Elle travaille en bas de chez lui, c'est une ravissante MILF, elle tient un magasin dont le propriétaire installe des clôtures. Une attirance mutuelle très forte, mais un interdit: tout est possible, sauf une pénétration, réservée à son mari...Mais avec de l'imagination...
Proposée le 11/07/2025 par jerome james b
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Thème: extra-conjugal
Personnages: FH
Lieu: Bureau, travail
Type: Fantasme
SEXE ET CLOTURES
Pris dans le tourbillon de la vie, on passe parfois totalement à côté de l'essentiel.
Je suis descendu un matin pour partir au travail. L'immeuble où j'habite, dans cette petite ville de province, un petit immeuble, fait face à une ancienne grange réhabilitée. Elle a un seul étage, contre trois pour le mien, et un local à usage commercial.
J'avais remarqué le bout de papier la veille. Je m'étais dit que je descendrais le voir, et j'avais finalement remis au lendemain matin.
Notre activité est transférée au trois chemin des Rousses.
Je m'en suis énormément voulu. Ca devait faire quelques temps qu'elle était partie, et je ne m'en étais même pas rendu compte. C'était vrai qu'on s'était moins vus ces derniers temps...Après une période...Plus intense...Elle n'avait pas forcément d'horaires réguliers...Moi je n'étais pas forcément là...
Je m'en suis voulu de ne pas avoir été plus attentif, de ne pas avoir cherché plus à la voir.
C'était vrai que notre relation était particulière, dans le sens où nous nous voyions uniquement dans ce petit local, et je n'avais même pas son numéro. Ce déménagement cassait pour ainsi dire notre relation.
Une relation qui avait pourtant démarré sur les chapeaux de roue.
J'y ai repensé, ce matin-là, en partant travailler.
J'avais vu la grange, toute pourrie, c'était vraiment le mot, en face, réhabilitée. Plusieurs mois de chantier, et étaient apparus trois appartements, un grand garage, ainsi que ce local, à deux faces, comme le biseau d'un diamant qui donnait sur la place. D'abord vide. Les deux vitrines s'étaient ornées du jour au lendemain de deux immenses stickers vert et blanc qui annonçaient la couleur, c'était le cas de le dire.
J'avais remarqué pour la première fois le mobilier une semaine plus tard.
Il faut dire que je n'étais pas en surveillance, loin de là. J'avais de quoi m'occuper, je n'étais pas toujours à l'appart, et c'étaient des flash...
Mon intérêt avait radicalement changé quand je l'avais aperçue.
Je crois bien qu'elle m'avait tapé dans l' oeil à la première seconde.
Et pourtant, on n'avait sans doute pas grand chose en commun.
Je vais essayer de la décrire. Je ne suis pas sûr que je rendrai grâce à tout ce qu'elle représente et ce qu'elle représentait. Une fille brune, pas très grande, avec une belle crinière de cheveux noirs, un corps opulent, des formes bien marquées. Quand je l'ai vue pour la première fois, elle tirait sur une cigarette en même temps qu'elle buvait un café. Pas très bon pour sa santé, tout ça...
Elle savait en tout cas se mettre en valeur. Un tailleur rouge, jupe courte et fendue, du nylon sur ses jambes, des bottes noires à talons aiguille qui montaient jusqu'au genou...Une féminité marquée.
J'ai trente ans. Elle en avait une bonne cinquantaine. Mais ça ne faisait que rehausser son charme, ça lui donnait un trouble qu'elle n'aurait pas eu au même âge que moi. Elle était sensuelle, cette sensualité était un achèvement, et elle était consciente des potentiels de son corps, de sa capacité à troubler, mais aussi à donner du plaisir. C'était en tout cas comme ça que je la voyais, et la suite ne m'a pas donné tort.
Je me suis surpris, dans les jours qui ont suivi, à jeter des coups d'oeil plus fréquents par la fenêtre. Sans d'ailleurs forcément l'apercevoir. Elle n'avait pas d'horaires réguliers, c'était sans doute en fonction des clients. Ca allait être un coup le matin, un coup l'après-midi, en début ou en fin de matinée ou d'après-midi, et bien sûr, il fallait que je sois là.
