Bruno est consultant et a ouvert son cabinet conseil. Le hasard lui a fait rencontrer sa nouvelle assistante. Il commence à entretenir une relation purement sexuelle avec une cliente . En parallèle il espère des activités peu professionnelles avec son assistante...
Proposée le 8/12/2023 par Vincent20100
Nous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Femme dominée
Personnages: FH
Lieu: Bureau, travail
Type: Fantasme
Le jour suivant, Bruno retourne à son bureau plutôt satisfait de la soirée passée avec Laura. Vers 09h30 il sent que quelque chose ne va pas. Il scrute autour de lui, regarde ses dossiers, son agenda. Puis il relève la tête et se rend compte que le bureau en face de lui est vide. Où est Inès ?
Vers 10h la porte s'ouvre d'un coup. Inès surgit comme un ouragan, la porte tape contre le mur et elle dépose son sac à main comme une pierre trop lourde sur son bureau. Elle est essoufflée. Elle a dû courir. Ce qui n'a pas dû être facile dans son tailleur jupe près du corps et ses chaussures à talons. Elle se confond en excuses pour son retard, explique ses problèmes de transport.
Bruno lui reproche alors d'avoir ouvert la porte comme une brute, de ne pas respecter le local ni le bureau sur lequel elle a jeté ses affaires, sans compter qu'elle n'a pas appelé pour le prévenir.
"Oui pardon pour la porte et le bureau mais je ne voulais pas être plus en retard. Mais pour l'appel c'est de votre faute si je n'ai pas pu vous appeler ! Vous ne m'avez pas donné votre numéro !"
Bruno réfléchit quelques secondes... Effectivement il a oublié de lui donner son numéro.
"Bon d'accord j'avoue... Mais pour la porte et le bureau c'est vous la fautive donc comme convenu : un gage.
-Ce n'est pas juste !
-Ça vous apprendra à respecter mon local et mon mobilier.
-Ok mais comme vous ne m'aviez pas donné votre numéro ce ne sera qu'un demi gage".
Bruno est très surpris par la réaction de son assistante. Elle a du caractère, du culot... Il l'aime bien et se demande ce qu'il pourrait lui demander. Rien de sexuel du coup ou du moins, pas tout de suite...
Inès a relevé la tête et regarde Bruno droit dans les yeux, prenant soin de l'attendrir par son regard de biche effarouchée. Mais son patron vient d'avoir une idée de gage. Et le regard de son assistante, plutôt que lui donner des remords, le motive encore plus.
"Déshabillez-vous.
-Quoi ? Mais non !
-seulement votre veste et votre jupe.
-Mais non je vais pas enlever la jupe ??
-Inès, un gage ce doit être humiliant ou au moins désagréable. Le coup de vous mettre en robe j'ai été sympa. Mais ça ne vous a rien appris. Et comme vous gardez le chemisier et vos dessous c'est bien un demi gage."
L'assistante baisse les yeux mais murmure que ce n'est pas juste, qu'elle ne l'a pas fait exprès.
"Et si un client entre et me voit sans jupe ??
-alors vous cacherez vos jambes avec le bureau... Bon Inès, vous n'allez pas négocier ! On avait un accord ! Une connerie égal un gage. Donc vous m'enlever ça fissa ou j'arrête tout ! Je n'ai pas les moyens de refaire les murs, les portes ou changer le mobilier bordel !!"
Inès baisse la tête, perd de son arrogance et de sa détermination. Après tout, elle n'aurait pas dû ouvrir la porte comme une furie.
L'assistante baisse la tête. "Vous êtes méchant". A peine a-t-elle prononcé ces mots qu'elle relève la tête et regarde Bruno en lui disant qu'elle promet de ne plus recommencer.
"Non Inès, ça n'est pas notre accord. Allez !"
Le patron déboutonne la veste de son assistante et la lui enlève. Puis regardant Inès qui a à nouveau baissé les yeux, il claque et reclaque des doigts en rythme tout en exigeant qu'elle retire sa jupe.
Bruno va dans son bureau déposer la veste de son assistante. Il se demande s'il n'exagère pas. Mais d'un autre côté, n'est-ce pas elle qui a exagéré ? Et puis, oui ! Ils avaient un accord. Donc c'est le gage et puis c'est tout.
Il se retourne alors et voit Inès tenant sa jupe devant elle dissimulant le bas de son chemisier. "Très bien Inès, apportez la moi".
