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Vaisselle et sexe

Une soirée d'après-guerre...Chez des amis. Elle s'y rend sans but précis. Leur hôte, célibataire, a accumulé une vaisselle dont il n'arrive pas à bout. Elle lui propose son aide...L'envie qu'ils ont l'un de l'autre, latente, explose pendant cet acte typiquement ménager.

Proposée le 21/03/2025 par jerome james b

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Thème: Jeu érotique
Personnages: FH
Lieu: A la maison, intime
Type: Fantasme


VAISSELLE ET SEXE

Ca s'est passé il y a quelques années de cela...J'étais jeune à l'époque. Et sans limites. J'aimais le sexe, et je concevais qu'il fallait profiter, profiter pendant qu'il était encore temps. J'avais 26 ans, et je voulais que chacune minute m'apporte le maximum.
Je vivais en couple depuis deux ans avec Jimmy, et on travaillait tous les deux dans l'administration. Territoriale. On était dans deux services différents, moi en mairie, lui en département, moi à l'urbanisme, lui à la compta.
On était plutôt sociables, et on avait pas mal d'amis qu'on voyait régulièrement. On s'invitait les uns les autres. Un début de soirée, un milieu de soirée...On buvait un verre en discutant, en refaisant le monde, avec l'espoir que le monde serait meilleur. Il ne l'est pas forcément devenu...
Certains d'entre nous vivaient déjà en couple, même s'ils n'étaient pas mariés, d'autres étaient encore célibataires. C'était le cas de Harrison, qui travaillait avec moi à l'urbanisme, un gars sympa qui allait aborder la trentaine, posé et rigoureux.
On s'est retrouvés chez lui, un soir. On était six. Il y avait Jimmy et moi, Agathe et Luc, Maeva, une bonne copine, et donc Harrison. Il nous avait avertis que pour l'apéro, il nous ferait des préparations maison, et qu'il n'y aurait rien d'acheté, sauf l'alcool...
Et effectivement il avait tenu parole. Il avait fait deux cake salés maison, des crêpes et des brownies...Et le fait maison, c'est toujours meilleur.
C'est en allant chercher un couteau dans la cuisine pour couper les brownies que j'ai vu le drame au niveau de la vaisselle. Il n'avait pas de lave-vaisselle et l'évier était encadré par des piles de vaisselle qui ne remontaient pas uniquement à la préparation de l'apéro.
Je n'ai rien dit sur le coup. C'est quand on a commencé à penser à rentrer, on avait finalement prolongé la soirée, il avait pensé qu'on resterait, et acheté de la viande froide, et donc on avait bien entamé le début de la nuit.
J'ai dit à Jimmy, il restait lui, moi et Maeva, 'Ecoute, je vais rester un peu plus...Tu as vu la vaisselle qu'il a...Il est dépassé...Je vais lui faire la vaisselle...Il redémarrera sur de bonnes bases après...'
— OK, je raccompagne Maeva...Elle est jamais tranquille dans les rues...Et je te retrouve à l'appart...
Je ne l'avais pas encore annoncé à Harrison. On s'est retrouvés seuls et je lui ai déclaré:
— Je suis restée pour te faire la vaisselle...Tu peux pas rester comme ça.
— Ah merci, c'est sympa, il m'a répondu. J'y arrive plus là...Je me suis laissé dépasser.
Et je me suis calée devant l'évier. Il y avait un flaçon de produit vaisselle, une éponge grattante...Tout ce qu'il fallait...
— Je commence, je mettrai la vaisselle rincée sur l'égouttoir, tu viendras l'essuyer, sinon je ne parviendrai pas à gérer...Je vais faire en deux ou trois fois.
J'ai rempli une cuvette d'eau chaude, et j'ai commencé à savonner les assiettes. Il y en avait une pile impressionnante, et ça irait mieux une fois qu'elles seraient dégagées.
Ca a été pendant que je savonnais les assiettes que j'ai pris conscience de pas mal de choses. D'abord qu'il y avait toujours eu, entre Harrison et moi quelque chose d'assez érotique et de trouble. Quand on est jeune, même si on est avec quelqu'un, on est souvent attiré par quelqu'un d'autre, un autre qui peut être aussi mis au pluriel... On se dit qu'on a plusieurs possibilités et on n'a pas envie de ne s'engager que sur un seul chemin, mais d'en tester plusieurs, pour ne pas avoir de regrets plus tard, ou plus simplement, le souvenir de bons moments...
Harrison me plaisait bien, et je sentais bien, on se voyait tous les jours, que je lui plaisais aussi. Une attention, un regard, ça veut dire beaucoup de choses.
