Le week end entre Inès et son patron touche à sa faim. Apprendra-t-elle quelque chose de nouveau ? Prendra-t-elle des initiatives ? Y aura-t-il un retournement de situation ?
Proposée le 17/02/2025 par Vincent20100
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Thème: Couple, passion
Personnages: FH
Lieu: Parking
Type: Fantasme
Le lendemain matin, Inès se réveille nue dans le lit de son patron qui, lui, dort toujours. Allongée sur le dos, elle pose des deux mains sur le matelas en tâtant pour chercher sa nuisette. La petite brune n’est pas très à l’aise. Elle ne dort jamais nue d’habitude. Les rares fois où son copain l’avait laissée dormir avec lui, il s’était rhabillé fissa juste après avoir joui. Du coup, elle se rhabillait aussi. Mais pas avec Bruno. C’est en repensant à la soirée qu’elle se souvient. En fait, Bruno a jeté sa nuisette à l’autre bout de la chambre. Ensuite il l’a baisée avec passion et entrain.
Inès sourit en repensant à ce moment bestial. Son bas ventre frémit. Elle n’ose pas réveiller Bruno et ne se lève pas. Elle consulte son téléphone. Bien évidemment, sa besta lui a écrit pour demander un résumé de la soirée. Sans attendre, Inès commence à répondre. Rapidement, Cindy qui devait attendre impatiemment des nouvelles de son amie en apprentissage sexuel, lui demande si elle a fait ce qu’elle avait décidé. C’est-à-dire de masser les couilles de son maitre de sexe pendant la pipe.
Inès se rappelle qu’elle n’a pas mis son idée à exécution. Elle n’y pensait plus dans le feu de l’action et puis elle a peur de se sentir gourde si ça ne plait pas à Bruno. Cindy lui demande par sms : « qu’est-ce que tu attends ? Vas-y ! Il sera content. Il kiffe t’apprendre des trucs, même si tu t’y prends pas comme une pro ça va l’exciter ». Inès frissonne et proteste immédiatement, elle explique à Cindy que Bruno dort encore. Cindy rebondit en lui expliquant que c’est parfait. Un réveil avec une pipe divine d’elle à poil et massant ses couilles sera une bonne preuve de progression de l’élève salope qui prend de bonnes initiatives. Inès hésite, Cindy lui demande de s’exécuter et de tout lui raconter tout à l’heure.
L’apprentie, qui jusque-là se sentait un peu effrontée et garce, a peur de ce qu’elle s’apprête à faire. Elle a peur d’interrompre le sommeil de Bruno, peur de ce qu’il pourrait dire du genre : « qu’est-ce que tu fais ? Est-ce que je t’ai demandé de me réveiller ? ». Son cœur bat fort, très fort. Elle se fait peur à elle-même. Mais, elle repense ensuite à ces derniers jours comme le sexe au bureau, quand elle a sucé son patron pendant qu’elle avait son père en ligne, le fait qu’elle ait porté la tenue de soubrette ou qu’elle a fait une vision sous la douche… Non se dit-elle, Cindy doit avoir raison, son professeur de sexe devrait apprécier…
Inès se tourne vers Bruno. Il dort toujours. Elle s’apprête à soulever la couette. Mais ne le fait pas parce qu’elle se dit que cela réveillerait son patron. Elle glisse sa tête sous la couverture et mesure la distance qui sépare sa bouche de l’engin de Bruno. C’est loin s’imagine-t-elle. Elle tend le bras tout doucement pour éviter tout mouvement brusque. Du bout des doigts elle effleure l’objet de son hésitation. Elle pense à Cindy qui va lui demander des détails, et à Bruno qui lui prodiguera un cunni en guise de récompense. Elle ressent une bouffée de chaleur dans tout le corps et en particulier son visage. La fente de son entrejambe picote.
Elle accélère donc ses mouvements, ces effleurements. La tige de Bruno était déjà tendue, ce qui lui facilite la tâche. Elle prend en main le pieu et commence à le branler tout doucement. Bruno soupir. Inès arrête son mouvement tout en laissant son poing serré autour du mat de son patron. Son cœur bat si fort qu’elle sent ses oreilles vibrer au rythme de ses pulsations. Au bout de quelques secondes, comme son professeur n’a pas plus réagit, elle reprend son action, branle son amant et se rapproche le plus lentement possible pour que sa tête soit au-dessus du bassin de son patron. Elle sourit de sa témérité. Elle aura quelque chose à raconter à Cindy.
Inès se dit que c’est le moment. Elle lèche le gland de son patron. Il ne réagit pas. Elle descend sa main sur les bourses mais laisse seulement ses doigts reposer dessus. Dans le même temps, elle prend en bouche le pieu et commence à le pomper comme elle l’a fait la veille. Rassurée, elle décide enfin de mettre son idée à exécution. Tout en suçant, collant sa langue contre cette bite chaude qu’elle plaque contre son palais et fait piston d’avant en arrière, elle commence à masser délicatement les couilles du professeur.