Sans arrogance, avec humilité, l'assistante obéit et donne sa jupe à Bruno. Le patron admire les jambes douces et fermes de sa jolie assistante. Malheureusement, le chemisier couvre la culotte (ou le string ?) d'Inès. Bruno n'a aucune vue sur ce qu'elle porte dessous ni sur la forme de ses courbes qu'il se contente d'imaginer.
Ses fesses sont-elles petites ? Non, elles sont sûrement rondes et fermes car l'autre jour son pantalon révélait une magnifique chute de reins. Elle est plutôt bien cambrée. Il lui faudrait maintenant trouver comment la dévoiler plus. Trouver comment accéder plus loin. Trouver comment l'amener à écarter les cuisses et surtout, pouvoir enfin s'y insérer...
"Vous me la rendrez quand ?
-Ce soir quand vous partirez.
-Mais non ! C'était un demi-gage ! Ce n'est pas juste !! C'est un demi gage donc vous devez me rendre un vêtement ce midi."
Bruno est surpris. D'abord il ne s'attendait pas à ce que la petite brune obéisse. Ensuite il ne pensait pas qu'elle se rebellerait quand même un peu.
"Ok Inès, à midi je vous rend un vêtement."
Satisfaite, triomphante, Inès retourne à son bureau. Se remettant au travail, elle prend soin d'éviter de se lever.
Alors que la brunette s'affaire, Bruno avance de son côté tout en échangeant quelques messages avec Laura qui n'attend qu'une chose : que Bruno s'occupe d'elle à nouveau. La soirée de la veille l'a mise en appétit, elle a été rassasiée sur le moment, mais la faim revient. Chaque instant où elle repense à la soirée de la veille l'excite au plus haut point. Elle veut revivre ce moment. Elle presse Bruno pour qu'il parte plus tôt et vienne la rejoindre pour éteindre le feu ardent qui démange son corps et humidifie son bas ventre...
En fin de matinée, on sonne à la porte. La peur s'empare d'Inès. Elle regarde Bruno d'un air suppliant. Elle lui demande de récupérer la jupe au moins le temps que le visiteur s'en aille.
"Non Inès, c'est un gage. Rappelez-vous que ce n'est pas fait pour être agréable".
C'est le facteur. Dans l'encadrement de la porte il tend le courrier, salue, échange quelques mondanités avec Bruno avant de partir en saluant Bruno et Inès.
L'assistante est soulagée : manifestement, le facteur n'a pas remarqué qu'elle ne portait pas de jupe.
Après avoir jeté un regard noir, un regard revolver à Bruno, après avoir à nouveau dit qu'il est méchant avec elle, la petite brune se remet consciencieusement au travail.
A midi Bruno tient parole. Il rend un vêtement à Inès : la veste du tailleur.
L'assistante se rebelle. "Ce n'est pas ce qu'on avait dit!
-Inès... On était d'accord pour que je vous rende un vêtement. Je n'ai jamais dit que ce serait la jupe. D'ailleurs j'avais dit que vous l'auriez ce soir.
- Vous n’êtes vraiment pas sympa avec moi.
-Qui aime bien châtie bien ".
Inès semble surprise de cette réponse et ne trouve rien à redire. Elle se retourne vers son bureau pour prendre sa boîte de déjeuner. Bien qu'elle soit de dos, Bruno est persuadé qu'elle sourit. Peut-être que ce petit jeu lui plaît. Peut-être qu'il y a une ouverture avec elle ?
L'après-midi se poursuit. Bruno échange avec Laura. Ils se construisent leur scénario pour ce soir. Bruno bande déjà. Laura mouille. La soirée va être torride.
Bruno cherche un stratagème pour faire partir Inès plus tôt.
Il réfléchit à plusieurs arguments, jette un coup d'œil de temps en temps vers elle. Son assistante fait de même : elle le scrute de temps à autre.
"A quoi vous pensez ?
-Eh bien Inès, je me disais que pour me faire pardonner de ce gage, je vous laisserais partir plus tôt".
La phrase à peine prononcée, Inès arbore son plus beau sourire. Elle est contente de partir plus tôt. Mais surtout elle est soulagée. Elle avait tellement peur que quelqu'un l'a voit...
