Histoire Erotique

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Inès la nouvelle assistante de Bruno 4

Bruno est consultant et a ouvert son cabinet conseil. Le hasard lui a fait rencontrer sa nouvelle assistante. Il entretien une relation purement sexuelle avec une cliente . En parallèle il se rapproche peu à peu de son assistante...

Proposée le 29/01/2024 par Vincent20100

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Thème: Couple, passion
Personnages: FH
Lieu: Bureau, travail
Type: Fantasme


En début d'après-midi, Bruno montre à Inès comment fonctionne le scanner du bureau et lui demande de numériser un projet de renouvellement de contrat avec la société pour qui Laura travaille.
-Voilà Inès. Je vous fais confiance. C'est important : n'oubliez pas que votre salaire dépend de la signature de ce contrat.
-Oui, oui, ne vous inquiétez pas. Je vais tout faire comme il faut et quand vous verrez que je suis efficace, vous serez obligée de me garder.
Bruno retourne à son bureau. Il se demande s'il doit faire confiance à Inès. Comme elle est un peu maladroite, il se dit qu'il devrait vérifier. D'un autre côté, s'il ne lui fait pas confiance, la jolie brune ne tombera jamais sous son charme. "Je prends le risque" se dit-il intérieurement.

Un peu avant 16h, Inès se lève et annonce à Bruno qu'elle a faim.
-Que voulez-vous que j'y fasse Inès ? Si vous avez faim, mangez.
-Mais quoi ?
-Il doit rester des pancakes surgelés dégueulasses au congélateur si vraiment vous êtes affamée.
-Vous êtes méchant.
-Pardon Inès, mais c'est tout ce que j'ai. Et c'est vous la méchante. Vous vous imposez ici alors que je vous avais dit que je n'ai pas assez d'argent, vous m'avez cassé une tasse et abimé le mur. Je n'ose pas imaginer ce que vous allez me faire la prochaine fois.
-Mais je ne le fais pas exprès ! De toutes façons vous me faites faire des gages. Et vous êtes gagnant parce que vous vous rincez l'œil.
-Me rincer l'œil ? Vous êtes belle c'est vrai, mais même hier sans jupe je vous ai à peine vue cachée derrière votre bureau. Et ces pancakes, je me les fais au petit déjeuner. En vous les proposant je me prive de p’tit déj demain.
-Ben je vous en rachèterais alors.

Sur ces mots, Inès se rend en cuisine. Elle ouvre le congélateur et passe les pancakes au micro-ondes. En attendant que les pancakes décongèlent, la petite assistante retourne dans le bureau de Bruno. Elle lui explique qu'elle a trouvé un appel d'offres en ligne qui pourrait convenir à Bruno et faire rentrer un peu plus d'argent.
Au cours de leur discussion, le détecteur d'incendie s'active.
Au lieu de les laisser les pancakes 3 minutes, Inès a mis 10 minutes... Ils se sont enflammés. Le micro-ondes est envahi par la fumée. Il faut vingt minutes pour disperser la fumée et tenter de supprimer l’odeur de brulé…

Bruno est fâché et hurle sur Inès qu'elle est vraiment inconsciente, qu'on ne peut rien lui confier, et qu'ils auraient pu mourir avec ses bêtises.
-Vous êtes méchant et injuste ! Je ne l'ai pas fait exprès ! C'est vous qui me parliez et me les avez fait oublier !
-Inès ! C'est vous qui avez programmé le micro-ondes et c'est vous qui êtes venue me parler au lieu de surveiller les pancakes de mon petit déjeuner que vous ai gentiment offert !
Pour Inès, ça en est trop. Trop d'émotions. Elle aussi a eu peur. Mais se fâcher alors qu'elle n'a toujours pas de contrat signé et que sa mère pense la formalité faite... Elle attrape la cafetière en verre et de rage, la jette au sol. "J'en peux plus c'est trop."
Puis, elle part en attrapant son sac à main et sa veste.

