Une sortie VTT et une rencontre en forêt vont se faire retrouver 2 inconnus dans une douche.
Proposée le 11/04/2017 par Ricardo
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Thème: extra-conjugal
Personnages: FH
Lieu: Forêt, campagne, nature
Type: Histoire vraie
Un de mes plaisirs solitaires (non !) a toujours été les sorties sportives dans les forêts vallonnées du côté de chez moi. Que ce soit en course à pied ou en VTT, le goût de l’effort dans ces sentiers aux dénivelés variés est un moteur dans ma vie de bureaucrate.
Ce jour de printemps est l’un des premiers où l’où pourrait presque s’aventurer dehors en manches courtes. L’hiver semble enfin laisser la place à des jours meilleurs à qui aime le contact avec la nature.
Mon VTT a été fraîchement révisé, je vais donc me faire un plaisir de suer dans les longues montées avant de m’éclater dans les nombreuses descentes techniques qu’offre le massif. On est en début d’après-midi, en pleine semaine (god bless the RTT) et il n’y a pas un chat à l’horizon.
Au bout de quelques kilomètres, je vois au bout d’un chemin un VTT empruntant la même montée. Réflexe de tout cycliste ayant un pédaleux en ligne de mire : le rattraper ! Je change de braquet et augmente ma cadence pour finalement arriver assez près et voir qu’il ne s’agit pas d’un mais d’UNE vététiste. Le petit cul moulé dans un cuissard long noir et mauve ne laisse aucun doute.
Je me rince un peu l’œil et me décide à la dépasser en la saluant comme je le fais toujours quand je croise un comparse. Je la devine assez mignonne sous son casque mais trace ma route, je ne suis pas d’un naturel dragueur et je n’ai pas envi de jouer au gros lourd alors que la nénette veut tout simplement faire son sport tranquillement.
Je me trompe peut-être car à peine quelques mètres plus loin, la voilà qui me rejoint haletante et me demande si je ne voulais pas rouler avec elle. C’est bien la première fois qu’un truc pareil m’arrive. J’acquiesce volontier et réduit la vitesse pour rouler à côté d’elle sur ce chemin assez large pour nous deux.
Une conversation de sportif s’amorce : nombre de sorties hebdomadaires, nombre de kilomètres, les randos du coin, etc … On roule de moins en moins vite mais on arrive malgré tout au 1er sommet. Je lui indique une première descente en lui proposant de passer devant.
Elle a le physique d’une sportive et la revoir côté pile est d’autant plus motivant pour ne pas la lâcher dans ces premiers virages serrés. Elle descend comme un mec, prend touts les risques, je suis impressionné. Elle profite même de quelques rochers saillants pour faire décoller sa monture. Jusqu’au moment où …
L’extrémité de son guidon tape un arbre et met sa roue avant de travers. Elle ne peut que passer par-dessus le vélo et tomber un plus loin dans la descente dans une série de tonneaux. Je m’arrête en urgence et manque de peu de lui rouler sur un bras. Elle est complètement sonnée et gémie en se tenant le mollet. Je pense immédiatement à une fracture, la chute était assez lourde.
Assise contre un arbre, je suis à ses pieds. Elle a les avant-bras écorchés mais c’est sa jambe qui lui fait mal. En remontant son cuissard on y voit déjà un bel hématome. Elle réussi à se lever en s’agrippant à mes épaules. Rien de cassé apparemment mais je pense que pour aujourd’hui la sortie VTT pour elle va s’arrêter là.
On enfourche nos montures et on descend prudemment par le chemin le plus court. Elle habite dans le village juste en contre-bas. Ca à l’air d’aller, je la vois mouliner des jambes sans gêne mais lui propose de la raccompagner jusqu’à chez elle. Devant le portail d’une petite maison de lotissement, je lui souhaite une dernièrement fois un prompt rétablissement avant qu’elle n’insiste une nouvelle fois pour m’offrir un verre.
Ce sont évidemment des choses qu’on ne peut refuser surtout que depuis qu’elle a enlevé son casque je vois une belle trentenaire aux cheveux blonds mi-longs. Je la suis jusqu’au porche où on enlève nos chaussures crottés. Je suis un peu gêné, mes chaussettes sont dégueulasses et je ne dois pas sentir très bon. Après, c’est vrai, qu’elle non plus n’est pas au top de la présentation.
Elle me sort illico une bière et m’installe dans le canapé avant de s’absenter. Ca ne dure pas 2 minutes avant qu’elle revienne en petite culotte pour me montrer ses blessures. Elle est à l’aise alors que moi je dois avoir la bouche ouverte et les yeux écarquillés. En tout cas j’ai pris ça pour un feu-vert pour la suite des événements.