En s’imaginant ce que va dire Cindy, Inès réalise qu’elle devient une véritable salope, qu’elle le sera autant que sa besta. Mais ce n’est pas une idée qui la culpabilise. Au contraire, elle pense à la satisfaction de son amant et à sa future récompense. Bruno soupire à nouveau. Il semble apprécier le traitement, ce qui renforce la détermination de sa garce d’élève qui s’anime de plus en plus. Elle masse les couilles, les caresse, masse et caresse à nouveau tout en tétant avidement la queue fébrile qu’elle aspire, lèche, suçote. Elle commence à faire du bruit, un son débauché de sa bouche sur la colonne de chair. La respiration de Bruno est de plus en plus rapide.
Tandis qu’elle suce, suce et resuce, l’une des mains de Bruno lui caresse la tête. Inès poursuit, elle pompe et masse avec d’autant plus d’entrain. La main de son amant descend sur sa nuque et la lui masse au rythme des sucions que lui prodigue son élève. Le professeur ressent cette chaleur buccale et la douceur de cette langue sur son gourdin, ces doigts et la paume hésitante mais déterminée sur ses bourses. La sensation est divine. Après un certain temps de ce traitement, la sève monte et monte. Décidément Inès, sous ses airs un peu rebelle et farouche, est très habile de sa bouche et sa langue. Elle anticipe la jouissance de son amant, et ressert la bouche, creuse ses joues autour de la verge, malaxe les couilles… Elle s’apprête à recevoir cette semence qui est enfin expulsée d’un coup au fond de la gorge de l’apprentie salope.
Pour montrer ses progrès, la belle brune avale sans sourciller, sans tousser, et continue à faire coulisser ses lèvres en attendant que la queue de Bruno retourne au repos.
Puis, Inès remonte vers l’oreiller, sort sa tête de la couverture et se colle à son patron en lui demandant ce qu’il en a pensé.
- Quelle bonne salope tu fais… ça c’est de la pipe…
Inès sourit, c’est pour elle un compliment. La sincérité du discours de Bruno, la délectation dans sa voix et son sourire à lui, font vibrer de satisfaction la jeune apprentie.
- ça mérite une récompense patron ?
- Oui, tout à fait. Un bon professeur doit récompenser les initiatives de son élève salope.
Inès sourit, son visage rayonne. Sa chatte frémit et humidifie déjà ses grandes lèvres. Le souvenir des précédentes récompenses exerce un effet puissant…
Elle reste allongée sur le dos, écarte les cuisses et les fléchie pour accueillir avec enthousiasme son professeur. Comme les dernières fois, Bruno ne saute pas d'emblée sur le clitoris de sa jeune amante brune. Il commence par lui caresser le corps, embrasse les seins et le ventre. Alors que l’apprentie commence à en vouloir de plus en plus, il descend entre ses cuisses pour les caresser de ses mains. Puis on remonte doucement vers le sexe avec les mains pour stimuler les grandes lèvres, les petits lèvres, l'entrée du vagin…
- Caresses-toi les seins petite salope.
Dès qu’Inès s’exécute, la bouche et la langue de Bruno prennent la suite de ses mains. Humide et chaude, la langue se régale de l'ensemble de la vulve, découvre les lèvres, titille doucement le clitoris. Il maintient le rythme tandis que sa soumise continue à se caresser les seins tout en ralentissant à mesure que on amant intensifie la pression sur sa chatte.
- J’aime quand tu prends du plaisir comme ça.
- C’est normal… mmmm…. Je suis une salope patron…. Mmm…
Bruno poursuit avec des mouvements de va-et-vient. Inès soupire, s’arrête de se caresser. Pour la faire languir, il s’arrête quelques secondes. Elle pose une main sur la tête de son amant pour l’encourager à continuer.
- Encore petite salope ?
- Oui, oui patron !
Bruno attrape les cuisses de sa soumise et les remonte contre son ventre.
- Tiens les bien.
Inès obéi, Bruno reprend des mouvements de langue de va-et-vient de bas en haut, de haut en bas. Lorsqu’elle soupire à nouveau, Inès relâche lentement ses cuisses. Et repose ses jambes repliées autour de Bruno. Celui-ci comprend qu’elle prend toujours du plaisir. Et au bout de quelques minutes, alternant entre doigts et langue, Bruno amène Inès, déjà stimulée par son initiative du réveil, à la jouissance.
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Après le petit déjeuner pris de très bonne humeur, les deux amants préparent le retour. Il faut s’accorder avec la besta d’Inès sur l’heure de rendez vous à la gare, lui payer son billet et faire en sorte que les parents d’Inès ne se doutent de rien.
La jeune brune range ses affaires dans son sac à dos et range derrière elle tandis que son patron téléphone à Cindy.
- Bonjour monsieur Bruno, j’attendais votre appel avec impatience.
- J’imagine qu’Inès vous a déjà fait un compte rendu.
- Oh que oui ! J’avoue que vous me surprenez de plus en plus. Elle apprend plus vite que je ne l’imaginais. Et elle a l’air d’aimer… J’en suis presque jalouse.
- Bien sur… D’après ce que je sais vous avez des amants quand vous en avez envie, donc vous avez du tout essayé déjà.
- Oui et non. Le nombre d’amants c’est surfait monsieur Bruno. Les hommes de votre talent buccal sont assez rares… Donc ne vous étonnez pas si je garde votre numéro le jour où vous aurez fini l’apprentissage de ma copine.
