Inès est attirée par la figure d'autorité de Bruno qui répond à ses besoins émotionnels de sécurité, de stabilité et de direction. Aujourd'hui, elle va être confrontée à l’ambiguïté de sa situation. Bruno l'aidera-t-elle a se séparer de son "futur-ex" ? Aura-t-elle un nouveau gage en contrepartie ?
Proposée le 10/04/2025 par Vincent20100
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Thème: Couple, passion
Personnages: FH
Lieu: Bureau, travail
Type: Fantasme
Ce mardi matin, Inès arrive au bureau dans une robe style pin-up. Elle sait que son patron aime cela. Une robe à manches courtes dont la coupe est cintrée à la taille, qui met en valeur la silhouette, évasée en dessous, qui donne une allure féminine et élégante. Le décolleté est en cœur, les motifs pois rouge sur fond blanc. Une ceinture rouge souligne sa taille.
La belle brune dont les cheveux tombent sur les épaules marche d'un pas assuré, sa robe valsant légèrement autour d'elle. Ses lèvres rouge vif et son maquillage impeccablement rétro complètent son look glamour. Bruno admire son élégance tandis qu'elle traverse le bureau. Le sourire en coin de son patron ne passe pas inaperçu, révélant qu'il apprécie cette touche de nostalgie chic.
Alors qu’elle pose son sac à main sur son bureau, son portable sonne. Lorsqu’elle voit le nom de l’appelant, elle rejette fébrilement l’appel et écrit nerveusement un message
A tous les coups, pense Bruno, c’est son mec qu’elle n’arrive pas à quitter qui l’appelle.
Bruno, sentant le moment propice, commence à poser des questions subtiles pour amener Inès à révéler la vérité sur son ancien petit ami. Il évite de montrer qu'il sait déjà, en posant des questions innocentes mais percutantes. Inès, prise au dépourvu par la perspicacité de Bruno, finit par avouer qu'elle n'a pas encore officiellement rompu avec son « petit ami ».
Inès essuie une larme discrète. Elle prend une profonde inspiration avant de répondre à Bruno, sa voix trahissant une pointe de nervosité. Elle exprime ses remords et sa confusion, ses yeux brillant d'émotion.
- Je sais pas comment lui dire que c’est fini. Je veux pas le faire par téléphone et je veux pas le revoir…
Bruno, sensible à la détresse d'Inès, s'approche et pose une main réconfortante sur son épaule.
- Tu sais, il n'y a pas de solution parfaite… Cindy m'avait déjà parlé de ça. Elle m'a dit que tu avais du mal à rompre avec ton... Enfin, ton futur-ex quoi.
« Futur ex ». Inès sourit et éclate de rire. Oui, c’est tout à fait cela. L’expression désigne bien l’imbroglio dans lequel elle se trouve et duquel elle ne sait pas comment sortir.
- Je suis désolé brune brune… En plus la veille du jour où on a fait notre contrat… Ben… J’étais passée chez lui…
- Et vous aviez couché ensemble ? Demande Bruno dont le cœur bat plus fort.
- Ben… Oui et non…
Les sourcils de Bruno se soulèvent, pour marquer son étonnement…
- Ben en fait, oui à cause de toi j’avais envie… Mais bon comme d’habitude, il m’a pénétrée, il a fait deux trois va et vient et puis voilà c’était fini… ça a duré genre quelques secondes… Même pas de préliminaires rien… C’est pas comme toi qui prend ton temps et qui t’occupes bien de moi… J’avais trop envie ensuite le lendemain en arrivant au bureau… En fait, j’étais pas… Pas euh… « Rassasiée » disons. Depuis que tu m’as fait l’amour sur ton bureau, j’ai tout le temps envie quand je te vois… Pardon… Je voulais le quitter mais je sais pas comment m’y prendre, je veux pas l’entendre et discuter avec lui, je veux juste que ça se finisse.