Très franchement...Plus je la regardais, plus elle me séduisait. Elle était très posée, elle avait beaucoup de charme, de sensualité. Et elle savait se mettre en valeur. Pantalons hyper-moulants, robes qui soulignaient ses formes, et toujours des talons aiguille, quelle que soit la chaussure.
Souvent, quand on pose son regard sur des femmes, on est attiré par elles, sans jamais oser penser que quelque chose pourrait se passer. Je la voyais mariée, heureuse en ménage...Elle ne me connaissait même pas...Je pourrais uniquement me contenter de fantasmer sur elle. C'était peu, mais, quand on y pensait bien, c'était déjà beaucoup.
Le premier contact s'est fait un matin. Souvent, le soir, en rentrant, je me garais sur la place juste en face du magasin. Mais le matin, je partais tôt, et elle n'était pas là.
Ce jour-là, ça n'a pas été le cas.
— Bonjour!
J'ai relevé la tête. Je venais de poser mes affaires sur la plage arrière.
C'était elle.
Je la voyais pour la première fois de près.
On peut être parfois déçu quand on aperçoit quelqu'un de loin, et qu'on voit la même personne de près. Là non. Elle restait resplendissante.
Une multitude de détails sont venus me frapper en pleine figure. Elle avait un café dans une main, et pour une fois pas une cigarette dans l'autre, mais son portable. Elle attendait un coup de fil? On aurait dit.
Elle était, une fois de plus, extrêmement sexy. Un perfecto de cuir ou simili-cuir noir, sur un débardeur tendu par des seins lourds, une mini-jupe elle aussi de cuir noir, et une paire de bottes orange, en velours, à talons aiguille.
Ce qui a attiré mon attention, par contre, ça a été ce qu'elle me révélait. Derrière elle, il y avait un mur de briques, et elle était appuyée contre d'une manière particulière. Une jambe au sol, l'autre en appui contre le mur. Elle ne s'en rendait pas compte, ou alors elle s'en foutait, mais cette position, la jambe relevée en particulier, faisait remonter une jupe vraiment très courte, au niveau de ses hanches, dévoilant son ventre. Elle avait un collant, nécessaire par cette matinée de mars encore fraiche, et pas de slip en dessous. Certains collants bénéficient d'un parement qui va cacher au moins en partie l'intimité. Là, ce n'était clairement pas le cas. On voyait tout et j'ai été subjugué par la vision qu'elle m'offrait, celle d'un pubis couvert d'une belle toison brune, en harmonie avec ses cheveux, exactement ce que j'aimais, les chattes rasées ce n'était pas pour moi, et, en dessous, la fente de son sexe, dont sortaient deux bouts de lèvres, chacun avec un dessin différent, écrasés par le lycra.
En la regardant comme ça, j'ai compris pourquoi, sur les sites pornos, la catégorie MILF était la plus visionnée. Elle rayonnait de sensualité, elle exsudait la sexualité. Difficile de ne pas être troublé.
Et troublé, je l'étais.
— Vous voulez un café?
J'ai été surpris par sa proposition. On ne se connaissait pas, à peine, je l'avais bien matée, mais ça elle ne le savait pas, par contre elle m'avait sans doute déjà aperçu, alors que j'avais la tête dans mon travail ou mes soucis. J'avais pensé que le magasin était fermé, elle était là.
— C'est très sympa. Oui, bien sûr.
Accepter le café, c'était perdre la vision sur son intimité. Mais passer un petit moment avec elle. Elle a ramené sa jambe, la jupe est descendue. J'ai jeté un coup d'oeil curieux à l'intérieur. Une grande table avec un ordinateur sur le bord, deux fauteuil en face, deux autres plus loin avec une table basse, et une table haute pour la cafetière et les accessoires qui allaient avec, sucre, biscuits...
Elle est revenue avec une tasse. Une bonne odeur de café.
— C'est pas de la pisse d’âne...Du Colombien.
— Vous parlez du café ou de la came que vous consommez ?
Elle a ri. J'avais bien aimé sa vulgarité, elle avait bien aimé ma vanne de mauvais goût. Ça nous a connectés.
— Je suis juste en face. Je ne serai pas un de vos clients. Sauf si un jour, j'achète une maison.
J'ai goûté le café. Effectivement, ce n'était pas de la pisse d'âne. Il était vraiment bon.