- Terminé l’apprentissage ?
- Monsieur Bruno… On était d’accord je croyais… Que vous êtes là pour lui faire oublier son mec débile et lui apprendre des choses, lui faire perdre un peu d’innocence. Que vous en profitez bien au passage. Ne me dites pas que vous attachez à elle ?
- …
- Non monsieur Bruno, vous me décevez !... Il va falloir que je vous la fasse oublier…
- Hem, bon, ce n’était pas l’objet de mon appel Cindy. On se retrouve vers quelle heure ?
- Disons midi, comme ça on déjeune ensemble. A trois. Mais vous m’avez comprise, c’est un déjeuner à trois, pour manger, mais pas des moules. Enfin, sauf si ça vous dit…
- Je croyais qu’Inès était votre meilleure amie.
- Oui, justement, je ne veux pas que vous attachiez tous les deux, enfin pas comme l’imaginez…. Donc je préfère ralentir le tempo entre vous. Et puis, qui sait ? Un truc à trois ça doit faire partie de votre programme d’apprentissage ?
- Je n’y avais pas pensé…
- Bien sûr… Même pas la première fois qu’on a parlé ensemble ? Quel coquin vous êtes. Moi j’y ai pensé depuis hier quand j’ai repensé à nos appels de la journée. Inès a bien progressé et je me suis demandé si vous ne finiriez pas par lui faire un plan à 3. Du coup, je me suis demandé ce qui serait mieux pour Inès. Un autre mec ça l’intimiderait trop, elle vous fait confiance par contre. Donc, il faut que ce soit une autre femme. Et comme Inès ne veut pas que ça se sache, il vaut mieux que ce soit sa besta, confidente.
- ça ne veut pas dire qu’elle accepterait.
- Détrompez-vous monsieur Bruno. Je me suis déjà demandée si c’était possible. Une fois, à une soirée de la fac, on avait un peu trop bu. Et c’était dans une chambre de la cité universitaire où on jouait avec des copines à des jeux « d’action ou vérité » et bon, une copine encore plus délurée que moi nous a mis au défi de nous embrasser. Du coup je l’ai fait. Mais j’ai senti qu’Inès savourait ce baiser. Au début elle se retenait, et au final elle s’est détendue. Je suis presque sûre que si on recommençait, elle serait un peu réticente et après elle se laisserait faire.
- ça ne veut pas forcément dire qu’elle aimerait, c’est plutôt que vous vous y prenez mieux que les garçons de son âge.
- Bon… Ok monsieur Bruno… Mais réfléchissez-y. Ce serait dans votre programme pour son apprentissage et ça testera si elle tient à vous autant que vous à elle. A tout à l’heure professeur coquin.
Bruno grimace alors que Cindy raccroche. Il se demande s’il s’est tant attaché que cela à son apprentie. Est-ce réciproque ? L’idée d’un plan à trois avec Cindy est tentant, d’ailleurs penser à la scène où Inès et Cindy s’embrassent fait bander Bruno.
Est-ce que Cindy raconte cela pour garder l'attention sur elle ? Est-ce qu’elle veut vraiment baiser avec Bruno ? Ou vivre un cunni ? Ou les deux ? Est-ce qu’elles s’étaient embrassées parce que motivées par le désir sexuel, le désir d’expérimenter ? Juste se conformer au jeu devant leurs copines ?
Quand même, pense Bruno… C’est bien tentant…
Inès s’est habillée comme à l’aller : un court short en toile beige et un débardeur. Elle attrape son sac avant de quitter la maison. Avant de sortir, Bruno l’admire, sourit, l’attrape par la nuque et l’embrasse langoureusement. Il s’étonne de la spontanéité de son geste, mais Inès a visiblement apprécié. Cindy aurait-elle raison sur son attachement ?
Bruno s’installe au volant, Inès sur le siège passager et s’en vont pour la gare. Le trajet sera plus long que le samedi puisqu’il faut retrouver Cindy un peu avant afin que le père d’Inès ne se doute de rien. Contrairement à la veille, Inès est un peu plus détendue.
Plus ils s'approchent de la gare, plus le bruit des trains devient distinct. Enfin, la gare apparait au détour d'un chemin. Inès vérifie l'heure sur son téléphone. Ils laissent la voiture sur le parvis et pénètrent dans la gare, mélange de quelques voyageurs flânant et de petits commerces qui ne paient pas de mine.
Bruno achète les billets pour Cindy et Inès.
Peu après, Cindy, les rejoints. Lorsqu'elle aperçoit Inès et Bruno, son visage s'illumine d'un grand sourire. C’est la première fois que Bruno voit Cindy. Elle a un sourire éclatant, une présence chaleureuse et accueillante. Sa peau caramel, héritage de ses racines antillaises, semble rayonner sous le soleil. Ses cheveux bouclés, coiffés en une couronne naturelle, encadrent son visage avec élégance. Elle est légèrement charnue, ce qui ajoute à son charme. Ses yeux bruns pétillent de malice. Ses joues sont rondes et ses pommettes saillantes. Elle a une allure décontractée mais soignée, vêtue de couleurs vives qui reflètent sa personnalité joyeuse et dynamique.