On était début juin, il faisait chaud, et j'ai réalisé que j'étais à moitié nue, et totalement disponible, ainsi, les mains plongées dans l'eau savonneuse...S'il avait envie d'en profiter...Je portais une robe légère, qui m'arrivait à mi-cuisses, avec dessous juste un string, et je n'avais même pas de soutien-gorge. Mes seins étaient juste tenus par le tissu de ma robe.
A la pensée de ce qui aurait pu se passer entre nous, j'ai eu chaud au ventre, et je me suis mise à mouiller.
Mais non, ça n'était pas possible. On était simplement de bons amis, et ça ne risquait pas d'aller plus loin.
Et puis, je l'ai senti derrière moi. Comme apparu de nulle part, là, se matérialisant pile derrière moi. Une présence forte, immobile, sans qu'il dise rien. Et c'était encore pire que s'il avait parlé. Je sentais l'épaisseur de son corps, et son désir aussi.
— J'ai amené des torchons...Quand tu es prête, tu m'appelles.
Et j'ai mis le feu aux poudres. Je savais bien que sans ça, rien ne se passerait.
— La vaisselle je la fais pas gratuitement...Je voudrais que tu mettes mes mains sous ma robe et que tu me touches le cul!
Il y a eu un moment de surprise, de stupeur, même, et puis il a obtempéré. Un peu d'hésitation, et puis enfin il a libéré son désir...Et le mien. Il s'est rapproché, en pendant que je continuais la vaisselle, il a posé les mains à l'intérieur de mes cuisses...Pétrissant mes chairs...Le feu est remonté immédiatement de ses mains à mon ventre et à tout mon corps, avec la rapidité d'un incendie qui se propage à toute allure dans la savane. Il m'a caressée, et dans ces caresses, il y avait de l'envie, une envie refoulée, et pas mal de désir...On se pose toujours des questions sur le désir, le désir des autres, le sien...Je ne m'étais pas trompée...Tout était dit, sans paroles, mais avec des caresses...
Je me suis sentie fondre...Me liquéfier très vite...Mon sexe s'ouvrir, se mettre à couler...Il a pris mes fesses à pleines mains, et il s'est mise à les pétrir...Je sentais bien que tout ce qu'il pouvait y avoir en lui d'appréhension, de recul et de limite fondait comme neige au soleil...Il a glissé un doigt en haut de ma raie, et il s'est mis à me caresser, d'un doigt souple, qui s'est positionné sur ma muqueuse anale, en la caressant délicatement...Son autre main est venue frotter l'entrée de mon sexe...Je mouillais avec de plus en plus d'abondance. Il devait avoir l'impression que je lui faisais pipi sur la main...
Je dois être un peu sadique, parce que j'ai tout cassé. Et masochiste aussi...J'avais pourtant envie qu'on aille plus loin...Mais en même temps, sans doute de la maniaquerie, je venais de finir les assiettes et j'avais envie qu'il les essuie.
--Lave-toi les mains s'il te plaît, je lui ai enjoint.Il est temps d'essuyer.
Sa main droite, qui avait caressé les lèvres de mon sexe, était trempée de ma cyprine. Je venais de me passer les mains sous l'eau chaude, pour rincer le savon liquide.
C'est curieux comme on peut être versatile. Je voulais VRAIMENT qu'on essuie la vaisselle pour avancer. J'allais attraper un torchon moi aussi. Et puis j'ai vu cette énorme bosse qui déformait son pantalon, et je n'ai pas pu résister. Lui a commencé a choper une assiette, moi je suis tombée à genoux et j'ai baissé son pantalon de survêtement, puis son caleçon.
Une queue en pleine érection c'est toujours aussi excitant qu'appétissant, et la sienne ne faisait pas exception. Longue, bien charnue, épaisse, avec un énorme gland, décalotté. Une belle tige à laquelle j'aurais été bien incapable de résister. J'aimais les queues et j'avais envie de plein de queues. Et pas seulement celle de Jimmy. C'était un peu mon drame.
On a trouvé un status quo qui nous convenait parfaitement à l'un comme à l'autre. Il s'est mis à essuyer la vaisselle, pendant que je le caressais de la langue et de la bouche. Une queue pareille...J'aurais pu passer des heures à me balader dessus, à jouer avec, à exciter zone après zone...Et ça lui plaisait...Sa queue se dilatait, se gorgeait encore plus de sang, et son méat ruisselait d'un liquide que je lapais avec avidité. Je suis venue lui mordiller les couilles. Il a gémi de plaisir.
— Si tu continues je crois que je vais jouir...Il vaut peut-être mieux se réserver pour quelque chose d'autre...
— Tu as des préservatifs?
Il venait de finir d'essuyer la dernière assiette.
— J'ai tout ce qu'il faut à côté.
Quand il est revenu, j'avais roulé ma robe à ma taille. Une manière de m'offrir encore plus, au cas où il aurait eu des doutes, des hésitations...