Bruno lui rend sa jupe. La brunette s'empresse de la remettre. Elle prend son sac et s'approche de la porte. Bruno lui ouvre. Dans un élan de joie et de soulagement Inès le remercie et lui fait une bise sur la joue. S'étonnant elle-même de son geste, elle présente ses excuses en bafouillant et ne s'attarde pas plus.
Le patron est lui aussi très surpris. Son cerveau repasse la scène plusieurs fois.
Son esprit divague à nouveau. Après cette bise, il aurait dû à son tour lui faire la bise. Une main se serait posée sur sa hanche, l'autre sur sa nuque. Il l'aurait embrassée. Tandis que leurs lèvres seraient collées et que leurs langues se caresseraient, il laisserait la main sur la hanche descendre vers le fessier pour le palper, le pétrir. Une chose en amenant une autre, il la déshabillerait. Puis la plaquerait contre le mur, intensifiant ses baisers et ses caresses, la coucherait sur le bureau, tâterait l'entrée de sa fente d'amour. Constatant la chaleur et l'humidité, il n'aurait plus qu'à libérer son engin de son caleçon et labourer le sillon d'amour à satiété...
Le fantasme de Bruno s'éloigne de son esprit quand Laura lui envoie un SMS pour prévenir de son arrivée. L'amant enthousiaste se dépêche de boucler un dossier d'appel d'offre que lui a trouvé Inès. Ce qui devrait mettre assez de beurre dans les épinards quelques mois espère-t-il.
La belle blonde avec qui il a rendez-vous entre sans frapper et de filer vers Bruno en scrutant tout autour d'elle, afin de s'assurer qu'ils sont seuls. Elle porte une jupe rouge, un chemisier blanc, une veste tailleur du même ton de rouge que sa jupe, des chaussures à talons noires et ses cheveux mi- longs sont attachés en queue de cheval.
En la voyant, Bruno se dit qu'elle est magnifique. Surtout avec son sourire radieux et ses yeux pétillants. Elle dégage un charme sexuel fou. Il commence déjà à bander. Le regard de Laura est intense, il semble envoyer un message : j'ai envie de sexe. La tenue à la fois professionnelle et sexy met son corps en valeur. Ses cheveux en queue de cheval sur le haut arrière de sa tête lui confirment qu'elle est disponible pour le sexe.
« Eh bien Lolo, cette tenue te va bien !
-C'est vrai ? » Dit-elle en l'embrassant. Bruno acquiesce. Oui elle est vraiment magnifique. La jupe moule les fesses de Laura, le chemisier tient ses seins collés l’un contre l’autre. Rien que cette vision émoustille Bruno. L’amant caresse la nuque de sa maitresse en l’embrassant dans le cou.
« Habillée comme ça on pourrait penser que tu es ma secrétaire.
-Ah bon ? Tu me prendrais à la place de la petite jeune ?
-Bien sûr.
-Menteur.
-Je vais te montrer si je mens ».
A ces mots Bruno embrasse Laura à pleine bouche. Il agrippe de ses mains les fesses de Laura pour les pétrir fermement.
« Eh ben » Dit-elle entre deux baisers. Bruno la met dos au bureau d’Inès. Coincée entre son amant et le bureau, sa queue de cheval élancée, son regard de biche conquise, ses lèvres imprégnées de désir, Laura voudrait encore provoquer Bruno. D’abord pour s’assurer qu’Inès n’est pas une concurrente sérieuse, ensuite pour pousser son amant à aller plus loin mais sans le lui dire. Elle a adoré qu’il la domine et veut encore recevoir des ordres.
« Tu as bien choisi ta tenue ma petite chérie. Je te confirme qu’on pourrait penser que tu es ma secrétaire. Une magnifique secrétaire ». Elle sourit. Son patron de jeu ouvre sa veste, déboutonne le haut du chemisier et passe son index entre les deux melons de Laura.
« Mais moi je ne pense pas que tu sois ma secrétaire ». Laura perd son sourire. Comment ? Qu’est ce qu’il raconte ?
« Tu es ma secrétaire coquine. » Laura retrouve son sourire. Bruno lui enlève sa veste.
« Et tu sais ce que font les secrétaires coquines ? ». Laura, docile, joueuse et impatiente de connaitre la réponse qui va lui être donnée, tourne la tête de droite à gauche pour lui signifier non. Quoi qu’elle se doute des intentions de son nouveau patron.
