Bruno a rêvé de son assistante toute la semaine. Maintenant qu'il a discuté avec la meilleure amie d'Inès, il sait qu'il a une opportunité à saisir. Reste à savoir s'il pourra aller jusqu'au bout aujourd'hui ou s'il doit attendre le week end...
Proposée le 6/02/2024 par Vincent20100
Nous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Couple, passion
Personnages: FH
Lieu: Bureau, travail
Type: Fantasme
Le vendredi arrive. Cela fait donc 5 jours que Bruno a rencontré Inès. Il repense aux 4 premiers jours. Il se souvient l’avoir vue au loin par la fenêtre, dans son pantalon et chemisier moulant.
Une des premières choses qu’elle lui avait dite est « qui est ce qu’il faut sucer pour avoir un poste ? ». Après ça, elle a été moins vulgaire. Mais il semble à Bruno que la petite Inès le cherche quand même : à sa façon de parler, de le regarder, se comporter, appliquer les gages. D’ailleurs, l’amie d’Inès qu’il a eue en ligne la veille le lui a confirmé.
Bruno se plait à imaginer qu’en réalité, il y a quelque chose à concrétiser avec son assistante. Il lui faut juste être un peu plus entreprenant et directif. Après tout, avec Laura ça a été rapide… Quoi que, elle venait de s’adonner au plaisir solitaire. Ce qui a facilité la tâche… Mais cela se serait fait d’une manière ou d’une autre.
Au début, il avait semblé à Bruno, dans un de leurs échanges de regard, qu’Inès lui avait « parlé avec ses yeux », qu’elle lui aurait fait comprendre du regard qu’il pouvait être entreprenant. Avait-il rêvé ? Non, surement pas, puisqu’elle s’est soumise aux gages, attend qu’il lui fasse la bise, le traite de méchant et que sa copine a dit hier qu’Inès était « open ».
Au début de la semaine, Bruno s’était persuadé que son assistante le sucerait avant la fin de la semaine. Ce serait donc aujourd’hui ou ce weekend end. Peu de chance que ce soit le weekend end d’ailleurs. Il faudrait que ce soit aujourd’hui alors. Oui, voilà : il faut qu’il soit téméraire aujourd’hui. Inès, il en rêve, il la veut. Son instinct l’appel à la prendre dans ses bras, l’embrasser, la caresser, s’introduire en elle encore et encore…
La porte s’ouvre. Inès vient d’arriver.
-Bonjour patron.
-Bonjour Inès. Vous allez bien ?
-Oui et vous ?
-Très bien. Fermez la porte, dit-il en souriant.
L’assistante s’exécute, pose sa veste et son sac à main, rejette ses cheveux détachés en arrière avant de s’assoir devant son ordinateur.
-Inès ? Vous n’oubliez rien ?
-Quoi ? Je vous ai dit bonjour, j’ai fermé la porte délicatement et je n’ai rien cassé ni brûlé. Dit-elle sur un ton moqueur.
Bruno la fixe droit dans les yeux et pointe de l’index les vêtements de la petite brune.
-Quoi ?
-Et le gage ?
-Le gage ? Ah… Oui… J’oubliais. Dit-elle d’un air faussement détaché, jouant celle qui aurait oublié.
-C’est cela… Allez ! Enlevez-moi ça.
Inès baisse la tête, et tout en déboutonnant son chemisier lentement, s’adresse à Bruno.
-Vous vous moquez pas ?
-Bien sûr que non.
Inès se retourne pour se trouver dos à son patron. Elle retire son chemisier. Prend le temps de le plier délicatement et le poser sur le meuble à tiroirs en face d’elle.
Bruno comprend alors que la petite effrontée du premier jour est en réalité timide, surtout au niveau intime. Il se sent plus confiant mais se dit qu’il faut la rassurer. Il se rapproche d’elle. Une fois dans son dos, il l’aide à retirer son pantalon.
Voilà son assistante, dos à lui, portant seulement sur elle un ensemble deux pièces rouge et des bas autofixants de la même couleur. La culotte a une forme adaptée qui lui couvre joliment les fesses. Laissant deviner la forme sans en dévoiler trop.
Le patron est curieux d’en voir plus. Sans rien dire, il pose ses mains sur les épaules d’Inès et la fait se retourner. Apparait alors à ses yeux, un soutien-gorge à bonnets dentelle ajourée rouge à travers lesquels on voit la rondeur des seins mais non pas les tétons cachés derrière le bonnet dont le dessous en tissu plein tandis que le dessus est en dentelles.
-Magnifique Inès.
-Vous êtes content ? Dit-elle les yeux baissés.
-Oui, dit-il en lui déposant un baiser sur le front. J’espère que vous ferez une autre bêtise aujourd’hui, comme ça je vous donnerais un nouveau gage.
-Vous êtes vraiment un pervers. Affirme-t-elle en riant.
-Vous me provoquez aussi Inès, avec cette superbe tenue. Et puis vous avez dit vous-même que si vous ne faisiez pas gaffe, vous finiriez à poil.
-Mais, dit-elle en le regardant surprise. Mais vous allez me demander de me déshabiller… Complètement ?
