Je me promenais dans les bois lorsque j'ai aperçu au loin un couple en plein action. J'hésitais à faire demi tour, mais je ne regrette pas d'avoir pris une autre décision...
Proposée le 24/03/2023 par L'acoste
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Thème: Exhibition, voyeurisme
Personnages: FHH
Lieu: Forêt, campagne, nature
Type: Fantasme
On est dimanche. Rien d'exceptionnel prévu dans la journée, mais pas envie de rien faire non plus. Du coup je me motive pour faire un truc que je ne fais jamais normalement: une balade en forêt. J'étais loin de me douter que la balade prendrait une tournure très particulière...
Je connais assez bien la forêt. Je sais que les bois sont assez étendus, plutôt valonné donc il y a beaucoup de coins relativement isolé. Il y a une promenade avec un parcours de santé qui est assez fréquenté, mais également des chemins moins emprunté où ne passe que très peu de personnes dans l'heure voire la journée. Enfin, il y a une cabane dans la forêt, assez reculé, où l'on devrait pouvoir observer des oiseaux, mais vu la période, il n'y a rien a observer.
Je marche de manière complètement aléatoire dans la forêt, en commençant par le chemin principal mais pour m'isoler un peu, je pars vite sur un chemin un peu plus en retrait. Après 30 min environ, je m'approche de la cabane. Cela faisait un petit moment que je n'avais croisé personne et je ne m'attendais pas forcément à croiser quelqu'un. La cabane se rapprochait de plus en plus. Elle est construite à base de rondin de bois et l'ouverture est tout de suite masquée par un pan de mur en rondin parallèle, ce qui implique que de l'extérieur il est presque impossible de voir l'intérieur de la cabane, sauf les trente premiers centimètres au dessus du sol. C'est effectivement la seule zone que je pouvais observer en m'approchant de la cabane.
J'étais désormais à une cinquantaine de mètre de la cabane lorsque j'aperçois par ce regard que de l'autre coté du pan de mur, il y a du mouvement, mais sans identifier exactement ce mouvement, qui semble cependant régulier. J'étais peut être un peu crédule de ne pas comprendre de suite ce qu'il se passait de l'autre coté, mais il m'a bien fallu une dizaine de seconde avant de distinguer deux paires de jambes agenouillées et deux bras en appui sur le sol. Oui, quelqu'un se faisait prendre en levrette derrière ce pan de mur.
La cabane est reculée dans la forêt d'environ 15m depuis l'intersection à laquelle je me trouvais. Je venais à peine de réaliser ce que j'étais en train de regarder, que le spectacle jusque là si régulier fut perturbé. Sous le pan de mur, la tête de la personne à genou s'aplatit sur le sol. A peine nos regards s'étaient croisés que je me mis à marcher dans la direction opposée à la cabane comme si je n'avais rien vu. J'avais juste eu le temps de voir dans ses yeux l'affolement de me voir planté à moins de vingt mètres d'eux. Cela ne faisait que quelques secondes que je marchais que je me posais des dizaines de questions. Qu'étaient ils en train de faire maintenant ? M'avaient ils entendu arrivé ? Pensaient ils que j'étais planté là depuis longtemps comme un pervers étrange? Pourquoi avaient ils choisi de le faire ici si ce n'est pour prendre ce genre de risque? Mais surtout, une question me dévorait l'esprit: Que se serait il passé si j'étais rentré dans cette cabane ?