Elle porte un débardeur en coton de couleur vive, un orange éclatant qui laisse ses bras exposés. Elle associe ce haut à un short de randonnée fonctionnel, en stretch, qui lui moule le bassin et l’arrière en laissant une grande liberté de mouvement. Ses jambes sont aussi exposées.
Un chapeau à large bord protège son visage du soleil, et une paire de lunettes de soleil ajoute une touche de style. Elle porte également un petit sac à dos avec des bretelles rembourrées. Tout comme Inès, son débardeur présente la naissance de ses seins. Ceux-ci sont un peu plus gros que ceux d’Inès. Ses fesses un peu plus rebondies également.
En voyant Bruno pour la première fois, Cindy retire ses lunettes et ouvre grands les yeux d’étonnement. Puis, ses paupières se referment à moitié comme pour se concentrer sur ce qu’elle voit et faire une analyse.
- Arrêtes ! Lui dit alors Inès.
- Je regardes juste. Répond Cindy enjouée, mais heureuse de rendre jalouse sa besta.
Ils trouvent un petit café charmant à proximité de la gare. Le café a une atmosphère chaleureuse avec des tables en bois et des parfums de café fraîchement moulu et de cuisine : celle de fromage gratiné, peut-être d'un croque-monsieur bien doré.
Ils s'installent à une table près de la fenêtre. Le serveur prend leurs commandes : une salade de chèvre chaud pour Cindy et Inès, un croque-monsieur pour Bruno.
La conversation est animée, ponctuée de rires. Cindy dévoile à Bruno des anecdotes amusantes avec pour objectif d’embarrasser Inès et exciter Bruno.
- Non Cindy ! Pourquoi tu lui racontes la fois où on s’est embrassées bourrées ! C’était l’alcool qui nous a fait n’importe quoi et Sophie qui aimait trop les défis hardcore.
La besta ouvre grand les yeux, de surprise.
- Qu’est-ce que tu racontes ? Ce n’était rien un petit bisou. Tu as fait pire avec ton professeur ce week end…
Inès détourne le regard tandis que Bruno ricane.
- Mais c’est pas drôle ! S’insurge Inès.
Bruno l’enroule de son bras et lui caresse l’épaule pour la réconforter. Cindy relance la conversation avec un sourire malicieux.
- Bon, ton programme avance bien ma chérie. Je suis sûre que ton professeur a d’autres choses de prévues. Et peut-être que notre petite histoire lui a donné des idées.
Disant cela, Cindy fait un clin d’œil complice à Bruno, sa langue à moitié sortie, entre ses lèvres sur le côté. Bruno éclate de rire, reconnaissant dans ce geste familier les intentions de Cindy. Inès, malgré sa frustration initiale, ne peut s'empêcher de sourire en voyant la connivence entre ses deux amis. La chaleur et la bienveillance de Cindy apaisent l'atmosphère, et Inès se sent immédiatement plus légère.
La conversation se poursuit, Cindy lance de temps en temps des regards appuyés à Bruno, se lèche ostensiblement les lèvres, lui fait des clins d’œil… Manège repéré par Inès.
- Je sais que tu le fais exprès pour me rendre jalouse. Affirme Inès.
- Tu ne partages pas ? Demande d’un air faussement innocent la besta.
Inès se fige quelques secondes, hausse les épaules et finit son plat.
Le repas finit, Inès envoie un message à son père pour lui confirmer l’heure estimée de l’arrivée du train. Bruno laisse les filles prendre leur train en leur faisant la bise. Inès fait cela rapidement, comme si elle avait peur qu’un espion les voient. Cindy appuie exagérément ses bises. Ce qui fait réagir Inès. Elle refait la bise à Bruno, et l’embrasse ostensiblement à pleine bouche, comme pour marquer son territoire à sa besta.
Cindy éclate de rire, puis affirme :
- Je te rappelle ma chérie que tu as un mec officiel…
Inès grommelle puis monte dans le train suivie de Cindy hilare… Bruno rentre chez lui juste après le départ du train.
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Une fois rentré, il fait le bilan. Il a pris encore son pied avec Inès. Elle a beaucoup changé depuis le premier jour où il l’a rencontré. Elle est de plus en plus docile et prend des initiatives. Par contre, la tournure que prend la relation avec Cindy le laisse pensif. Est-ce qu’il doit baiser la meilleure amie de Cindy ? Qu’en penserait Inès ? Est-ce qu’elle ferait une crise et le quitterait. La relation prof-élève, patron-assistante lui plait trop pour qu’il arrête maintenant. Et ? Et si le comportement de Cindy était un test ? Non… C’est vraiment une cochonne, salope de concours, comme l’a confirmé Inès.
Justement, un message d’Inès arrive. Il y a une photo d’elle en « selfie » dans le train, faisant un bisou à la caméra. Le message dit que la photo est là pour que Bruno pense à elle jusqu’au lundi. Ce à quoi Bruno répond que de son côté, elle ne doit pas oublier sa première tache lundi matin. Inès affirme qu’elle n’a pas oublié.
