Une rencontre

Étienne n’a pas vraiment l’occasion de faire des rencontres. Mais le jour où il décide de changer les choses, il est loin d’être déçu grâce à Mathilde qu’il va rencontrer et avec qui il va passer une très belle soirée.

Proposée le 16/01/2023 par Inconnu808

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Thème: Première fois
Personnages: FH
Lieu: A la maison, intime
Type: Fantasme

Bonjour à toutes et à tous.

Je lis des histoires érotiques depuis maintenant un peu plus de 10 ans. J’ai découvert ce monde que je fréquente de manière intermittente et j’avoue que je m’y plais bien. Il y a quelque chose dans les histoires de beaucoup plus subtil que dans les vidéos pornographiques. Et aujourd’hui, pour la première fois, je me décide à écrire une histoire.

Alors voilà :

Étienne avait 28 ans. Il terminait ses études de médecine. Il n’avait pas vraiment le temps de sortir et, évidemment, encore moins d’avoir une copine. Les seuls contacts qu’il avait avec la gente féminine étaient celles de ses soirées étudiantes. Mais il l’avouait seulement à moitié : les filles qu’il fréquentait là-bas n’étaient pas vraiment à son goût et ces soirées étaient, de toutes façons, bien trop rares.
De fait, Étienne s’était inscrit sur un site de rencontres. Au début, il n’y croyait pas trop. En effet, il avait déjà eu une première expérience au début de ses études et celle-ci s’était révélée assez peu agréable. La fille était en réalité en couple depuis plus de 2 ans avec son chéri et ne faisait que « tromper l’ennui ». Sans compter qu’elle manquait cruellement d’imagination au lit…

Étienne était resté environ 2 mois sur ce site de rencontres. Le temps pour lui de faire quelques connaissances, rien de plus. Ses études ne lui permettaient pas d’engager un temps considérable dans ces choses-là et il était difficile. Mais finalement, alors qu’il pensait supprimer l’application, un rayon de soleil apparut enfin. Une fille - Mathilde - lui avait écrit.

Mathilde, d’après sa photo de profil, était souriante. Elle aimait voyager, profiter de la vie et… surprise ! Elle était dans la même université que lui ! Étienne regardait évidemment aussi son corps. Mathilde aimait poser de temps à autre en maillot de bain et n’avait clairement rien qui pourrait l’en empêcher. Des seins généreux, une taille qu’il estimait dans la moyenne, de beaux cheveux lisses et blonds et de beaux yeux verts. Cette fois, il pensait avoir enfin rencontré la bonne !
Étienne répondit à Mathilde. Il commença par la féliciter d’avoir fait le premier pas. Mathilde lui écrivit également, quasiment dans la minute. S’ensuivent ainsi 3 jours de messages sans interruption. Puis une proposition : Mathilde allait chez des amis et elle aimerait qu’il vienne. Étienne fut un peu décontenancé car cela lui paraissait assez rapide de passer dans son cercle d’amis de cette façon. Mais elle le rassura et elle lui expliqua que c’était un terrain neutre, qu’elle mettrait ses amis au courant et que tout se passerait bien.

2 jours plus tard, Étienne et Mathilde se retrouvèrent enfin. (Inutile de dire qu’ils avaient continué à s’écrire de manière toujours aussi intense jusqu’à ce rendez-vous.) Étienne avait arboré une tenue décontractée mais pas trop pour être présentable mais ne pas paraître trop à l’aise. Arrivé en bas de l’immeuble, il appela Mathilde qui descendit immédiatement. Il la vit enfin et ses yeux scintillèrent : les photos n’étaient pas menteuses. Ses cheveux blonds étaient bien attachés et bouclés pour l’occasion, ses yeux étaient bien mis en valeur par un maquillage léger et, pour couronner le tout, Mathilde avait revêtu une robe noire qui épousait à merveille ses formes et montrait juste ce qu’il fallait.