J'étais à un peu plus de 50m de la cabane quand je me suis subitement arrêté de marcher. Je sentais que j'étais très excité à l'idée de ce qu'il venait de se passer, je trouvais cela à la fois drôle, cocasse, mais surtout extrêmement excitant. Mon excitation se traduisait évidemment par une bosse dans mon pantalon qui ne tromperait personne. Je tournais la tête vers la cabane en ne me demandant qu'une seule chose: Est-ce que j'y retourne? Je ne sais toujours pas pour quelle raison, mais je fis demi tour et me dirigeais vers la cabane où je n'avais aucune idée de ce qui pouvait m'attendre. En m'approchant de l'entrée, je vis que les jambes n'étaient plus dans la même position. Je pu voir qu'ils étaient tous les deux debout, en train de se rhabiller. Je ne savais toujours pas à quoi ils ressemblaient, mais je m'approchais de l'entrée, je n'étais qu'à quelques mètres d'eux, séparé par ce pan de mur qui les avaient grandement dévoilé à moi mais qui n'avaient finalement rien révélé de qui ils étaient.
Au moment où j'allais rentrer dans la cabane, un homme sortit de derrière le pan de mur, me regarda d'un air sévère comme si j'empiétais sur son territoire (bon, c'était peut-être le cas). Il était environ dans mes âge, assez grand, corpulence normale, et visiblement avait eu le temps de se rhabiller. Nous n'avions pas échangé un mot que la femme sortit à sont tour de derrière le mur. Elle était fine de taille moyenne, ses cheveux bruns tombaient tout juste sur ses épaules. Elle était habillé d'un simple jean qui moulait parfaitement ses formes et d'un chemisier qui laissait apparaitre ses tétons encore dur. Ses yeux verts profonds se posèrent sur moi avec un regard plutôt inquiet, gênée.
Un silence plutôt malaisant s'installa durant plusieurs secondes qui paraissaient pour chacun de nous une éternité. Je pense qu'ils se demandaient surtout ce que je faisais là, pourquoi j'étais revenu. Pour être honnête je me posais la même question. Pour briser le silence, je devais trouver quelque chose à dire car ils ne semblaient pas enclin à engager la conversation et attendaient plutôt des explications. N'ayant pas la meilleure tchatche, je n'avais aucune idée de ce que je devais dire et tout ce que je réussi à balbutier fut...
- Bonjour..
- Bonjour me répondit l'homme d'un ton ferme et insatisfait de cette amorce.
- Je, euh, ... - Je n'avais aucune idée de ce que je devais ou même voulais dire, et surtout de comment le dire.
Je continua :
- Je ... suis désolé je ne sais pas pourquoi je suis venu, je ne voulais pas vous déranger, je ne savais pas quoi faire, quand je vous ai vu j'ai, j'ai paniqué mais après.. - Les mots sortaient d'un coup très naturellement et je ne sais pas comment ils recevaient mes explications mais j'étais parfaitement honnête et je ne faisais que de dire ce qui me passais par la tête. - ... après être parti, je ne sais pas pourquoi, j'étais excité par ce que je venais de voir, je ne suis pas un pervers ou un voyeur étrange mais je me suis dit que je devais revenir, je ne sais pas pourquoi, mais simplement que je devais le faire ou je le regretterai longtemps.
Alors que je venais de révéler tout cela, la tension semblait avoir chuté, la femme regarda son homme, sourit, et s'avança vers moi de quelques pas.
- C'est vrai que tu nous a interrompu, c'est vrai que tu ne ressembles pas à un pervers ou un voyeur, et c'est vrai que tu sembles bien excité dit elle en regardant la bosse de mon pantalon qui n'avait pas désenflée.
- Mais à quoi t'attendais tu en venant ici ? continua -t-elle. Elle se rapprochait de moi tout doucement au fur et à mesure qu'elle parlait. L'homme la regardait faire sans opposer de résistance mais ne semblait pas non plus approuver sa démarche. Elle continua.
- Tu pensais nous surprendre nus, en pleine action? Tu pensais que tu pourrais me regarder prendre son sexe dans ma bouche ? Tu pensais peut être pouvoir te toucher en le regardant me prendre en levrette ? Ou tu pensais peut être même que je te sucerai pendant qu'il me pénètre et vous que jouiriez tous les deux sur mes seins ?