Bruno se passe la main sur sa figure. Il est encore fâché. Elle exagère. C'est elle qui fait les âneries et non seulement elle n'assume pas, mais en plus elle lui détruit sa cafetière ! Puis, il repense à Inès toute souriante lorsqu'elle lui a parlé du projet de contrat... Elle est belle cette fille. Charmante, douce en dehors de sa colère et sa fausse sévérité.
Bruno s'en veut. Il sort en courant du bureau, son cœur bat la chamade. Il espère que son bus n'est pas arrivé et qu'il peut la rattraper à l'arrêt.

Il est soulagé de voir son assistante contrariée assise sur le banc de l'arrêt. Il se demande comment la consoler.
-Non ! lui crie-t-elle
-Pardon Inès ! Pardon, pardon, pardon... Je ne voulais pas vous contrarier...
Il dit cela en s'asseyant de l'autre côté du banc et en joignant ses mains en prière. Puis il lui explique que s'il était en colère ce n'est pas contre elle mais parce qu'il avait peur. N'avait-elle pas eu peur ? Inès lui répond en posant son regard à l'opposé de Bruno, qu'elle a eu peur aussi mais que ce n'était pas une raison. Bruno se confond en excuses et lui dit qu'elle a raison, qu'il a besoin d'elle et qu'il ne criera plus comme ça.
Quelques secondes passent dans un silence pesant. Bruno se dit qu'il a merdé et que tout va s'arrêter là.
Inès se tourne enfin vers lui et lui parle à nouveau.
-Il ne faut plus crier comme ça sur moi. En plus, mon copain a crié déjà hier sur moi et il a annulé notre weekend end... Alors que c'est lui le fautif.

Bruno n'ose pas demander de détails et se sent encore plus mal d'avoir hurlé tout à l'heure. Il se rapproche.
-Oui, ok Inès je ne crie plus sur vous.
Inès se retient manifestement de sourire. Comme si elle se sentait victorieuse dans cette dispute et qu'elle voulait profiter de son avantage pour obtenir quelque chose.
-Donc vous ne criez plus...
Elle sourit et entame une demande.
-Vous ne criez plus et il n'y a pas de gage pour cette fois.

Bruno la dévisage et éclate de rire, il s'en tord le ventre.
-Mais quoi ? Vous vous moquez encore de moi ? Vous n'êtes pas gentil !
-Pardon Inès... Mais vous êtes terrible... Vous profitez de la situation.
-Vous aussi avec vos gages. Si je fais pas gaffe je vais finir à poil.
-Faut pas faire de conneries aussi...
-Je ne le fais pas exprès !
-Ok, ok, Inès. Disons qu'on est quitte cette fois. J'ai crié sur vous et vous avez failli bruler le bureau. Gage annulé.

Pour faire la paix, l'humble patron tend la main à Inès qui accepte de lui tendre la sienne. Bruno fait durer la poignée de main et tire dessus pour approcher Inès.
-Qu'est-ce que vous faites ?
-La bise tout simplement. Vous me l'avez faite l'autre jour.
Un peu déstabilisée Inès accepte une bise. Bruno lui fait remarquer que les bises se font par paire.
-Vous en profitez ? Je savais que vous étiez un patron bizarre.
Dit-elle en rougissant légèrement au niveau des pommettes. Puis, ils font sagement une deuxième bise.