Bruno, touché par la détresse d’Inès, avoue alors à Inès ses propres actions avec Cindy. Inès le regarde incrédule. Elle lui en veut, mais en même temps, quels reproches peut-elle lui faire ? Dans la phase de séduction entre eux, elle a couché avec son copain qu’elle voulait pourtant quitter. Et depuis elle est toujours officiellement avec l’autre…
Submergée par la confusion, elle se rend compte de ses propres hésitations et faiblesses, et doit faire face aux conséquences de ses choix.
- Tu as voulu te venger ? Demande Inès.
- …
Bruno détourne le regard.
- Ok, moi aussi j’ai voulu me venger… Lui dit-elle. Mais je me sens bien quand je fais l'amour avec toi et que je te donne du plaisir.
- Moi aussi… Mais on n’a qu’un contrat de sexe Inès, pas d’exclusivité… Si ça ne te convient pas, dis-le-moi maintenant.
Inès baisse les yeux. Elle ne sait plus trop où elle en est. Est-ce qu’elle veut une vraie relation avec Bruno ? Que diront ses parents quand ils sauront qu’elle couche avec son patron ? D’un autre côté, elle ne veut pas partager Bruno avec Cindy. Oui, mais elle savait dès le début que ce ne serait que temporaire… Que faire pour ne pas tout briser ?
Une petite musique interrompt sa réflexion. Le téléphone d'Inès sonne à nouveau. L’assistante, penaude, regarde son appareil posé dans sa main grande ouverte à plat vers le haut. C’est le futur ex qui appelle encore. Inès dévisage Bruno. Le regard de la belle brune exprime un mélange d’inquiétude et d’embarras. Elle est trop bouleversée pour savoir quoi faire.
Cette fois, Bruno décide de répondre. D’une main, il attrape le téléphone de son assistante et décroche. Avec assurance, il informe l'ex qu'Inès est trop gentille pour le lui dire elle-même, mais que leur relation est bel et bien terminée. Il se présente comme le nouveau et définitif « mec » d'Inès.
Bruno met le haut-parleur pour qu’Inès entende la réaction de son ex.
- Mais non… Non ! Tu es qui toi ? T’es pas son mec t’entend ?? C’est moi ! C’est ma meuf ! T’es un voleur, tu lui as volé son portable !...
Tandis que l’ex s’égosille, Bruno pose sa main libre sur la joue d’Inès qu’il caresse affectueusement pour la rassurer. Elle sent une vague de chaleur et de réconfort l'envahir. Elle ferme les yeux un instant, savourant ce moment de soutien et de protection que lui offre son patron.
- Rend lui son portable t’entend ?
- Ok superman, je vais lui rendre, t’excites pas. Mais c’est la dernière fois que tu l’appelles, on te bloque. Maintenant que les choses sont claires…
Bruno ne peut terminer sa phrase, l’ex enrage encore plus et s’énerve davantage.
L’assistante se mord la lèvre inférieure, marquant son appréhension. Elle sent son cœur battre plus fort, partagée entre la peur de la confrontation et le soulagement de voir Bruno prendre les choses en main.
La petite brune est surprise par l'audace de Bruno. Elle sent une vague de soulagement mêlée à de l'appréhension. Elle observe Bruno, admirant sa détermination et son soutien inébranlable. Ses pensées tourbillonnent, mais une chose est claire : elle va être libérée de cette situation compliquée.
Tandis que l’ex crie sur haut-parleur, Bruno, dont la main est toujours sur la joue d’Inès, introduit son pouce dans la bouche de son élève. Il la regarde droit dans les yeux et parle doucement d’une voix à peine audible : « suce ».
Prise par les émotions du moment et éduquée par sa semaine avec son patron, Inès obéit instinctivement. Elle aspire le pouce de son professeur en le regardant droit dans les yeux.
Bruno fait un pas vers son bureau et y attire Inès en appuyant légèrement de ses doigts collés sur la joue creusée par la succion de son assistante. Le patron s’est fait comprendre. Toujours sans réfléchir, elle le suit avec confiance.
Tout en faisant les quelques pas vers le bureau, elle se remémore ce que lui a dit hier son maître de sexe : « Le matin tu arrives, tu me suces et tu attends la fin de la matinée pour que je m’occupe de toi. Et le soir avant de partir, je te baise comme une pute. Donc, dans la position dont j’ai envie, au rythme que je veux ».
