Voilà une semaine qu'Inès travaille pour Bruno. Elle a plutôt bien progressé jusqu'ici. Comment va-t-elle se débrouiller en ce lundi matin de deuxième semaine ? Est ce que Bruno va voir Cindy en parallèle ?
Proposée le 28/03/2025 par Vincent20100
Nous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Nympho, vicieuse
Personnages: FH
Lieu: Bureau, travail
Type: Fantasme
Le lundi matin Bruno arrive au bureau. Les premiers rayons du soleil traversent les stores et illuminent les locaux. Inès n’est pas encore arrivée. Bruno est à la fois content et tourmenté. Il devrait voir son apprentie arriver d’une minute à l’autre. Si elle a bien progressé et reste obéissante, elle devrait sans attendre venir s’agenouiller à son bureau et lui tailler une pipe de bon matin, comme convenu.
Pourtant, savoir qu’Inès n’a pas encore quitté son ex et a même décroché à son appel au téléphone après le weekend avec Bruno sans en profiter pour rompre, torture le patron. Son cœur bat plus vite que d'habitude et une vague de nervosité traverse son corps.
Il tente de retrouver son calme. Après tout, il n’a qu’un contrat de sexe avec elle, pas de relation exclusive. Mais cette révélation l’a touché un peu plus qu’il ne le pensait. Du coup, il n’a pas eu de scrupules hier soir à bouffer la moule de Cindy, ni à se faire dégorger le poireau.
Même s’il a pris du plaisir avec la besta d’Inès, Bruno n’arrive pas à se défaire de ce sentiment amer qui l’envahit. Ce matin il regrette un peu de s’être engagé sexuellement avec Cindy… L’idée de perdre Inès le touche. En quelque sorte, en se laissant aller avec Cindy, il s’est vengé…
Lorsqu'Inès entre enfin, les yeux de Bruno cherchent immédiatement les siens, et un mélange de soulagement et de tension se lit sur son visage. Bruno, malgré son tourment intérieur, essaie de garder son calme. Inès, quant à elle, semble distraite mais continue de jouer son rôle habituel.
Aujourd’hui elle porte un chemisier bleu pâle moulant et une jupe crayon beige. Une jupe étroite et moulante, s'ajustant étroitement aux hanches et aux cuisses avant de se rétrécir légèrement vers les genoux. La taille est haute, atteignant surement le nombril d’Inès, ce qui allonge visuellement les jambes et affine la taille. Une fermeture à glissière discrète sur le côté accompagnée d'un petit bouton maintient la jupe en place. La combinaison, sobre et élégante, du chemisier et de la jupe mettent en valeur sa silhouette gracieuse. C’est donc un look professionnel et élégant.
Elle pose son sac à main sur son bureau, sourit de façon insouciante à son patron, les yeux brillants et suaves. Une note de sa féminité et de sa douceur. L’assistante attache ses cheveux en queue de cheval, tout en jetant un rapide coup d’œil à son patron.
A la vision de cette jolie frimousse au sourire mi-innocent mi-coquin, Bruno inspire profondément. Il va faire comme Inès. Faire comme si de rien n’était. Il pourra peut-être avoir des révélations au cours de la journée. Et puis, il ne veut pas mettre fin à la relation. Il aime bien sa petite Inès. Sans oublier qu’elle doit s’occuper de lui.
Leurs regards se croisent enfin. Bruno sourit en voyant l’étincelle dans les yeux candides de son apprentie. Le patron est heureux mais une part de lui reste inquiète. Il se demande comment cela va tourner, comment aborder la question de l’ex qui n’en est pas encore un, et celle de Cindy…
Inès, qui souriait déjà, glousse en voyant Bruno l’admirer. La petite brune se mord les lèvres pour tenter de dissimuler ce bonheur que Bruno ne veut pas briser. Elle demande alors, un mélange de malice et de timidité dans ses yeux :
- Vous avez passé un bon week-end Patron ? Dit-elle en le vouvoyant de façon à lui faire comprendre qu’elle entre dans son rôle.
- Oui, c'était agréable. Et toi ?