Le patron exulte intérieurement, il pense à la scène. Il sera à son bureau, Inès va arriver en robe ou en jupe. Elle va entrer dans son bureau, attacher ses cheveux en queue de cheval, s’agenouiller devant son fauteuil, lui détacher la ceinture, déboutonner le pantalon, retirer le caleçon. Et lorsque son sexe turgescent en jaillira, elle se penchera et…
Un autre message arrive. Mais de Cindy cette fois. « Je vous appelle dès qu’on est chez Inès monsieur Bruno… J’ai oublié de vous demander de venir me chercher… A moins que vous ne me payiez un uber ? »
Bruno ne répond pas tout de suite. Il se passe la main sur le visage. Il n’avait pas pensé à ça non plus… Aller la chercher ne l’enchante pas. Elle pourrait vouloir passer à l’action. Et pour le moment, il ne veut pas s’engager sur cette voie tant qu’il ne sait pas comment va réagir Inès.
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En milieu d’après-midi, un message d’Inès informe Bruno qu’elle est rentrée chez elle avec Cindy et que tout s’est bien passé avec son père qui ne se doute de rien, même s’il a fait des remarques sur les tenues des filles.
En fin d’après-midi, le téléphone sonne. Cindy ? S’imagine Bruno. Oui, c’est elle.
- Ah monsieur Bruno ! Pardon, mais comme je ne vais pas dormir ici, comment on fait ? Vous venez me chercher ou vous me payez un uber ? Et ne vous inquiétez pas, je pense que vous serez remboursé en nature généreusement demain. Sauf si vous préférez que je m’occupe de vous et ça peut se faire ce soir. Enfin, donnant donnant monsieur Bruno, vous devrez quand même exercer vos talents sur ma personne.
- Vous êtes terrible Cindy… Bon ok, je vous paye le transport.
En début de soirée, un message d’Inès informe Bruno que l’uber a pris Cindy pour la déposer à la gare où est garée sa voiture. Quelques minutes plus tard, un message de Cindy avec une photo d’elle en selfie dans le uber, la montre mimant un baiser vers le téléphone en clignant de l’œil.
Au bout d’une bonne demie-heure, un nouvel appel. Cindy encore.
- Monsieur Bruno, il va faut venir me chercher. C'est sérieux.
- C’est pas vrai !
- Pardon, ce n’est pas ma faute, le uber est en panne et je préfère que vous veniez me chercher que de rester avec lui. Vraiment. Comme ça je lui dit que quelqu’un vient me chercher. Et bon vous pouvez penser ce que vous voulez de moi, mais je baise pas à tout va, surtout avec des types qui me rassurent pas… Vraiment, vraiment monsieur Bruno ne me laissez pas seule avec lui. Je sais que ça vous parait bête mais je ne suis vraiment, mais vraiment pas rassurée.
- Oui ok, vous êtes loin ?
Une fois l’adresse approximative donnée, Bruno se dépêche, comme un chevalier au secours d’une femme en détresse pour la rejoindre. Au final, elle lui a transmis sa peur...
En approchant du lieu de la panne, Bruno ouvre la fenêtre, scrute autour pour ne pas rater Cindy. Une voiture arrêtée clignote sur le côté. A peine Bruno immobilise sa voiture que Cindy ouvre la porte. Une voix masculine derrière l’interpelle « bon retour mademoiselle, votre petit ami est arrivé vite ».
Cindy monte rapidement, comme si elle était poursuivie, alors que manifestement non. Puis, elle s’assoit côté passager, se penche vers Bruno et l’embrasse en se collant à lui de toutes ses forces et tout son poids, un peu comme l’a fait hier Inès. « C’est beau l’amour » commente le chauffeur du vtc en panne.
- Vas-y chéri. Dit-elle à Bruno et tourne la tête. Bon courage monsieur !
Cindy referme immédiatement la fenêtre et soupire de soulagement.
Après quelques mètres, Bruno sentant que la tension et la peur de Cindy sont retombé, tente de lancer la conversation.
- ça va mieux ?
- Pardon Bruno, je t’ai embrassé, mais le gars là il me faisait trop peur… Je suis peut-être parano, mais j’étais pas rassurée...
Puis, elle raconte le voyage et comment la panne s’est produite, comment elle a été au début décontenancée et ensuite inquiète. Elle répond à quelques messages d’Inès tout en parlant à Bruno.
- Je vais te raconter une aventure d’une copine de fac Bruno. Tu m’écoutes ? Alors c’était deux copines qui rentraient ensemble de soirée. On avait été dans une boîte où il y avait boisson gratuite à volonté pour les filles et payant pour les gars.
- Oui, je vois le genre. Intervient Bruno.
- Voilà, donc au moment de quitter la soirée, Inès et moi on s’est fait raccompagner par mon cousin qui est venu passer un week-end avec nous. Donc pour nous pas de soucis. Mais nos copines ont pris un uber. Tout allait bien au début hein. Et en route, déjà ils ont pris un chemin bizarre. Puis la voiture s’arrête et le gars leur dit que la voiture est en panne. Alors il sort. Devant, il y avait une autre voiture arrêtée. Le conducteur est allé parler à l’autre gars de l’autre voiture. Et nos copines, au début, elles se demandaient ce qui se passait, mais quand elles ont vu les deux gars venir ensemble… Elles ont paniqué, elles ne savaient pas s’ils venaient pour les voler ou pire, ou si juste l’autre gars venait voir la panne avec le conducteur. En tout cas, elles avaient tellement peur, qu’elles ont ouvert la portière et se sont enfuies en courant, en courant, mais en courant vraiment aussi vite qu’elles pouvaient. Et il faisait nuit, on voyait rien, donc elles ne voyaient même pas si les deux gars les poursuivaient ou pas… Quand elles m’ont raconté ça le lendemain, j’ai eu peur pour elle. Et ce soir, j’ai repensé à cette histoire et j’ai prié, prié pour que tu arrives vite. Je suis peut-être parano, mais je pouvais pas rester une minute de plus.