Bruno retire son pouce, pose le téléphone sur le bureau et s’assoit dans son fauteuil. Le regard que lance le patron déclenche un nouveau flash back chez Inès « C’est pas à moi de m’occuper de toi salope… C’est à toi de me sucer la pine… Et tu m’enlèveras le froc et le caleçon. Ok ? »
Inès hésite. Bruno va lui permettre de se libérer de ce gars dont elle ne veut plus, lui donne du plaisir, mais il va sans doute coucher avec Cindy…
La voix dans le haut-parleur de son téléphone reprend de la vigueur.
- Passes la moi ! T’entend ? Passes la moi, on va voir si je suis pas son mec !
L’assistante trésaille. Bruno garde son calme, mais son regard reste déterminé. Il prend une main d’Inès et la serre doucement pour la rassurer. Inès sent une vague de chaleur l'envahir, ses pensées tourbillonnant entre la peur et la gratitude.
Bruno répond avec assurance.
- Écoute, il est temps de respecter la décision d'Inès. Elle mérite d'être heureuse et elle a pris sa décision.
Disant cela, le patron regarde Inès droit dans les yeux. La petite brune hoche la tête pour approuver tout en souriant timidement. Elle repense à toutes les promesses qu’elle a faite à Bruno… Elle a très envie de se rapprocher de lui, de lui faire plaisir… Après tout, elle a accepté d’être sa pute, et si elle veut ses récompenses, il faut bien qu’elle respecte sa parole. Et puis, pense-t-elle, peut-être qu’avec Cindy ça en restera là.
Hier elle a dit à son patron « Promis, promis. Demain je tiens ma promesse et j’assurerais comme une assistante pro ». Et comme Inès le dit elle-même, elle tient ses promesses. En pensant à la façon de s’y prendre, la jolie pin-up sourit et s’agenouille. Elle défait la ceinture de son patron, enlève le pantalon sans opposition, puis le caleçon. Le mât dressé au garde à vous attend déjà avec impatience. Inès se pince les lèvres, regarde la queue de son patron, et se promet de faire tellement plaisir à son patron, qu’il oubliera Cindy.
Au haut-parleur, la voix de l’ex devient encore plus stridente. Il sait qu’il ne peut renverser la situation mais espère encore que ce n’est pas vrai. Bruno jubile en caressant les cheveux d’Inès doucement pour la conforter et l’encourager. L’assistante lèche le gland du bout de sa langue. Elle aussi jubile. En suçant son patron pendant que son ex est en ligne, elle le défie, met fin de façon certaine à cette relation. Dans son esprit, elle se dit que « oui, c’est fini ». Et elle absorbe millimètre par millimètre la banane de son patron. Elle sourit à l’idée qu’elle s’est faite pénétrée pendant la signature du contrat de sexe, et que maintenant elle suce lors de sa rupture officielle.
Tout en aspirant, léchant, remuant la tête sur ce dard, elle pense qu’elle se sent en compétition avec Cindy. Elle n’en veut pas à Bruno pour hier soir, après tout, elle-même trompait son mec. Mais maintenant, même si la relation avec le professeur est basée sur le sexe, elle veut au fond le garder pour elle et certainement pas le partager… Elle pompe et repompe avec d’autant plus de conviction. Elle pense : « je suce mon patron pendant ma rupture avec mon ex… C’est à cause de Cindy que je suis devenue une salope… ».
Inès caresse les couilles de son patron d’une main, tandis que l’autre accompagne sa bouche sur la queue.
- Inès ? Inès ? T’es là ? C’est qui ce mec ?
- Elle est occupée, fout lui la paix. Gueule autoritairement Bruno.
La petite brune sourit, un mélange de soulagement et de malice illumine son visage. Si son ex savait ce qu’elle fait en ce moment, il n’en reviendrait pas… Elle s’imagine qu’il la voit en train de gober cette banane, la savourer, la serrer entre sa langue et son palais, la faire entrer et sortir de sa bouche en bavant exagérément…
L’élève s’interrompt, elle garde une main sur la pine de son maître de sexe, l’autre sur une des cuisses et chuchote.