-Si vous faites une autre connerie : oui. Et j’espère que vous en ferez !
-C’est ça…
-ça vous plairait aussi…
-Bon, arrêtez de dire des bêtises, on doit travailler.
Bruno sourit. Inès se tourne face à son bureau pour s’apprêter à commencer la journée. Son patron passe une main derrière le dos pour attraper l’épaule qui lui est opposée, attire Inès contre lui et l’embrasse sur la joue. Puis la relâche instantanément.
-Merci Inès. J’attends avec impatience le nouveau gage.
L’assistante prend un air mutin et alors qu’elle s’apprête à dire quelque chose, Bruno l’interrompt en lui claquant la fesse.
-Allez, au travail !
Puis, il s’en va à son bureau, laissant Inès troublée et surprise, ne sachant pas trop quoi dire ni comment réagir. Elle reste au même endroit : un frisson a parcouru sa colonne vertébrale et une légère démangeaison au niveau de sa fesse s’estompe petit à petit.
Elle est prise entre une forme de gêne à être en sous-vêtements sur son lieu de travail et une forme de stimulation. Elle sent une chaleur lui monter aux joues et son bas ventre commence à picoter.
Bruno est également nerveux. Il se demande comment son assistante va réagir. Elle ne dit rien et semble reprendre le travail d’hier. Elle a les joues rougissantes, n’ose pas regarder dans la direction de son patron, croise et décroise les jambes, se tortille sur son fauteuil de bureau.
Bruno peut se détendre. Inès ne va pas se fâcher. Mais il ne faut pas la brusquer non plus. Il va la laisser mariner un peu et se noyer dans ses réflexions. Elle doit se demander où cela va mener. Est-ce qu’elle va se retrouver à poil devant son patron ? Est-ce que les encouragements de sa meilleure amie sont une bonne idée ? Et à quoi son patron pense en ce moment ?
Le patron s’imagine alors comment les choses pourraient tourner. Inès ferait une nouvelle connerie et elle serait bien obligée de retirer tous ses vêtements. Il la troublerait et l’embarrasserait tout en la rassurant et en la complimentant. Il pourrait la prendre dans ses bras, la caresser, la doigter. Et lorsqu’elle commencerait à mouiller abondamment, il la ferait s’agenouiller. Enfin il atteindrait son objectif et apprendrait à la petite brune à téter comme il aime.
De son côté, l’assistante jette quelques coups d’œil furtifs vers son patron. Elle se demande à quoi il pense. Manigance-t-il quelque chose ? Quel gage lui prépare-t-elle ? Oh ! Elle en est certaine en fait, il lui demandera de se mettre à poil. Cette idée lui donne chaud à nouveau. Elle frissonne légèrement. Et la voilà qui repense à la conversation qu’elle a eu la veille avec Cindy, sa meilleure amie.
Cindy a passé une partie de la soirée à titiller Inès sur son patron. « Tu lui as dit qu’à ce rythme tu finirais à poil ? Eh ben ma chérie ! Tu sais ce que ça veut dire ? C’est qu’au fond, tu ne serais pas contre… »
Elle avait voulu protester, mais la bestah était déterminée. « Arrêtes Inès, il te plait. Ça va te faire du bien. Tu as besoin d’oublier ta relation de merde, ce type fera un très bon mec de transition ».
Un mec de transition ? Avait interrogé Inès.
Oui, avait répondu Cindy. Un mec de transition, un mec qui serait une pure relation sexuelle qui lui donnerait du plaisir et la dévergonderait. Parce que derrière ses grands airs et sa grande gueule, mademoiselle est une trouillarde niveau sexe. Ce contre quoi la petite brune n’avait aucun argument. Cindy avait alors sorti un ensemble lingerie rouge avec bas rouges qu’elle avait acheté exprès dans la journée pour son amie. « Tu porteras ça demain, il va craquer ». Inès avait protesté. Elle n’était pas trop à l’aise. « Tu as accepté le gage ma chérie. Allez, tu vas voir après tu le regretteras pas. Je suis sûre qu’il sait s’y prendre. Il doit avoir de l’expérience. Pas comme ton jouis-trop-vite qui te traite comme de la merde… Tu penses qu’il a une queue bien dure ? Tu as regardé s’il avait une bosse dans son pantalon ? ». Alors que Cindy riait, Inès lui demandait d’arrêter de lui mettre des idées cochonnes dans la tête.
Tentant de se recentrer sur l’instant présent, Inès se pose maintenant la question. Est-ce que Bruno avait une bosse dans son pantalon quand il a vu l’ensemble lingerie ? Elle n’a pas fait attention, elle n’a pas regardé. Elle s’imagine son patron avec son pantalon déformé par l’érection. Il lui demanderait si elle veut toucher, si elle veut voir. Il poserait sa main sur sa joue, l’embrasserait à pleine bouche et l’autre main lui caresserait les fesses.
A ces pensées, la belle brune en lingerie rouge ressent un coup de chaud aux joues. Sa respiration s'accélère.