- Pas de soucis Cindy…
Disant cela, il tapote de la main droite la cuisse gauche de Cindy, innocemment, juste pour la rassurer. Celle-ci soupire, comme pour évacuer sa peur et se penche sur le côté, laissant sa tête reposer sur l’épaule de Bruno qui, ne sachant pas trop comment la rassurer plus, la laisse faire.
Ils arrivent à la gare, Bruno entre sur le parking et s’arrête près d’une voiture isolée sous un arbre.
- Nous sommes arrivés. Annonce Bruno.
Cindy ne bouge pas la tête de l’épaule de Bruno, elle agrippe le bras droit d’une main et de l’autre la main droite de Bruno.
- Pardon Bruno, j’ai juste besoin de quelques minutes s’il te plait…
- Ok. Soupire-t-il.
Ce faisant, il se dégage tout de même. Et alors que Cindy commence à se redresser confuse, il enroule son bras autour des épaules de la jeune effrayée et la resserre contre lui. Elle pose sa tête sur l’épaule de Bruno, enroulée dans son bras.
- C’est rassurant comme ça. Merci Bruno… Inès a de la chance, je comprends mieux pourquoi tu l’hypnotise…
Bruno ne dit rien et attend. Après quelques secondes, Cindy demande à Bruno s’il sait que le mec officiel d’Inès, celui qui est nul et qu’elle doit quitter a appelé ce soir. Bruno répond que non. Alors Cindy raconte qu’il a appelé, qu’Inès a été évasive. Que Bruno ne doit pas lui en vouloir. Que c’est compliqué. Inès n’a pas vraiment rompu, même si elle évite son « officiel », que le père d’Inès pense que cette relation est terminée… Bref, compliqué.
Bruno se fige quelques secondes. Il sait qu’Inès a un mec, mais la réaction de ce soir le surprend. Il s’attendait à ce que Cindy annonce qu’Inès a rompu par téléphone… L’idée que la relation, même suspendue ne soit pas terminée officiellement lui donne un pincement au cœur, lui qui commençait à s’attacher. Du coup, il comprend mieux la réaction de Cindy. Oui, du coup c’est vrai qu’il vaut mieux oublier Inès. Mais comment ? Dommage, la relation semblait sur la bonne pente.
Quelques minutes passent, puis Cindy se redresse, prête à partir. Du moins elle semble l’être. Quelque chose fait penser à Bruno qu’elle veut rester encore, ne pas le quitter. Elle se penche vers lui, ils se font la bise, elle pose une main sur la cuisse de son sauveur. Bruno hésite, la laisse-t-il faire ? Tout progresse bien avec Inès. Oui, mais elle a toujours son mec naze. Elle ne lui a pas dit qu’il a appelé et elle ne l’a pas quitté officiellement… Fait chier…
Et puis bon ils ont un contrat de sexe pas de relation… La petite Cindy est très mignonne, touchante tout en étant très salope. Pourquoi il se prendrait la tête pour Inès ? Et puis il a un peu eu peur pour Cindy aussi, il se sent plus ou moins connecté à elle en ce moment. Il pose sa main sur la main de Cindy, celle sur sa cuisse. Qu’a-t-il fait ? Surement a-t-il donné le feu vert à Cindy, parce qu’au lieu d’éloigner sa tête après les bises sur les joues, elle l’embrasse à pleine bouche, comme une femme excitée, brulante d’envie pour son héros, celui qui l’a sortie d’un moment effrayant et qui, d’après Inès donne des cunnis sensationnels.
Plus de scrupules pour Bruno, si Inès avait voulu une relation exclusive, elle aurait viré l’autre gars de sa vie, ou du moins, elle ne répondrait plus à ses appels. Et puis, Cindy est magnifique avec son débardeur échancré. Bruno commence à tâter la poitrine caramel galbée et moelleuse.
Cindy sourit tout en appuyant son baiser. Ils s’enhardissent tous les deux. La tête de Bruno descend, il embrasse le creux de ses seins et lèche l’entre deux. Cindy rit et regarde autour que personne ne les voit.
Ils sortent de la voiture et vont à l’arrière. Bruno enlève le débardeur tout en ordonnant à Cindy de retirer son short. Celle-ci s’exécute rapidement, trop pressée de vivre ce qu’Inès lui raconte au sujet de la bouche et la langue du professeur de sexe.
La jolie salope au teint caramel est en culotte. Bruno lui suce les seins l’un après l’autre et commence à lui caresser la vulve par-dessus la culotte. D’une main, Cindy caresse la tête de son amant, de l’autre ses fesses en les agrippant fermement de temps à autre.