— Vous savez, tout évolue. Il y a deux ans, je travaillais dans le territorial...Aujourd'hui, je suis dans le privé. Vous achèterez peut-être une maison tôt ou tard.
Je me suis enivré d'elle le temps qu'on est restés ensemble. Son parfum, son sourire, ses formes. Elle aurait pu être, après tout je n'avais eu qu'une image avant, grincheuse, elle était très agréable. Un vrai plaisir de passer un moment avec elle.
Nos doigts se sont effleurés quand je lui ai rendu la tasse de café. Elle avait une peau chaude et douce.
— A une prochaine fois!, j'ai conclu.
J'ai fait mon trajet en pensant à elle. Elle avait beaucoup de charme. Et elle était sacrément troublante. Un corps bien dessiné.
Et l'image de son intimité ne s'effacerait pas de sitôt. Je la convoquerais quand je me branlerais.
Ce que j'ai fait le soir même. Je me suis frotté la queue une bonne partie de la soirée, en repensant à cette chatte offerte sous le collant, ces seins qui tendaient le débardeur, ses hanches qui dansaient quand elle se déplaçait, et sa croupe qui tendait sa jupe...Rongé par le manque d'une femme ces derniers temps, je me suis fait jouir plusieurs fois, jusqu'à ne plus avoir de forces.
C'est dans les jours qui ont suivi que j'ai vraiment été surpris, et heureusement surpris. Si ça n'avait pas été le cas avant, elle était déjà là, systématiquement là. Il ne m'avait pas semblé que c'était le cas avant. Avec une tasse de café à la main, le téléphone et une cigarette. Toujours souriante, toujours sexy. Clairement, j'étais totalement sous le charme. Et triste que, et comment pouvait-il en être autrement, elle soit prise.
Mais il y avait ce moment. Elle m'a d'abord offert le café, et puis je suis descendu avec une thermos pour que ça ne soit pas dans un sens. On prenait du plaisir à discuter...Il y avait quelque chose qui passait. Une entente. Elle était toujours gaie et de bonne humeur. Elle était tout sauf sotte. On a beaucoup parlé du tabac. Elle m'a dit qu'elle souhaitait arrêter, qu'elle n'y arrivait pas. Qu'elle avait démarré très jeune et que c'était une belle connerie. Je lui parlais de mon métier, je gérais des portefeuilles pour une compagnie, elle de la vente de portails et de clôtures.
Et elle était toujours aussi sexy. Des tenues ultra-moulantes, du nylon, du lycra, du cuir...
J'avais envie d'elle.
Mais je n'aurais pas pensé que c'était réciproque.
Je m'étais fait une raison. Ces moments, si agréables, m'étaient déjà ultra précieux.
Jusqu'au jour où...
Ca devait faire trois mois qu'on partageait ces quelques moments, agrandis, le matin. Pour moi, incontestablement, le meilleur moment de ma journée. Et elle m'a dit ::
— On s'entend vraiment bien toi et moi. Je suis mariée depuis trente ans, et je me rends compte que je ne me suis jamais entendue aussi bien avec mon mari. Je me suis mariée avec lui parce qu'il fallait se marier. Point à la ligne. On reste ensemble sans doute parce que ça nous rassure, mais ça fait belle lurette qu'il n'y a plus aucune affection entre nous. Et ne parlons pas de sexe. J'ai terriblement envie de faire l'amour avec toi. Mais je te demande une chose...Je tiens à rester fidèle à mon mari. On peut faire beaucoup de choses, mais il est hors de question que tu mettes ta queue dans mon vagin.
Je l'ai regardée.
— On peut très bien se débrouiller sans.
Et ça a été l'explosion. J'avais envie, depuis très longtemps. Et elle aussi apparemment, je l'ai vu à la fébrilité avec laquelle elle m'a attrapé par le poignet, et entraîné vers le magasin. Elle a poussé la porte, l'a bloquée, et a désigné une autre porte, entrouverte. Je ne m'étais jamais risqué là. Une pièce aveugle, comme je l'ai découvert, avec du matériel, des étagères, et un second divan.
— On en avait amené deux, l'autre nous a semblé plus classe pour faire une meilleure impression.