Bruno s'imagine alors qu'il demanderait bien deux bises supplémentaires, qu'il conclurait par un baiser langoureux qui basculerait vers la passion. Il lui agripperait les fesses qu'il pétrirait en cadence de leurs embrassades. Puis, ils retourneraient au local de l'entreprise et il la poserait sur le premier bureau. Il la caresserait à travers sa robe, l'embrasserait dans son décolleté avant d'enlever les bretelles de la robe et faire tomber le tout pour couvrir chaque parcelle de la peau de l'assistante de ses lèvres. Il lui lécherait le cou puis les seins.
Tout en suçant les tétons d'Inès l'un après l'autre, il passerait une de ses mains sur la chute de reins de l'assistante et l'autre main se glisserait devant entre la culotte et le mont de Vénus. Un fois qu'elle mouillerait abondamment, il enlèverait la culotte, la jetterait par-dessus lui, ferait assoir sa compagne sur le bureau et lui écarterait fermement les cuisses avant d'introduire lentement mais surement son mat. Elle sourirait en lui disant qu'elle espérait ça depuis le premier jour.

Inès sort alors Bruno de sa rêverie.
-Crotte !
-Qu'est-ce qu'il y a ?
-Je ne trouve plus mon portable.
-Il est peut-être au bureau.

Pour le vérifier, ils retournent au local. La porte était restée ouverte. Inès cherche partout sur son bureau. Son patron propose d'appeler et le portable sonne dans la cuisine. Plus de peur que de mal.
Le prochain bus d'Inès est dans une vingtaine de minutes. Elle prend donc les clés pour aller voir à la boite aux lettres. Bruno ne s'y oppose pas, bien qu'il sache que le facteur n'y dépose rien car il vient au bureau à chaque fois. Mais ne sait-on jamais.

Bruno repense à sa rêverie interrompue. Après quelques va et vient en face à face sur le bureau, il retournerait sa secrétaire, la ferait se mettre à 4 pattes sur le bureau et se plier en 4 pour pouvoir la prendre en levrette.
Il la baiserait fort en lui mettant quelques claques sur les fesses en lui disant "ça t'apprendra à faire des conneries". Elle répondrait "vous êtes méchant". Et il ajouterait "oui, et tu aimes ça petite garce". Elle sourirait et lui crierait de continuer à la ramoner.
Bruno sourit à ces pensées et consulte sa messagerie électronique. Il voit qu'il est en copie d'un message d'Inès. C'est le renouvellement de contrat pour lequel il a fait confiance à son assistante. Il regarde les destinataires et a un grand doute...
Inès arrive dans son bureau, sa veste sur le dos comme si elle s'apprêtait à partir. Bruno la dévisage, elle perd de son aplomb et mets ses mains dans les poches de sa veste.
-Pourquoi vous me regardez comme ça ?
-Inès. A qui avez-vous envoyé le contrat ?
-A votre Laura là... Celle avec qui vous flirtez tout le temps.
-Vous êtes sûre ? Si je l'appelle, elle a le contrat ?
-Mais oui !
-Ok, je vais vérifier.
Bruno décroche le combiné. Inès s'assoit en face de lui, sûre d'elle.
-ça sonne. Par contre Inès, si vous avez fait une connerie, vous aurez un gage.
-Ce n'est pas juste.
-Si je me trompe, c'est moi qui en aurais un.
-Ok ! Dit-elle triomphante. Vous allez voir que c'est vous qui aurez un gage et le gage ce sera une fessée !
A peine a-t-elle prononcé ces paroles qu'elle se couvre la bouche. Et lance un regard amusé mais peu sur d'elle.
-Bonjour Laura, dis-moi, j'ai ma secrétaire en face de moi qui insiste pour me dire que tu as reçu notre mail pour le renouvellement...
Après quelques minutes de conversation et de vérifications, Bruno met le haut-parleur. Laura affirme que rien n'a été reçu. Inès s'est donc trompée. Bruno remercie Laura et raccroche.