J'avais trop envie, d'une envie qui emportait tout. Je me suis retournée, sa queue était toujours aussi dure. J'ai déchiré l'emballage du préservatif et j'ai fait coulisser la rondelle de plastique grasse le long de la verge, arrivant à sa racine. Et puis je me suis retournée, je me suis pliée un peu plus que je ne l'avais été précédemment, et que je n'aurais du l'être pour faire la vaisselle.
Je me suis remis à frotter, cette fois les couverts, parce que je voulais être conforme au scénario que j'avais écrit dans ma tête et qui me plaisait : Me faire prendre pendant que je faisais la vaisselle.
Ca s'est passé comme j'en avais envie. Il est venu contre moi. J'ai frémi quand j'ai senti sa queue bien dure contre mes fesses, plus sensibles que je ne l'aurais pensé. Il l'a frottée avant de la glisser dans ma raie, et d'aller et de venir dans celle-ci. C'était...Vraiment bon...J'ai gémi de plaisir, tout en continuant de savonner les couverts.
Il est enfin descendu jusqu'à ma vulve. Je savais que, dans cette position, il pouvait me pénétrer sans problème aucun.
Ca avait été très bon jusqu'à présent, là, c'était l'extase pure. Il savait y faire. Il a frotté son gland dilaté et encapoté contre mes lèvres, me donnant du plaisir, trempant sa queue de mes jus qui ruisselaient sur lui, me faisant encore plus béante ou me donnant l'illusion d'être encore plus béante que je ne l'étais, avant de commencer, tout doucement, à rentrer à moi.
C'était dans de tels moments que je trouvais une raison de vivre.
Il m'a bien fouillée, allant et venant en moi. J'ai fini de frotter les couverts, les rinçant et me rinçant les mains. Je n'aurais pas pu aller plus loin, toute entière dans le plaisir, dans mon plaisir. Je me suis pliée en deux sur l'évier, et j'ai joui, éjaculant autour de sa queue. J'ai joui plusieurs fois, avant qu'il ne jouisse lui aussi, son sperme tapant contre mes parois intimes, me faisant orgasmer à nouveau.
J'ai tendu la main en arrière pour le faire sortir de ma vulve. Il avait éjaculé, mais il bandait encore. J'ai roulé le latex, en faisant en sorte que le réservoir garde son contenu. J'ai étiré le latex et lapé le sperme qu'il contenait.
Je me suis retourné vers le lot de vaisselle. Il restait une demi-douzaine de casseroles.
— Je te fais les casseroles et après tu essuieras tout...
Je me suis retournée vers lui et j'ai considéré sa queue qui n'en finissait pas de bander.
— Mais j'ai encore envie de sexe, et toi aussi...Viens...Il faut en profiter !
— Jimmy t'attend, il me dit.
— Jimmy doit être occupé à baiser Maeva en ce moment. On aurait tort de ne pas en profiter.
Je l'ai poussé sur la chaise juste derrière et je suis venue m'empaler sur lui. Il venait de faire claquer un autre préservatif sur sa queue. J'ai guidé sa queue vers l'entrée de mon sexe, ça s'est bien ajusté, et je me suis laissée glisser sur lui, jusqu'à ce que la tête de sa queue vienne cogner contre mon utérus. Ca a été quelque chose de rapide, un complément, pour profiter encore de sa queue, qui était demeurée raide, pour jouir encore, parce qu'on avait envie de sexe, sortant du schéma initial. On a joui très vite l'un comme l'autre, mais continué parce qu'on avait encore envie, comme si on avait voulu vider des batteries, jusqu'à ce qu'il n'y ait plus d'énergie en nous.
Je me suis dégagée et j'ai fait les casseroles, avec la sensation d'avoir encore sa queue en moi, me fouillant. C'était bon...Très bon...
J'ai rajusté ma robe, pendant qu'il essuyait la vaisselle.
Evier vide. Mission accomplie. Il m'a souri:
— Je crois que je vais renoncer à faire la vaisselle à partir de maintenant. Tu la fais très bien.
— Je reviendrai la faire, alors.
Je me suis demandée, en sortant de chez lui si ce que j'avais dit concernant Jimmy et Maeva, c'était monté comme ça, sans que j'y aie pensé la seconde d'avant, était possible.
Maeva habitait dans le quartier, deux rues plus loin.
La nuit était chaude, mais douce, et je n'avais pas encore envie de rentrer. Ce moment tournait dans ma tête, et surtout dans mon ventre.
Maeva habitait au second étage.
Son appartement bénéficiait d'une grande baie vitrée. Elle n'avait pas descendu les rideaux.
Jimmy était installé sur le divan, et Maeva, nue sauf pour un soutien-gorge qu'elle avait gardé, montait et descendait sur sa verge, les mains de Jimmy accrochées à sa croupe lourde donnant le mouvement.
J'ai avancé jusqu'à chez nous.
Eux aussi en profitaient, et c'était bien.

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