Bruno pose une main sur la joue de Laura et de l’autre prend la main de Laura et la pose sur sa verge dressée. « Les secrétaires coquines s’occupent de leur patron… En particulier, elles sucent leur patron docilement et avec entrain ». Laura serre ses lèvres pour s’empêcher de sourire. Elle est très contente de la situation. Elle sait ce qui va arriver.
Voyant que sa maitresse ne bouge pas, Bruno relance. Il la regarde droit dans les yeux, la pénétrant du regard : « Les secrétaires coquines sucent leur patron ». A ces mots, à ce regard intense et puissant, les jambes de Laura tremblent. Elle se sent dominée, aux ordres de cet homme. Elle s’agenouille, détache la ceinture de son patron fictif, mais maitre réel. Ce maitre attrape la queue de cheval de sa soumise pour lui faire pencher la tête en arrière. A nouveau, il la regarde droit dans les yeux. Elle tremble de désir, de soumission, de tout. « J’aime que tu sois docile comme ça… Mais tu as oublié quelque chose. Les secrétaires coquines sucent le patron au bureau, et généralement elles passent dessous ».
Laura sourit. Elle a compris ce que veut son maitre. Celui-ci, la tenant toujours par la queue de cheval, l’attire sous le bureau d’Inès. Elle s’installe à genoux pendant que le patron retire son pantalon. Alors qu’il jette son vêtement, il la regarde : « ouvre moi ce chemisier bien grand ». Bruno se sent hyper excité par la situation. Il se sent dominant, sur. Il va bien s’amuser, elle aussi apparemment.
Laura s’exécute immédiatement. Elle défait les boutons de son chemisier un à un, tout en regardant son donneur d’ordre droit dans les yeux. Elle se lèche les lèvres, comme elle le fait en s’imaginant une bonne gourmandise.
Quelle salope se dit intérieurement Bruno en retirant son boxer libérant ainsi sa colonne raide comme un piquet. Il s’assoit dans le fauteuil, saisi les seins de sa soumise à pleine mains les sors du soutien-gorge et les caresse énergiquement en pinçant les tétons de temps à autre. Laura, toujours docile, tente se retenir de sourire. Elle essaie de ne pas montrer qu’elle aime ce traitement. Mais c’est plus fort qu’elle. Lorsqu’elle libère enfin un sourire, Bruno s’arrête.
« Je savais que tu aimais ça ». Il s’assied au bord du fauteuil de bureau, mettant son pieu à portée de bouche de sa partenaire de jeu. Il la regarde dans les yeux et saisi à nouveau la queue de cheval : « Maintenant… Suce ! »
Laura s’exécute immédiatement. La voilà qui met ses lèvres en cul de poule, en avant et resserrées. Elle embrasse le gland du bout des lèvres. Puis, du bout de la langue, lèche le gland, parcourt toute la longueur du membre. Elle remet ses lèvres en cul de poule, creuse ses joues. Dans cette pose, face à son maitre, elle colle ses lèvres sur le gland. Avance sa tête tout doucement, laissant la colonne de chair se glisser en bouche. Sa langue plaque la verge contre son palais.
Avec ce traitement, le maitre sait qu’il va passer un bon moment. Il lâche la queue de cheval, se laisse retomber dans le dossier, reposant les bras sur les accoudoirs, fermant les yeux et abandonnant sa bite aux bons soins de sa soumise.
« Vas-y. Continues petite salope. Suces-moi bien comme une bonne petite secrétaire docile.
-Secrétaire coquine ? » Corrige alors Laura les yeux levés vers son maitre tout en lui branlant la queue bavante de sa salive.
Bruno ouvre les yeux. Sans un mot il introduit son index dans la bouche de Laura qui l’accueille en le suçant. Serrant cette phalange comme elle le ferait d’un phallus. Elle fait des vas et vient, taille une pipe à l’index tout en branlant la verge. Elle sourit. Elle joue avec le désir de son maitre. Celui-ci reprend les choses en mains. Il agrippe le poignet qui retient son pieu pour le poser sur sa cuisse. Puis, il retire son index. Tout en regardant sa soumise effrontée dans les yeux il la corrige à son tour : « Secrétaire coquine ? Non… Secrétaire salope ». Elle sourit.