Quand les gestes de Cindy se font de plus en plus appuyés, pressants, amplifiés et que sa culotte mouille suffisamment, Bruno comprend que le moment est venu. Il s’arrête, remonte vers l’oreille de sa partenaire et chuchote « maintenant je m’occupe de ta petite chatte affamée, après tu me montreras si tu es à la hauteur de ce que me raconte de ta salope de copine.
Cindy sourit, et alors que Bruno recule, elle retire en 4e vitesse sa culotte, s’allonge confortablement sur la banquette arrière, replie ses jambes en les écartant.
- Eh ben… Quelle impatience ! Jubile Bruno.
Cindy ricane bêtement, à la fois excitée, frustrée que Bruno ne la lèche pas déjà. Elle rie de la situation, où elle penserait que Bruno serait plus pressé qu’elle.
Bruno se met à l’ouvrage. Il commence à lécher la moule de sa nouvelle partenaire. Celle-ci soupire. C’est un soupir qui sonne comme un « enfin ». Le professeur de sexe d’Inès prend son temps pour se délecter de la vulve et des grandes lèvres de sa nouvelle soumise. Car oui, il pense pouvoir la soumettre elle aussi. Il est conscient que son pouvoir sur les femmes vient de sa capacité à donner des cunnis mémorables.
Cindy respire de plus en plus fort, se caresses les seins sans que Bruno ne lui ai demandé. Il poursuit son manège en introduisant sa langue dans le tunnel d’amour de Cindy. Elle inspire fortement, expire, prend du plaisir.
En début de semaine, Bruno ne pensait pas baiser Inès comme une chienne aussi rapidement. Après tout, il aurait pu ne rien se passer. Il ne pensait pas non plus avoir une ouverture si vite avec Cindy, même s’il se demandait s’il n’y avait pas une chance que cela se fasse.
Les jambes de Cindy s’ouvrent et se ferment lentement et de plus en plus fort, elle gémit, referme ses cuisses sur la tête de Bruno. Celui-ci continue son manège, lèche toujours plus, tourne sa langue, fait des va et vient… Les cuisses de Cindy se ferment et s’ouvrent, coincent la tête de Bruno, la libèrent, entrainées par des spasmes de plaisir.
- Oh putain ! Oh putain ! Oh merde, putain! Crie Cindy.
Cindy libère un dernier long soupir. Bruno se place au-dessus d’elle, tète l’un puis l’autre des gros seins de sa partenaire. Celle-ci lui caresse la tête.
Quelques instants plus tard, Cindy passe sa main sur le pantalon de Bruno, le déboutonne.
- A ton tour. Tu as bien mérité. Affirme Cindy en gloussant.
Bruno ne se fait pas prier. Il retire rapidement son pantalon, son caleçon. Il se place à califourchon sur le ventre de Cindy, place son pieu entre les melons de sa partenaire passionnée et se masse le mât avec.
Au bout de quelques va et vient, Cindy tente d’approcher sa tête pour lécher le gland du bout de la langue.
- Je n’y arrive pas comme ça mon chéri.
- Ok, on inverse.
Cindy s’assoie sur la banquette, mais Bruno la fait sortir de la voiture et s’assoit à sa place au bord de banquette, les jambes écartés presque hors de la voiture et l’engin dressé.
- Donne mes vêtements, chéri. Demande empressée Cindy qui se cache les seins et la chatte.
- Non tu es bien comme ça. Il n’y a personne, ne t’inquiète pas.
- Pervers ! Attends… La portière me cache un peu…
Elle tourne la tête, constate qu’ils sont dans un coin obscur du parking et qu’il n’y a personne. Ni même de voiture. Il est minuit passé après tout. Cindy reprend un peu de courage, cesse de cacher son corps de ses mains. Elle porte quand même ses baskets, s’accroupit entre la porte arrière et la banquette face à Bruno. Elle regarde encore autour pour vérifier si elle est visible et regarde Bruno dans les yeux et chuchote toute excitée par la situation.
- Je suis à poil Bruno. Tu m’entends ? A poil sur un parking… J’ai déjà sucé des mecs en voiture mais pas en étant au pied de la bagnole à poil… Putain t’es un pervers…
- Au moins tu auras eu une première avec moi.
- Oui… Bon on ne traine pas quand même.
Cindy glousse, commence à branler doucement Bruno en jetant un dernier regard derrière elle. Bruno lui attrape le menton entre le pouce et l’index pour ramener son visage face à lui.
- Il n’y a personne. Montre-moi quelle salope tu fais.
Sans attendre sa réponse, il lui met son pouce dans la bouche. Cindy n’attend pas d’ordre, tout en continuant à le branler, elle suce immédiatement le pouce, tourne sa langue autour, aspire, creuse les joues, comme pour lui donner un avant-gout de la séance qu’il va vivre.
Après quelques secondes, elle lève les yeux, le regarde de façon féline, ses yeux lui parlent « je vais te sucer comme tu ne l’as jamais été ». Elle pose sa main sur celle de Bruno, retire le pouce et chuchote à nouveau en le regardant surexcitée dans les yeux. Ceux de Cindy son grands ouverts, son sourire rayonnant.