-Bon Inès. Nous avons la preuve que vous avez fait une nouvelle connerie. La 3e aujourd'hui. Donc vous avez un gage pour demain.
-Non, ce n'est pas juste, je ne l'ai pas fait exprès. Et puis vous avez annulé le gage du micro-ondes. Il n'y avait rien d'autres. Vous êtes méchant.
-Et la cafetière ? Du coup, 3 conneries pour 1 annulée, ça fait 2 gages.
-Non ! Arrêtez ! En plus je vous avais dit que mon copain et moi ça va pas, ça vaut 1 gage de moins.
-Ok, mais vous de votre côté vous étiez prête à me mettre une fessée.
-Mais c'était pour rire.
-Bien sûr... Vous avez quand même un gage Inès.
-C'est pas juste.
-Ok, donc un gage. Demain, vous mettez une robe dans le même style qu'aujourd'hui mais dessous des sous-vêtements sexy et des bas. En arrivant au bureau demain, vous fermez à clé derrière vous pour que personne n'entre par hasard et vous enlèverez la robe. Vous passerez la journée en dessous sexy et bas.
-Non. Dit-elle boudeuse
-Sinon c'est pour vous la fessée.
-Non ! Non !
-Alors le gage que je vous ai décrit.
-Ok... Je préfère ça. Vous en profitez un peu quand même.
-Il vous suffit de ne pas faire de bêtises. Je commence à croire que vous le faites exprès pour faire les gages.
-N'importe quoi. Vous prenez vos désirs pour des réalités.
A peine ces mots prononcés, Inès se lève, prend son sac, et annonce qu'elle prend le bus sinon elle va être en retard pour faire les courses avec sa mère.
Bruno la salue et Inès s'approche de la porte en vérifiant qu'il ne manque rien dans son sac. Elle relance la conversation.
-Vous êtes sérieux pour le gage ?
-Oui Inès. C'était notre accord au début. Si vous voulez que je vous fasse confiance, il faut arrêter les conneries ou accepter les gages. L'idée que pouviez finir à poil, ça devrait vous motiver à faire attention.
-Oui c'est sûr. Ben ok, je vais faire des efforts. Je ferais le gage demain du coup puisqu'on avait un accord, moi je respecte ma parole.
-Parfait Inès. Répond Bruno en se rapprochant derrière elle.
Se plaçant dans son dos, il murmure à son oreille.
-Vous n'êtes plus fâchée contre moi.
-Non. Répond-elle sur le même ton.
-Une bise alors ? Pour me montrer qu'on a fait la paix ?

Inès se retourne, regarde furtivement Bruno dans les yeux et les baisse juste après avoir croisé le regard de son patron.
Elle lui fait 2 bises en se justifiant que c’est lui qui a affirmé tout à l’heure que les bises se faisaient par paire.
-Voilà on est plus fâchés. Vous êtes content ?
-Oui. Il ne me reste plus qu’à rappeler Laura pour sauver le contrat.
-Vous allez faire comment ?
-Je vais lui demander si elle peut rattraper votre bêtise. Et pour la remercier, je lui ferais l’amour ce soir.
-Ha ! Ha ! Très drôle… De toutes façons vous faites comme vous voulez, c’est vous le patron.
-Le patron veut que son assistante fasse son gage demain.
Inès fait la grimace, part en saluant "Bon à demain" sans rien demander de plus.

Bruno réfléchit. Il repense à la journée avec Inès. Il se dit que la petite brune qui lui sert de secrétaire joue au chat et à la souris avec lui. Que s’il joue bien sa partition, ses rêveries de sexe vont se réaliser.
Au cours de ses réflexions, il reçoit un message de Laura qui lui dit qu’elle a rattrapé le coup pour le contrat. La belle blonde ajoute qu’elle est en route pour le rejoindre et que vu qu’elle l’a aidé, il a intérêt à assurer ce soir.