- Merci... pour tout ça. Dit-elle en regardant du coin de l’œil son téléphone.
Bruno serre doucement la main d'Inès sur sa cuisse, son regard rempli de compréhension et de soutien.
- De rien, Inès.
Le téléphone reste silencieux pendant un instant, comme si même l'ex de l'autre côté de la ligne réalisait que la bataille était perdue. Tout à coup, le silence est brisé.
- Bon alors tu me la passes ?
Bruno soupire, se lève, et raccroche. Inès relâche un soupir qu'elle ne savait même pas qu'elle retenait, sentant la tension s'évanouir peu à peu.
Le patron la fait se lever, lui caresse les fesses à travers la robe. Inès sait ce que veut son patron… Elle aussi est très excitée par la situation. Et, non seulement la pipe ne suffira pas à son amant, mais elle aussi sent que sa libido est très forte… Elle a besoin d’être pénétrée, pistonnée, ramonée…
Pour se faire comprendre sans parler et lui indiquer qu’elle est prête à le recevoir, Inès fait glisser ses manches le long de ses épaules et ses bras, dévoilant sa poitrine encore dissimulée dans un soutien-gorge en dentelles rouge.
Bruno plonge son visage sur les seins d’Inès et les lèche tandis qu’elle ricane bêtement. Satisfaite de voir l’engouement de son amant et anticipant la suite.
Son professeur lui intime de détacher son soutien-gorge tandis qu’il soulève un pan de la robe et lui caresse le postérieur, avant de tâter le mont de vénus et en constater la chaude humidité.
Le téléphone sonne à nouveau. Bruno appuie immédiatement sur le bouton « raccrocher », passe sa main entre la culotte et la peau d’Inès et fait descendre le morceau de tissu pour lequel sa garce d’élève s’empresse de faciliter la descente.
Le professeur de sexe fait assoir Inès sur le bureau, soulève la robe, se place entre ses cuisses…
Le téléphone sonne de nouveau.
- Va falloir que tu le bloques cette fois… On peut pas baiser tranquille sinon. Affirme Bruno autoritairement. Inès sourit, hoche la tête mais n’ose pas prendre le téléphone.
Bruno attrape une main d’Inès, elle frissonne, il pose la main de sa soumise sur son pieu. A peine a-t-il fait ce geste que la petite salope sourit et lui branle lentement la queue en le regardant droit dans les yeux. D’un regard qui veut dire : « ok je m’occupe de toi pendant que tu gères le téléphone ».
Bruno décroche. Au même moment, Inès tire sur sa pine pour la rapprocher de sa chatte affamée.
- Bureau d’Inès j’écoute. Répond satisfait Bruno, tandis qu’Inès malaxe son gourdin avec détermination, comme si le massage de la colonne de chair encourageait son patron à être téméraire.
- Eh ! Mais putain c’est encore toi ? J’appelle la police !
- Je t’ai déjà dit qu’Inès ne voulait plus te parler, c’est moi son mec maintenant. Désolé pour toi, fallait mieux t’occuper d’elle, ça te servira peut-être de leçon.
Satisfaite de la réponse de son patron, Inès place la queue de son patron de façon à ce que le gland vienne toucher les grandes lèvres de sa chatte, elle remue l’engin de façon à se caresser délicatement avec. Tout en continuant ce geste elle regarde son amant droit dans les yeux, de ce regard mi-innocent mi-coquin qui le fait craquer à chaque fois. Cette garce sait ce qu’elle fait…
- Mais non arrête c’est moi son mec ! Qu’est ce que t’en sais que je le suis pas d’abord ?
Bruno profite que son élève a placé sa bite pile en face de son tunnel d’amour pour y pénétrer d’un coup, sous la réaction faussement surprise de sa salope de soumise, qui joue parfaitement son rôle d'assistante choquée. Ses yeux s'écarquillent, sa bouche s'ouvre grand, qu'elle dissimule aussitôt ostensiblement de sa main. Son regard est faussement surpris, étonné. Elle sait qu'elle peut se permettre d'être un peu théâtrale avec Bruno. Elle laisse échapper un petit rire, incapable de maintenir son masque de surprise plus longtemps.
