Près de Chambord, fin septembre, il y a un événement à ne surtout pas manquer : le brame du cerf. Poussée par son mari, Bérengère de Plessis, décide pour une fois de goûter à ce spectacle exceptionnel, en compagnie de trois amoureux de la nature.
Proposée le 15/05/2023 par descollages
Nous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Femme dominée
Personnages: Groupes
Lieu: Forêt, campagne, nature
Type: Roman
Un matin de septembre, le soleil pénétrait à peine la brume épaisse en forêt de Chambord. Sur le chemin, rendu boueux par les dernières pluies, un 4x4 s'avançait péniblement évitant les ornières.
Chahutée par les bosses du parcours, Bérengère du Plessis, sentit monter peu à peu le regret d'être venue au fin fond de ce bois perdu. Madame avait été poussée par son mari Gonzague, qui lui avait promis un spectacle immanquable, il avait réussi à la faire céder, malgré son fort caractère.
La baronne, une femme élégante au demeurant, portait pour l'occasion un long manteau en fausse fourrure. Chaussée de petits escarpins rouges à petits talons, autant dire que la tenue n'était pas vraiment adéquate.
Si quelqu'un l'avait trouvée seule, là au milieu des arbres, on l'aurait sûrement prise pour une pute attendant un client. Mais les hommes qui l'accompagnaient n'avaient fait aucune réflexion à ce sujet, évitant de donner leur avis par respect pour Madame.
Au bout d'un petit quart d'heure, chacun aperçut la cabane biscornue en bois couverte d'une tôle ondulée. Une petite cheminée noire indiquait qu'on pouvait s'y chauffer. Madame du Plessis, un peu frileuse de nature, fut presque rassurée par cette petite note de confort.
Les portes arrières du land rover claquèrent violemment. Deux hommes s'empressèrent de rentrer dans l'abri sans dire un mot. Le chauffeur, quant à lui pris la peine d'ouvrir à Madame de Plessis. Cet homme bourru de nature, n'était autre que le garde-chasse des lieux. Rondouillard, l’œil luisant, ce vieux vicieux n'avait pas oublié les bonnes manières pour autant.
– Venez Madame, je vais vous aider.
Sa grosse main caleuse saisit fermement les doigts gantés de dentelle noire. Derrière ses lunettes épaisses, ce sexagénaire ne manqua pas d'admirer la baronne, parcouru par un frisson lubrique. Autant dire que les images qui défilèrent dans son esprit à cet instant étaient dignes du plus abominable des films cochons pour adultes avertis.
Opinant légèrement la tête, Madame remercia cet élan de galanterie. Mais arrivée sur le sol, elle crut subitement se tordre la cheville. Roger Berthoux la rattrapa in extremis tenant l'avant-bras de la bourgeoise hébétée.
– Oh merci, pour un peu j'allais choir comme une idiote. dit-elle essoufflée.
– Ce n'est rien, je vais vous accompagner jusqu'à la cabane voulez-vous ? proposa le garde-chasse, profitant pour mater au passage la poitrine haletante désormais visible.
Claudiquant tant bien que mal, ils parvinrent tous les deux à l'entrée de la cabane. Les deux autres avaient déjà commencé à allumer le feu, une cafetière en émail remplie à ras bord commençait doucement à bouillir.
– Ah Madame la Baronne, on vous croyait perdu, installez-vous, je vais vous débarrasser de votre manteau ! dit Francis Latimier, le garde-forestier.
Le barbu d'une cinquantaine d'années, passa derrière elle sans lui demander son avis et ôta la fourrure épaisse des épaules fines de la bourgeoise qui frissonnait. Le parfum féminin réveilla ses narines, et sans comprendre pourquoi sa bite commençait déjà à gonfler d'excitation.
Il faut dire que Madame de Plessis, malgré ses cinq enfants, avait gardé une très jolie silhouette. Beaucoup d'hommes au château de Chambord se branlaient volontiers au beau milieu de la nuit en pensant à elle. Francis en faisait partie bien entendu.
– Eh, bien dites-moi on est pas si mal installés ici messieurs ! lança-t-elle d'une voix joyeuse.
– Je m'en sers comme un affût la plupart du temps. répondit Florian, tout en ajustant l'énorme objectif de son réflexe numérique.