Ses seins frémissent et les mamelons picotent comme s’ils durcissaient. Tandis que sa poitrine a la chair de poule, une vague de chaleur monte dans son ventre. Instinctivement, Inès prend son élastique à cheveux, dégage son visage en rassemblant ses cheveux à l’arrière en haut du crâne, et les attache en queue de cheval.
Tandis qu’elle finit de se recoiffer, son regard croise celui de Bruno. Si l’instinct de l’assistante l’a poussée inconsciemment à se coiffer en queue de cheval sur le haut arrière de la tête, l’instinct du patron, lui, interprète cette coupe comme un message. Un message qui lui dirait « je suis disponible pour le sexe ». A cette idée, il se sent à l’étroit dans son pantalon.
Le croisement de regard perturbe un peu Inès. Elle a l’impression, mais elle n’en est pas sure, que sa petite culotte est en train de s’humidifier.
Est-ce qu’il a une bosse dans son pantalon ? Pense-t-elle de nouveau. La voix de Cindy revient, résonne dans l’esprit d’Inès : « gage ou pas gage ma chérie, tu vas finir cul nu ! Ha ! Ha ! ». Non ! Il faut qu’elle évacue cette idée.
-Cindy sort de ma tête !
-Pardon Inès ? Vous me parliez ?
-Euh, je me demandais si vous aviez une bosse… euh non je ne voulais pas dire ça…
-Si j’avais quoi ?
-Oui je me demandais si vous aviez mon contrat ?
Le cœur d’Inès bat rapidement sous l'effet de l’émotion. Elle a la frousse. Est-ce que son patron a entendu sa première réponse ? Merde, merde, se dit intérieurement Inès. Quelle conne je fais. Cindy : tu fais chier.
Bruno se questionne également. Il jurerait que la deuxième réponse n’est pas la même que la première. Même s’il n’a pas entendu la première phrase, il lui semble que les sons sont différents. Et puis la voix d’Inès ne respire pas l’honnêteté dans cette deuxième réponse.
Il a cru entendre « je me demandais si vous aviez envie de me baiser… euh vous ne voulez pas ça ? ». Ce qui l’avait surpris et pris au dépourvu. Elle s’était peut-être corrigée en s’apercevant de son audace. Comme le premier jour. Si c’était le cas, plutôt que de répondre « si j’avais quoi ? », Bruno se dit qu’il aurait dû répondre : bien sûr Inès, venez ici que l’on s’occupe de ça toute de suite.
Un sentiment en lui persiste. Il ne sait pas pourquoi, il sent à nouveau que son instinct le prévient que le fait que son assistante se soit recoiffée est un message. Que les cheveux en haut de la tête couplés au regard timide qu’elle lui a lancé est bien un appel inconscient au sexe. Mais non, ce ne peut pas être ça. Il prend ses désirs pour des réalités se dit-il.
Malgré tout, c’est l’occasion de passer la seconde. Cela fait quand même une demi-heure qu’elle s’agite devant son ordinateur comme si elle parlait toute seule. Elle a suffisamment mariné.
-Justement Inès. Venez ici, je l’ai imprimé.
L’assistante, trop contente d’avoir enfin son contrat de travail à signer, se lève avec entrain. Et, dans sa précipitation, fait tomber la lampe de bureau qui ne manque pas de se casser.
-Oh putain ! Enfin… crotte…
-Bravo Inès ! Vous savez ce que ça veut dire ?
-Oui, oui… Encore un gage…
-Exactement ! Donc : à poil !
-Non ! Non ! S’il vous plait !
-Inès ! On avait un accord ! Un gage à chaque connerie ! Et vous aviez dit vous-même que vous finiriez à poil si vous faisiez pas attention.
-Pardon ! Pardon ! Je ferais ce que vous voulez ! Mais je me déshabille pas d’accord ? Je fais ce que vous voulez et je reste en dessous sexy que vous aimez reluquer.
Bruno réfléchit. C’est vrai qu’il aime la reluquer dans cette lingerie. Et puis la déshabiller comme ça ne rassure pas Inès. Donc ok, il est d’accord. Il précise à Inès qu’il accepte qu’elle reste en lingerie à la condition qu’elle fasse tout ce qu’il demande jusqu’à la fin de la journée. Inès, trop contente de ne pas finir à poil aujourd’hui accepte. Bruno de son côté, se dit qu’il va pouvoir bien en profiter.
-Venez Inès. Vos contrats sont là.
-Attendez, je prends une chaise.
-Non ! Venez sur mes genoux.
-Euh… Vos genoux ?
-Oui : c’est le gage, vous faites tout ce que je veux. Et je veux que vous vous asseyiez sur mes genoux.
Inès s’approche lentement pour se donner le temps de réfléchir à une parade. Mais dans son esprit c’est la voix de Cindy qu’elle entend. « Ma chérie tu as tendu le bâton pour te faire battre, il peut te demander ce qu’il veut ! Ah ! C’est chaud ». Merde se dit Inès à elle-même.
Elle a de nouveau chaud aux joues et au bas ventre. Elle frissonne et ressent un picotement sur la fesse sur laquelle Bruno avait claqué tout à l’heure.
Bruno voyant le manège d’Inès claque des doigts en rythme rapide pour l’inciter à presser le pas.