— Il fera parfaitement l'affaire. Alors pas de pénétration, d'accord, mais on peut faire plein de choses...Et pour commencer, je pourrais te lécher la chatte. Qu'est-ce que tu en dis?
Elle s'est laissée tomber en arrière sur le divan. Elle avait une de ses habituelles mini, voire micro jupes, noire et plissée, pas de culotte dessous, des bas stay-up et des bottines noires lacées avec des talons de dix centimètres.
Dans le mouvement, la jupe s'est redressée.
Son ventre offert, elle n'a pas fait le moindre mouvement pour redescendre le tissu et cacher son intimité. C'était sans doute ce dont je rêvais depuis le premier jour où j'avais aperçu sa chatte...Avoir accès à ce sexe qui se dilatait sous mes yeux. J'avais envie depuis longtemps. C'était sans doute aussi son cas. Le premier coup de langue, je l'ai donné en travers de ses lèvres dilatées par l'excitation, qui se gorgeaient de sang. Un torrent de liquide, avec ce goût si particulier qu'ont les sécrétions vaginales, semblable, et pourtant unique pour chaque femme, a rempli ma bouche. Je l'ai fouillée avec tout le savoir-faire que je pouvais mettre en œuvre. Elle me plaisait énormément, et j'avais envie de lui donner du plaisir, une manière sans doute de lui dire merci, au moins de s'être intéressée à moi, et de me dire que je pourrais lui en donner autant que si je l'avais pénétrée. Son sexe se métamorphosait sous mes yeux, sans que le processus ait de fin ni de pause, s'ouvrant, ruisselant, Elle avait une chatte comme je n'en avais jamais vue, avec des lèvres épaisses et longues, et je n'avais sans doute jamais été avec une fille qui mouille autant. Elle coulait avec une réelle abondance, Son gland clitoridien était en tout cas impressionnant, un gros bout de chair à qui l'excitation donnait une érection volumineuse. Je l'ai enveloppé de ma bouche et sucé, pour ce qui aurait pu être une fellation si ça avait été une queue d'homme -et même si elle remplissait bien ma bouche. Même si le clitoris c'est en fait un cercle de chair qui couvre tout le vagin, et pas seulement ce gland, elle a quand même éprouvé un plaisir très fort quand je l'ai ainsi sucée.
— Mettons-nous tête bêche, j'ai envie de ta queue dans ma bouche.
Je me suis défait. Si son gland était très congestionné, c'était aussi vrai pour ma queue. Elle m'a caressé de la langue avec envie et habileté, pendant que je poursuivais ma caresse buccale, descendant sur sa muqueuse anale.
On était hors du temps, et je crois que je me fichais bien d'être en retard.
Elle m'a dit:
— Viens, laisse-moi faire, on va jouir ensemble.
Elle s'est redressée, a basculé contre le dossier du divan et m'a attiré vers elle. J''ai d'abord pensé qu'elle avait envie que je la pénètre, mais ce n'était pas du tout ça. C'était quelque chose d'à la fois plus subtil et plus frustrant, et sans doute qu'une partie de la jouissance qui a été la mienne, en tout cas, est venue de ma frustration.
Elle a attrapée ma queue et elle l'a amenée contre son sexe. Elle était ouverte, on voyait bien sa muqueuse intime, et il aurait suffi d'un coup de hanches pour rentrer. A ceci près qu'il y avait un contrat entre nous, que je comptais bien respecter, et que sa main tenait fermement ma queue.
Ca m'a ramené à l'adolescence, quand j'étais avec Jaimie. Une très jolie brune avec des formes pleines, un corps voluptueux, un immense sourire et une intelligence affûtée. Difficile de ne pas être attiré par elle, et j'avais eu la chance qu'elle soit attirée par moi. On avait découvert ensemble les plaisirs du sexe. Son immense crainte, c'était de tomber enceinte, même si elle prenait la pilule, et même si on connaissait l'usage du préservatif. On était dans un flirt extrême, on allait très loin, rien à voir avec de pâles bisous...Mes doigts, ma langue partout...Et réciproquement. Je connaissais son corps par cœur. Comme elle le mien.
Et elle m'avait dit:
— J'ai envie que tu me pénètres...Mais j'ai peur...On va trouver une solution.
— Laquelle?