Inès fini d’attacher ses cheveux, inspire profondément, comme pour surmonter une appréhension ou une légère timidité. Les rayons du soleil filtrent à travers les stores, apportant une chaleur subtile à la pièce. Ils échangent des sourires complices et des regards. Les yeux de l’assistante révèlent un mélange d’excitation et de trouble. Elle sait bien qu’elle doit se mettre à l’ouvrage, qu’elle doit engloutir sa banane comme elle l’a fait ce weekend, et dès maintenant, comme elle a promis auparavant.
Bruno bande, il pense de plus en plus au fait qu’elle est censée lui tailler une pipe… Le regard de son apprentie est significatif. C’est le regard d’une salope qui sait ce qu’elle s’apprête à faire, mais qui, comme une étudiante débutante, n’ose pas se lancer.
- Alors ? Demande Bruno, qui commence à se sentir à l’étroit dans son caleçon en repensant au fait qu’Inès s’est coiffée en queue de cheval, indiquant inconsciemment qu’elle se prépare au sexe.
- Je sais ! Crie enfin Inès tout en couvrant un instant ses yeux, les dévoilant et sautillant deux fois en reprenant : oui je sais patron. J’ai promis et je tiens mes promesses.
Bruno ricane. Pour aider son apprentie, il se retourne, avance vers son fauteuil, retire son pantalon et son caleçon avant de s’assoir le mat au garde à vous.
- La prochaine fois Inès, c’est toi qui me demanderas de m’assoir en m’expliquant que tu vas me sucer. Et tu m’enlèveras le froc et le caleçon. Ok ?
- Euh… Ok patron…
Inès s’approche, commence à plier les genoux mais est interrompue dans son élan… De façon un peu gourde, elle se redresse, tente à nouveau se plier les genoux, mais rien n’y fait, sa jupe crayon ne lui permet pas ce mouvement.
- Crotte… Dit-elle niaisement.
Bruno l'observe pendant qu’elle se penche légèrement en avant, dévoilant un peu son décolleté. Il sent un foisonnement sur son membre, qui est toujours dressé, s’échauffant sous l’effet de l’irrigation et vibrant au rythme de ses pulsations cardiaques. Le patron est excité à l’idée que dans quelques instant, Inès va devoir retirer sa jupe et peut-être son chemisier, avant de le sucer avec avidité et un regard lubrique de salope soumise.
L’assistante, comme toujours peu dégourdie, tente de remonter sa jupe crayon pour pouvoir s’agenouiller. Mais le vêtement est trop étroit pour cela. Bruno est trop impatient pour attendre plus longtemps. Il tend les bras, détache le bouton, tire sur la fermeture éclair vers le bas, et accélère la descente de la jupe qui finit rapidement à terre.
Bas du chemisier libéré et culotte exposée, Inès pouffe de sa gaucherie, s’accroupit, et commence à branler son patron tout en lui lançant une œillade.
Bruno caresse les seins de son assistante à travers le tissu du chemisier bleu pâle. Sa soumise sourit et se laisse faire sans interrompre son travail.
Son maitre de sexe lui déboutonne soudain le chemisier.
- Non mais c’est bon patron, je suis déjà à l’aise sans la jupe. S’exclame la petite brune.
Bruno s’interrompt, la regarde rudement droit dans les yeux.
- Soit tu t’habilles de façon à sucer habillée, soit tu te fous à poil… Dans les deux cas, je veux avoir accès à tes nibards et ta chatte à tout instant. Compris ?
Inès dégluti, elle a interrompu son geste machinal sur la colonne de chair de son professeur. La bouche maintenant demie ouverte, elle est intimidée et soutient son regard. L’apprentie est partagée, elle veut faire de son mieux, ne veut pas décevoir son patron, mais ne veut pas non plus se faire réprimander. Pourtant, ce ton autoritaire, ce regard impérieux et ce comportement dominateur la font frissonner. Elle vibre, son entrejambe picote et s’humidifie…
Bruno reprend le déboutonnage, aidé de sa soumise. Une fois le chemisier à terre, Bruno relève son apprentie de façon à ce qu’elle soit à genoux, mais les cuisses à la verticale pour que son visage soit à sa portée, et l’embrasse.