Le grand brun à la carrure de rugbyman gagnait sa vie à photographier les animaux. La forêt était son terrain de jeu. Parfois il lui arrivait de faire de très jolies rencontres.
La dernière en date, c'était un dimanche vers 18 h 00. Une petite salope se faisait régulièrement sauter au même endroit par plusieurs pervers du coin. Autant dire que les murs de la chambre de ce célibataire en étaient tapissés. Les animaux c'est bien gentil, mais une chatte trempée défoncée par une grosse queue semblait beaucoup plus plaisant à contempler.
– Tiens, heureusement que j'ai vidé la carte mémoire, on risque de croiser pas mal de cerfs, il serait dommage de rater un tel événement. dit-il en levant la tête vers le visage de Bérengère de Plessis, devenue songeuse.
De son côté, Roger poussa la très large fenêtre de la cabane vers le haut. Il la bloqua de chaque côté, avec deux tasseaux en diagonale.
– Très bien, il ne reste plus qu'à attendre la meute, vous allez voir c'est formidable ! lança-t-il les yeux détaillant furtivement de bas en haut la robe en dentelle, arrivant à mi-cuisse sur des collants opaques. Ne pouvant s'empêcher de sortir sa langue pour mouiller ses lèvres machinalement, il détourna le regard au bout d'une minute.
Comme elle s'avança un peu vers l'ouverture panoramique, les trois autres restèrent volontairement en retrait, pour contempler les jolies fesses galbées serties d'un string qui marquait trop nettement le tissus de la robe noire.
Florian le photographe, fit mine d'ouvrir sa braguette en mimant grossièrement des mouvements de masturbation très appuyés. Les deux autres étouffèrent de rires, et redevinrent subitement sérieux lorsque Madame se retourna sentant qu'il se tramait quelque chose à son insu.
– Vous prendrez bien un peu de café ? proposa Francis, avec courtoisie.
– Oui, volontiers, avec deux sucres s'il vous plaît. répondit-elle, décidée à s'asseoir sur un tabouret rustique.
Tout en buvant l’infâme chicorée, Bérengère mata à son tour le cul de chaque mâle. Étrangement, elle préférait celui de Francis. Florian, pourtant plus jeune, avait un cul plat sans intérêt. Quant à ce vieux porc de Roger, il était trop gras, cet ivrogne devait au moins s'enfiler un pack de bière par jour.
" Bande de petits salauds, si vous croyez que je suis venue entendre le brame du cerf pendant des heures dans cette taule pourrie... j'ai plutôt envie de m'amuser un peu, surtout que ce con de Gonzague ne bande même plus pour moi " pensa-t-elle en soufflant sur sa tasse pour la refroidir.
– Ouf, fit-elle, se laissant tomber lascivement contre le mur en planches.
Elle en profita pour décroiser ses jolies jambes fuselées, histoire de voir un peu la réaction des trois acolytes.
– Oh, mais vos chaussures sont toutes sales, vous feriez mieux de les retirer, de plus il serait dommage de faire souffrir de si jolis pieds. proposa Florian.
Bien entendu, le gros porc s'en chargea précipitamment, sans même lui demander son avis. Tenant les jolis souliers, ses mains tremblèrent sur le moment. Puis, il les posa sur une étagère à côté d'une tête de biche empaillée.
Soudain un cri rauque se fit entendre non loin de là. Le jeune cerf dominant venait sûrement de régler le compte à l'un de ses congénères. L'animal en rut appelait désormais les biches prêtes à être fécondées les unes après les autres. D'après le garde-chasse, elles étaient au total de 30.
Madame de Plessis pausa sa tasse brûlante et arracha des mains les jumelles longue portée du garde-chasse posté en observation. Toute excitée, elle fixa l'animal, qui montrait son appendice sans la moindre pudeur.Sa paire de testicules, énorme, pendouillait allégrement à chaque mouvement qu'il entreprenait au cours de ses allées et venues, témoignant de son impatience.
– Mon Dieu, vous avez vu ça ? est-ce normal une taille pareille. interrogea-t-elle, baissant lentement la paire de jumelles sur ses seins gonflés de désir.
– Quoi, vous voulez parler de... enfin, vous me comprenez. répondit timidement Francis, gêné sur le coup.
– Regardez vous-même ! dit-elle sur un ton faussement choqué.