La solution ça avait été qu'elle m'avait enveloppé d'une capote et qu'elle m'avait posé contre l'ouverture de son sexe, me frottant contre elle, sur toute la surface, autour du sexe et sur le sexe, sur les lèvres, contre le gland clitoridien...Ca avait été un plaisir très fort. Et au moins elle était rassurée. Je ne voyais pas comment il y aurait pu y avoir une insémination dans ses conditions.
Dans les semaines qui avaient suivi, les choses avaient évolué.
C'était elle qui guidait, donc elle prenait ses responsabilités. Tenant ma queue, elle avait frotté ses lèvres avec. Malgré le latex, j'avais toutes les sensations, comme elle sentait parfaitement ma queue contre ses lèvres. Les yeux clos, elle gémissait de plaisir, et je n'étais pas forcément différent. C'était simple, mais vraiment très fort. Je la laissais faire. Elle a fait remonter ma queue sur son gland clitoridien, long, fin, et parfaitement érigé, et là, elle a commencé à jouir, secouée par des spasmes, éjaculant comme elle n'avait jamais encore éjaculé. Moi je me retenais pour profiter le plus longtemps possible, mais il y a eu un moment où j'ai été au-delà et j'ai littéralement explosé de jouissance.
C'est ensuite que l'évolution était venue. Son sexe s'ouvrait très vite, et il y avait un point d'entrée évident. Elle avait très peur, mais elle avait, je crois, envie de se sentir remplie, très basiquement, comme moi j'avais envie de la sentir autour de moi.
On avait la chance de pouvoir faire très souvent l'amour, et c'est le lendemain que j'ai remarqué qu'elle avait amené la tête de mon sexe entre ses lèvres, mais à peine...Quelques millimètres, je dirais, si je devais donner une mesure...J'ai eu une sensation très légère de chaleur...Et le jour suivant, elle l'a rentré un tout petit peu plus...Mais c'était à peine visible.
J'ai préféré ne rien dire. Pour ne pas la perturber. Et puis le jour suivant un peu plus profond. De nouvelles sensations se sont installées. Chaleur, douceur...Je ne savais pas trop ce dont elle avait envie, si elle voulait qu'on aille plus loin que je vienne entièrement en elle. On aurait dit qu'elle voulait surmonter sa crainte petit à petit. J'avais envie de lui dire : 'pilule et capote, on limite les risques...' mais j'ai préféré me taire. Ça s'est fait simplement quelques jours plus tard. J'étais au-dessus d'elle, elle m'a attrapé par les hanches, et elle m'a fait rentrer au fond d'elle. Mon gland a cogné contre son utérus. Enfin, entièrement dans son sexe. Ca avait été bien comme on faisait jusqu'à présent, mais là, pour basique que soit cet acte sexuel, c'était vraiment très bon. Je l'ai fouillée, et elle a eu un plaisir très fort, je l'ai sentie s'abandonner totalement, et éprouver quelque chose d'intense, d'aussi intense que ce que je ressentais moi, totalement enveloppé par la gaine chaude et douce, incroyablement chaude et douce de sa vulve. On s'était mis à jouir, nos corps secoués par les orgasmes, comme on n'avait jamais encore joui ensemble, et Dieu sait pourtant qu'on en avait eu, des orgasmes...On n’arrêtait pas de jouir...Et dans les jours et les semaines qui avaient suivi, on avait été littéralement imbriqués, tentant toutes les positions, et goûtant les différentes nuances des orgasmes potentiels.
Et je me retrouvais, des années après, dans une situation identique, à cette différence près que cette fois il n'y aurait pas de pénétration, j'en étais bien convaincu.
Elle m'a frotté contre ses lèvres. Sensation exquise, douceur, chaleur, l'humidité de ses ruissellements vulvaires. Là où vingt ans plus tôt,, j'aurais voulu rentrer en elle, je crois que j'étais plus excité par cette caresse, plus troublante. J'aimais ce qui était original. Même si j'étais toujours partant pour une pénétration classique.
Je n'oublierai pas le moment où elle s'est mise à jouir. Elle a été secouée par des spasmes, elle a perdu le contrôle, elle s'est mise à crier, en même temps qu'elle éjaculait des jets de liquide qui ressemblaient étonnamment à du sperme, épais, crémeux...Elle nous a maculés de ces crachements intimes. Ca m'a tellement troublé que je me suis mis à jouir moi aussi, ma semence rejoignant ses jaillissements à elle. Après, il a fallu s'essuyer, se nettoyer rapidement. Je devais partir, heureusement que je descendais tôt.
