon dos et étendant mes bras devant moi. J’étais complètement offerte à lui et à ses envies. Je me mis à compter dans ma tête. Une seconde. Deux secondes. Trois se… Son gland dur et baveux se posa sur mon sphincter luisant et son sexe me pénétra sans peine : « Ah ! ». Je ne pensais pas qu’il allait entamer les hostilités si rapidement et de la sorte : « Richard… ». J’essayais de me redresser sur mes coudes mais ses mains puissantes se posèrent sur mes omoplates et me collèrent au sol : « Tu ne pouvais pas ne pas t’attendre à ça, si ? ». Il n’avait pas tort ! Je gémissais : « Hum, continue alors ! ».

Son sexe s’activa doucement et se contracta en m’élargissant davantage. Fier de lui, il ajouta : « Et en plus, je fais du sport tout en t’étirant ». Bien trouvée, mais maintenant j’en voulais plus : « J’espère que tu ne fais que t’échauffer alors ». Nous échangeâmes un rire avant qu’il ne poursuive avec plus de puissance et de virilité. Je regrettais que l’autre client soit parti. J’aurais aimé le sucer, me faire prendre par ces deux étalons. Richard se redressa en ramenant ses mains vers mes fesses pour les écarter un peu plus. Il se retira et je sentais son regard dévorer mon orifice béant. Il s’y planta à nouveau tel un marteau-piqueur. Adieu le statut d’épouse fidèle et de mère de famille respectable. J’étais sa salope ! Il agrippa ma queue de cheval et me redressa en amplifiant un peu plus ses mouvements : « Oh oui, j’adore te prendre ainsi de bon matin ». Son autre main glissa sous mon ventre puis entre mes cuisses. Son majeur commença à taquiner mon clitoris et mon excitation monta en flèche.

Il tira un peu plus mes cheveux, colla son bassin à mon postérieur et me masturba comme un diable. En moins de dix secondes, j’atteignais l’orgasme et criais à gorge déployée. Pourvu que personne ne soit dans les parages. Mon corps tremblait et mon sphincter vibrait autour de sa hampe. Il se retira lentement, s’agenouilla derrière moi et lécha lascivement mon anus et mon intimité ruisselante : « C’est maintenant que tu es poli ? ». Il vint s’assoir face à moi, jambes écartées. Il était complètement nu hormis ses chaussures de sport. Il passa un doigt sous mon menton, m’embrassa tendrement : « Tu m’as trouvé impoli ? ». J’hésitais, reprenais mon souffle, mordillais ma lèvre : « Pas assez ». Ce qui devait arriver, arriva. Sa main passa derrière ma tête et la baissa jusqu’à ce que son sexe fièrement dressé se plante dans ma bouche ouverte et déjà apprêtée : « Hum… ». Il rigola : « Parler la bouche pleine, ça c’est impoli ». Il posa une main sur le sol derrière lui puis commença à mener la danse.

Je le laissais m’utiliser pour satisfaire ses désirs sauvages. C’était mon côté soumise et ça me faisait mouiller. Sur les dernières secondes, il assaillit ma glotte avec de petits coups répétés qui me firent éructer. Il relâcha son étreinte. Je me redressais pour respirer et regagner un semblant de dignité : « Tu n’as pas honte de baiser ma bouche ? ». Il caressa mes lèvres baveuses et hocha la tête. Nous échangeâmes un sourire et il m’embrassa en palpant mon sein sous mon crop top : « Viens ». Sans attendre de réponse, il nous releva puis m’allongea sur le banc de développé couché. Il ramena mes jambes à moitié nues vers mon torse et bloqua mes pieds sous la barre. Une nouvelle fois, j’étais toute à lui. Il s’assit face à moi, se pencha et entama un cunnilingus torride et précis. Je gémissais en sentant sa langue taquiner mon clitoris, en sentant ses mains écarter mes lèvres vaginales brûlantes et trempées. Comment pouvait-il être si doux et si brutal à la fois ? Si respectueux et insolent ?