L'autre ajusta son regard dans les jumelles, tout en sachant pertinemment ce qu'il allait découvrir. Un merveilleux pénis rose, complètement décalotté, terminé par des bourses à faire pâlir un homme pourtant bien membré.
D'un seul coup, profitant de son travail d'observation, Madame de Plessis passa lentement sa main sur la braguette de Francis qui bandait vraiment dur. La taille de son pénis répondait tout à fait aux critères de la Baronne en terme de calibre, mais surtout de longueur. Ses caresses se firent de plus en plus insistantes, il commença à souffler bruyamment.
– Continuez de regarder l'animal, laissez-vous aller voyons ! murmura-t-elle pendant que les deux autres étaient occupés à ranger je ne sais quoi dans le cabanon.
La fermeture de la braguette glissa vers le bas pour faire sortir une magnifique bite toute excitée. Elle palpitait déjà, réclamant de plus en plus de soins. La Baronne savoura ce moment, et commença une délicieuse masturbation du bout des doigts.
– Faites moins de bruits, restez dans cette position, vos amis ne se doutent de rien. chuchota-t-elle à son oreille.
– Les gars, on a oublié d'apporter le pique-nique et la glacière, prenez les clés tout est dans coffre. proposa-t-il pour faire diversion.
Sans prendre la peine de lui répondre, Florian qui commençait déjà à avoir faim fut précédé par le gros porc qui n'avait pas sa dose d'alcool.
Madame de Plessis toute contente de la fausse excuse du garde-forestier, commença à baisser le regard pour admirer cette grosse queue qui la faisait déjà rêver.
– Maintenant tu vas me l'enfoncer dans ma bouche, comme si tu me pénétrais d'accord ! dit-elle en se mettant accroupie.
" Ah, tu veux jouer, petite garce ! tu vas être servie... on va bien s'occuper de toi ma cocotte ! " pensa-t-il.
– Eh, les mecs on ne s'étaient trompés sur son compte, elle veut déjà me sucer cette salope ! cria-t-il vers le 4x4 garé à quelques mètres.
Il a fallu à peine 30 secondes pour que les deux autres rappliquent. Le gros vicieux franchit la porte en premier soufflant comme un bœuf. De son côté Florian fit quelques réglages sur son appareil en bandoulière près à faire feu.
– Ici, c'est moi qui commande vociféra Francis, saisissant les cheveux de Madame de Plessis pour la faire se relever. Roger passa les mains sous sa robe pour constater qu'elle mouillait abondement. Prestement, il arracha le string en dentelle rose pour le porter à ses narines.
– Elle est prête à se faire sauter comme une grosse chienne, vas-y montre-lui comment tu vas la défoncer ! siffla-t-il, les yeux animés de vice.
Plaquée brutalement sur le ventre contre la table, Francis fit glisser la robe vers le haut pour découvrir un cul d'enfer. Il plongea son nez dans la fente odorante pour lui lécher l'anus avec appétit. Puis son majeur pénétra l'orifice sans prendre le soin de l'avertir.
– Mais qu'est-ce que...
– Ta gueule sale pute ! Je vais prendre ton cul de vierge et tu vas aimer ça, mais désormais je te prierai de la fermer, c'est clair ! cria-t-il en lui assenant une violente série de fessées qui dura près d'une minute.
Excité par la scène, le gros porc sortit sa bite et commença à se caresser tendrement pour savourer l'instant, en décalottant son gland un peu mou par de petits va-et-vient. Le photographe quant à lui n'en perdait pas une miette et prit des clichés très explicites montrant en détails les fesses rougeoyantes déjà très marquées de Madame.
– Je te conseille de prendre une bonne respiration, souffla-t-il, avant d'enfoncer son énorme dard d'un coup sec jusqu'à la garde.
Autant dire que la baronne du Plessis poussa un énorme cri, témoignant de la douleur avec laquelle son petit orifice avait été perforé. Se mains gantées s'agrippèrent des deux côtés de la table en bois massif, pour continuer de supporter cette souffrance inconnue.
Le pantalon de Francis glissa jusqu'à ses pieds, puis il écarta les jambes sans pour autant retiré son sexe gonflé au maximum. Il voulait laisser le temps à sa partenaire de s'habituer peu à peu à sentir cette chose brûlante en elle.