Elle est arrivée de plus en plus tôt, et moi je suis descendu de plus en plus tôt. Les rituels, le café et la cigarette sont passés au second plan. C'était plutôt une bonne chose en fait, ça réduisait sa consommation de cigarettes. On s'entendait bien, ça collait entre nous, et ce dont on avait envie, c'était des plaisirs du sexe, ensemble.
Ni l'un ni l'autre, au final, on ne considérait le fait de ne pas envisager une pénétration comme un obstacle. Il y a beaucoup de choses qu'on peut faire pour avoir du plaisir. Quand on a l'envie et suffisamment d'imagination...Mais même un simple 69 c'était très bien...Varier les positions ça donnait des angles et des plaisirs différents.
Il y a eu quelques jours avant qu'un matin, elle ne fasse glisser sa veste de tailleur, ce jour-là, elle était tout en rouge, et le soutien-gorge en dessous renfermait une belle poitrine, dont je n'avais pas encore profité. Elle l'a dégrafé, me présentant la nudité de deux seins lourds, mais bien fermes. Sous mes yeux, ses tétons se sont mis à durcir, le froid, l'excitation, ou les deux. Je me suis penché dessus pour sucer un premier téton. J'ai accueilli sa dureté dans ma bouche, et je l'ai frotté de la langue. Je l'ai senti encore durcir, encore s'allonger. J'ai aussi senti son plaisir, son corps frémissant, et elle s'est mise à gémir. J'ai été d'un téton à l'autre, et j'ai finalement lâché deux tétons couverts de salive, ultra durs et ultra-longs.
— Tu m'as donné du plaisir en caressant mes seins, je vais t'en donner avec les mêmes instruments.
Elle a basculé en arrière, m'attirant en elle.
— Viens mettre ta queue au milieu.
Elle a ouvert ses seins. Je me suis défait. J'avais une énorme érection, comme seulement avec elle je crois. Ça s'est parfaitement emboîté. Ma queue pile au milieu de ses seins, qu'elle a refermés dessus, avec juste un tiers qui dépassait. Elle les a massés, les frottant de sa poitrine, dans un mouvement caressant. Aucune fille ne m'avait fait ça auparavant, et j'y ai pris un énorme plaisir. La sensualité, l'expérience, elle avait tout. Comment ne pas la désirer...Je devais me retenir pour ne pas jouir, tellement cette caresse me plaisait, et sa nouveauté me mettait dans tous mes états.
— Ne jouis pas tout de suite, j'ai envie de te donner du plaisir le plus longtemps possible.
Je tenais...A grand peine...Elle a interrompu sa caresse, cassant le rythme, pour embrayer sur une autre. Tout en gardant ses seins bien serrés autour de ma queue, elle a pris ce qui dépassait dans sa bouche...La double sensation, ses seins contre les deux premiers tiers, et sa cavité buccale chaude et humide autour de la dernière...Elle a fait aller et venir sa bouche sur moi, avec un sourire et un regard qui disaient clairement qu'elle était consciente de ce qu'elle me faisait. Et de l'effet que ça avait.
Je voulais tenir longtemps...Mais j'ai senti le premier jet de sperme partir dans sa bouche, avant de réaliser que je jouissais. D'un orgasme puissant. Comme toujours avec elle, en fait. Elle a gardé sa bouche obstinément serrée autour de moi pour recevoir toute ma semence, gardant ma queue pour laper les dernières coulures.
Elle m'a lâché, je me suis dégagé, j'étais encore dur, on aurait pu encore faire quelque chose, mais j'avais simplement envie de lui donner du plaisir, en retour. J'ai glissé plus bas, pour aller chercher son sexe, encore masqué par une jupette rouge vif, même si elle était bien remontée.C'est venu tout seul. J'ai avancé ma queue vers elle, mais sans intention de la pénétrer. J'avais une cible, son gland clitoridien, qui pointait en haut de ses lèvres, tout gonflé. Je me suis mis à le frotter de mon gland, et elle a gémi de plaisir.