Oh, qu’elle joue bien les mijaurées ! Pense-t-il. Et il commence à la ramoner lentement avant de répondre.
- Je n’ai aucun doute là-dessus. Je suis son mec. Salut.
Il raccroche. Se retire de son assistante, bloque le numéro et jette le téléphone sur le fauteuil de bureau. Inès le regarde, les yeux écarquillés, soulagée par la détermination de Bruno.
Inès sourit timidement.
- Tu es mon mec ?
- Tu en doutes petite salope ?
Sur ces mots, il pose une main sur le cou d’Inès et la pousse pour qu’elle s’allonge sur le bureau. Elle se laisse faire, sachant bien qu’il compte la dominer pour la suite.
- Je ne sais pas comment j'aurais fait sans toi. Avoue-t-elle.
- Tu serais restée avec lui et ta frustration…
A ces mots Inès replie ses jambes et pose ses talons sur les fesses de son amant qui comprend qu’il est appelé à retourner à l’intérieur. Son gland et sa pine frottent de tout leur long les grandes lèvres d’Inès sans y entrer.
L’élève presse ses talons sur les fesses de son professeur pour lui marquer son impatience.
- Je suis ton maître de sexe alors ? C’est moi ?
Pour toute réponse, Inès hoche la tête rapidement et appuie de nouveau sur les fesses de son professeur avec ses pieds pour l’inciter à la pénétrer. Comme il ne s’exécute pas, elle le supplie.
- Mais allez ! Oui, tu es mon maître de sexe, c’est bon maintenant.
Bruno ricane, il embrasse furieusement sa soumise à pleine bouche, tout en lui caressant un sein.
- Allez ! Ajoute-t-elle une fois le baiser terminé. Elle tapote toujours les fesses de son patron, tente de l’attirer de force vers lui afin que, par chance, le gourdin qui longe sa chatte finisse par s’enfoncer enfin en elle, grâce à son action.
Bruno ricane.
- Quelle salope tu fais…
- Oui c’est bon je suis une salope, tu peux me baiser sans soucis !
- Ok, ma petite garce mais comme c’est moi qui ai rompu pour toi, et que tu ne m’avais pas tout dit, tu auras un gage.
Inès frissonne, se mord les lèvres.
- Ton gage ce sera que ce weekend tu viens à la maison avec ta salope de copine. Vous vous embrasserez et vous me sucerez la pine en duo.
A peine a-t-il dit cela, qu’il s’enfonce en elle, fait deux va et vient, et ressort.
- Ok Inès ? Tu te rappelles ? Un gage c’est pas toujours agréable ? Mais avec un peu de chance tu y prendras un peu de plaisir.
Inès se mord les lèvres. Est-ce que Bruno sait qu’elle a embrassé déjà Cindy ?
- Avec Cindy on s’est embrassées une fois… Mais on avait un peu bu avant…
- On pourra prendre un apéro avant, pas de soucis… Et tu avais aimé ?
Inès repense à la soirée, les lèvres pulpeuses de Cindy étaient agréables, c’est vrai… Pour l’aider dans sa réflexion, Bruno l’embrasse à nouveau. L’élève savoure et sourit lorsque Bruno libère ses lèvres. Puis, il replonge dans ce vagin chaud, moelleux et y fait quelques va et vient.
- Ok, ok… Dit elle… Mmmm Mais continue.
Bruno s’arrête.
- Tu lui boufferas la chatte aussi, et elle te la bouffera en retour. Lui dit il en la regardant autoritairement. Ce regard la pétrifie mais renforce son excitation.
- Ok, patron, ok.