– ça va pas durer ma belle, quand il va te limer ton œillet d'amour je suis certain que tu vas jouir comme jamais ! dit Roger, en se levant lentement pour contempler le visage déformé de la bourgeoise haletante.
Ce n'est au bout d'une très longue minute, que Francis se décida enfin à jouer avec son bassin, tout en pétrissant les fesses d'une rondeur exceptionnelle.
– Alors ma jolie, ce n'est pas Gonzague qui te ferait des trucs pareils ?
Ces derniers mots déclenchèrent une cascade de rires. Les deux vicieux se regardèrent d'un air complice, se disant que la pauvre épouse bafouée n'en était qu'aux préliminaires.
– Ramone-la bon Dieu ! des femmes qui ont la quarantaine sont des salopes frustrées, tout le monde le sait ! encouragea Florian, se rapprochant pour changer son angle de vue.
Devenue beaucoup moins orgueilleuse, curieusement Bérengère, trouva un certain plaisir à la soumission. Elle, qui d'habitude donnait des ordres à longueur de journée. Au milieu de ces pourceaux sans moral, un sentiment étrange de lubricité avait pris le pas sur les bonnes manières devenues à la longue trop rigides.
– Baise mon petit trou, oui ! Enfonce ta queue bien à fond ! susurra-t-elle en frottant son clitoris sur l'arrête de la table.
– C'est bien, tu commences à prendre ton pied on dirait ! dit Francis, la tirant par les cheveux pour la faire cabrer en arrière. Tu vas voir ce que c'est de se faire tringler par un vrai mec !
Trop excité pour continuer ses pénétrations, certes très agréables, il ne pu se retenir de remplir copieusement le conduit rectal de la Baronne, devenue incontrôlable, tant elle remuait ses hanches.
– C'est tellement bon de se vider les burnes, surtout dans une pouffiasse comme toi. haleta-t-il tout en s'écroulant sur Madame.
Elle aussi avait joui, et pas qu'un peu. Mais par pudeur, la Baronne n'en montra aucun signe, au grand désespoir de son amant qui venait de la combler. En bonne vicieuse, Bérengère afficha un visage presque indifférent.
– ça t'a plu au moins petite garce ? finit par dire Francis, remballant son énorme queue devenue molle.
– Pourquoi ai-je attendu si longtemps pour me faire enculer ? souffla-t-elle essayant de se relever complètement.
– Faudrait demander ça à ton cher mari, tu crois pas ? ricana le gros porc, qui se rapprochait, voyant que la voie était libre pour lui. Je vais te montrer ma spécialité, retourne-toi et surtout écarte bien les cuisse ma belle...
Sans perdre de temps, il se mit à genoux pour enfouir son nez dans la toison épaisse et frisée. Les odeurs naturelles de femme en chaleur étaient à la limite du supportable. Mais l'appétit du garde-chasse n'était en rien freiné par ce genre de parfums si singuliers.
Sa langue fouilla la cicatrice de chair, d'abord sur les côtés, puis s’immisça à l'intérieur pour lécher la cyprine abondante qui collait sur chaque paroi de sa chatte. Elle fut surprise par tant d'habilité, de la part de cet homme un peu repoussant, faut il l'avouer.
– Mets-toi sur le côté, on voit rien ! s'agaça Florian appareil en main. Oui c'est ça tends bien la langue en la courbant un peu Roger, ouais !
Après quelques poses on ne peut plus salaces, le jeune homme semblait un peu contrarié. Il manquait une chose essentielle : les petits nichons de la baronne encore invisibles sous sa robe en dentelle noire. Curieux de nature, il aimerait les découvrir et pourquoi pas s'en occuper avec sa bouche, c'était son péché mignon.
Pendant que Madame se fait fouiller à nouveau son sexe ruisselant par le vieux vicelard, le photographe décida de déshabiller Bérengère de Plessis en ôtant tout d'abord sa robe. Et là, quelle surprise : pas de soutien-gorge ! Petite garce, et dire qu'il la prenait pour une pudibonde, le pauvre était loin du compte, visiblement c'était mal la connaître.
– Eh alors ? Tu es choqué petit coquin ! s'exclama-t-elle voyant sa réaction. Tu sais j'aime sentir frotter mes tétons contre le tissu, c'est divin. Pendant que tu es là, viens me lécher tu veux...