— Oh putain, qu'est-ce que c'est bon...Aucun homme ne m'a jamais fait comme ça.
— Attends, j'ai envie d'essayer quelque chose.
Elle a bloqué ma queue, mais je n'ai pas compris tout de suite ce qui se passait. Et puis j'ai senti quelque chose de chaud et de doux se glisser en moi, et la caresse s'est intensifiée, me donnant de plus en plus de plaisir. Elle avait glissé mon gland clitoridien en moi et elle me fouillait comme j'aurais pu la fouiller avec ma queue. C'était...Vraiment très bon, aucune fille ne m'avait jamais fait ça avant, et ne me referait ça. J'aimais vraiment cette inversion des rôles, que ce soit elle qui me pénètre. Troublé par cette caresse, par son originalité, j'ai de nouveau explosé, crachant de la semence autour du gland clitoridien toujours en moi. Mon idée, c'était au départ, de la faire jouir, mais elle avait détourné ma volonté. Elle s'est finie en fichant deux doigts dans sa vulve et en les faisant aller et venir avec furie, jouissant très rapidement en éjaculant des jets copieux d'une crème blanche.
Et puis...Vous savez ce qu'on dit...Chassez le naturel, il revient au galop.
On avait conscience tous les deux, et on en était surpris je crois, de vivre un moment privilégié. On s'entendait vraiment très bien. Une réelle complicité. Et on était heureux ensemble.
Et donc, un matin, ça faisait un mois qu'on passait ces moments réellement divins ensemble, elle m'a dit:
— J'ai envie que tu me pénètres.
Je me suis dit qu'elle avait enfin renoncé à son idée.
Mais ça n'était pas du tout ça.
Elle s'est pliée en deux, me tournant le dos, et elle a soulevé sa jupe, noire et courte. Dessous, des bas stay-up, mais pas de slip. J'aimais sa croupe, à la fois charnue et rebondie.
Dans cette position, elle me laissait tout voir. Entre ses cuisses, le gros renflement de sa vulve, entrouvert sur du rose, et dont pendaient des filets de mouille, bien gras et...
Si ses fesses étaient ouvertes, je ne voyais pas sa muqueuse anale, mais un rond métallique rouge.
Je n'ai pas pour autant été surpris. J'ai toujours été un grand consommateur de porno, et je savais parfaitement ce dont il s'agissait, et comment on pouvait l'utiliser.
Un anal plug.
Une base ronde et plate et un objet en forme de poire que l'on glissait dans le rectum. Qui le maintenait ouvert, et le dilatait pour que, lorsqu'il soit enfin offert à un amant, il soit moins fermé et que l'amant puisse glisser sa queue dedans.
J'ai compris comment elle envisageait une pénétration.
Comme si elle lisait en moi, elle m'a dit:
— Je garderai ma chatte pour mon mari, et toi tu auras mon cul. Comme ça je n'aurai rien à me reprocher.
— Si tu me prenais dans ta chatte, tu n'aurais peut-être rien à te reprocher non plus. Tu n'as pas peur que je te fasse mal?
Elle a souri. Un sourire teinté de nostalgie.
— Mon mari a toujours voulu me baiser par la chatte et uniquement par la chatte. Il a été horrifié quand je lui ai proposé de me prendre par le cul. Et pourtant c'est par là que je jouis le plus fort. C'est sans doute une des raisons de ma désaffection, d'ailleurs. Qu'il ne veuille pas me prendre par le cul. Tu veux que je te raconte? Quand j'étais ado, j'avais un petit copain dont j'étais éperdument amoureuse, et je pense que c'était réciproque...On avait envie de faire l'amour, au-delà du flirt poussé, mais j'avais très peur d'être enceinte...Et je me suis dit qu'au moins par le cul, il n'y avait pas de risque. J'avais un peu peur, mais j'avais acheté un tube de lubrifiant...Et pfff...J'ai eu un plaisir que je n'avais pas imaginé...Et lui ça lui a bien plu aussi...Au final... On ne faisait plus que baiser par le cul, et on n'avait même plus envie de faire autrement...Malheureusement...Il a eu un accident de voiture avec ses parents, et j'ai perdu mon seul amour je crois...Je me suis mariée plus tard, surtout pour ne pas être seule. Tu vois, pour que je te propose de me sodomiser, c'est que je retrouve avec toi un peu de ces liens si forts que j'ai pu connaître.