Le maître de sexe remonte les cuisses de sa salope, soumise à ses caprices, colle les cuisses de son apprentie contre son ventre (à elle) et, la dominant, reprend quelques va et vient. Dans cette position, où son amant la domine puissamment, Inès se sent bien. La force et la détermination de Bruno lui procurent un sentiment de sécurité. La confiance en soi de Bruno est magnétique. En cet instant, elle accepte tout de lui…
- Et bien sûr, comme on a un contrat de sexe et que tu as des gages, je baise ta salope de copine quand j’en ai envie.
Inès soupire, ne répond pas, elle pose ses mains sur les épaules et la nuque de son maître, l’attire vers lui. Tandis qu’il compresse de son corps les cuisses d’Inès entre son ventre (à elle) et son torse (à lui), il continue de la ramoner fermement. Inès, colle une joue contre celle de Bruno et lui murmure à l’oreille.
- Ok, patron... Mmmm continue patron… Mmmm S’il te plait…
Bruno, satisfait de la réponse, poursuit son pistonnage. Il laboure ce sillon qui compresse avec ravissement sa queue à intervalles réguliers.
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La matinée passe rapidement alors qu'Inès se plonge dans ses tâches maintenant habituelles. Malgré la tension de l'appel précédent, elle essaie de se concentrer sur son travail et reprendre cet appel d’offre qu’elle a trouvé. Bruno, de son côté, veille discrètement sur elle, s'assurant qu'elle se sente en sécurité.
Inès apprécie leurs moments de complicité dans les regards et les sourires qu’ils échangent et se sent toujours plus à l'aise en sa compagnie. Elle ne peut s'empêcher de penser à quel point elle est chanceuse de travailler avec quelqu'un qui lui fait autant confiance. Elle est satisfaite de travailler en équipe avec quelqu'un qui valorise son travail et sa compétence, malgré qu’elle soit un peu gourde sur les bords.
Inès continue de travailler. Bruno, bien que très occupé, trouve des moments pour lui sourire et lui adresser quelques mots. Elle remarque combien il est professionnel et confiant, ce qui renforce son admiration pour lui. Bruno la consulte régulièrement, surtout sur cette histoire d’appel d’offre, montrant ainsi l'importance de son rôle dans cette équipe qu’ils forment tous les deux dans la boîte de Bruno.
Pendant la pause déjeuner, Inès et Bruno partagent un moment de complicité dans la cuisine. Ils discutent de sujets légers, essayant de détendre l'atmosphère. Inès se sent rassurée par la présence apaisante de Bruno.
Au moment où Inès se lève pour chercher le café qui vient de passer, elle trébuche légèrement, se cogne sans aucune douceur à la table et renverse son verre de jus. Le liquide se répand rapidement, atteignant le pantalon de Bruno.
- Oh non ! Désolée ! s'exclame-t-elle, les joues en feu.
Bruno réagit rapidement en s’éloignant et en attrapant des serviettes en papier pour éponger le jus.
- Ce n'est rien, ne t'inquiète pas, dit-il en souriant. Ça t’arrives souvent.
Inès, embarrassée, tente de cacher son malaise par un rire nerveux. Elle porte ses poings fermés à sa bouche, comme pour se protéger, ses yeux trahissant son embarras.
- Je suis pas si maladroite que ça !
Bruno lève les yeux vers elle, un sourire rassurant sur les lèvres.
- Tu es gaffeuse, Inès, et c'est aussi ce que j'aime chez toi. En plus, ça me permet de te donner pleins de gages…
Alors que Bruno ricane, Inès se sent réconfortée par ses paroles mais également un peu nigaude. Elle comprend quand même que son patron coquin profitera de chacune de ses conneries pour ajouter un gage. Elle se laisse donc faire quand il commence à lui frôler les fesses tout en l’embrassant.
- Ton prochain gage ce sera que tu porteras une tenue d’étudiante coquine ce weekend avec ta copine. J’ai toujours rêvé de faire un truc à trois avec deux étudiante salopes.
Inès pouffe en s’imaginant la scène. Grâce à Bruno, elle oublie rapidement l'incident du jus renversé. Ils échangent quelques baisers et caresses avant de retourner travailler.