A ce moment, elle passa sa main sur mon pantalon pour me caresser le pénis, ce qui ne fit qu'intensifier l'excitation. Je ne savais pas ce qui se passait, pourquoi se jouait-elle de moi comme ça ? Son regard se plongea dans le mien. Ses yeux timides avaient gagnés en assurance et été désormais déterminés. Elle jeta un rapide coup d'oeil à son partenaire qui ne dit aucun mot au fait qu'elle soit en train de me caresser le sexe.
Je sentis qu'elle commençait à défaire la boucle de ma ceinture, puis le bouton de mon jean. Elle me fit reculer doucement le long du mur avant de s'agenouiller devant moi, tout cela en continuant de me regarder dans les yeux. Son regard gagnait en assurance, en conviction, et surtout en désir. Elle me regardait toujours droit dans les yeux lorsqu'elle sortit mon sexe de mon caleçon, elle enfonça sans hésitation la majeur partie de celui ci dans sa bouche, elle aurait voulu tout mettre. La sensation que cela me procura me fit perdre son regard. Elle jouait avec sa langue à merveille sur mon gland, alternait efficacement ces petits jeux de langue, la masturbation et la gorge profonde. C'était sublime. Spectateur de ce scénario, son partenaire avait lui aussi sortit son sexe et se rapprocha de nous, elle se mit alors, un pénis dans chaque main, à nous sucer l'un après l'autre en alternant fréquemment et ne laissant que très peu de repos à sa bouche.
Nos mains se baladèrent sur son corps, son chemisier enlevée je découvris une poitrine de taille moyenne, bien rebondit. Le contact avec ses tétons lui procurait un plaisir intense que nous pouvions sentir lorsqu'elle avait en elle nos sexes.
Après de longues minutes de fellation intense, j'avais envie de lui donner plus de plaisir, je voulais sentir ce corps que je venais de découvrir se cambrer de plaisir au rythme de mes doigts ou à la mesure de mes coups de reins. Je lui fis donc signe de s'allonger sur le sol et retira son pantalon. Elle portait un string que l'excitation avait abondamment mouillé. Une fois celui ci retiré, je glissa ma tête entre ses jambes afin d'embrasser tout d'abord ses cuisses, avant d'arriver sur son clitoris. Son partenaire se plaça au niveau de sa tête ou celui ci continua de se faire sucer et masturber.
Ma langue roulait sur ses lèvres et son clitoris et je la sentais se cambrer de manière saccadée, emplit de plaisir. Le sexe de son partenaire dans sa bouche atténuait fortement ses gémissement mais je sentais sa main dans mes cheveux qui m'incitait à continuer. Lorsqu'elle libérait sa bouche, elle gémissait plus fort en me suppliant de continuer. Son corps était constamment pris de spasmes et je sentais la pression de sa main sur ma tête s'intensifier. Pendant que je jouais avec son clitoris, deux de mes doigts faisaient des aller retour en elle à un rythme modéré. J'accéléra subitement ce rythme et je sentis son corps se contractait. Les gémissement s'intensifiaient au point qu'elle arrêta de sucer son partenaire. Elle gémissait de plaisir, bouche grande ouverte, avec ma langue sur son clitoris, deux doigts dans son sexe et le pénis de son partenaire sur ses lèvres.
D'un coup, elle s'arrêta net, pris ma tête et me plaqua très fort contre elle. Elle venait de jouir. Son orgasme était à peine passé que ses yeux se replongèrent dans les miens. Je sentis qu'une faim de plaisir renaissait en elle. Elle en voulait encore plus, elle regarda alors son partenaire et lui déclara: "Prenez moi".