L’assistante dans sa lingerie rouge s’approche et se place entre le bureau et le fauteuil dans lequel est assis son patron. Celui-ci lui saisit un poignet d’une de ses main et de l’autre claque une puis l’autre fesse de l’impertinente. Il l’attrape ensuite aux hanches et la fait s’assoir sur ses genoux.
-Mais pourquoi vous me claquez les… Bruno interrompt Inès en posant une main devant la bouche de la petite brune. Il la fixe droit dans les yeux et, de ses doigts, pince les lèvres de son assistante pour l’empêcher de polémiquer.
-Pourquoi je vous claque les fesses ? Parce que vous faites exprès de trainer Inès. Un gage est un gage. On avait un accord. Et vous avez dit que vous feriez ce que je veux. Donc moi je veux que vous respectiez votre parole comme vous me disiez l’autre jour et que vous respectiez le gage. Sinon, à partir de maintenant ce sera la fessée. Manifestement, avec vous, il n’y a que les gages et les punitions qui fonctionnent… Donc : si vous ne voulez pas que je vous mette une bonne fessée, va falloir être plus respectueuse et plus docile. Compris ?
Inès, toujours empêchée de parler avec ses lèvres mises en sourdine par les doigts de son patron, se contente de lui adresser un regard résigné, mais satisfait, et de hocher la tête en guise d’approbation. Son entrejambe la démange. Le fait que son patron soit ferme avec elle l’excite. Elle a du mal à s’en convaincre, mais le comportement de son patron et les encouragements de la veille de Cindy font qu’à ce moment, Inès ressent un besoin fort de frottement contre sa paroi vaginale. C’est comme une sensation d’urgence à être « remplie ».
Tandis que l’assistante est assisse sur les genoux du patron, celui-ci d’une main attrape les feuilles à l’autre bout du bureau, et de l’autre commence à caresser les fesses d’Inès.
De son côté, la petite brune entend encore la voix de Cindy qui raisonne dans sa tête « ouais ! Bien ma chérie, il commence à te toucher, c’est bon, laisse le faire. La lingerie fait son effet, profite bien ». Inès cligne des yeux pour se sortir la voix de son amie de la tête. Elle veut que Bruno aille plus loin et qu’il comble le vide de son vagin qui, s’il a beau se contracter, ne lui apporte pas satisfaction.
-Lisez Inès. Lui dit Bruno.
Inès attrape la première feuille et commence à lire. « Contrat d’apprentissage… ». Mais elle a du mal à se concentrer. C’est que Bruno a fait remonter la main des fesses de son assistante vers une hanche pendant que l’autre main se place de l’autre côté symétriquement. Il remonte les mains le long du ventre de la belle brune et agrippe les seins pardessus les bonnets en dentelle rouge. Il commence à les pétrir tout doucement. Inès a de plus en plus chaud. Elle entend à nouveau la voix de Cindy dans sa tête « c’est chaud ma chérie hein ? ». Inès ferme les yeux, tente de chasser Cindy de ses pensées. Elle repense à la nuit dernière, quand elle a rêvé qu’elle partait avec Bruno en weekend end et qu’ils faisaient l’amour dans un grand lit double d’un beau manoir.
Elle rouvre les yeux et tente de reprendre la lecture. Elle cherche à se donner de la contenance « contrat d’apprentissage du… ».
« Si demain ton patron attaque, laisses le faire. Profite de l’instant. Je suis sûr qu’il est expérimenté et qu’il va te faire jouir. Fais pas la conne ». C’est ce que Cindy avait dit à son amie la veille.
Les caresses sont à la fois douces et fermes. Bruno est viril dans sa façon de faire. Il sait se faire obéir d’Inès.
Voilà qu’il lui caresse les cuisses tout en l'embrassant dans la nuque. Une main s'aventure vers l'intérieur des cuisses. Enfin ! Se dit-elle. Enfin quelque chose va pénétrer sa chair.
Bruno tâtonne la culotte. Est-ce la texture ? Ou est ce qu'Inès mouille à en humidifier sa culotte ? Autant vérifier.
L'amant plonge sa main chaude et enthousiaste entre le tissu et la peau de la belle brune. Puis, descend avec détermination. La fente est bouillonnante et humide. Inès aime ce que lui fait Bruno. Il poursuit. D'une main il lui palpe un sein en insérant ses doigts entre le bonnet et le mamelon. De l'autre, il caresse l'extérieur des grandes lèvres de sa chatte. Inès semble aimer ce traitement. Tel deux pétales, ses grandes lèvres sont en train de s'ouvrir pour laisser libre son clito et laisser l'accès à son vagin fiévreux. Les lèvres s’écartent pour laisser entrer l’index de son amant. Inès sent dans son vagin l’index pousser les parois et se faire un passage.
Insérant ainsi un, puis deux doigts, faisant mouvement d’avant en arrière, Bruno caresse Inès qui succombe, se laisse choir en arrière et prend appui sur le torse de son amant. Voyant que son assistante est à sa disposition, Bruno lui retire son soutien-gorge. Elle se laisse faire et se lève pour faciliter le retrait de sa culotte. Alors qu’elle s’apprête à se rassoir sur son patron, celui-ci la pousse vers le bureau et la fait s’y assoir face à elle.