En début d’après-midi, Bruno sort un cahier qu’il pose sur son bureau, face à Inès qui est venu faire un bilan du travail de la journée et passer en revue ce qu’ils auront à accomplir demain. Ils ont déjà passé en revue la liste des tâches, discutant de chaque point avec Inès. Ils ont abordé les contrats en cours, les échéances à venir et les priorités du moment.
Inès, qui a passé en détails les activités du lendemain, est un peu étonnée de voir ce cahier. Elle sourit, appréciant la confiance que Bruno lui accorde.
- Tu as besoin de noter tout ce que je t’ai dit ? Demande-t-elle.
- Pas tout, Inès. Je sais que je peux toujours compter sur toi.
Inès se sent réconfortée par ses paroles. La journée a été longue et émotionnellement éprouvante, mais la confiance et le soutien de Bruno lui donnent de la force.
Bruno lève les yeux et la regarde avec un sourire.
- Inès, ce seras ton cahier d’écolière.
L’assistante, légèrement surprise mais amusée, prend le cahier entre ses mains.
- Mon cahier d’écolière ? répète-t-elle avec un sourire.
Bruno hoche la tête.
- Oui, j'ai pensé que ce serait utile pour toi de noter tes activités et ce que tu apprends chaque jour. Cela peut aussi être un moyen de suivre ton évolution et de garder une trace de tes réussites.
Inès feuillette le cahier, dont les pages sont encore vides, touchée par l'attention de Bruno.
- C'est une excellente idée, merci patron !
La petite brune relève la tête et voit le regard amusé, presque pervers de son patron. Quelque chose ne va pas. Ce ne doit pas être un cahier ordinaire. Elle revient sur la première page. Bruno y a écrit :
« cahier de cours de sexe. Élève salope : Inès. Professeur pervers : Bruno ».
Inès lit les lignes, ses lèvres se pinçant pour dissimuler un sourire. Elle fait mine d’être déçue, mais ses yeux pétillent de malice. Elle trouve cela très amusant, mais cherche à ne pas le montrer. Elle veut rester professionnelle, même si elle a du mal à contenir son amusement.
- Vraiment ? dit-elle en levant un sourcil, essayant de paraître sérieuse.
Bruno éclate de rire, son regard toujours espiègle.
- Oui ! Tiens, d’ici ce soir tu vas m’écrire tout ce qu’on a fait depuis une semaine, weekend compris, et tu finiras en écrivant ce que tu dois faire en arrivant le matin ici...
Inès secoue la tête, feignant l'exaspération, mais un sourire finit par se dessiner sur ses lèvres.
- Tu es un pervers, murmure-t-elle, amusée malgré elle.
Elle referme le cahier avec un sourire en coin. L’idée d’écrire les cochonneries qu’elle a fait avec Bruno la faire sourire intérieurement.
Vers 16 heures, Inès reçoit un message de Cindy, qui lui demande des nouvelles. Inès prend un moment pour répondre rapidement et lui expliquer brièvement la situation. Elle se sent un peu mieux après avoir partagé ses inquiétudes avec Cindy, même si elle sait qu'il reste encore beaucoup à discuter. Comment lui dire que son patron veut faire un truc à trois et qu’elle a dit oui parce qu’elle avait trop envie qu’il soit en elle, et que toute façon c’est un gage ?
Une heure plus tard, son patron l’appelle pour qu’elle lui montre son cahier avant qu’elle ne parte. Bruno feuillette les pages, lit chaque ligne, et son caleçon commence à lui paraitre trop étroit.
- Tu es content ? Demandes Inès impatiente.
Bruno hoche la tête.
- C’est très bien petite garce… Tu as aimé écrire ça ? Est-ce que ça t’a excitée ?
Inès rougit légèrement, baisse les yeux.
- Ben un peu… C’est bizarre d’écrire ce qu’on fait sexuellement.
- Ah ? Et même le planning de demain matin et les projections du weekend ! Dit-il en fermant le cahier qu’il pose sur le bureau.