Une chose était sûre, il me procurait énormément de plaisir ! Il se releva au bout de cinq minutes, posa ses mains sur la barre à côté de mes pieds et garda les siens au sol, de chaque côté du banc. Son gland effleura mes lèvres vaginales et il me toisa de haut : « Madame est-elle satisfaite ? ». Je levais un sourcil aguicheur : « Je ne serais pas contre un cunnilingus plus long, mais en attendant… ». Je guidais d’une main son sexe en moi et il l’enfonça lentement. Sans détourner son regard amoureux du mien, il me pénétra avec soin. La sensuelle lenteur de ses mouvements nous permettait de ressentir pleinement nos corps tout en accroissant la tension de nos envies. Qui allait jouir le premier ? Au moment où son sexe se tendait, il se retira, se pencha et reprit son cunnilingus avec détermination : « Ah Richard ! Ce n’est pas… du… jeu !! ». J’atteignais l’orgasme et mon amant récupéra le fruit de mon plaisir directement à sa source. Il me rendait folle : « Et maintenant, es-tu satisfaite ? ».

Quand mes spasmes s’atténuèrent, Richard déposa un baiser sur mon clitoris gonflé et se releva en souriant : « Je ne serai pas satisfaite tant que tu ne m’auras pas donné ce que je veux ». Il me questionna du regard comme s’il ne savait pas où je voulais en venir. Je rabattais mes jambes entre ses cuisses écartées et glissais sur le banc. Je me redressais, prenais la moitié de son sexe droit dans ma bouche puis reculais avant de recommencer : « Hum, c’est ton nouvel exercice pour les abdos ? ». Je ne répondais pas, j’étais concentrée sur mon objectif. Richard enserra délicatement ma tête qui allait et venait. Je le sentais à bout, m’apprêtais à recevoir sa semence dans mon gosier d’une seconde à l’autre. Il grogna et me repoussa légèrement. Qu’avait-il ? Lui avais-je fait mal ? Je le questionnais du regard. Il grimaça et son sexe se contracta devant moi : « Ferme les yeux ». Quoi ? Je compris au moment où la première giclée de sperme s’écrasait sur mon visage.

Je fermais instinctivement les paupières en sentant l’une de ses mains quitter ma tête pour masturber son pieu enragé. Personne n’avait jamais éjaculé sur mon visage, pas même Baptiste. Je sentais d’autres giclées atterrir sur ma peau. A quoi devais-je ressembler ? Richard respirait bruyamment en finissant de jouir : « Oh, tu es sublime Joséphine ». Le pensait-il vraiment ? Je me sentais à la fois humiliée et excitée de l’être. Le gland de mon amant se posa sur mes lèvres et je ne pus m’empêcher de le lécher fébrilement. J’ouvrais mes paupières alourdies devant un Richard sourieur : « Tu es vraiment fier de toi ? ». Il opina : « Tu as ce que tu voulais, non ? ». Je le fusillais du regard puis le suçais lascivement avant de me retirer : « Va prendre ta douche ! Je vais essuyer tes méfaits ». Il m’embrassa sur le front, prit ses affaires et décampa jovialement. Je jetais un coup d’œil dans le miroir. Si Baptiste me voyait ainsi ! Je réajustais mon pantalon et partais derrière le bar pour chercher des mouchoirs.

Une main se posa sur ma hanche et me fit sursauter. Je me retournais, le cœur battant, les jambes lourdes : « André… je pensais que… ». Il prit un air confus : « Je vous prie de m’excuser… ma curiosité m’a empêché de quitter les lieux ». J’étais un brin courroucée : « Donc vous avez tout vu ? ». Il opina et la peur me gagna : « Vous n’allez pas tout raconter à mon mari, si ? ». Il hocha la tête sans mot dire. Que voulait-il au juste ? Ses yeux inquisiteurs ne mentaient pas mais sa timidité l’emporta : « Je suis désolé, je vous laisse… ». Ma main attrapa son poignet : « Attendez ». Il me questionna du regard. J’hésitais un instant puis m’approchais et déposais un baiser tremblant sur ses lèvres immobiles. Ma main droite enserra légèrement l’érection qui déformait son short. Nous échangeâmes un regard intense puis je me retournais face au comptoir et bombais légèrement mes fesses pour l’inviter. André les contempla et se décida à les caresser docilement avant de baisser mon pantalon et de les dénuder.