Le jeune homme suçota les bourgeons dressés l'un après à l'autre en cueillant dans la paume de ses mains les globe laiteux, un peu petits, mais encore fermes.
– Hum tout les deux ensemble, continuez à me baiser comme vous faites ! dit-elle tout en serrant fermement la tête de Roger toujours occuper à déguster sa petite friandise de plus en plus juteuse.
Il y en a un qui semble faire la gueule dans son coin. On l'avait presque oublié. Après être parti pisser contre un arbre et fumer une clope, le voilà de retour, complètement froid devant cette cochonne se faisant lécher tout en écartant les jambes comme la dernière des dépravées.
– Mon Dieu, je suis en train de jouir ! gémit-elle, la tête tournant dans tous les sens comme une folle. Roger mon petit cochon d'amour suce mon clito, oui, oh oui c'est merveilleux !
Les yeux embrumés, affichant un léger sourire elle se laissa tomber en arrière. En femme comblée elle se masturba une dernière fois puis goûter son petit jus d'amour du bout des doigts comme pour voir si elle n'avait pas rêvé.
– Maintenant que tu t'es bien amusée châtelaine de mes deux, tu vas goûter à notre foutre ! Mais avant, j'ai envie de te voir porter ta jolie fourrure, on aura l'impression de se taper une bonne pute... Mets-toi accroupie petite traînée !
– Comme tu veux mon lapin, dit-elle balançant les hanches tout en saisissant son manteau.
Elle s'exécuta, pliant les jambes, dans l'attente que ces messieurs se mettent en cercle autour d'elle pour lâcher leur petite purée crémeuse.
– Fais Aaaaaahhh ! proposa Roger, sur un ton lubrique.
– Vous savez que c'est la première fois pour moi, alors je veux un joli feu d'artifices, d'accord mes amours ! lança-t-elle léchant ses lèvres avec la langue de façon très suggestive.
D'une incroyable ardeur chacun se paluchait, tout en essayant de viser avec leur queue, la bouche impatiente de se rassasier.
Il ne fallut pas attendre très longtemps pour qu'un déluge de foutre vienne remplir entièrement la gorge de la Baronne. Que de sperme ! Elle avalait pourtant du mieux qu'elle pouvait, mais devant une telle d'abondance, Madame de Plessis manqua de s'étouffer, laissant couler le trop-plein sur ses jolis seins pour le plus grand plaisir des trois mâles surexcités.
– T'aimes le foutre petite salope ! ricana le gros porc. J'aime les femmes comme toi qui ne font pas de manières, ça me plaît !
Au moment où elle commença à se relever, Francis appuya sur son épaule d'une main ferme.
– Tu vas où comme ça ? Il va falloir nous sucer maintenant, dépêche j'ai hâte de sentir ta langue sur mon gland.
– D'accord, mais je préfère m'occuper de la queue de Roger, elle me semble plus petite...
– Comme tu voudras.
Affichant son plus beau sourire, le garde-chasse présenta son sexe boursouflé à Madame de Plessis, qui la pompa immédiatement. Plissant ses yeux derrière ses lunettes double foyer, le vieux vicieux cru qu'il allait défaillir tellement elle le suçait à merveille.
Après avoir vider le jus restant dans l'appendice sexuel, elle pris en bouche la queue un peu plus grosse de Florian. Il bandait encore, et du sperme s'écoulait toujours de son gland rougeoyant. Cette fois, Madame la Baronne dû s'appliquer à lécher délicatement le bonbon odorant en faisant tournoyer sa langue autour.
– Tu ferais une bonne pute, j'en connais qui paierait cher se faire tailler le dard avec toi ! souffla Florian, tout en caressant les cheveux de la femme brune.
– Hum, je suis sûre que je pourrais te faire jouir à nouveau ! dit-elle en le fixant droit dans les yeux.
Elle lui malaxa tendrement les couilles, puis le branla vigoureusement. Le jeune photographe, sentit monter à nouveau une vague de plaisir. Madame de Plessis, malgré quelques crampes ne relâcha pas son effort. Certaine qu'il allait venir, ses yeux se concentrèrent sur le gland prêt à faire jaillir sa petite liqueur.