Laura arrive comme prévu. Elle porte une robe noire à pois blanc, cintrée au niveau de la taille et des chaussures à talon assortie. Elle porte également une perruque brune.
"Bonsoir patron" dit-elle en souriant. Suivant le scénario prévu, Laura rejoint Bruno qui l'attend assis dans le fauteuil de son bureau. Il se lève. Sa partenaire s'agenouille, lui défait la ceinture, baisse le pantalon et caleçon avant d'empoigner le membre déjà raide de son amant.
Celui-ci s'assied au bord du fauteuil. Laura le branle lentement tout en léchant le gland délicatement.
-ça vous plait patron ?
-C'est un bon début.
Pendant que Laura prend l'engin de son amant en bouche et commence à l'aspirer consciencieusement, Bruno détache derrière la nuque le nœud de la robe afin de la faire tomber et accéder à la poitrine de sa maitresse. Il les palpe avec conviction comme pour accompagner l'action buccale de Laura.
Celle-ci s'interrompt, dans sa succion, branle son patron de jeu et levant la tête, elle lui dit d'une voix chaude, suave : "je suis une bonne secrétaire patron ?"
-Oui. Très bonne. Continue petite garce. Suces moi bien si tu veux travailler ici.
-Oh oui patron, je vais m'appliquer. Je veux travailler ici.
Puis Laura reprend la fellation. Prenant le manche de Bruno en bouche, elle le colle contre son palais avec sa langue et fais plusieurs va et vient.
-Oh putain... Petite garce... Saloooope...

Après plusieurs va et vient, Bruno lache les melons de sa partenaire. Il attrape d'une main la nuque de Laura et de l'autre caresse ses fesses.
Puis il enlève ses mains pour s'agripper à l'accoudoir de son fauteuil. Ses rêveries sur Inès et l'attente de l'arrivée de Laura l'ont excité. Alors qu'il sent qu'il vient. Il pose ses mains sur les joues de sa partenaire comme pour la retenir. Laura libère la bite de son amant et l'invite à ne pas se retenir.
"Tu peux jouir patron. Je suis une secrétaire cochonne qui avale."
Puis elle reprend l'engin en bouche, pompe fort comme elle sucerait une sucette qu'elle voudrait finir rapidement. L'explosion arrive et Bruno félicite sa partenaire. Bien évidemment elle demande son dû : elle a sauvé son contrat il doit assurer.
Alors il la met face à lui sur son bureau, lui lèche les seins, embrasse son ventre, jette sa culotte et constatant qu'elle mouille déjà abondamment, commence un cunnilingus.
"Tu vois comment je mouille pour toi patron ?"
Il ne s'interrompt pas. Lèche avec passion, alterne en embrassant, caressant de ses mains les cuisses de sa maîtresse. Après plusieurs minutes, Laura agrippe de ses mains la tête de son donneur de plaisir.
"Viens patron, s'il te plaît.
-Tu veux que je te baise petite secrétaire salope ?
-Oui patron, oui.
-Alors à 4 pattes.
Laura ne se fait pas prier. Elle se retourne, se penche en avant sur le bureau monté a genoux dessus puis se plie en 4. Bruno n'attend pas plus, il l'empale. Puis il la ramone frénétiquement, tout en lui caressant un sein d'une main, et tenant une hanche de l'autre.

Les deux amants respirent très fort, halètent grognent. Bruno finit par arriver au bord de la jouissance, il se retire, fait le tour du bureau prend la main de Laura et lui mile d'astiquer son dard. Elle s'exécute. Il jouit sur la frimousse de sa maîtresse en grognant et en laissant échapper un soupir de satisfaction dans un mot :"Inèèès !"
Il est tard quand Laura se rhabille pour partir. Elle prend son temps et semble un peu embarrassée.
-ça ne va pas Lolo ?
-Si. C’est juste qu’à un moment, tu as crié le nom de ta secrétaire… Tu pensais à elle ?
Bruno, embarrassé, se gratte la nuque.
-J’ai compris. Elle te plait la petite. J’aurais dû te tendre la perche plus tôt.
-Il se passera rien elle a un copain.
-A cet âge-là ça ne va pas durer. Ils vont finir par se séparer, elle se tournera vers toi. Tu seras trop content de la consoler.
-Laura… Je ne sais pas quoi dire, je veux pas que…
-T‘inquiète. De toutes façons c’était que du sexe entre nous, ça ne pouvait pas durer. J’aurais voulu qu’on continue plus longtemps. Même si on n’est pas un couple, je voulais que tu me baises en pensant à moi…
Laura prend son sac, s’apprête à sortir. Bruno la suit.
-J’ai pris beaucoup de plaisir Bruno… Si jamais ça ne fonctionne pas avec la petite, tu peux m’appeler.
Juste avant de quitter les lieux, elle embrasse avec fougue son amant. Lui palpe les couilles, sourit.
-ce serait drôle que tu penses à moi en la baisant. Si tu ne penses plus à elle, ça me fera très plaisir d’être de nouveau ta petite salope.