« Suces-moi comme la bonne salope que tu es ». Bruno pose sa main sur la nuque de Laura et l’attire vers elle. La bouche de la femelle dominée prend en bouche la colonne dressée. Elle aspire le sexe, fait monter et descendre sa tête dessus en rythme.
Bruno la relâche : « Bonne petite salope… Tu suces comme une bonne petite secrétaire doit le faire. Continues jusqu’à ce que je jouisse. Que je souille ta bouille ». Laura continue de bon cœur. Ce traitement fini par avoir raison de lui. Le maitre agrippe la queue de cheval de sa soumise. Lui fait pencher la tête en arrière juste avant de jouir et déverse immédiatement son plaisir sur le visage de sa femelle.
« Bonne salope » lui dit-il. Le ton de soulagement qu’il a employé pour ces deux mots sonne comme un « merci » à l’oreille de Laura qui ne peut s’empêcher de sourire.
Bruno attrape sa dominée sous les bras et la fait se lever, tout en lui léchant le creux entre les seins, il lui retire la jupe. Puis il la regarde. Elle a les yeux pétillants, du sperme sur le visage, la bouche demi ouverte.
« À poil ! Je vais te bouffer la chatte. Quand ton minou dégoulinera de plaisir je te prendrais en levrette comme un patron se doit de le faire avec sa secrétaire salope ».
Laura sourit, obéit, se met à poil. Nue, elle se retourne, se penche en avant, fesses et grandes lèvres offertes, s’attendant à se faire bouffer la chatte goulument et s’en réjouit d’avance.
Il n’en est rien. Elle reçoit sur chacune de ses fesses une claque, administrée par des mains puissantes et fermes. Surprise, elle se redresse en sursaut. Une main ferme la saisi par la nuque.
« Je n’ai pas dit qu’on commençait par la levrette salope ! ». Bruno profite de la surprise pour assoir sa domination. De sa main il saisit la queue de cheval de Laura et la fait se pencher sur le bureau d’Inès. Se tenant penchée en avant, en appui sur les coudes, fesses et chatte offertes, l’amante attend avec impatience la suite. Elle essaie de deviner les intentions de son maitre dont les initiatives la stimulent.
Celui-ci lui caresse les grandes lèvres tout doucement. Puis, lui palpe fermement les fesses tout en lui léchant le minou avec fougue. Il lèche, introduit sa langue, caresse les parois, tourne sa langue dans ce sillon chaud et humide. Alors que Laura prend du plaisir, son maitre s’arrête. « Retourne-toi. Et assied-toi sur le bureau. Une secrétaire salope se doit d’avoir les cuisses écartées pour son patron ».
Laura s’exécute. Elle se retourne, s’assoit sur le bureau et écarte les cuisses. Son maitre s’assoit dans le fauteuil, de ses mains fermes il écarte en grand les jambes de sa femelle qui en frissonne. A nouveau il s’occupe de l’entrecuisse de Laura. De sa langue il lèche avec fougue, s’introduit, caresse...
Il s’interrompt lorsqu’il voit que sa soumise s’agite de plus en plus. Elle pose ses mains alternativement sur son ventre, ses seins, son cou, ses joues… Elle ne sait plus où reposer ses mains, a besoin de bouger. Ses cuisses se ferment et s’ouvrent au rythme de la langue de Bruno. Alors qu’elle relève la tête, lui se redresse. Plongeant son regard dans celui de Laura, il pose son piquet sur le sillon de sa partenaire de jeu. Il titille l’entrée du tunnel d’amour, ardent et moite qui n’attend qu’à être vigoureusement pénétré.
Le maitre s’introduit d’un coup. Il pistonne avec entrain sa compagne. Elle gémit en poussant de petits couinements au rythme des coups de rein. En réponse, des grognements mâles lui font écho.
Bruno ralenti puis s’arrête. Laura le regarde, le visage toujours couvert du sperme de son amant dominateur depuis tout à l’heure. Elle sait qu’il n’a pas jouit entre-temps. Elle est proche de l’explosion et attend la suite.
« Les secrétaires salopes se font prendre en levrette sur le bureau par le patron ».
Ni une ni deux, Laura, soumise, s’exécute. Elle descend du bureau, se penche en avant pour la troisième fois ce soir et offre sa croupe et sa chatte à disposition de son directeur de sexe.