- Je suis à poil… Je suis poil tu m’entends ? Putain à poil sur un parking pour sucer un mec qui est assis dans la voiture… On peut me voir espèce de pervers…
Elle se calme pourtant, cesse de branler son amant, ouvre la bouche et dépose ses lèvres sur le gland de Bruno. Lentement, elle fait avancer le dard dans sa bouche en gardant bien serrées ses lèvres pulpeuses autour de cette colonne de chair qu’elle colle contre son palais avec sa langue au fur et à mesure que la queue avance.
Bruno est aux anges. Il était de plus en plus excité en s’occupant d’elle et en la caressant. Rien que l’entrée en bouche est un délice, la suite est prometteuse. Contrairement à Inès, il n’y a pas à la guider, il n’y a pas à l’inciter à poursuivre, Cindy fait tout d’elle-même. Il l’a sent en en confiance, maitrisant ses gestes.
La voilà qui suce, suce, suce goulument, cherchant à malaxer cette colonne de chair avec sa langue. Son amant jubile, Inès se débrouille bien mais sa copine est un niveau au-dessus. Sa tête descend et remonte, aspire le gland, redescend en malaxant sa bite, pompe et repompe, joue avec sa langue sur cet engin.
Ce manège continue un certain moment. La sève monte enfin.
- Je vais venir. Prévient Bruno
- Oh ? Déjà demande Cindy qui a relevé la tête, le branle lentement en lui tirant la langue.
Elle le défie. Ou tente juste de le taquiner. Peut-être bien qu’elle le cherche pour voir ce qu’il fera. Bruno se dit à cet instant qu’elle fait partie de ces femmes qu’il faut dominer. Il pose sa main sur celle de Cindy et la retire de sa queue. La regardant droit dans les yeux, il agrippe sa bite d’une main et donne des instructions à sa future soumise.
- Tu fais une sacrée salope…
- Oui !
Bruno met une petite tape sur une joue et un revers sur l’autre de sa main libre. Cindy est surprise. Elle n’a pas eu mal mais ne s’y attendait manifestement pas. Quoi que, elle sait qu’Inès en a reçu une ou deux aussi. Elle semble comprendre que son amant cherche à la dominer. Cette situation l’excite, ses yeux pétillent.
- Oui patron. La corrige-t-il.
- Oui patron ! Répond-elle enjouée.
- Tu es une petite salope qui aime les cunnis ?
- Oh que oui patron !
- Bien, si tu en veux d’autres, il faut être bien docile… Mets tes mains dans le dos, ferme les yeux et ouvre la bouche.
Cindy n’est pas stupide, elle sait ce qui l’attend. Ce qui l’excite. Elle obéit. La voilà accroupie sur le parking entre la portière arrière qui la cache et la banquette de la voiture, mains dans le dos comme une prisonnière, yeux fermés, bouche ouverte. D’une main, Bruno malaxe un des seins de Cindy et branle sa queue face au visage enjouée de sa nouvelle soumise. La sève monte, monte et est projetée sur le visage de Cindy. Elle glousse.
- Pervers… Tu as dédicacé mon visage.
- Oui… Comme Inès, tu es ma petite pute maintenant. Je te baiserais quand j’en aurais envie et tu me suceras en bonne salope que tu es… En récompense, je m’occuperais bien de toi.
Cindy, le visage recouvert en partie de foutre, ouvre les yeux, sourit et tourne la tête de droite à gauche comme si elle n’en revenait pas de s’être mise à poil sur le parking. Pourtant elle pensait avoir eu pas mal d’expérience.
- On a un accord ? Demande Bruno.
- Oui.
Bruno saisit sa queue, presse le bout pour en faire sortir la dernière goutte de jus de pine, approche la tête de Cindy et lui pose son gland sur les lèvres. Bien plus salope qu’Inès, elle lèche immédiatement la goutte et avale ostensiblement en regardant Bruno droit dans les yeux.
- Oui qui ? Redemande Bruno.
Cindy se fige, ne comprenant, se demandant ce qu’il attend. Le professeur de sexe d’Inès se sert de sa bite pour prendre un peu de foutre sur la joue de Cindy et lui poser sur les lèvres. De même, elle lèche, puis suce le gland pour récupérer toute la semence qui est encore dessus.
- Tu es une sacrée salope… Tu feras une bonne petite pute… Bon alors, oui qui ? Insiste Bruno.
Cindy glousse.
- Oui patron.
- Tu seras ma petite pute ? Même si je rebaise ta copine ? Sois bien salope et je te récompenserais en conséquence.
Cindy repense au cunni, cette récompense qui fait le plaisir d’Inès et maintenant le sien. Ce moment était trop bon pour ne pas en reprofiter…
Cindy hausse les épaules.
- Oui patron, tu peux baiser Inès j’ai pas de problème avec ça, c’est plutôt elle qui risque de pas vouloir partager… En tout cas oui. Oui patron, oui je serais ta petite salope et ta petite pute à toi. Tant qu’il y aura ta bouche entre mes cuisses ! Oh oui je serais aussi salope que tu voudras et tu me baiseras comme une pute.
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Commentaires de l'histoire :
Anonyme
Ah ouais, sans gêne la copine cindy ! La suite ?
Posté le 11/03/2025
Alexx
Hot hot hot. Je ne pensais pas qu'il profiterait si vite de la copine Donnez nous la suite ! J'ai hâte...
Posté le 1/03/2025
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