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Se retrouvant seul dans les locaux. Bruno soupire. Il se sent mal pour Laura. Mais d’un autre côté c’est plus fort que lui. C’est vrai qu’il aurait aimé continuer. Mais ce ne serait pas agréable pour elle. Et puis ça briserait ses chances avec Inès.
Ce qui aurait été bien, pense-t-il, c’est d’avoir les deux en parallèle. Excitant, mais compliqué à gérer.
Bruno chasse ses pensées et prend sa veste. Il tapote ses poches, regarde sur son bureau, celui de sa secrétaire… Où sont ses clés ?
Il se rappelle qu’Inès était allée à la boite aux lettres. Il est déjà 22h. Doit-il partir sans fermer ou appeler tard Inès ?
Il se résout à l’appeler. Il a déjà laissé ouvert une fois, il ne faut pas que ce soit une habitude. Et puis, se dit-il, si c’est elle qui a les clés, il pourra lui mettre un autre gage.

Il appelle, entend la tonalité, et finit par tomber sur le répondeur. Voilà qui est embêtant. Dort-elle ? Doit-il insister ? Oui, il rappelle et finalement on décroche.
-Allo !
La voix ne ressemble pas à celle d’Inès. Bruno regarde rapidement son écran, c’est bien Inès qu’il appelle.
-Allo ? Inès ?
-Non, non, non ce n’est pas Inès ! Répond la voix féminine enjouée
-Excusez-moi j’ai dû me tromper.
-Non, non, non, c’est le bon numéro ! Chantonne la voix. Bruno est un peu déstabilisé.
-Qui est-ce ?
-Je suis la coach personnelle d’Inès. Vous êtes son patron ? C’est pas bien de téléphoner si tard ! Elle a un copain déjà !
-Pardon mademoiselle, mais c’est parce que je ne trouve plus mes clés du bureau et c’est elle qui doit les avoir.
-Ah, ça c’est embêtant dites-moi… Mais ce n’est pas un peu tard pour quitter le bureau ?
-Ce n’est pas un peu tard pour faire du coaching ?
-Ha ! Ha ! Mais non, vous m’avez crue ? Je suis pas vraiment coach. Je suis bestah de la fac. On se voit souvent et je lui donne des conseils.
-Vraiment ?
-Bah oui ! Vous croyez qu’Inès fait vos gages sans se faire aider ? C’est grâce à moi qu’elle a trouvé les tenues pour vous plaire. Et là pour demain… Sacré coquin… Vous nous avez donné du fil à retordre. Mais c’est bien ça va la dévergonder.
-…
-Je vous mets pas mal à l’aise ?
-Non, non… Je suis juste surpris.
-Ah ok. Je vais pas durer parce qu’Inès peut revenir, mais voilà vous inquiétez pas : je m’occupe de tout. Comme ça elle va enfin larguer l’autre abruti et être gérée par un bon gars. Vous allez pas la décevoir hein ?
-Et vous me vendez votre copine comme ça du coup ?
-J’en ai assez de la voir malheureuse avec l’autre débile… Vous comprenez ? Ne me décevez pas.

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Commentaires de l'histoire :

Anonyme
on reste sur sa faim. Hâte de lire la suite
Posté le 30/01/2024


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