Étienne la complimenta et lui fit la bise. Mathilde rougit et lui dit qu’il était beau aussi. Étrangement, ni l’un ni l’autre ne fut mal à l’aise. Ils se regardaient et semblaient être sur la même longueur d’onde. Mathilde lui proposa de monter et ils allèrent en haut.
La soirée se passa agréablement. Les amis de Mathilde étaient tous très sympathiques. Ils burent quelques verres mais pas trop et firent connaissance avec Étienne.

Vers 21 heure, Mathilde proposa à Étienne d’aller faire un tour dehors. Ils descendirent, allumèrent une cigarette et marchèrent au hasard des rues. Il parlèrent de tout et rien, sans s’arrêter, sans craindre les blancs. Étienne ne voyait pas le temps passer et il n’aurait su dire depuis quand ils étaient partis. D’ailleurs, il ne savait même pas où ils se trouvaient. Au bout d’un moment, Mathilde s’arrêta et le regarda droit dans les yeux. Étienne n’eut pas le temps de comprendre qu’elle lui dit qu’ils étaient devant chez elle et qu’elle voulait lui proposer un dernier verre à l’intérieur.

Étienne lui rétorqua que ses amis devaient s’inquiéter et elle lui expliqua qu’elle les avaient mis dans la confidence et qu’elle n’était pas sûre de revenir. Étienne la regarda et accepta sa proposition.

Ils montèrent les escaliers en colimaçon et arrivèrent jusqu’à son pallier. Mathilde vivait seule depuis maintenant 2 ans. Un petit appartement de 20 m2 qu’elle finançait grâce à un travail à mi-temps et aux aides de la CAF. Étienne aimait beaucoup la décoration. Très simple mais avec beaucoup de charme.

Mathilde lui dit de s’installer et rapporta une bouteille de vin blanc et 2 verres. Elle les servit et ils burent leur verre très rapidement, sans même s’en rendre compte.

En effet, l’atmosphère était au beau fixe et ils étaient déjà un peu éméchés à cause de la soirée chez ses amis. Mathilde resservit les verres pendant qu’ils parlaient. Puis elle se leva, le regarda à nouveau fixement et lui dit d’attendre quelques instants. Elle passa la porte du salon et il se retrouva donc seul avec son verre de vin. Étienne ne sut de nouveau pas combien de temps s’était écoulé mais cela lui semblait assez long. Alors qu’il avait fini par prendre son téléphone et par se resservir un troisième verre, il vit revenir Mathilde. Il semblait que rien n’avait changé au premier abord mais, en réalité, des petites différences lui firent comprendre qu’elle s’était faite un peu plus belle pour lui. Le maquillage avait changé, le parfum était devenu un peu plus intense et, surtout, alors qu’elle s’assit pour se remettre à côté de lui, il put voir que non seulement elle avait enlevé son soutien-gorge mais qu’elle avait enfilé un string ficelle. Étienne n’en revenait pas mais ne dit rien.

La bouteille de vin était finie et Mathilde se leva pour aller en chercher une autre. Il profita de la vue qu’elle lui offrit en se levant vers la cuisine puis en revenant et en se penchant vers lui pour le resservir une énième fois. Et alors qu’ils parlaient encore et toujours, leur regard s’arrêtèrent et Étienne embrassa Mathilde.

Il savourait ce baiser qui lui apparaissait avec un goût merveilleux. Ses lèvres qui n’étaient pourtant pas très pulpeuses se trouvaient être gonflées par le désir. Étienne, tout en continuant de l’embrasser, passa sa main derrière Mathilde et descendit lentement vers ses fesses. Lui qui avait si peu d’expérience avec les femmes ne savait pas comment il se trouvait assez d’audace pour faire ce genre de chose. En réponse, Mathilde posa sa main sur sa cuisse et remonta vers son entre-jambes.
Étienne embrassa avec encore plus de fougue Mathilde et elle pressa d’un coup sa verge toute gonflée.