A peine ces mots prononcés, elle se plaça à genou entre nous deux, elle s'était tournée pour rapprocher sa tête de mon sexe et laisser son partenaire la pénétrer. A peine était elle en position qu'elle goba l'entièreté de mon pénis et fit des va et vient avec au fond de sa gorge. De l'autre coté, son partenaire la pénétrait intensément, à un rythme encore plus soutenu que ce que j'avais vu tout à l'heure, comme s'il était galvanisé par le fait que sa copine soit en même temps en train de sucer un parfait inconnu. Le rythme qu'il imposait était si puissant qu'il correspondait à celui auquel mon sexe rentrait dans la bouche de sa partenaire. Pendant ce temps, mes mains se baladaient sur elle, sur ses fesses, ses seins... Puis elle se tourna, et se fut à moi d'imposer le rythme de la pénétration. J'étais un peu moins rapide que son partenaire, mais ma main droite caressait en même temps son clitoris ce qui la faisait gémir de plus en plus fort.
Il n'y avait plus aucune retenue. Elle criait si fort qu'il était impossible que personne ne nous entende. Notre ébat était intense, son partenaire guidait le rythme de la fellation tandis que je continuais à la prendre en levrette, parfois en tirant juste comme il faut les cheveux ou en claquant ses fesses. Je pensais que nous avions atteint le maximum de l'excitation lorsqu'elle demanda: "Prenez moi en DP".
Une double pénétration. Nous étions sont partenaire et moi ceux qui imposions le rythme du rapport, mais c'est elle qui nous guidait pour les positions.
L'homme s'allongea sur le dos et elle s'asseya sur lui, en faisant totalement disparaitre son sexe dans son anus. Elle fit quelques mouvement pour s'assurer que tout se passerait bien avant de m'inviter à me placer sur elle. Nos visages étaient si proche que je pouvais sentir son souffle dans ma nuque. A chaque coups de reins que nous lui assénions, son souffle s'intensifiait et ses gémissement se faisaient entendre. Elle plongeait encore une fois ses yeux dans les miens comme pour me demander d'accélérer, d'intensifier le mouvement. C'est ce que j'essayais de faire mais elle semblait toujours demander plus, comme si deux sexes en elle ne suffisait pas. Ma bouche se posa sur ses seins et je combinais la pénétration à un petit jeu de langue sur ses tétons. Sa réaction me laissa supposer qu'elle approuvait cette initiative.
Lorsqu'elle se tourna, je m'inséra dans son anus en douceur, je sentais que cela lui procurait un plaisir intense. Son partenaire et moi atteignons un rythme très soutenu, en parfaite coordination. Ma main se replaça sur son clitoris afin de maximiser le plaisir procuré. Il ne fallu que quelques minutes avant que son partenaire se mettent à gémir de plus en plus fort. Comprenant qu'il allait jouir, elle s'extirpa de nos membres en train de l'empaler sauvagement et se plaça à genou au milieu de nous deux. Elle ouvrit la bouche, sortit la langue comme pour nous inciter à jouir dans sa bouche et se caressa les seins. Son partenaire se leva, fit quelques aller retour dans sa bouche avant de se retirer. Elle le masturba jusqu'à ce qu'elle réussisse à extraire du chibre de son partenaire des filets de spermes chaud qui giclèrent sur son visage. Je me tenais à coté, excité, attendant mon tour. Elle se tourna alors vers moi et engloutis mon sexe dans sa bouche. Il ne fallu également que très peu de temps avant que l'envie de remplir sa bouche de foutre ne monte. Je lâcha mon sperme dans sa bouche, et après m'être retiré, elle avala d'une seule traite ma semence avant de me montrer d'un air fière sa bouche vide, comme pour montrer que le travail était bien accompli.
Après quelques minutes pour reprendre nos esprits, chacun se rhabilla, puis nous sommes sortis de cette cabane comme si de rien n'était, et nous sommes séparés, eux deux d'un coté et moi de l'autre. Je me suis repromené plusieurs fois dans cette forêt depuis, repassant toujours par la cabane, mais je n'y ai jamais recroisé mes partenaires d'un jour...
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