Il lui tête un sein, puis l’autre, tout en caressant le clito humide de son pouce. Inès lui caresse les cheveux d’une main, et de l’autre agrippe la main qui la caresse pour encourager Bruno à poursuivre.
L’amant comprend qu’il va devoir la satisfaire avant d’avoir son plaisir en retour, il ne veut pas la frustrer. Pourtant, il cesse ses caresses, marque une pose en attrapant le contrat et en le plaçant sur son torse.
-Lisez Inès, et paraphez les.
-Contrat d’apprentissage du sexe…
L’assistante, qui a l’esprit un peu embrumé par l’excitation, a du mal à croire ce qu’elle lit.
-Oui Inès, un contrat d’apprentissage du sexe. Je m’engage à vous procurer du plaisir, à vous ouvrir sexuellement et vous apprendre à connaitre votre corps. En contrepartie, vous vous engagez à me rendre du plaisir, à être docile et ne pas hésiter à me dire quelles sont vos limites en me disant « stop » si vous ne vous sentez pas à l’aise.
Inès regarde Bruno dans les yeux d’un regard doux, soumis et affamé. Elle hoche la tête pour approuver.
-Ok Inès. Paraphe moi-ça que je te lèche la moule.
La petite brune frissonne. C’est la première fois qu’il la tutoie : et c’est pour lui dire qu’il va lui donner du plaisir ! Une nouvelle vague de chaleur envahit Inès. S’appuyant sur le torse de son amant, elle s’empresse de parapher les premières pages. Dans son trouble, elle oublie de signer la dernière, et pose son contrat « d’apprentissage du sexe » sur le bureau.
Sans attendre, d’un geste ferme, le professeur improvisé de sexe pose sa main sur le ventre de sa brunette d’apprentie, et pousse pour qu’elle s’allonge sur le bureau. Dans un autre mouvement viril, Bruno attire sa proie en enfermant les cuisses de sa soumise, toujours parées de bas rouges, dans ses bras et en l’attirant vigoureusement vers lui, afin que les fesses d’Inès soient au bord du pupitre.
Une décharge électrique parcours le corps de l’assistante. Elle aime la virilité de son patron, tout le contraire de son petit copain.
Assis dans son fauteuil, la tête à hauteur de la chatte d’Inès, Bruno place les cuisses de sa nouvelle apprentie sur ses épaules et commence à lui lécher la moule du bout de la langue. Il suçote, puis recouvre les grandes lèvres avant d’aspirer le clito et introduire petit à petit sa langue.
La petite brune exulte. C’est la première fois qu’on lui fait un cunni. En tout cas, un vrai, car jusqu’ici elle n’avait eu que deux copains. Le premier n’avait que déposé de timides bisous sur sa vulve et le deuxième ne s’en occupait pas. Le troisième mec c’est donc un bon. Inès savoure l’instant. Elle ressent comme de l’électricité, des frissons dans l’entrejambe, et cet effet grandit et monte dans le corps.
Bruno poursuit le traitement jusqu’à ce qu’il sente les jambes de sa conquête se rétracter de plaisir contre sa tête. « Elle jouit » pense le professeur improvisé.
La respiration de l’assistante est très forte. Inès a effectivement joui sous les coups de langue de son patron. Il se lève, s’approche de la tête de son assistante et l’embrasse.
Après quelques instants, Bruno regarde Inès dans les yeux. Les yeux de son apprentie pétillent. Elle sourit avec sa bouche mais aussi avec ses yeux.
-Donnant donnant ? C’est notre contrat. Rappelle Bruno.
Inès, toujours souriante, hoche la tête plusieurs fois pour approuver.
La voilà qui se redresse pour s’assoir sur le bord du bureau tandis que son amant enlève son pantalon et son caleçon. Son sexe jaillit, se dresse avec frénésie et remue légèrement au rythme de ses pulsations cardiaques.
Inès observe. Cette verge est plus grosse que celle de son copain. Surtout elle semble plus consistante, bien raide. C’est pas une demie molle.
Bruno n’en peut plus, mais il tente de se maitriser. Il veut introduire son dard. Où ? La bouche ? La chatte ? Peu importe, mais il doit glisser son pieu dans un fourreau. Il doit sentir son membre dans la pression douce et chaude d’un cocon.
Délicatement, il attrape la main d’Inès et la pose sur sa queue. Elle enserre le gros bâton dans sa main. C’est agréable. Elle est surprise. Ce bâton, épais, consistant, chaud, est bien raide. Elle comprend pourquoi on dit « un pieu » pour désigner un sexe d’homme. C’est le cas : un mat rigide comme du bois, mais pourtant souple comme un roseau et chaud comme une bouillote.
Quel effet cela ferait en elle ? Est-ce que son patron a prévu de lui glisser ce mat raide comme un piquet dans sa fente brûlante et humide ?
-A ton tour. Affirme virilement le professeur.
Puis, il s’assoit dans son fauteuil. Attrape un poignet d’Inès pour la tirer vers le bas et l’inciter à s’agenouiller. Ce qu’elle fait.