« Salope ! Salope ! » Bruno le marmonne à chaque coup de rein. Il ramone profondément Laura. Elle tremble de plus en plus. Elle ressent le plaisir l’envahir. Des spasmes envahissent son corps et son vagin serre et se relâche alternativement sur la verge qui la sailli. Bruno attrape d’une main la queue de cheval de Laura, tire sa tête en arrière et de l’autre main donne plusieurs claques l’une après l’autre sur les fesses de son amante avant de décharger sa satisfaction.
Les deux amants restent sans bouger en respirant fort. Ils reprennent leur souffle.
« Salope…
-Merci patron… »
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Le lendemain, Bruno arrive au bureau un peu tardivement. Il s’est bien régalé hier soir. Jamais il n’aurait pensé Lolo si docile. Tant mieux. Lui dicter les commandements des actes du sexe l’excite au plus haut point. Lui qui s’imaginait que cela se passerait comme ça avec Inès.
D’ailleurs, où est-elle ? Du bruit vient du placard. Inès est sur un tabouret chancelant. Elle porte une robe à rayures bleues et blanches du même style que la noire à pois blancs de l’autre jour. Debout sur la pointe des pieds dans des chaussures à talon, elle peine à garder l’équilibre.
« Qu’est-ce que vous faites Inès ? » Surprise, elle sursaute, bascule et chute. La secrétaire tente de se rattraper. Elle pose le pied au sol pour ne pas tomber. Mais elle le fait maladroitement et s’effondre aux pieds de Bruno.
« Aïe… C’est de votre faute !
-Moi ? Mais qu’est-ce que vous faisiez sur ce tabouret et en talons en plus ?
-Je voulais ranger et nettoyer. Vous n’étiez pas là quand je suis arrivé, la porte n’était pas verrouillée et mon bureau est sale. Il y a des traces et des trainées. Comme s’il y avait eu du liquide qui aurait coulé dessus ».
Bruno ne fait pas le fier. Couchée au sol, sa secrétaire s’est peut-être foulée, il a quitté le bureau hier soir sans fermer à clef et n’a pas nettoyé le bureau des ébats avec Laura…
Il touche les chevilles d’Inès pour s’assurer qu’elle n’est pas blessée.
« Qu’est-ce que vous faites ? Dit-elle surprise
-Je vérifie que vous n’avez rien.
-Non ça va.
-Vous en êtes sûre ?
-Je ne sais pas… Mais c’est de votre faute… ». Bruno regarde sa secrétaire droit dans les yeux. Elle reste silencieuse, perd de son aplomb. Profitant de cette apparente docilité, il lui caresse les chevilles. Ne la voyant pas protester, il remonte vers les mollets et continue ses caresses.
« Je n’ai rien » fini par dire Inès un peu angoissée.
« Vous en êtes certaine ? J’ai été formé aux premiers secours.
-Ah ? Mais ce sont de vrais massages ?
-Vous n’avez pas protesté jusque-là…
-Mais c’est vous qui avez commencé…
-Chuuut. Laissez-vous faire ».
Sans protestation de la part de sa jeune secrétaire, Bruno continue à caresser les chevilles et mollets. Il remonte aux genoux, s’approche des cuisses.
« On a du travail ». Inès, toujours au sol se tourne sur le côté en lui présentant le dos et se lève.
Elle s’empresse de prendre de quoi nettoyer et astique son bureau.
« Je suis sure que c’est vous qui avez sali mon bureau hier soir.
-Moi ? Non voyons !
-Mais ce serait qui alors ?
-Laura ». A peine a-t-il prononcé ces mots que Bruno regrette déjà. Il ne veut pas qu’Inès sache qu’il laboure la cliente blonde de qui elle est jalouse.
« C’est ça ouais… » Dit Inès le visage fermé.
« Vous êtes jalouse ?
-N’importe quoi… J’ai un copain. Donc j’ai pas besoin d’être jalouse. C’est vous qui voulez que je le sois.
-Pourquoi vous faites cette tête alors ? L’idée que je passe du temps avec la cliente vous déplait ?
-N’importe quoi… ». Sans un mot de plus, le bureau propre, Inès se remet au travail. A son tour, Bruno rejoint son bureau.
Pendant le déjeuner, Bruno interroge sa secrétaire. « Vous n’avez pas mal depuis tout à l’heure j’espère ».