Je surveillais la porte des douches en sentant les doigts de mon client s’aventurer entre mes cuisses pour découvrir ma vulve chaude. L’instant d’après, son short tomba. A quoi joues-tu Joséphine ? Il posa son gland à l’entrée de mon intimité et mes fesses allèrent se coller d’elles-mêmes à son pubis tout en l’accueillant en moi : « Hum ! ». Son sexe n’était pas gros mais était dur comme de la pierre. Il entama des vas et viens respectueux en étreignant mes hanches qui ondulaient. Cette sensualité ne me convenait que jusqu’à un certain point : « J’aime les hommes bien élevés, mais j’en ai déjà un à la maison ». Nous échangeâmes un sourire par-dessus mon épaule et en guise de réponse il accéléra le rythme jusqu’à ce que son bas ventre frappe plus rapidement mon postérieur : « Voilà ». Il pris l’initiative de remonter mon crop top et le fourrer dans ma bouche pour me bâillonner. Je commençais à apprécier ses méthodes. Il plota envieusement mes seins durs et m’asséna des coups de reins viriles.

Il se retira soudainement et s’agenouilla pour me lécher et gagner du temps. Je frottais mon entrejambe contre sa langue habile puis il se releva et me pénétra à nouveau avec fougue. Il se retira à nouveau, fit légèrement redescendre son excitation en tapotant mes fesses avec son sexe puis se planta à nouveau en moi : « Mauvais trou ». Il s’arrêta, incertain. Je lui adressais un sourire par-dessus mon épaule et écartais ma fesse gauche avec mes doigts. Je ne pouvais être plus claire ! Il retira son sexe d’une dizaine de centimètres, le présenta à mon œillet et l’enfonça sans aucune difficulté : « Oh oui, André ! ». A son gémissement et sa mine effarée, je comprenais que c’était sa première fois et qu’il n’allait pas durer longtemps. Mes doigts délaissèrent ma fesse et se plaquèrent sur mon clitoris tandis que mon amant me sodomisait fébrilement. J’étais aux portes de l’orgasme quand il se retira.

Il allait à nouveau s’agenouiller pour me lécher mais je le devançais. Je me retournais et le poussais contre la surface de travail derrière lui. Je retirais le tissu qui me bâillonnait, m’accroupissais et le prenais entièrement en bouche pour le sucer goulument : « Ah Joséphine… ». Je retirais mes lèvres au moment où il éjaculait. Une partie de sa semence chaude atterrit sur ma langue tandis que le reste rejoignit celle de Richard sur mon visage. Il était sacrément plein ! J’eus à peine le temps de déglutir qu’André me releva, me retourna et me pencha à nouveau sur le comptoir. Son sexe juteux réinvestit mon anus, ses coups de reins se débridèrent complètement : « Oh André, vas-y ! ». Richard serait-il jaloux s’il me voyait ainsi ? Mon amant me ceintura contre lui et accéléra en glissant sa main entre mes cuisses pour me masturber. C’était une vraie bête ! Mes yeux roulèrent dans leurs orbites et l’orgasme me frappa. André accompagna ma jouissance d’une main de maître.

Il déposa un baiser sur mon épaule et força son bas ventre contre mes fesses pour s’enfoncer au plus profond de moi. Il poursuivit avec de rapides mais courts mouvements tout en investissant mon intimité juteuse de ses deux doigts : « Ah André… mais tu es fou ! ». Il me fit à moitié jouir une nouvelle fois puis sans mot dire, se retira et m’agenouilla face à lui. Sa main se posa sur le sommet de ma tête tandis que l’autre masturbait son sexe. Grossier mais excitant ! Il déversa le reste de sperme sur mon front et mon nez puis tapota son gland sur mes lèvres souriantes : « Tu devrais y aller ». Il soupira d’un air comblé, se baissa et déposa un baiser sur ma bouche souillée avant de remonter son short et de disparaitre. Je n’étais plus la salope d’un seul homme, mais de deux. Je me relevais, remontais mon pantalon et m’avançais vers les douches. Richard sortit à ce moment-là. Son regard détailla mon visage : « Je n’avais pas tant éjaculé, si ? ». Il n’eut comme réponse que mon sourire malicieux.

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Commentaires de l'histoire :

Jenna
Je dévore ces récits. Continuez
Posté le 14/08/2024


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