L’excitation aidant, elle reprend en main l’engin de son patron et commence à le branler lentement. Elle prend le temps de faire connaissance avec son nouveau jouet.
Pour Bruno, ce traitement ne suffit pas. A son tour il ressent un besoin, une sensation d’urgence. Chez Inès c’est une sensation de vouloir être pénétrée. Lui, c’est l’inverse : c’est de pénétrer.
Il tente de faire avancer Inès sans la brusquer. Tandis qu’elle continue son timide va et vient, il pose sa main sur la joue d’Inès. Puis, son pouce vient caresser les lèvres closes de la petite bouche de son apprentie. Elle cesse ses mouvements et regarde son amant dans les yeux attendant de voir la suite.
-Tu vas bien écouter ton professeur.
Inès hoche la tête pour approuver. Bruno caresse les lèvres d’Inès de son pouce de gauche à droite avant de l’immerger dans la bouche, peut-être pas si innocente, espère-t-il, de son apprentie.
- Suces mon pouce.
Inès est un peu surprise. Son nouvel amant semble prendre son temps. Et elle pensait qu’il s’empresserait de lui mettre son pieu en bouche. Mais elle comprend que son apprentissage commence et que sucer un pouce reste très érotique. De sa langue, elle colle instinctivement le pouce de son patron contre son palais et commence à aspirer.
Voyant qu’elle se débrouille bien avec son pouce et que le régime auquel elle le soumet serait excellent pour sa pine, Bruno sourit à Inès et retire son pouce
-Très bien Inès. Tu vas faire la même chose avec ce que tu tiens en main.
L’amant pose sa main sur la nuque de sa maitresse pour l’encourager à prendre son gourdin au fond de la bouche. Il exerce une lente pression à laquelle la nouvelle étudiante en sexe se soumet docilement. Il sent sont les lèvres pulpeuses de la bouche de son assistante frotter sur son gland. Sa verge entre millimètre par millimètre et se fait accueillir par une langue ferme et vigoureuse qui s’empresse de s’enrouler, caresser et jouer avec cette chaude et épaisse sucette. Comme avec le pouce, elle se sert de sa langue pour pousser et coller la queue de son amant contre son palais. Puis, elle fait mouvement de sa tête d’avant en arrière en aspirant, en creusant les joues…
Bruno exulte. Enfin ! Enfin il se fait pomper le dard par Inès. Depuis lundi il en rêve.
-Bravo Inès. C’est très bien.
L’apprentie en plaisir s’interrompt pour lui répondre.
-Ben en fait, je fais comme si j’avais un bâton de glace dans la bouche. C’est comme ça que je fais quand je suce une glace. Du coup je me suis dit que…
Bruno interrompt la causerie superflue en posant sa main sur la tête de la jolie brune afin de la remettre à sa besogne de suceuse émérite.
- Discutes pas… Suces.
Désarçonnée mais obéissante, l’élève reprend entre ses lèvres chaudes la pine et montre qu’elle est bel et bien une bonne suceuse. Elle pompe avec ardeur et générosité. Le professeur sent bien que son élève veut faire de son mieux et lui donner du plaisir autant qu’il lui en a donné.
Le traitement que lui administre Inès est efficace. Bruno sent la sève monter. Il inspire fortement pour retarder l’éjaculation.
-Je vais venir.
A ces mots, la petite brune se redresse quittant ce pieu qu’elle suçotait comme une bonne glace. Le professeur s’étonne un peu de la réaction. Mais en même temps, la petite n’a peut-être jamais reçu de semence en bouche.
-Ok Inès. Mais il faudra apprendre à avaler… Ferme les yeux.
Alors que l’apprentie du sexe ferme les yeux en se doutant de ce que s’apprête à faire son professeur (Cindy lui a montré des films x), celui-ci attrape d’une main la queue de cheval d’Inès pour la maintenir en place. De l’autre main, il prend un poignet d’Inès et l’approche de son dard. Il veut qu’elle le branle et qu’elle soit à l’origine de sa jouissance. Mais aussi qu’elle souille son propre visage de sa propre main.
Après quelques va et viens, Bruno jouit et barbouille le portrait de son assistante qui fait la grimace. C’est la première fois qu’on lui fait ça. Elle se sent un peu étrange. Un mélange entre satisfaction d’avoir offert du plaisir, confusion de s’être faite engluée de sperme comme ça, et euphorie liée à son excitation. Une excitation qui est elle-même un mélange. Un mélange entre la découverte d’une nouvelle pratique, la soumission stimulante à un mâle déterminé et la jouissance qu’elle a eu pendant le cunni.
Inès va se nettoyer le visage aux toilettes.
A son retour, ne perdant pas le nord, elle demande avec un peu d’inquiétude si elle a quand même un vrai contrat. Ce à quoi Bruno répond par l’affirmative. Il lui tend l’autre contrat, le vrai. Elle le prend et lui répond qu’elle va prendre le temps de réfléchir et de lire. Parce que là tout de suite il l’a perturbée. Ce à quoi le patron ne voit pas d’inconvénient. De toute façon depuis qu’elle lui a trouvé des clients potentiels, il sait qu’il va la garder. Avec ou sans contrat d’apprentissage du sexe. Mais, bien évidemment, ce serait mieux avec. Surtout qu’elle n’est pas contre la petite.