Elle répond que tout va bien, de ne pas s’inquiéter. Le patron rassuré ajoute qu’elle ne doit pas hésiter à lui dire si elle souffre et que si ce soir ça ne va pas, il faudra que son petit ami l’emmène voir un médecin. Inès ne répond pas. Lorsque Bruno insiste, la petite brune lui explique qu’elle va se débrouiller, que son copain ne l’emmènera pas chez un médecin, qu’il ne s’occupe plus d’elle comme avant.
« Ah ? Je suis désolé Inès…
-Non… Vous êtes bien content qu’il ne s’occupe pas de moi. Comme ça vous allez en profiter.
-Vraiment ? Je vais en profiter ?
-N’importe quoi… Arrêtez de me poser des questions, vous le faites exprès… »
Bruno sourit et éclate de rire. Inès de son côté baisse la tête vers son repas et tente de s’empêcher de rire à son tour car la bonne humeur de son patron est communicante. Celui-ci s’en rend compte et cerne un peu mieux sa secrétaire. Voilà pourquoi elle est de mauvaise humeur depuis le premier jour. Son couple bat de l’aile. Elle est frustrée. Frustrée d’amour, et l’espère-t-il, de sexe.
A la fin du repas, Inès débarrasse et s’empresse d’aller laver la vaisselle : un prétexte de fuir son patron. Celui-ci s’en rend compte.
« Pardon Inès.
-Quoi ? Je n’entends pas bien ». Bruno la rejoint près de l’évier.
« J’ai dit… Pardon Inès.
-Pardon de quoi ?
-De vous embêter.
-Vous ne m’embêtez pas… C’est juste que vous dites n’importe quoi…
-J’aime bien vous taquiner. Et j’aime vous voir sourire… Je suis désolé que votre copain et vous ça ne se passe pas comme vous le voulez.
-C’est pas grave… ».
Bruno a de l’empathie pour sa secrétaire, elle est triste et voudrait lui changer les idées. Il pose ses mains sur les épaules dénudées d’Inès. Il caresse ses épaules et le haut de ses bras pour la réconforter. Puis, dépose un baiser chargé d’émotions sur une de ses joues. Celle-ci a levé la tête vers son patron pendant qu’il éloigne ses lèvres de sa joue et retire ses mains. Leurs regards se croisent. La secrétaire voit dans les yeux de son patron la sincérité de ses sentiments. De son coté, Bruno voit dans le regard d’Inès : la surprise, la reconnaissance, l’interrogation. Il rejoint ensuite son bureau en laissant Inès finir la vaisselle.
L’après-midi avance. Bruno reçoit des messages de Laura. Elle veut savoir s’ils se voient ce soir. Il hésite. Que répondre ? Il est très tentant de voir Laura ce soir. C’est du sexe à coup sûr. Et puis elle est magnifique, demandeuse, docile… Que demander de plus ?
Bruno pense qu’il a une ouverture avec sa secrétaire… Il pourrait tenter quelque chose.
« Inès ? Vous partez à quelle heure ?
-Pas trop tard si ça ne vous dérange pas. Je dois allez faire les magasins avec ma mère».
Bruno ne peut à l’évidence pas rivaliser avec la mère de sa secrétaire. Et puis le petit copain est pour le moment en course. Donc pas d’hésitation à avoir. Il confirme donc à Laura qu’ils se verront ce soir. Mais il lui demande de venir en robe style pin-up.
L’amante soumise aux désirs de don dominateur lui demande des précisions. Le maitre donne des détails. Soit noire à pois blanc, soit blanche à rayures bleues, cintrée au niveau de la taille et des chaussures à talon assortie. Elle doit venir vêtue de sa robe pin-up au bureau de Bruno, l’appeler patron, et venir directement lui pomper le dard sans discuter et sans poser de questions.
Il ne veut l’entendre parler que pour dire : oui patron - merci patron – ou encore je suis votre secrétaire salope... Ou en variante : je suis une petite garce avec bouche et chatte à disposition de mon patron…
Laura accepte tout avec joie, elle anticipe déjà le plaisir qu’elle-même va prendre.
« A tout à l’heure patron ?
-Attends… une dernière chose Lolo…
-Oui patron ?
-Tu mettras une perruque brune.
-Ok ! A tout à l’heure patron.
-A tout à l’heure petite garce ».
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Commentaires de l'histoire :
Anonyme
merci vivement la suite excitant
Posté le 12/01/2024
Zélie
J'espère une suite prochaine...
Posté le 11/12/2023
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