C’est une forme de remerciement pour l’avoir compris et aidé à retirer le vêtement. Puis, il dépose plusieurs fois ses lèvres entre les globes mammaires. Majestueusement, autoritairement, il fait tomber une bretelle de soutien-gorge, dégage le sein qui en dépendait et en suce le téton.
Inès comprend vite la suite et s’empresse de faire tomber l’autre bretelle.
Pour montrer à sa soumise qu’il est satisfait de la façon dont elle anticipe ses désirs, Bruno insère deux doigts dans sa culotte humide.
- Ah ? On mouille à ce que je vois…
Inès glousse, se mord la lèvre inférieure tandis qu’il lui caresse les parois de sa vulve. Elle pose l’une de ses mains sur celle de son patron afin qu’il exerce une pression plus forte sur sa chatte. Le majeur s’introduit dans le passage chaud et moite.
- Dis-donc… C’est pas à moi de m’occuper de toi salope… C’est à toi de me sucer la pine.
- Pardon patron… Pardon pardon… Répond Inès en appuyant plus fort sur la main dont un doigt s’est engouffré en elle. De l’autre main, elle agrippe la nuque de son patron et l’attire vers lui pour l’embrasser. Tout en poursuivant son baiser, elle libère le cou de son maitre et se remet à branler son manche en souriant, tout en continuant ses embrassades.
Bruno est hésitant. Il prend plaisir à se faire embrasser goulûment et se faire branler par la main chaude de la petite garce brune qui est face à lui. Il devrait reprendre le contrôle et lui dire qu’elle doit sucer. Mais il ne veut pas interrompre les baisers.
En même temps, il veut s’introduire dans le fourreau d’Inès. Même s’il a rêvé assez longtemps de voir Inès lui sucer la pine en arrivant le matin au boulot, cette petite salope l’excite trop pour interrompre ses gestes. Et puis, elle a été trop gourde ce matin pour la pipe.
Sans oublier, qu’hier soir il n’a pas eu son compte avec Cindy. Elle a une bouche formidable, mais une chatte reste une chatte et Bruno en a une folle envie. Sa salope d’assistante en a envie aussi. Il ne résiste plus… Par contre, il faut quand même mettre les points sur les i.
Bruno interrompt ses caresses. Inès l’imite, son regard surpris croise celui de Bruno.
- Ok, petite garce… A poil !
Inès glousse, se met debout et s’empresse de retirer et jeter son sous tif et sa culotte à terre. A peine a-t-elle fait ce geste, qu’elle monte à califourchon face à son patron, et s’assoit sur ses cuisses. Ses jambes son repliées sous ses cuisses à elle, en appui sur le fauteuil. D’une main, elle s’appuie sur le torse de son professeur, de l’autre elle agrippe son mat pour le mettre en position de « travail ».
Bruno pose une main sur celle qui lui tient la queue afin de l’interrompre, et l’autre sur sa joue tout en introduisant son pouce dans cette bouche qui aurait dû se mettre à l’ouvrage. Espérant qu’il la laisse le chevaucher, elle commence à aspirer avidement le doigt de son professeur, s’aidant de sa langue et suçotant pour l’exciter au maximum, ce qui devrait le soumettre. Car Inès joue avec son maitre. Encore une fois, elle le défi pour qu’elle puisse prendre ce plaisir qui la consume.
- Ok pour cette fois, salope. Mais on est d’accord ? Le matin tu arrives, tu me suces et tu attends la fin de la matinée pour que je m’occupe de toi ? Et le soir avant de partir, je te baise comme une pute. Donc, dans la position dont j’ai envie, au rythme que je veux.
Inès hoche positivement la tête. Son regard embrouillé montre que son excitation est trop forte pour refuser les conditions de Bruno. A cet instant, sa libido est très forte, elle ressent un besoin immense d’être pénétrée, ramonée et remplie. C’est dingue pour elle, mais depuis qu’elle s’est levée ce matin, Inès se sent mal. Comme si elle n’était pas complète. « C’est ça ce que ressent une salope ? » se demande-t-elle.