– Bordel, ouais vas-y chiennasse ! Branle encore ! Oh putain je viens, c'est boooon ! gémit-il, éclaboussant les joues de sa bienfaitrice.
Puis elle essuya patiemment la verge palpitante sur son visage, avant de la fourrer dans sa bouche pour la déguster. Bérengère le suça bruyamment comme pour exciter le prochain partenaire qui trépignait juste à côté.
Peu intimidée par la grosse taille du sexe de Francis, elle commença gentiment à le branler.
– Félicitations, voilà ce que j'appelle un engin ! Après me l'avoir fourré dans mon cul, il est temps de passer à un petit nettoyage n'est-ce pas... dit-elle, regardant amoureusement son étalon.
– Tu ne crois pas si bien dire, trêve de bavardage, les trois quart du temps les cochonnes qui m'ont sucé n'ont pas tenue une minute. Montre-moi ce que tu sais faire au lieu de bavasser ! rugit Francis.
Comme la dernière des salopes elle réussit à enfiler entièrement sa queue sans même verser une larme, à croire que sa bouche était idéale pour les pipes. Mais le membre était si gros qu'elle eut rapidement mal à la mâchoire. Loin d'être découragée, Madame la Baronne fit coulisser la grosse friandise entre ses lèvres pulpeuses, devant les yeux ébahis des deux acolytes.
– Cela convient-il à Monsieur ? demanda-t-elle d'une voix charmante.
– C'est un début très prometteur, continue ! gémit-il, caressant son visage tendrement.
Reprenant son souffle de temps en temps, elle soutint son regard tout en exerçant sa langue talentueuse sur le bourgeon rouge vif. Puis secouant la tête de plus en plus vite de bas en haut, elle enfourna l'énorme sexe pour le faire cogner contre le fond de sa gorge chaude.
Enfin, Madame de Plessis prit un soin tout particulier à lui lécher les couilles pour remonter lentement sur toute la longueur à plusieurs reprises. Elle aimait le voir bander comme un fou, sa petite chatte pendant ce temps mouillait terriblement cela va sans dire.
– Tu m'as tellement bien défoncé le cul tout à l'heure, c'est un peu normal que je te fasse du bien à présent, au fait tu es marié ? interrogea-t-elle, en branlant sa bite brutalement.
– Oui et alors, bobonne n'est douée que pour la cuisine et le ménage. répondit-il sèchement.
– C'est pas gentil de dire du mal de sa femme, ça lui ferait quoi de me voir te sucer comme une cochonne dis-moi ?
– Arrête tes questions, continue de me pomper, je sens que je ne vais pas tarder à jouir ! grogna-t-il, serrant davantage les dents.
Francis se mit à haleter en fermant les yeux, la douceur de cette langue autour du gland au supplice, lui envoya de violentes décharges électriques. Puis, un léger frisson venu de ses grosses couilles pendantes lui parcourut tout le corps.
Profitant d'avoir sa queue cognant contre la gorge de Madame de Plessis, il expulsa le reste de son jus tiède à cet instant précis. De son côté, elle s'immobilisa sur le point de s'étouffer. Ses petites narines se dilatèrent, elle finit par déglutir le sperme délicieux coulant au fond de sa gorge.
Enfin, elle retira le monstre gluant de sa bouche poisseuse pour lécher le bourgeon devenu sensible.
– C'est pas trop tôt, j'ai bien cru que jamais je n'allais y arriver petit coquin ! soupira-t-elle continuant de le branler. Ça t' a plu au moins ?
Prise de terribles crampes aux jambes, Madame de Plessis, se releva péniblement. Chacun leur tour, les deux autres ne purent s'empêcher de l'embrasser sur la bouche. Hum, sa langue sentait encore le foutre, un pur délice.
– Messieurs, ce sera tout pour aujourd'hui ! On a beau dire mais l'air de la campagne ça crève, vous ne trouvez pas ?...
Descollages
© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.
Histoire-Erotique.org lutte contre le plagiat pour protéger les oeuvres littéraires de nos auteurs.
Cette page est destinée à être consultée en ligne et ne peut pas être imprimée ou copiée.
© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle. Un nombre important d'auteurs nous ont donné l'exclusivité totale de leurs textes.
Commentaires de l'histoire :
Voir les autres récits érotiques de cet auteur ou bien pour le contacter par email