Je me lève et me rapproche d’elle, je caresse doucement le galbe de ces fesses que j’observais depuis mon vélo. Elle m’embrasse du bout des lèvres, me prend par la main et m’entraîne dans la salle de bain. Je me déshabille au plus vite et l’aide à enlever le haut puis le bas.
Nous voilà tous les deux sous la douche qui de par sa taille convient parfaitement au scénario. Sous cette pluie chaude, presque brûlante, nous nous lavons mutuellement en échangeant par-ci par-là des baisers.
Je commence par lui frictionné le dos en commençant par les épaules, mon sexe se colle contre ses fesses qu’elle fait chalouper pour le caresser. Ses mains tendues vers l’arrière m’attrapent par les hanches pour finalement empoigner mon membre raide comme un cierge. Je lui malaxe à présent ses petits seins parfaits de fermeté.
Elle me masturbe doucement avec une rare délicatesse, ma main droite descend doucement pour explorer son entre-jambe totalement imberbe. Mon index parcourt les lèvres déjà bien écartées avant d’aller un peu plus en profondeur du bout des doigts. Elle halète comme si nous étions déjà en pleine chevauché et je devine que ça faisait bien trop longtemps que personne ne s’était occupé de cette maman célibataire !
Elle se retourne face à moi et me presse contre elle ses mains de féline plantées dans mes fesses. Je sens la moiteur de son sexe contre le mieux, elle se déhanche pendant que je frotte mon membre contre son clitoris. Nous nous embrassons avec passion comme de jeunes amoureux. Mes mains caressent ses fesses aussi parfaites et fermes que ces petits seins.
Je pense à son petit abricot tout lisse et n’ai plus qu’une idée en tête. Je l’embrasse dans le cou et descend direction le fruit défendu. Au passage je titille du bout de la langue des tétons aussi durs qu’ils pourraient trancher, un baiser sur son nombril et j’arrive à destination. Elle passe de suite une cuisse par-dessus mon épaule et me donne un accès VIP à son petit jardin.
Je commence par des petits baisers sur l’intérieur des cuisses et un peu sur le pourtour. Malgré tout, très vite, je vais dans le vif du sujet, je la sens impatiente aussi. Avec un doigt en éclaireur ma langue se promène le long de ces lèvres en m’attardant sur un clitoris déjà bien gonflé. Ses halètements deviennent des râles, ses mains sur mon crâne me font comprendre que l’instant est plus qu’apprécié.
Je continue mon œuvre en rajoutant un doigt et en me concentrant sur son organe érectile. Mes va-et-vient se font plus rapides, le goût de ses sécrétions dans ma bouche m’excite d’autant plus et je décide de partager le nectar avec elle. Je me relève et l’embrasse goulument, ce qu’elle accepte avec beaucoup d’ardeur en reprenant le contrôle du manche à pleine main.
A présent c’est elle qui est à mes pieds. Tout en malaxant mes bourses, elle me gratifie d’une fellation au mouvement presque trop rapide. Je la freine en retenant sa tête et elle décide de me léchouiller les parties tout en me masturbant doucement. Je ne suis pas loin de rendre les armes, je la relève en la retournant contre le mur.
J’agrippe ses hanches et trouve de suite le chemin pour aller en elle. Je commence par des coups lents mais en m’introduisant jusqu’à la garde. Elle profite de mes arrêts pour attraper de temps en temps mes bourses avant de retourner besogner son clitoris. J’accélère avant de passer à une vitesse de croisière. C’est incroyablement agréable, nous sommes dans une osmose totale que j’espère la plus longue possible. Elle lâche des petits cris qui m’orientent sur la bonne cadence à adopter et je m’exécute avec délectation.
Sa cambrure est, dirait-on, faite pour cette position, elle est juste parfaite. Cependant sa mignonne petite poitrine me manque déjà et sa bouche enflammée aussi. Je m’extrais et elle se retourne, on se comprend idéalement alors qu’on ne se connait pas. Je l’embrasse tout en empoignant ses petits nénés. Elle s’agrippe à mon cou et d’un geste emprisonne ma taille de ses jambes. Mes mains l’aide en la portant par les fesses, je la plaque au mur et m’introduit à nouveau.
Elle ne pèse quasiment rien, ma tâche est des plus facile. Mes mouvements sont de plus en plus rapides, je sens à la façon dont elle mange quasiment ma langue qu’elle est tout comme moi au point de rupture. Une dernière accélération avec un dernier coup de butoir et je me libère en elle. Tous les deux nous poussons un dernier cri libérateur.
Elle se dégage et m’embrasse cette fois-ci tendrement en caressant une dernière fois, du bout des doigts, l’objet du plaisir. Nous terminons sagement notre douche pour ensuite terminer sagement notre bière. Elle m’explique sa vie compliquée, je lui explique la mienne et nous comprenons que ce moment ne se reproduira pas !
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