Bruno libère Inès, qui s’empresse de serrer plus fort cette queue qui lui manque et à laquelle elle pense depuis ce matin. Tout en s’avançant accroupie au-dessus de ce gourdin, Inès embrasse son patron.
- Ok patron... Pardon… Pardon…
Elle s’empale finalement dans un soupir de satisfaction et chevauche son professeur. Elle maintient un rythme intense et sourit. Son regard laisse comprendre qu’elle remercie son maitre de sexe de la laisser satisfaire son envie impérieuse.
La salope imprime un rythme rapide et intense. « Oh putain de salooope »… Il sent que les parois rembourrées qui enserrent son mat se contractent et décontractent rapidement. Bruno, la bite confinée et aspirée dans ce fourreau à la fois moelleux, bouillant et lubrifié, tente de se contenir. Il sent à chaque descente de cette gaine vivante sur sa queue, que la sève monte. Bientôt, il ne tiendra pas plus de deux ou trois allers-retours.
Alors que sa bite s’apprête à expulser sa semence, il ressent un ultime spasme de la chatte d’Inès qui lui trait la verge avec énergie. Cette fois, il ne tient plus. La libération de la jouissance est d’autant plus satisfaisante qu’Inès a ralenti le rythme, respirant fort, signe qu’elle aussi a atteint le nirvana.
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Ils commencent leur journée de travail, échangeant des sourires complices et des regards furtifs. Bruno observe discrètement Inès tandis qu'elle s'installe à son bureau, son chemisier bleu pâle à moitié reboutonné et sa jupe crayon qui la gêne dans ses déplacements. Il essaie de se concentrer sur son travail, mais ses pensées dérivent constamment vers Inès.
Soudain, le téléphone d'Inès sonne, brisant le silence. Inès sursaute légèrement et regarde l'écran avant de répondre d'une voix vulnérable et hésitante. « Allo ? »
Bruno tend l'oreille, essayant de percevoir la nature de la conversation. Ses soupçons se confirment lorsqu'il voit l'expression nerveuse d'Inès. C'est forcément son « mec ». D’ailleurs, Inès sort rapidement du bureau pour aller sur le palier. Bruno décide d'attendre le moment propice pour poser ses questions, espérant obtenir des réponses sans montrer qu'il est au courant.
A son retour, Inès s’assoit à son bureau, reprenant le travail, comme si de rien n’était. Bruno observe ses gestes, essayant de déchiffrer ses émotions. Il sent que quelque chose ne va pas, mais décide de ne pas précipiter les choses. Il a l’impression qu’elle cherche comment quitter son mec, que Cindy surnomme « demie molle ».
Les minutes passent, entrecoupées de petits échanges professionnels et de moments de silence lourd. Bruno profite d'une pause pour aller chercher deux cafés dans l'espace déjeuner/cuisine. Lorsqu'il revient, il tend une tasse à Inès avec un sourire.
- Merci, dit-elle en prenant la tasse. Ses doigts effleurent brièvement ceux de Bruno, et un frisson parcourt son échine.
Bruno décide de briser la glace, espérant ouvrir une conversation.
- Inès, ce matin, tu semblais vraiment perturbée par cet appel. Quelque chose te tracasse ?
Inès hoche la tête, ses yeux évitant ceux de Bruno.
- Non… Enfin... C'est juste... compliqué...
Bruno sait qu'il doit attendre le bon moment pour obtenir des réponses. Pour l'instant, il décide de laisser la conversation en suspens et de reprendre le travail. Inès, toujours visiblement troublée, évite les yeux de Bruno en sirotant son café. Il tente de détendre l'atmosphère en engageant une conversation légère.
- Alors, Inès, tu porteras une jupe crayon demain ?
Inès pouffe, projette des gouttes de café sur son bureau qu’elle essuie immédiatement avec un mouchoir en papier.
- Regardes ce que tu me fais faire avec tes commentaires !
- J’ai juste posé une question sur ta tenue vestimentaire. Répond-il en ricanant.