Je me suis agenouillé et j'ai délicatement enlevé le plug, tout en lui disant:
— Tu l'as mis quand?
— Hier soir.
— Ton mari n'a rien remarqué ?
— Mon mari est parti en formation hier à 17 heures et il revient en fin d'aprem...Mais ça fait belle lurette que mon mari ne me regarde plus et ne me touche plus...Je me serais pliée en deux devant lui pendant qu'il regardait un de ses sempiternels matches de foot en mettant à côté de l'écran, je crois qu'il n'aurait rien remarqué...Je ne l'intéresse plus depuis belle lurette.
— Moi, tu m'intéresses...
— C'est ce qui me rend heureuse...
Le plug lui avait bien ouvert l'anus, tout dilaté...Une muqueuse toute rose, les lignes de ses plissements anaux, et une béance, d'un rose plus sombre. Pas d'inquiétude à avoir, ma queue allait rentrer facilement...
— Viens, prends-moi, j'en rêve depuis un moment...
Elle est tombée à quatre pattes sur le divan.
— Prends-moi comme une chienne et baise-moi bien.
Je suis venu sur elle. Il y avait une envie profonde entre nous deux et quelque chose de profondément bestial. Mais la bestialité peut-être source de plaisir. J'ai glissé dans son rectum, retrouvant, comme elle sans doute, des sensations que je n'avais pas connues depuis longtemps. Le plaisir a été au rendez-vous dès la première seconde, pour elle aussi à en juger par ses gémissements, et l'amertume que j'avais de ne pas pouvoir la prendre s'est totalement dissipée...C'était tellement bien par là aussi.
On a eu ce moment vraiment intense, Fort, d'autant plus fort qu'on était vraiment complices.
Je bougeais en elle, et elle se masturbait, frottant son sexe de manière compulsive, pour donner plus d'ampleur à son plaisir.
Elle est passée des gémissements aux cris quand j'ai commencé à cracher mon sperme dans le préservatif. Elle s'est tordue, éjaculant elle aussi.
Après un tel moment...On a été soudés plus que jamais...J'avais déjà connu bien des femmes, mais jamais je n'avais vécu une telle complicité.
Ce moment, ensemble, illuminait nos journées et nos vies.
Ce soir-là, en rentrant, j'ai été la voir au nouveau magasin. Une zone commerciale. Par chance, elle était encore là.
— Je pensais que tu ne viendrais jamais.
— Je ne m'étais même pas rendu compte que tu étais partie.
— Je ne t'intéresse plus, alors ?
Elle avait une simple robe noire, dont elle a attrapé l'ourlet, et qu'elle a soulevé jusqu'au delà de ses seins. Un ensemble pourpre.
Elle s'est approchée de moi, et elle a posé sa main au niveau de ma queue.
— Bon, je crois que si. Viens, on va rattraper ces deux semaines perdues.
Un peu plus tard, elle m'a suggéré :
— 10 minutes de ton domicile, mais j'arrive plus tôt encore. Tu vas revenir ?
— A ton avis ?
Et le lendemain, je suis arrivé avant elle. On a redémarré dans ces nouveaux locaux, plus vastes, pour une entreprise qui grandissait.
C'est un an après que je l'ai vue, un matin, plus radieuse que jamais. A vrai dire, radieuse, elle l'était toujours, mais ce jour là plus qu'à l'accoutumée.
— Mon mari m'a fait une annonce ce matin. Il veut divorcer. Il part avec une fille bien plus jeune.
— Il ne sait pas ce qu'il perd.
Ça m'a fait tout drôle. Notre relation était concentrée sur ces moments matinaux. J'ai eu peur qu'elle ne perde en intensité, mais ca n'a pas été le cas. On s'est vus beaucoup plus souvent, et elle a gagné en puissance et en densité.
On a tenu quand même, parce qu'on ne s'est pas installés ensemble, à garder ce moment qui était précieux, tôt le matin, au magasin, en hommage à ce qu'on avait vécu dans les premiers temps, une manière de garder une continuité, d'honorer ces moments où une profonde complicité s'était établie entre nous, qui ne s'était pas dissoute par la suite.
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