-Inès, tu n’as pas signé ton contrat d’apprentissage. Tu ne voulais pas ? Tu n’as mis que les paraphes.
-Ah… C’est parce que tu m’as perturbée.
L’assistante, toujours avec sa queue de cheval, nue si ce n’est les bas, prend les feuillets entre les mains et dépose le vrai contrat. Le patron, lui, se place derrière elle. Son pieu est revenu au garde à vous. Manifestement, il n’a pas eu encore son compte. Il colle son dard contre les fesses d’Inès et lui caresse les seins, titille les mamelons. L’apprentie se laisse faire tout en faisant comme si elle était concentrée sur la lecture du contrat d’apprentissage du sexe. Une main de Bruno descend et tâte la vulve d’Inès. Tandis qu’il la chatouille, elle s’humidifie à nouveau.
Il n’y a pas que le professeur qui n’a pas eu son compte. Il approche une chaise. Fait monter Inès qui se met à genoux dessus et se penche en avant, les bras accoudés sur le pupitre du bureau avec toujours le contrat de sexe entre les mains. Ce qui amuse la belle brune qui rit de la situation.
Le professeur se place derrière elle pour la prendre en levrette. Il pose son gland à l’entrée de la vulve et commence à la caresser du bout de la pine.
-Tu n’as toujours pas signé.
-J’essaies de lire mais tu me perturbes.
-Je t’ai déjà dit ce qu’il y avait écrit… Tu fais exprès pour jouer avec moi.
Bruno recule de quelques centimètres. Inès ne sent plus le gland contre sa vulve et au final elle aurait bien voulu que plutôt que de reculer, son professeur avance. Celui-ci claque une puis l’autre fesse de son indisciplinée apprentie.
-Petite garce !
Inès sens une légère brûlure sur son derrière. Et curieusement, un picotement en parallèle dans son bas-ventre. Le gland de la pine de son amant revient en place à l’entrée de la vulve. Inès n’a pas bougé. Elle attend. Elle espère que son amant va assouvir son besoin d’être complète. Que quelque chose entre dans son tunnel d’amour. C’est instinctif, animal. Elle le veut mais n’ose pas le dire ni le montrer. Elle espère que son patron va deviner ce qui se passe dans sa tête.
Bruno attrape un stylo et le met dans une main d’Inès. Il introduit ensuite son gland juste à l’entrée de la vulve de sa petite apprentie. Il écarte tout juste les chairs pour entrer dans ce tunnel que seuls ses doigts et sa langue ont exploré aujourd’hui. Inès lâche un soupir de satisfaction. Mais elle est vite frustrée. A peine son gland à l’intérieur, que l’amant le ressort immédiatement.
Inès tourne la tête, tente de regarder Bruno, prenant un air triste et mendiant. Bruno a compris. Il replace son gland qui écarte à nouveau les chairs de l’entrée de la chatte de sa nouvelle maitresse. Celle-ci ronronne. Puis, il ressort. Inès gémit son désaccord. Bruno rit et insiste.
-D’abord tu signes.
La petite brune a trop besoin que quelque chose la pénètre. Pendant qu’elle suçait le pieu de son amant elle s’imaginait l’effet qu’il ferait en elle. Et elle est toute proche de connaitre la sensation qu’elle imagine délicieuse. Tant pis s’il la traite de garce et si elle a dit au début qu’elle n’était pas une pute. Là, maintenant, tout de suite, peu lui importe comment il lui parle et la traite, ce sont ses instincts qui commandent. Elle commence à signer le contrat factice « In… ».
A peine a-t-elle écrit les deux premières lettres de son prénom qu’elle sent qu’une colonne de chair dure comme du bois s’avance en elle. Ses lèvres s’écartent au fur et à mesure de la progression pour laisser entrer la source de plaisir. A mi-chemin dans son vagin, avant qu’Inès ne se sente complète, « pleine », Bruno ressort à nouveau son pieu.
Inès a compris. Si elle veut qu’il aille au bout et qu’il continue, il faut qu’elle finisse de signer. Même si c’est un contrat factice, cela fait partie du jeu, de l’apprentissage. Et cela assoit sa domination sur elle. L’apprentie à la chatte affamée reprend le stylo « è… ». Bruno rit et réintroduit immédiatement son dard dans ce fourreau chaud et humide qu’il a très envie de ramoner. Mais il lui faut être patient. S’il prend l’ascendant sur elle, ils baiseront souvent.
-Tu te souviendras toute ta vie de t’être faite baisée en signant ton apprentissage du sexe.
Inès sourit. Oui, c’est vrai que ce n’est pas commun comme situation. Se voir faire un contrat pour consolider un partenariat sexuel, surtout du haut de ses 23 ans, ce n’est pas tous les jours. Et en plus de ça ils ratifient l’accord l’un dans l’autre. Même Cindy qui est très libérée sexuellement n’a pas dû se faire baiser en signant un document.