- Non… J’ai compris… Demain je mettrais quelque chose de plus pratique. Parce que sinon je vais me péter la gueule. Et puis tu voudras encore me foutre à poil.
- Si j’en ai envie, tu te foutras à poil. Dit-il autoritairement.
Inès est hésitante, sourit, mais fait la moue en même temps… Elle ne sait pas si elle doit être contente ou pas. Se mettre nue, alors que lui serait habillée, est une forme de soumission. Elle veut, mais son éducation la questionne sur ce comportement… Elle finit par hocher la tête pour approuver tout en souriant timidement. Après tout, elle a accepté d’être sa pute, et si elle veut ses récompenses, il faut bien se soumettre à ses petits caprices.
Leur conversation se poursuit. Elle est fluide et agréable, créant une ambiance de complicité entre eux.
Plusieurs fois au cours de la journée, Inès répond et écrit des messages. Des messages à Cindy dans lesquels la besta s’étonne qu’Inès ne mette pas fin à cette relation, alors même qu’elle évite son « futur ex » depuis quelques jours. La besta qui avait un peu de remords ce matin d’avoir passé la soirée avec Bruno, n’en a plus. Ce qu’elle explique en parallèle au patron. Celui-ci de son côté n’a également plus de remords. Pourquoi s’en voudrait-il ? Puisque c’est comme ça, autant qu’il en profite, après tout, elles sont demandeuses toutes les deux.
Dans l’après-midi, Inès annonce qu’elle a répondu à un appel d’offre en utilisant les documents que Bruno lui a montré la semaine précédente. Le patron est surpris de cette rapidité d’action mais félicite Inès, qui s’empresse de dire que s’ils obtiennent le contrat avec l’entreprise, non seulement il devra la garder dans la société, mais il devra lui faire un cadeau.
Bruno se dit que quand même, la petite brune est culottée… Demander un cadeau… Elle a quitté l’autre ? Et puis c’est sa pute à lui, non ? D’un autre côté, un cadeau lui ferait plaisir. Et le professeur de sexe aime faire plaisir à son assistante…
- Ok Inès. C’est d’accord. Mais il faut tenir tes engagements de ton côté… Demain tu sais ce qui t’attends en arrivant ?
- Oui patron… Donc j’aurais un cadeau ? Dit-elle en tordant la bouche de façon enfantine et regardant son patron du coin de l’œil, d’un air de « ne pas y toucher ».
- Si tu obtiens le contrat, oui. Par contre, ça te dispenses pas de sucer.
- T’es un gros pervers brune brune…
- Oui, mais t’aimes ça…
Inès baisse les yeux et glousse.
Elle se remet au travail. En fin d’après-midi, Bruno s’apprête à demander à Inès de se rattraper par rapport au matin en avalant sa banane avant de partir, puisqu’elle ne l’a pas fait le matin. Le téléphone de l’assistante sonne de nouveau. Mais cette fois elle est détendue.
- Allo papa ?
- …
- Euh… Oui… Ok…
- …
- Non, non, je t’attendrais à l’arrêt de bus c’est plus pratique… A tout à l’heure.
Inès regarde son patron, dont le regard suggère de la déception. La petite brune explique que son père a décidé de venir la chercher et que ce n’est pas négociable.
- Pardon brune brune, je peux pas négocier avec mon père. Depuis que Cindy lui a dit que je suis plus avec mon mec, il me couve tout le temps.
- Ton mec ?
- Ben… Euh… oui…
- Tu auras le temps de te rattraper pour ce matin avant de partir ?
Inès ouvre grand les yeux, surprise par la remarque de Bruno. Elle se mord les lèvres, cherchant une réponse.
- Je... je ne sais pas... Je n’aurais pas le temps de faire ça bien, il arrive… Il est vraiment sur mon dos.
Bruno, sentant la frustration monter en lui, décide de rester calme et de ne pas pousser Inès trop loin.
- D'accord... Demain tu t’y mets en arrivant et sans attendre que je te dise quoi faire. Tu commences à savoir ce que je veux.
Inès hoche la tête, reconnaissante mais toujours nerveuse.