Bruno sourit, satisfait d’avoir obtenu ce qu’il voulait de son apprentie et qu’elle y ai pris du plaisir. Celle-ci est très contente que son professeur soit fier d’elle. Pour augmenter ce sentiment et s’assurer qu’elle ne se fait pas de films, elle ajoute :
- Oui j’ai même écrit que je serais habillée en étudiante avec une petite jupe à carreaux, un chemisier blanc décolleté, des bas blancs et des petites lunettes pour donner un regard de coquine.
Bruno lève les yeux vers Inès et sourit.
- Tais toi salope tu vas m’exciter… Mais ça t’a vraiment plus à ce que je vois. Et tu as été dans les détails… Donc, ça mérite une récompense.
A ces mots, Inès sourit, son visage s’illumine. Si elle a bien compris, son patron va lui bouffer la moule comme il sait si bien le faire. Une vague de chaleur dans tout le corps accompagné d’un fourmillement dans le bas ventre la perturbe. Croisant le regard de Bruno, elle comprend qu’elle a bien saisit la suite des évènements. Mais fait mine de ne pas comprendre… C’est trop beau, elle va se faire lécher pour avoir bien fait ce que lui a demandé son professeur ?
- C’est vrai ? Et toi ? Tu ne voudras rien ?
- Qu’est ce que tu as écrit dans ton cahier pour demain ?
- …
- Demain matin tu te rappelles ?
Inès pouffe, tente de retenir son amusement. Son professeur sourit, il a compris qu’Inès se cache derrière une fausse timidité, qu’elle attend de le pousser un peu pour qu’il montre un peu d’autorité…
Bruno, assit dans son fauteuil, tape du plat de la main sur le bureau pour lui indiquer de venir s’y assoir. L’élève frissonne d’enthousiasme et s’exécute. La dynamique de pouvoir dans leur relation crée pour elle une forte attraction. Inès se l’avoue, elle apprécie que Bruno prenne les devants et exerce son autorité avec respect et considération.
Elle remonte sa robe, s’empresse de retirer sa culotte, s’allonge sur le bureau, plie les jambes et écarte les cuisses pour recevoir au plus vite sa récompense.
Le professeur commence à caresser les cuisses et s’approche des grandes lèvres de cette chatte qui ne demande qu’à ce qu’on s’occupe d’elle.
- Alors Inès ? Qu’est-ce que tu as écrit dans ton cahier pour demain ? Tu feras quoi pour ton patron ?
- Demain… J’arrive et… Demain je te demanderais de t’assoir et je vais te… te…
- Alors ? Tu feras quoi ?
- Demain en arrivant je suce mon patron.
- Salope… Donne-moi des détails.
- Je vais dire d’aller dans le fauteuil et…
- Non, parle de moi. Je suis ton patron et tu me tutoies. On dirait que tu parles d’un inconnu.
Inès a une nouvelle bouffée de chaleur. Elle reprend.
- Alors demain patron, je viens et je te fais assoir dans ton fauteuil… Je… Je t’enlève ton pantalon, ton caleçon aussi, c’est plus pratique…
Elle pouffe de ce qu’elle raconte.
- Ok, et qu’est-ce que tu fais ensuite ? Tu me dis que tu es bonne salope qui aime me sucer ?
- Oui, je dis que je suis une bonne salope qui aime sucer et je vais lécher votre gland, caresser vos bourses et gober votre banane comme une gourmandise.
Bruno est de plus en plus ferme dans ses caresses et commence à introduire un doigt dans le vagin de sa garce de conteuse.
- Très bien… Et le grand final ? Le visage ? Les seins ? Dans la bouche, comme une vraie salope ?
Inès dégluti, cherche à réfléchir. Mais elle veut sentir la langue de Bruno sur et dans sa chatte. Alors elle lui dit ce qu’il veut entendre.
- Dans la bouche patron. Comme une vraie salope…
- Très bien Inès.
Puis, le patron lèche sa soumise, plaque sa bouche et entame un long cunni jusqu’à la faire vibrer de tout son corps, de tout son être.
Cette situation excite Bruno, mais en contrepartie, demain, Inès lui rendra la pareille. Et entre temps, il passera chez Cindy, qui attend patiemment son tour.
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