Bruno a commencé à ramoner le conduit d’amour de sa partenaire. Le vagin épouse les formes de sa bite. Il lui faut ralentir. Il se force à réduire la cadence pour obliger Inès à finir de signer. Oui, il veut lui aussi aller au fond et la pistonner mais il doit parvenir à la faire signer ce texte symbolique pour la dominer totalement. Il s’immobilise, attend.
Inès ressent la nécessité de sentir ce truc chaud dans son bas-ventre coulisser d’avant en arrière. Elle s’empresse, lâche sans le vouloir le stylo sur le pupitre, le ramasse aussitôt. Elle pose la pointe de la bille du stylo au niveau de ce qu’elle a déjà écrit « Inè ».
« Il a raison de dire que je suis une garce » pense-t-elle, « je suis prête à tout pour qu’il me la mette ». Elle commence alors à faire un vague trait pour commencer son « S » quand elle sent à nouveau du mouvement dans son vagin. Un mouvement qui lui donne un sentiment de plénitude. Les allers-retours provoquent des contractions, comme une sorte d’ouverture et de fermeture sur le pénis, ce qui accentue encore les frottements. Un courant électrique semble partir de son entrejambe jusqu’à son cœur. « Et merde se dit-elle ». Elle se force à finir son « S » qui ne ressemble pas à grand-chose, si ce n’est une demi-boucle avec un trait qui s’éloigne du prénom. « Ça ira comme ça » Se dit-elle. Et elle lache son stylo pour profiter de son plaisir.
Enfin, se dit Bruno. Même si le « S » ne ressemble à rien, Inès est vaincue, dominée. Elle est à lui maintenant. Consentante et soumise. Il n’a plus besoin de se retenir à présent. Il accélère le rythme, pistonne d’avant en arrière encore et encore. Inès halète au rythme des coups de boutoirs. L’amant met une claque sur une fesse d’Inès, puis sur l’autre. Tout en pistonnant, il attrape la queue de cheval de son élève et tire légèrement pour qu’elle relève la tête. Sa dominée sourit. Cindy avait raison. Ce mec lui fait du bien. Même s’il faut se comporter avec lui comme une garce, une pute pour lui faire plaisir. S’il faut qu’elle s’habille à son gout et qu’elle suce, ou même qu’elle avale, elle va faire des efforts et obéir car c’est une belle récompense à la clé.
-Tu aimes Inès ? Hein ?
-Oui ! Oui ! Continue s’il te plait ! Oh s’il te plait !
Bruno sourit. Après plusieurs vas et viens, il se retire, fais se retourner Inès et la fait assoir sur le bureau. Inès se laisse faire. Elle ne sait pas ce qu’il veut mais suit le mouvement pourvu qu’il la prenne à nouveau.
-Tu la veux hein ?
-Oui ! S’il te plait ! J’aime ! J’aime ! S’il te plait !
Il la prend dans ses bras et revient rapidement la pénétrer de face, en la serrant contre lui. Inès libère un profond soupir de satisfaction. Ses tétons, durcis par l’excitation, frottent contre le torse de son amant au rythme de la pénétration.
La petite brune ressent des vagues successives de plaisir. Elle soupire et respire de plus en plus fort. Ses bras autour du corps de son amant se resserrent, comme pour s’assurer qu’il ne partira pas avant la fin. Elle aime quand ça « tape dans le fond » parce que la sensation que cela lui procure est extrêmement agréable. La chaleur se propage en elle. Son vagin est secoué de spasmes, ce qui lui fait encore plus ressentir le pénis de son partenaire. Des vagues chaudes, tremblantes, l’envahissent.
Bruno ressent les spasmes et la chaleur sur son dard. Lui qui pensait tenir encore, il ne peut plus. En fait, ces multiples contractions et décontractions sur son pieu font pression sur toute la longueur de sa colonne de chair. Il a la sensation que le vagin d’Inès est en train de « lui traire la bite ». Oui : il sent sur sa queue la pression comme un massage sur tout son organe et, comme une aspiration. L'éjection du lait est proche. Il sent que la semence monte dans son gland et demande à sortir.
Une nouvelle décharge électrique inonde Inès, mais cette fois c’est tout son corps qui est pris de spasmes. Elle ressent des fourmillements dans la tête. Elle vient de jouir pour la première fois de sa vie. Son vagin est pris d’un ultime spasme qui fait à nouveau pression sur la verge de son amant. Celui-ci ne tient plus. Son pieu se contracte lentement dans un léger picotement avant de se décontracter d’un coup et de libérer vigoureusement et puissamment son nectar. Lui aussi ressent une décharge électrique dans le corps. Il n’a jamais ressenti un plaisir si grand.
Les deux amants sont enfin apaisés. Leur instinct animal s’estompe. Ils reprennent leur souffle, se regardent dans les yeux. Leurs regards se parlent : c’était trop bon, il va falloir remettre ça à l’occasion.
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Commentaires de l'histoire :
Anonyme
La suiteeee ??????
Posté le 19/03/2024
Anonyme
Génial ! Très bien écrit. On attend une suite, s'il y en a
Posté le 8/02/2024
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