- Pas de soucis patron. Je me rattrape demain. Promis, promis, promis… Dit-elle comme une nonne reconnaissante qu’on lui donne un délai.
Pourtant, pense Bruno, Inès n’est pas une nonne… C’est sûr…
L’assistante range ses affaires dans son sac à main, arrange sa tenue, se précipite vers Bruno avec son sac en bandoulière et l’embrasse en appuyant exagérément ses lèvres contre celle de son amant pour se faire pardonner.
- Promis, promis. Demain je tiens ma promesse et j’assurerais comme une assistante pro.
- Comme une pute pro tu veux dire ?
- T’es vraiment un pervers…
- Tu aimes bien ça. Et t’aimes bien quand je te traite de pute et de salope quand il le faut…
- Oui… Dit elle en baissant les yeux… Mais pas tout le temps hein ?
- Je sais…
Inès part heureuse et légère. Elle va rejoindre son père à l’arrêt de bus. Bruno est de nouveau partagé. Il aurait aimé une petite gâterie avant qu’elle ne parte. Mais bon, vu qu’elle n’a pas officiellement quitté l’autre et que lui a passé la soirée avec Cindy…
D’ailleurs, voilà que la besta appelle Bruno.
- Cindy ? Inès vient de partir…
- Oui, oui, monsieur le patron… Je suis au courant… Inès m’a prévenue…
- Et vous appelez déjà ?
- Eh monsieur Bruno ? Vous étiez plus ambitieux hier soir… Où sont passé les « Tu seras ma petite pute ? Sois bien salope et je te récompenserais » ?
- C’est toujours d’actualité… J’ai justement une envie de me faire gober le merlan.
- Ah… ça t’as plus hier ?
- Bien sûr. Tu suces divinement comme la salope que tu es…
- Oui Bruno, mais c’est donnant donnant ? Je suis une salope sous condition de réciprocité.
- Toujours d’accord. Une salope sous condition ?
- Oui… en fait je suis pas la pute que tu imagines… En fait, j’ai rarement de désirs quand je suis seule, je ne suis jamais excitée, par contre quand je suis à fond sur une personne, j’ai l’impression d’être hyper sexuelle, je me sens mal si on ne couche pas ensemble, je peux ne pas en dormir de la nuit, c’est comme si c’était un besoin, et du coup j’ai toujours eu une libido plus forte que mes partenaires et je ne comprends pas pourquoi… Alors que ma libido est quasi inexistante quand je n’ai personne et que je suis seule… Nos petites conversations depuis une semaine ont réveillé mes envies. Je suis prête à beaucoup si tu me le rends bien.
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Bruno se gare dans une rue adjacente à celle de l’immeuble où habite Cindy. Il envoie un message depuis son téléphone et monte les escaliers jusqu’à l’appartement indiqué. Arrivé devant la porte, il frappe doucement.
Cindy ouvre la porte presque immédiatement, un sourire accueillant sur les lèvres. Elle porte une robe légère qui se marie avec l'ambiance chaleureuse de l'appartement. La robe est d'un joli vert émeraude, avec un décolleté subtil en V et des manches courtes. Le tissu fluide et léger, épouse gracieusement ses formes, tombant juste au-dessus des genoux. Une fine ceinture en satin entoure sa taille, accentuant sa silhouette élancée.
- Salut Bruno, entre donc, dit-elle en s'écartant pour le laisser passer.
Bruno entre et jette un coup d'œil rapide autour de lui. L'appartement est petit mais bien décoré, avec des touches personnelles qui montrent la personnalité de Cindy. Des photos encadrées, des plantes en pot et des livres soigneusement rangés sur des étagères créent une atmosphère accueillante.
- Ton appartement est vraiment sympa, dit-il en souriant.
Cindy le conduit au salon, où ils s'installent sur le canapé. Elle lui tend un verre de vin. Bruno hésite un instant. Cindy attend attentivement, son sourire s'effaçant légèrement.
- ça ne va pas ?
- Eh bien, c’est d’Inès. J'ai l'impression qu'elle ne sait pas comment quitter son ex, et ça complique les choses.