Étienne n’avait pas un membre démesuré mais il était suffisamment bien doté par la nature pour surprendre Mathilde. Celle-ci continua les pressions sur son entre-jambes jusqu’à ce qu’Étienne passe son autre main sur le ventre de Mathilde en remontant lentement vers ses seins. Elle ne se sentit alors plus contenir et défit la ceinture, le bouton et la fermeture d’éclair du pantalon d’Étienne et, détachant ses lèvres des siennes, elle se mit à genoux devant lui, baissa son caleçon et prit son membre à pleine bouche.

Étienne n’eut même pas le temps de comprendre ce qui s’était passé qu’il se retrouva à grogner de plaisir. Mathilde avait l’air douée. Pas forcément habituée mais habile de sa bouche. Elle le pompa assidûment et goulûment pendant plusieurs minutes. Elle variait parfois en passant sa langue sur son gland et en léchant ses boules elles aussi gonflées par le plaisir. Elle s’appliquait même parfois à faire rentrer sa verge tout au fond de sa gorge pendant plusieurs secondes avant de ressortir avec des filets de bave pendant entre sa bouche et son gland comme une toile d’araignée. À un moment, Étienne se sentit suffisamment de bravoure pour lui prendre la tête à pleines mains et faire des va-et-vient rapides et profonds. Elle ne protestait pas et semblait prendre beaucoup de plaisir à le voir gémir comme il le faisait.
Puis elle se leva, retira sa robe et se retourna pour qu’Étienne puisse admirer son fessier. Si ce qu’elle avait devant était déjà très agréable, l’arrière l’était encore bien plus. En effet, Mathilde avait une paire de fesses bien ronde et avait l’air de le savoir. (Il apprendrait plus tard qu’elle avait une passion pour les strings et l’effet que cela procurait aux hommes.) Elle fit descendre lentement sa pièce de lingerie le long de ses cuisses et de ses jambes et, sans même avoir pris le temps de retirer ses talons, le retira complètement et lui apparut entièrement nue.

Étienne ne savait plus quoi dire. Elle était incontestablement ravissante et plus que désirable. Il la prit par les hanches, la retourna vers lui et la fit se pencher vers lui pour qu’il puisse l’embrasser. Il descendit très vite vers ses seins puis vers son ventre et se retrouva en un éclair sur son entre-jambes. Étienne découvrit alors une chatte absolument superbe et entièrement rasée. Il n’hésita pas un seul instant et commença à la lécher et à la dévorer comme si sa vie en dépendait. Quel régal ! Quel délice ! Étienne se régalait et était encouragé par les gémissements de Mathilde qui était toujours debout et avait posé une jambe sur le canapé. Elle lui prenait la tête à 2 mains et ne le lâchait pas.

Soudain, alors qu’elle criait de plaisir, elle s’extirpa de sa bouche, se retourna et s’assit en s’empalant sur lui. Étienne n’eut pas le temps de réaliser ce qui venait de se passer. Il trouvait cela dangereux de ne pas se protéger mais tous les 2 prenaient tellement de plaisir qu’ils en oublièrent tout. Mathilde dégoulinait sur les cuisses d’Étienne. Elle n’avait de cesse de monter et descendre. Cela dura pendant un temps qui parut infini. Étienne finit par se rendre compte qu’il n’allait pas pouvoir se retenir plus longtemps et le fit comprendre à Mathilde qui s’empala de plus belle sur la verge prête à exploser avant de se retirer, de dire à Étienne de se lever et de se mettre à genoux devant lui.
Étienne savait qu’il vivait une des plus belles soirées de sa vie et la laissa faire. Mathilde prit le sexe d’Étienne à pleine bouche, le pompa avec toutes les forces qu’il lui restait et posa ses mains dessus en même temps pour le branler. Étienne n’avait jamais ressenti un tel plaisir. Mathilde retira ses lèvres de la verge gonflée de désir et continua de le branler en le regardant fixement dans les yeux. Ils ressentaient le même désir l’un pour l’autre et Étienne comprit que ce n’était que le début. Malgré tout, Étienne lisait aussi beaucoup de tendresse dans les yeux de Mathilde et il comprit qu’elle voulait lui faire plaisir. Étienne sentit de nouveau le sperme monter au bout de son gland et Mathilde continua de le branler de toutes ses forces jusqu’à ce qu’une giclée ne vienne arroser son magnifique visage. Étienne l’arrosa ainsi pendant plusieurs secondes. Son sperme était chaud et abondant. Mathilde le regarda en souriant et continua de le branler pendant quelques instants avant de le prendre en bouche et de l’enfoncer tout au fond de sa gorge. Étienne la regarda avec des yeux qui voulaient dire merci.