- Oui, je comprends. Inès est une amie très chère pour moi, et je veux ce qu'il y a de mieux pour elle. Mais elle doit aussi faire face à ses propres démons.
Leur conversation continue, chacun partageant ses pensées et ses préoccupations. Bruno se sent peu à peu plus à l'aise, sachant qu'il peut compter sur Cindy pour être une alliée dans cette situation complexe.
- Tu sais Bruno... Inès est vraiment importante pour moi, et je veux m'assurer qu'elle prenne les bonnes décisions, dit-elle en posant son verre sur la table basse.
Bruno soupire, se passant une main dans les cheveux.
- C'est juste que... je ne peux pas m'empêcher de me demander si je fais ce qu'il faut.
- Tu es un bon gars, Bruno. Et je pense que tu ferais mieux d’attendre et de continuer à jouer les professeurs de sexe dominateur… Inès a besoin de temps pour trouver du courage, mais elle finira par y arriver.
Bruno hoche la tête. Leur conversation continue, abordant des sujets plus légers pour détendre l'atmosphère. Cindy partage des anecdotes amusantes sur ses aventures passées avec Inès, faisant rire Bruno. Ils terminent leurs verres de vin. Bruno pense pouvoir compter sur Cindy.
- Merci Cindy, j’avais besoin de me remettre les idées en place.
- Seulement ? Dit-elle en clignant de l’œil, tout en offrant un grand sourire.
Son minois est chargé de sous-entendus. Bruno comprend que Cindy lui a dit la vérité au téléphone sur le fait qu’elle est hyper sexuelle quand un mec lui plait. Il se dit qu’il n’a qu’une vie. Il déboutonne ostensiblement son pantalon qu’il jette au sol, tout en regardant Cindy droit dans les yeux.
La belle antillaise pose une main sur une cuisse de Bruno et remonte tout doucement vers le mat qui tient dressé le caleçon comme un chapiteau de cirque.
D’abord Bruno se laisse faire. Puis, il l’attire vers lui et la tâte. Cindy retire les bretelles de sa robe, offrant sa poitrine caramel à son nouvel amant. Celui-ci commence à s’occuper de sa nouvelle salope attitrée et se promet de ne pas la baiser pour le moment. Non pas qu’il n’ai pas envie, mais il aurait l’impression de tromper Inès. Ce qui est bête pense-t-il… Mais il ne peut s’en empêcher.
Tandis qu’il lustre la moule de Cindy, celle-ci soupire de contentement.
- Oh putain… putain… putain… Inès a raison… Oh merci à ma besta de m’avoir dit que tu étais un super suceur… de… ah… moule…
Au bout de quelques minutes, Cindy jouit. Ce qui n’empêche pas Bruno de lui palper et sucer les seins alternativement.
- Mmm… Merci patron…
- Je t’en prie… Mais tu sais que c’est intéressé.
Cindy ricane.
- Oui… Bruno… Oui je me doute… Bon, où est cette bonne banane qu’Inès ne voulait pas pour dessert.
Peu farouche, Cindy, maintenant nue, s’agenouille près du canapé, tire sur le caleçon pour le retirer complètement. Cette prise de contrôle, cette initiative excite le professeur de sexe au plus haut point.
Cindy lance des œillades tandis qu’elle caresse la colonne de chair et commence à en lécher le gland. Elle fixe son amant droit dans les yeux au moment d’engloutir le pénis entre ses lèvres.
- Salope… oh salope, salope… Saloooope….
Cindy s’interrompt.
- Je me sens bien quand je fais l'amour et que je donne du plaisir… Ce soir encore je vide ton poireau à la bouche. Mais demain il faudra faire un bon ramonage…
Cindy reprend son office baveuse et cadencée.
- Ah le conduit n’a pas été utilisé depuis longtemps ?
La suceuse s’interrompt.
- Tu ne me crois pas ? Si, ça fait un moment…
Puis, elle reprend.
Bruno savoure la douceur de cette langue sur sa queue, cette tête déterminée qui coulisse comme un piston. Il s’imagine la chatte de Cindy l’enserrant et le chevauchant comme l’a fait Inès ce matin. C’est certain, demain, il baise Cindy.
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