Mathilde se leva, le regarda encore une fois et partit en direction de la salle de bains. Étienne se rhabilla, finit son verre et attendit qu’elle revienne. Il resta là pendent presque 1 heure. Quand Mathilde revint, elle l’embrassa directement et lui proposa de retourner à la soirée. Il était minuit et ils avaient encore le temps de profiter. Étienne accepta et ils sortirent, dégrisés par le moment qu’ils avaient passé.

En arrivant, ses amis savaient très bien ce qu’il s’était passé mais personne ne dit rien et la soirée reprit son cours. Ce n’est que vers 3 heures du matin que les premiers signes de fatigue apparurent. Mathilde proposa alors à Étienne de venir dormir chez lui, ce qu’il accepta de nouveau.

En arrivant, elle ne lui laissa même pas le temps de respirer qu’elle l’embrassa. Elle se déshabilla rapidement et l’emmena vers la chambre. Elle passa encore une fois dans la salle de bains, cette fois un peu moins longtemps. Elle revint avec rien d’autre que le soutien-gorge qu’elle avait mis avant et le soutien-gorge assorti. Elle s’allongea sur lui, l’embrassa et lui demanda de bien vouloir lui passer le lubrifiant qui était dans le tiroir à côté du lit. Étienne comprit ce qui allait se passer et s’exécuta. Elle se leva et se mit à 4 pattes en lui présentant son fessier. Étienne crut d’abord à une vision mais non. Sous son string, il distingua bel et bien un plug anal.

Étienne lui enleva son string et retira doucement le plug. Il appliqua sa langue sur l’entrée de son petit trou et la lécha pendant plusieurs minutes. Elle lui expliqua qu’elle n’avait pas souvent pratiqué la sodomie mais qu’elle aimait le port du plug anal et qu’elle en avait envie avec lui. Étienne apprécia sa marque de confiance et fit en sorte de lui rendre cette expérience inoubliable.

Il se mit derrière elle, recouvra son membre d’une forte dose de lubrifiant et se prépara devant son intimité. Il pressa un peu pour la dilater et se retrouva bientôt dedans. Mathilde semblait prendre beaucoup de plaisir. Elle l’invita à entrer en elle plus rapidement et Étienne s’exécuta de nouveau. Il prit ses hanches entre ses mains et la ramona pendant de longues minutes. Mathilde convulsait de plaisir et se tordait dans tous les sens. Elle n’en pouvait plus, même si elle avait un peu mal, les sensations étaient bien trop agréables.

Étienne accéléra encore plus et, alors que Mathilde hurlait a réveiller tout le quartier, il déversa toute sa semence au fond de son cul. Mathilde s’effondra et resta allongée pendant un temps qui lui parut infini. Elle parvint enfin à se relever et fila vers la salle de bains. Étienne était aux anges.
Quand Mathilde revint, elle s’allongea à côté de lui et l’embrassa. Malgré tout, elle en voulait encore et commença à le branler. Étienne en voulait aussi mais il n’avait plus d’énergie et lui promit qu’au réveil il ferait tout pour la satisfaire. Elle accepta et ils s’endormirent ainsi.

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